Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Emile Breton
Bien sûr, ce film est un conte. (...) Et ce film, c'est sa richesse et sa singularité, est fait de ce sur quoi le cinéma, trop pressé souvent de raconter, ne prend pas le temps de s'attarder : un geste, une intonation, un regard. Des sensations, enfin.
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Axelle Ropert
Les plus beaux sujets sont peut-être ceux dont la ténuité le dispute à la profondeur, laissant à la seule mise en scène le choix de trancher. Tout un arc de délicatesses enserre l'héroïne endeuillée, laissée au mystère de son âme mais traquée avec opiniâtreté dans sa vie quotidienne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Olivier De Bruyn
Fidèle à sa manière et à son exigence, le cinéaste (...) dresse tout en nuances le portrait impressionniste d'une femme (...). Le scénario, habilement composé, (...) évite les surenchères larmoyantes (...). Même pudeur dans la mise en scène (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Sandrine Kiberlain trouve ici, de loin, son meilleur rôle. (...) un film au regard sensible mais qui confirme que l'art naïf demande autant, si ce n'est plus, de rigueur et de science que les recherches les plus savantes.
L'Express
par Eric Libiot
Un film minimal. Trop, sans doute. Mais heureusement porté par la toujours formidable Sandrine Kiberlain.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Formidablement entamé, le film s'enlise un peu dans le tête-à-tête, décidément allégorique, de la femme et de l'oiseau, avant de reprendre du poil de la bête.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Isabelle Danel
L'impeccable présence/absence de Sandrine Kiberlain, la lumière du Sud-Ouest et l'oiseau du titre, qui s'invite et réinvente le quotidien de son hôtesse involontaire, sont les atouts bien concrets d'un film qui reste trop abstrait.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Lucie Calet
"L'oiseau", qui tient sa note avec une économie d'effets exemplaire, touchera au coeur ceux qui voudront bien se donner la peine de plonger dans son profond mystère.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Ce film-ci (...) a de la tenue, de l'élégance, une image solaire qui fait contrepoint à la gravité de la situation. Il nous change des facilités lacrymales de trop de films français récents sur le chagrin - le syndrome "Petits Mouchoirs".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
par Jérôme Beales
Les intentions, louables, sont là et Sandrine Kiberlain, magnétique, porte ce film fragile à bout de bras. Mais cela ne suffit pas à faire décoller cette oeuvre plombée par un rythme atone et une narration en dents de scie.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Le sujet était risqué, le résultat, sans surprise, nous laisse, à l'image de Sandrine Kiberlain, anesthésiés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
En cherchant à éviter les pièges de son sujet, c'est le sujet lui-même qu'Yves Caumon finit par esquiver. En résulte une chronique ennuyeuse, prise au piège de ses précautions, et qui manque à la promesse d'une belle entame.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Metro
par Mehdi Omaïs
En dépit d'une prestation de Sandrine Kiberlain, une petite dose de poésie aurait sûrement aidé ce long métrage à s'envoler.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Le film danse sur deux pieds contradictoires : le regard d'entomologiste déchargé de tout enjeu moral, et l'attachement à retrouver coûte que coûte ce fameux " goût de la vie ", mièvre valeur offrant à certains films français d'opérer subrepticement un glissement du conte moral vers le conte égoïste.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
Bien sûr, ce film est un conte. (...) Et ce film, c'est sa richesse et sa singularité, est fait de ce sur quoi le cinéma, trop pressé souvent de raconter, ne prend pas le temps de s'attarder : un geste, une intonation, un regard. Des sensations, enfin.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
Les plus beaux sujets sont peut-être ceux dont la ténuité le dispute à la profondeur, laissant à la seule mise en scène le choix de trancher. Tout un arc de délicatesses enserre l'héroïne endeuillée, laissée au mystère de son âme mais traquée avec opiniâtreté dans sa vie quotidienne.
Positif
Fidèle à sa manière et à son exigence, le cinéaste (...) dresse tout en nuances le portrait impressionniste d'une femme (...). Le scénario, habilement composé, (...) évite les surenchères larmoyantes (...). Même pudeur dans la mise en scène (...).
Cahiers du Cinéma
Sandrine Kiberlain trouve ici, de loin, son meilleur rôle. (...) un film au regard sensible mais qui confirme que l'art naïf demande autant, si ce n'est plus, de rigueur et de science que les recherches les plus savantes.
L'Express
Un film minimal. Trop, sans doute. Mais heureusement porté par la toujours formidable Sandrine Kiberlain.
Le Monde
Formidablement entamé, le film s'enlise un peu dans le tête-à-tête, décidément allégorique, de la femme et de l'oiseau, avant de reprendre du poil de la bête.
Première
L'impeccable présence/absence de Sandrine Kiberlain, la lumière du Sud-Ouest et l'oiseau du titre, qui s'invite et réinvente le quotidien de son hôtesse involontaire, sont les atouts bien concrets d'un film qui reste trop abstrait.
TéléCinéObs
"L'oiseau", qui tient sa note avec une économie d'effets exemplaire, touchera au coeur ceux qui voudront bien se donner la peine de plonger dans son profond mystère.
Télérama
Ce film-ci (...) a de la tenue, de l'élégance, une image solaire qui fait contrepoint à la gravité de la situation. Il nous change des facilités lacrymales de trop de films français récents sur le chagrin - le syndrome "Petits Mouchoirs".
Excessif
Les intentions, louables, sont là et Sandrine Kiberlain, magnétique, porte ce film fragile à bout de bras. Mais cela ne suffit pas à faire décoller cette oeuvre plombée par un rythme atone et une narration en dents de scie.
Le Journal du Dimanche
Le sujet était risqué, le résultat, sans surprise, nous laisse, à l'image de Sandrine Kiberlain, anesthésiés.
Les Fiches du Cinéma
En cherchant à éviter les pièges de son sujet, c'est le sujet lui-même qu'Yves Caumon finit par esquiver. En résulte une chronique ennuyeuse, prise au piège de ses précautions, et qui manque à la promesse d'une belle entame.
Metro
En dépit d'une prestation de Sandrine Kiberlain, une petite dose de poésie aurait sûrement aidé ce long métrage à s'envoler.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Chronic'art.com
Le film danse sur deux pieds contradictoires : le regard d'entomologiste déchargé de tout enjeu moral, et l'attachement à retrouver coûte que coûte ce fameux " goût de la vie ", mièvre valeur offrant à certains films français d'opérer subrepticement un glissement du conte moral vers le conte égoïste.