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Un visiteur
0,5
Publiée le 6 octobre 2011
j'ai pas pu le regarder en entier tellement ça m'a saoulé, je comprend pas le succès de mélanie laurent qui joue vraiment pas bien et qui a un tarin horrible, en plus elle prend tellement de clichés aux rayons x de son mec qu'il aurait mieux fait d'aller à fukushima, il aurait moins pris de radioactivité dans sa gueule!!!
On s attache rapidement aux personnages notamment à l excellemment michel blanc assez loin de jean-claude dux. Mélanie Laurent est une actrice formidable. En clair un bon film français.
Original, drôle, émouvant et très bien interprété... Des personnages hauts en couleurs, avec ce qu'il faut de décalage pour rendre l'ensemble légèrement surréaliste et bourré de bonnes idées. Du cinéma français qui fait plaisir à voir. Encore !
Le titre alambiqué de ce film m'a intrigué et je trouvais la présentation sympa. De plus, la première réalisation de Jennifer Devoldere, "Jusqu'à toi", m'avait bien plu et avait déjà en tête d'affiche Mélanie Laurent. Son duo avec Michel Blanc prévoyait de bonnes scènes, en souvenir de son dernier film "Une petite zone de turbulences" qui le présentait aussi dans le rôle du père de famille ayant une drôle de relation avec ses enfants. Seulement voilà, ce film est du gros n'importe quoi, et ce malgré la bonne volonté de Mélanie Laurent, une fin inattendue et un bon accompagnement musical. Michel Blanc interprète un père de famille distant avec sa fille mais envahissant avec ses petits copains, et qui va avoir un bébé à 60 ans. Sa fille (Laurent) n'y comprend rien et n'arrive pas à garder une relation stable. Elle s'abrite chez sa demi-soeur qui tente désespérément d'adopter avec son mari. Ces plusieurs histoires s'entremêlent et tentent de se répondre. Le jeu de Michel Blanc est lamentable, et on préfère penser que c'est la réalisatrice qui l'a mal dirigé tout comme le reste car même les second-rôles, pourtant dans des situations émotives, sont faux voire même insupportable dans leur jeu. Mélanie Laurent et Manu Payet s'en sortent mieux. Tout ce fouillis dans le jeu donne place à un film aux émotions froissées, gâchant tout effet comique ou tragique (la fin par exemple) et rend l'ensemble saccagé par un grand nombre de situations presque absurdes et des personnages pas attachants. La relation père-fille est erronée par une volonté de trop montrer (être partout à la fois) et on en ressort pas grand chose de positif.
Film de surface trop dopé aux bons sentiments bien classique dans son scénario et ses personnages. La jeune réalisatrice s'en sort finalement pas mal car le tout se suit mais difficile d'entrevoir un réel horizon pour celle-ci.
Vendu comme une comédie romantique, le film est en fait plutôt un drame ! L'histoire sans véritable enjeu enchaine des petites saynètes sans grand intérêts, et qui au mieux font sourire, jusqu'au tragique dénouement final qui s'avère être la partie intéressante du récit, dommage que tout ceci arrive si tard ! Heureusement le film est un peu sauvé par un casting de haute volée...
un film qu'on va vite oublier l'histoire est banale et fade on s'attend à des rebondissements mais rien ce passe je mets une étoile pour la bonne performance de michel blanc le reste ne le mérite pas
On pense tout de suite à un archétype bien connu, qui a souvent les honneurs de la littérature, voire ceux de l'humour (en particulier façon "stand up"), et bien sûr du cinéma (ou des fictions télé). Ici c'est le pendant, au masculin - quand la mère est absente, ou peu impliquée : "Eli Dhrey", qui résiste dans le tissu à confection dans un Sentier désormais très largement sinisé. Le sexagénaire (qui va connaître les joies d'une nouvelle paternité tardive, avec sa 2e femme) a deux (grandes) filles. Il tourne nettement au parent abusif avec la plus jeune, "Justine" (Mélanie Laurent), cultivant à sa suite le familier des "ex" de la demoiselle, histoire d'être au plus près d'elle. Michel Blanc, qui savait tout jouer, ne démérite pas dans la posture. Mais c'est à peu près le seul atout de ce 2e film de Jennifer Devoldere, sorti en 2011 - car le reste du casting, ML spécialement, déçoit, et l'histoire, comme le dialogue (JD, aux deux, aussi) sont bien inconsistants...
On a pourtant envie de l'aimer cette comédie, pour son casting notamment. Mais il faut reconnaître que malgré quelques éclaircies le film ne tient guère la distance, entre des dialogues maladroits, des personnages sous-exploités et un humour peu efficace.
GROSSE FATIGUE. Et soudain, patatras, pas de plaisir et je coupe le son. Auteur de l'oubliable jusqu'à toi, Jennifer Devoldère n'est toujours pas très inspiré. Soudain, tout le monde s'en fou et je remet le son.
Justine (Mélanie Laurent) a toujours eu des relations compliquées avec son père Eli (Michel Blanc). Elle lui reproche de ne pas s’être occupée d’elle quand elle était petite et, aujourd’hui, de faire à soixante ans passés avec sa nouvelle compagne (Claude Perron) un enfant.
"Et soudain, tout le monde me manque" fait partie de ces petits films français comme il en existe treize à la douzaine, pas vraiment mauvais, mais pas suffisamment bons pour retenir l’attention. Je l’avais raté à sa sortie début 2011 ; la fermeture des salles et sa présence surprenante sur le catalogue Netflix m’ont donné l’occasion de le voir.
Je serais bien aigri d’affirmer avoir passé un mauvais moment à le regarder. Car Mélanie Laurent, Michel Blanc et les seconds rôles, excellents, qui les entourent (Guillaume Gouix, Florence Loret Caille, Géraldine Nakachze, Manu Payet…) font honnêtement le job. Mieux : le dernier quart d’heure est particulièrement attachant qui tire le film dans une direction qu’on n’aurait pas imaginé (en ai-je trop dit ? pas assez ?).
Mais pour autant, la narration aux ressorts éculés de cette relation père-fille n’a rien de si original qu’il faille s’offusquer du légitime oubli dans lequel ce film – et sa réalisatrice qui n’en a pas tourné d’autre depuis dix ans – est tombé.
Jennifer Devolder se la joue très maniérée, avec sa pop légère, ses images trendy et ses dialogues clairsemés.... Ca fait parfois du bien par rapport à un cinéma français très bavard. Alors bien sûr du coup on reste un peu à la surface des choses mais on y croise qd-même qq émotions de tps à autre.
Le film se laisse regarder tranquillement mais il manque cruellement d'ambition, on se demande même son intérêt, mis à part cela Mélanie Laurent et Michel blanc sont très convaincants et attachants dans leurs rôles.