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DarioFulci
103 abonnés
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0,5
Publiée le 3 août 2011
Très mauvaise comédie dramatique sur la famille décomposée/recomposée d'un patriarche caractériel. Des conflits à n'en plus finir, des crises existentielles dont on se contre-fiche pour donner l'occasion à l'insupportable Mélanie Laurent de minauder à tout bout de champs. Michel Blanc ne démérite pas dans le rôle dans lequel il ne cesse de s'enfermer avec force remarques grinçantes et complaintes crispantes. Archi-nul.
Dès la première scene j'ai été frappée par le manque de rythme de ce film. Ça ne décolle jamais. Les personnages ne sont absolument pas approfondis, le scénario est vide de sens. Une demi-étoile pour une ou deux lignes bien choisies.
Il faut absolument que Mélanie Laurent se ressaisisse car à force de ne jouer que dans d 'insondables navets (Inglorius Bastards , Le concert , La rafle, Requiem pour une tueuse ), pour ma part elle n'est plus une actrice crédible et je vais hésiter dorénavant à me déplacer pour son prochain film , j'ai tenu une demie -heure pour celui-ci ,avant de m'enfuir .Quant à Michel Blanc il est horripilant dans ce rôle .
mais c est un chef d œuvre qu on a là je ne connaissais pas ce film ni j en ai entendu parler. Les jeux d acteurs de Melànie Laurent et de Blanc qu ils sont bons. Michel Blanc tout le monde parle de Dusse depuis son deces il detestait ce role et là il prouve qu il s en est bien debarrasse comme dans le film "docteur?" on aurait du parler de ces rôles là plutôt que de Dusse en hommage. bref revenons sur le film, il est touchant, drôle et émouvant. Il mérite d être plus connu.
Pour son second long-métrage, Jennifer Devoldere retrouve Mélanie Laurent, après l'avoir dirigé dans le décevant Jusqu'à toi (2009). Avec Et soudain, tout le monde me manque (2011), elle réalise une sympathique comédie dramatique où il est question de crises existentielles et de famille dysfonctionnelle. Un père de famille trop absent, la fille cadette mal dans sa peau, la demi-soeur qui cherche à adopter alors qu'au même moment, sa mère tombe enceinte, divers problèmes y sont traités, de façon plus ou moins réussis et où le rire et l'émotion sont de rares fois au rendez-vous. Une oeuvre mineure mais pas déplaisante, où on a le plaisir d'y retrouver entre autre Mélanie Laurent & Michel Blanc.
La famille, c'est compliqué… Surtout quand Eli, le père, bientôt 60 ans, attend un enfant de sa nouvelle femme. À l’annonce de la nouvelle, ses deux grandes filles, Dom, qui cherche a adopter, et Justine, qui passe d’un petit ami à un autre sans trop d’état d’âme, sont ébranlées. Pour se rapprocher de Justine avec qui il n’a jamais pu s’entendre, Eli a la bonne idée de se lier d’amitié avec tous ses ex… A son insu. Mais lorsque Justine tombe de nouveau amoureuse et qu’Eli s’apprête à tout gâcher, la famille est sur le point d’imploser. Est-ce que tout ce petit monde va parvenir à se réconcilier avant qu’il ne soit trop tard ? Deuxième long métrage de Jennifer Devoldere (Jusqu'à toi avec, déjà, Mélanie Laurent) Et soudain... est une très jolie comédie sur les rapports familiaux très bien écrite avec beaucoup de subtilité et de délicatesse. La jeune réalisatrice sait très bien capter les traits de caractère de ses contemporains et à souligner certains paradoxes de notre société. De fait, on s’attache très facilement aux personnages car on y croit. Les acteurs sont très convaincants de naturel (mention spéciale Michel Blanc qui trouve là un de ses plus beaux rôles) et il y a beaucoup de très bons moments avec des répliques savoureuses. Et soudain... est un film à la Sautet très intelligent qui mérite le coup d’œil.
Non mais qui a dit que les Français ne savent pas faire de bon film ? Un dialogue super bien ficelé, une belle mise en scène, une musique super juste, des acteurs très bon, un Michel Blanc cyniquement bon. Un super bon film.
Partant d'une idée de base plutôt prometteuse, "Soudain tout le monde me manque" s'enlise rapidement dans un scénario poussif aux mécanismes grossiers et aux rebondissements totalement prévisibles.
Une comédie dramatique sur les liens difficiles entre père et fille et autres familiaux plutôt dans la tendance du social en France. M.Blanc excelle comme souvent, M.Laurent est parfaitement juste. Si l’ensemble est agréable, il est cousu de fil blanc et les ressorts dramatiques sont prévisibles et convenus. Un bon repas familial du dimanche.
Déjà auteur de l'insipide « Jusqu'à toi », Jennifer Devoldère récidive avec « Et soudain, tout le monde me manque », comédie dramatique « générationnel » faussement maligne, essayant vainement de se la jouer spirituel pour masquer son incroyable manque de créativité. Franchement, il y a quand même de quoi se marrer quand j'entends Michel Blanc dire à quel point cette jeune réalisatrice est formidable, talentueuse, brillante... Elle est peut-être très sympa Jennifer, mais vraiment, Michel, toi qui as en plus réalisé, tu lui trouves autant de qualités? Mais as-tu au moins vu son précédent film voire celui-ci? Car à part pour faire la promo (ah, c'est peut-être ca remarquez), je vois difficilement comment on pourrait être aussi enthousiaste devant cette réalisatrice. Alors Mélanie Laurent est bien mignonne, Géraldine Nakache fait ce qu'elle peut dans un second rôle, et on trouvera bien quelques passages où l'on sourit, mais que c'est plat, prévisible... Alors que l'oeuvre voulait s'interroger sur les relations complexes père-fille en particulier, mais aussi sur les relations amoureuses, la naissance d'un enfant et bien d'autres sujets, il n'a en définitive rien à dire et encore moins à apporter sur aucun d'entre eux. Une nouvelle preuve, si elle était nécessaire, des difficultés du cinéma français de parler intelligemment de sujets de société et de proposer un scénario digne de ce nom. Non, décidément le cinéma de Jennifer Devoldère ne semble pas fait pour moi...
Un espece de sous "Le premier jour du reste de ta vie" mais avec une succession de scenes encore decousues, et surtout l'alchimie ne prend pas.
On n'a pas l'impression de "cellule familiale" et si dans "Le premier jour..." les scenes representent des etapes cles, des moments forts de la vie, ce n'est aucunement le cas ici.
En outre, il n'y a pas de liant entre les scenes, qui de plus ne sont pas droles et ne font ni rire ni sourire dans la plupart des cas.
La majorite des scenes un peu sympas sont dans les bandes annonces.
Seul Michel Blanc, tres bon dans ce genre de role sauve le film.
Manu Payet et Nakache sont a la limite de l'insupportable et Melanie Laurent pas du tout credible en ado attardée.