Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Teuteu8391
51 abonnés
376 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 15 octobre 2012
Scénario sans plus, des acteurs que j'aime bien m'ont un peu décu ca parait surjouer pour un film qui aurait pu etre pas mal au final c'est juste moyen.
Un Excellent Polar ! Le réalisateur Frédéric Jardin signe un Thriller D'Action Percutant et Fiévreux qui vous donne une sacrée montée d'Adrénaline pendant tout le long du film.Grace a une Distribution de qualité avec pour commencer l'acteur principal Tomer Sisley qui est excellent en Flic Ripoux prêt a tout pour sauver son fils, ainsi qu'une galerie de personnages secondaires comme Joey Starr,Serge Rabioukine,Lizzie Brochére,Julien Boissolier et Samy Neghir qui se montrent trés convaincant dans leurs jeu d'acteurs. La photographie signée Tom Stern est sublime et l'idée de faire un film qui se déroule dans une gigantesque boite de nuit est une brillante idée avec une intrigue parfaitement ficelé et qui se réserve habilement son lot de rebondissements avec quelques séquences assez brutales, mais également des scénes d'actions trés éffiace et virvoltantes dans une scene se déroulant en cuisine.Pour finir la Bande Son est trés bien en collant parfaitement a l'ambiance du film. Au Final,Nuit Blanche montre que le Cinéma Français réussit petit a petit surpasser les films américains en terme d'Action et qui a voir absolument, si vous avez aimez A Bout Portant ou La Proie entre autres.
N'en déplaise à certains, ce Nuit Blanche est un très bon film qui tient toutes ses promesses et qui offre tout simplement les ingrédients qu'on était venu chercher. Si vous avez aimé les films récents de Fred Cavayé et de Nicolas Boukhrief, vous trouverez sans aucun doute votre compte dans ce nouveau polar made in France. Sans surprise, l'action, le suspens et les rebondissements rythment tambour battant cette histoire mais le tout est mise en scène de façon vraiment efficace et continue contrairement à d'autres films qui alterne trop avec les temps morts. Ici, point de temps morts pour notre héros Vincent qui se retrouvent vraiment dans la merde pour sauver son fils kidnappé par un patron de boite mafieux. Au delà de ce pitch un peu simpliste et déjà vu, le réalisateur et scénariste Frédéric Jardin a su pimenter son intrigue de tout un tas de personnage aux intérêts personnels multiples et d'un décor labyrinthique hallucinant au sein d'une énorme complexe de nuit combinant discothèque, restaurants, billard, etc.....Un endroit parfaitement bien exploité qui permet pas mal de possibilités en terme de "cache-cache", bastons et course poursuite. Un décor qui constitue la vraie clef de ce film en plus d'une panoplie diverse de personnage qui comme je le disais précédemment, essayent tous de la jouer plus ou moins en solo. Entre Vincent qui n'a que son fils en tête, les flics de l'IGS qu'il a sur le dos, son collègue instable Manuel, les truands, les complices, les acheteurs, attendez-vous aux coups les plus bas, aux trahisons, aux magouilles en tous genre, dans un milieu où il ne faut faire confiance à personne et où les ripoux ne sont pas toujours ceux qu'on croit. Les fans de ce genre de mécanique au ciné seront comblés. Et les acteurs sont plutôt au rendez-vous. Tomer Sisley signe pour moi son meilleur rôle (bien meilleur que dans Largo Winch), Joey Starr et Serge Riaboukine sont excellents et Lizzie Brocheré très convaincante en inspectrice zélé qui incarne tout simplement le bien et la justice (ça parait bête à dire mais elle passe presque pour une exception). Quand à Julien Boisselier, il n'est jamais aussi bon que dans ce style de rôle. Après le génial Gardiens de l'ordre, il interprète une nouvelle fois le personnage le plus intéressant de ce film, cynique, cupide et sans pitié, toujours avec ce timbre de voix inquiétant; j'adore ! Le nombre de salles accordé à ce film rien que sur Paris intra-muros est des plus injustes (2). J'espère qu'il restera longtemps à l'affiche où qu'il ressortira plus tard afin de récolter le nombre d'entrées qu'il mérite.
Nuit blanche confirme que le film noir français se porte décidemment à merveille. Remarqué avec Les Frères Sœur et Cravate club, le réalisateur Frédéric Jardin retrouve l’univers du huis-clos mais délaisse la comédie au profit d’une intrigue sombre où se démènent flics ripoux, dealers et un patron de boite mafieux. Nuit blanche est un thriller se déroulant presque uniquement dans la cadre d’une discothèque branchée, pendant une nuit. Co-écrit par l’excellent Nicolas Saada, dont on attend le retour derrière la caméra avec une grande impatience après l’indispensable Espion(s), Nuit blanche emporte le spectateur dans une tornade d’action nerveuse, de rebondissements et d’affrontements sans jamais le lâcher une seconde pendant 1h38. Tomer Sisley, JoeyStarr, Serge Riaboukine s’accordent parfaitement tandis que Julien Boisselier s’impose une fois de plus dans un registre glacial et dingue à l’instar de sa dernière incursion dans le genre, Gardiens de l’ordre de Nicolas Boukhrief. Esthétiquement abouti (la photo est signée Tom Stern, chef opérateur attitré de Clint Eastwood), percutant, passionnant (le réalisateur exploite habilement son décor labyrinthique), Nuit blanche risque de faire de nombreux adeptes rien que par la séquence de bagarre dans la cuisine destinée à devenir un modèle du genre.
On aimerait bien ne dire que du bien de Nuit Blanche, il y a une réel volonté de s'approprier les codes du polar en se reposant sur une idée de script intelligente. Mais entre cette volonté et la réalité, il y a un pas. La mise en scène est terriblement inégale, certaines scènes frôlent l'amateurisme alors que d'autres plus intimiste s'avère plus réussit. Par contre il souffre d'une interprétation parfaitement calamiteuse ou seul Sisley fait illusion alors que le reste du casting est en roue libre jouant tous plus faux les uns que les autres. Avec un autre réalisateur et un autre casting le film aurait sans doute pris une tout autre dimension.
Sans être bluffant le film se laisse suivre jusqu'à la fin, notamment grâce à un rythme bien soutenu et à de petites touches d'humour parsemées de ci de là. Si Nuit Blanche ne brille pas par son originalité ni par la richesse de son scénario, il a au moins le mérite de divertir le spectateur durant un peu plus d'1h30.
Ce pourrait être "une nuit chrono". L’idée d’un seul lieu est intéressante. Seulement en boîte de nuit, à part boire, on danse. Et comme toute danse où il n’est pas utile de faire preuve d’imagination, ça finit par se répéter ; et la danse, presque par définition, tourne en rond. Voilà le reproche du film, il finit par tourner en rond. Il n’y a plus de ressorts. Il aurait mérité d’être écourté d’un bon quart d’heure, car le suspens qui s’étire s'épuise dans la durée. L’énergie déployée par les acteurs camoufle quelques incohérences. Riaboukine et Joey Starr composent des personnages vus cent mille fois ; le film danse (tient donc) entre second degré et premier degré. Ce n’est pas plus mal, les deux caïds illustrent une parenthèse de détente au milieu d’une danse énergique menée par un Tomer Sisley dont le personnage n’est pas très heureux dans ses choix. À noter, que son anglais bien en dessous des notions scolaires est amusant quand on sait qu’il le parle très bien.
Je pensais que ce film me prendrait la tête.Mais bien qu'il y ai quelques effets discutables à la réalisation, au final, je ne me suis pas ennuyée une seconde. Rien ne m'a hérissé les poils. C'est vraiment assez réussi, en fait...Parfois même assez drôle (avec quelques répliques). Bon moment.
Très prévisible dans l'ensemble, néanmoins Nuit Blanche est un film sympathique à regarder par la succession des scènes entrainant un suspense décadent. La fin n'est pas bâclée contrairement à ce genre de scénario flics contre flics ripoux contre mafieux, et j'en passe. En gros, tout le film se passe dans une boîte de nuit c'est ce qui fait sa particularité. C'est un film que je conseille !
Nuit Blanche est un thriller plutôt violent, cependant l'action est toujours présente. Ce film nous emporte dans l'univers de Vincent, un policier qui fera tout pour récupérer son fils enlevé par des truands. Le choix des comédiens est plutôt réussi. Tomer Sisley joue bien son rôle de "personnage principal". On voit par l'expression de son visage qu'il est inquiet pour son fils. Même blessé il n'abandonne pas. Les truands expriment de la cruauté et interprètent bien leurs rôle de "mauvais hommes". Le film a un bon rythme, on profite de chaque scène d'action. Les cascades et les combats s'alternent avec des moments plus calmes et cela maintient du suspens tout au long du film. Le film se passe dans une boîte de nuit, c'est peut-être le seul défaut de ce film car le décor reste le même pendant la majorité du temps. Ce film à l’Américaine est captivant et les quatre-vingt dix minutes de film passent très vite.
Dans ce très bon thriller français, Tomer Sisley campe beaucoup de conviction un flic qui doit retrouver, dans une boite de nuit, son fils qui a été kidnappé par des truands. La réalisation ne manque pas de punch et l’ensemble possède quelques scènes d’actions qui sont loin d’être négligeable. Côté casting, on retrouve quelques seconds-rôles fort intéressant dont celui concernant Joey Starr, qui s’avère tout à son aise dans le rôle d’un trafiquant de drogue. Petit bémol, néanmoins concernant le scénario qui manque de surprise et d’originalité, mais bon cette "Nuit Blanche" se suit vraiment sans réel ennui et rempli aisément son cahier des charges.
Et bien c'est pas brillant... Bon, les thrillers français que j'ai vu pour l'instant étaient plus comiques qu'autre chose (hihi La Boîte Noire). Après je n'ai pas encore vu de Cavayé et consorts donc pour l'instant j'émets une réserve quant à la qualité du genre du thriller en France. Et pitié ne me parlez pas de Taken qui d'une est de la merde et qui de deux est aussi français que le cul d'Hilary Clinton. Bref passons aux choses sérieuses et parlons de Nuit Blanche que j'ai, par ailleurs, d'un total hasard. Le concept de départ, bien que peu original, n'est pas nul. De toute manière il n'y a pas besoin de faire une scénario alambiqué pour que celui-ci soit réussi, tout demeure dans le traitement du sujet. On retrouve ici un Tomer Sisley apathique dans un quasi huis-clos se déroulant en boîte de nuit et où les clichés et caricatures foisonnent autant que les décolletés plongeants sur le dancefloor. C'est bien simple, ceux-ci sont tellement alignés qu'on ne sait plus où donner de la tête. On a le droit au gérant de la boîte qui est corse et mafieux bien entendu, à un homme de main des pays de l'est qui cabotine comme pas 2 et à Joey en Starr en mode auto-parodique, comme quoi il ne jouait pas comme ça que dans les Seigneurs. Bref au niveau des personnages tout y passe, ce film présente d'impressionnantes faiblesses d'écriture. Le personnage principal va tenter de délivrer son fils détenu dans cette discothèque mais l'ennui c'est QU'ON S'EN BRANLE! Les protagonistes sont tellement mal torchés que leurs péripéties sont bien inintéressantes.
Après tout n'est pas forcément à jeter. Techniquement ça ne casse pas trois pattes à un canard c'est sûr, mais ça tient correctement la route. Certaines scènes d'action sont pas mal même, et le jeu du chat et de la souris mené au début de la très longue séquence en boîte de nuit est suffisamment captivant pour qu'on suive l'histoire sans s'ennuyer. Mais c'est d'un redondant... Et voilà que je retrouve mon gosse, et voilà que les méchants me le reprennent, BIM BAM BOUM, KOUKOU LA POLICE, NIQUE LA POLICE (feat Joey Starr) et ainsi de suite jusqu'au générique de fin. Tout est si répétitif qu'à force l'éventuelle tension qui pouvait régner s'effrite de plus en plus pour laisser place à un thriller insipide baignant encore et toujours dans un océan de caricatures où on se tape également un flic véreux haut placé. Ben voyons... Rien de bien reluisant en somme, Nuit Blanche avait un postulat de départ sympathique mais si mal exploité et si faible que le film demeure assez mauvais. C'est pas la bouse ultime mais il y a tellement de raccourcis, tellement de clichés et finalement tellement peu d'idées qu'on a le droit à un film fade qui aurait mérité meilleur sort. Dommage.
Un polar rythmé mais bancal, qui tourne parfois au cirque mais nous entraine sans déplaisir jusqu'au générique de fin. A réserver tout de même aux amateurs du genre qui estiment qu'un film pas crédible peut être bon tout de même.