Derniers Avis : Equalizer - Page 14

Un très bon film d'action avec une histoire prenante et un Denzel Washington charismatique. Par contre un peu déçu de Chloé Grace Moretz qui reste excellente mais qui est malheureusement sous exploité spoiler: avec moins de 20 minutes de présence :-(.
. On peut aussi noter un manque de scènes d'action même si ils sont très jouissives et violentes. A voir.

Equalizer réussit avec un budget léger là où d'autres poids lourds se ramassent lamentablement. Un scénario évolutif et captivant, un jeu d'acteur de bon ton, de la violence et une BO excellente qui font de ce film un incontournable !

Même si le film semble déjà vu, il faut remarquer que la réalisation d'Antoine Fuca est efficace et la prestation de Washington toujours parfaite. Après Man on fire, le livre d'Eli, Denzel reste dans ce même registre de combattant solitaire mais si on aime le genre on n'est jamais déçu.
Un Taken de plus avec la noirceur de Training Day...

Un bon divertissement mais, malgré quelques passages intéressants, le scénario est trop prévisible. Antoine Fuqua est loin de ce qu'il avait montré il y a quelques années avec Training Day.

Alors là, pour un bon film c'est un bon film. Denzel Washington chauve ça décoiffe si vous permettez l'expression. Impossible de parler du film sans dévoiler l'intrigue. Sachez seulement que si nous sommes nombreux à avoir mis 4 étoiles c'est qu'il les vaut. Chutt je n'en dirai pas plus, je vous laisse en compagnie de cet homme qu'on aimerait tous avoir comme meilleur ami.

Ce n'est un secret pour personne, les américains n'aiment pas les russes, tout comme j'aime pas le fromage. C'est un fait acquis, personne n'y peut rien, et personne n'y changera jamais quelque chose. Cette animosité animant les deux civilisations ( l'une ancestrale, l'autre non ) se traduit, bien évidemment, dans "Equalizer", dernier métrage de Fuqua dont on va parler aujourd'hui. Forcément, sinon, vlà que mon intro aurait pas masse de rapport avec le film. "Equalizer", c'est donc l'histoire de Black Man qui va s'opposer aux russes, soit à Vladimir Pouchkine. Vous non plus, vous ne voyez aucun freecking rapport avec la situation actuelle? Méchant du film, notre vieux pote Vladimir, monteur de cheval le matin, et de T-Rex à ses heures perdues, enquiquine l'Amérique, et ça, c'est pas bien. Résultat des choses? Notre bon vieux pote Denzel ( t'as vu, il s'appelle comme un président américain! Ah c'est trop cool, c'est l'élu ) se transforme en Batman du pauvre, sans le costume, parce que bordel, ça coûte cher un costume. Et puis de toute façon, il en pas besoin, il tue tous les mecs qui lui font face. J'aime l'humour noir. Bref. Le tout est qu'il en a dans le coffre, le Denzel : violent, sanguinaire, il cherche la meilleure manière de mettre à mal ses ennemis. Amateur de violence, voilà que l'homme prend un malin plaisir à massacrer ceux qui lui font face, ne laissant de répis qu'à ceux qui sont dans son camp. La définition même d'un bon vieux action movie des 80. Et justement, c'est cela que je cherchais, juste avant de regarder ce film : quelque chose bourré d'action, de bourrin, pas prise de tête, et aussi bon que les films d'action sortis il y a trente piges. Concrètement, je l'ai eue au sanctuple, ma demande. Cela, Fuqua l'a bien compris : il faut donner au public nostalgique ce qu'il désire, car quand on y réfléchit, les meilleurs films d'action, de nos jours, sont ceux faits comme dans le bon vieux temps : "Expendables 2", "The Raid", "Le Dernier Rempart", "Non-Stop". Car "Equalizer", c'est aussi cela : de la générosité par bacs de dix, comme on te la refilerai dans des pacs de bière. Fuqua ne se refuse rien, et ne nous refuse rien; pour preuve, il nous ressort même le plan dégueulasse du Punisher, où un bad guy se retrouvait un couteau planté dans la machoîre, et qu'il se sentait obligé de garder la bouche ouverte, histoire qu'on voit bien son long couteau. Seulement, voilà que l'oeuvre n'est pas parfaite; loin de là, même. La durée, de deux heures, aurait pu lui convenir parfaitement si les zones d'ombre, entraînant elle-même une nuée d'incohérences, suivies par d'autres incohérences, ne venaient pas l'entâcher complètement. On sent que le mec a manque dé temps, de place pour cadrer son histoire, pour la rendre la plus cohérente et logique possible. De nombreuses fois, l'on se surprendra à se dire : "merde, comment il est arrivé là, lui?". Et c'est dommage, parce que cela parasite complètement l'expérience, au point que je lui ai retiré deux points. A noter, cependant, une interprétation très intéressante, et un méchant qui, pour une fois, est intelligent. Si ça, c'est pas grandiose! Et puis mince, y'a deux freecking explosions au ralenti, alors bon ... Un très bon film du genre, c'est moi qui vous le dis !

Un film d'une justesse, d'une simplicité et d'une intensité remarquable porté par l'excellent acteur qu'est Denzel Washington. The Equalizer se démarque par son ambiance très prenante mais à la fois silencieuse, sombre et porteur d'un violence à l'esthétique très soignée, le tout suivi d'excellentes musiques. Les séquences d'actions sont réussies et les combats aux corps à corps sont maîtrisés. La mise en scène, les dialogues et la réalisation sont d'une efficacité redoutable, tout est maîtrisé à la perfection. On ne s'ennuie pas, le film est accrocheur et rythmé. The Equalizer est un bon thriller à l'histoire percutante !

Le film est vraiment décevant car il traine tellement en longueur. On se fait chier du début à la fin même si Denzel Washington est bon, ça ne sauve rien. Les méchants sont russes, ils sont proxénètes, tout musclés et tatoués, puis Denzel son personnage on ne sait rien de lui. Après les 2 gros combats sont pas mal du tout, quoi que un peu abusés..

Jai trop aimé ce film mais il faut l'avouer ce n'est 1 pas le meilleur film de Denzel Washington, 2 ça reste un film à l'américaine avec de gros effets et des scènes lourde en crédibilité. Mais rien que le faite que le héros principal soit Denzel change toute la donne.

On a l’impression d’avoir vu ce genre de film cent fois et pourtant je dois reconnaître que cet « Equalizer » est à ranger au rayon des bons divertissements. A cela s’ajoute l’interprétation de Denzel Washington, bien dirigé par le metteur en scène. Robert McCall se comporte comme un serpent venimeux. Les plans serrés pour illustrer ses réflexions, analyse de sa proie et de son environnement, sa façon de se mouvoir sans précipitation me font vraiment penser à un serpent qui s’apprête à frapper. Et quand McCall frappe, son venin est très efficace. Les combats sont propres, pas de scrupules, pas de caméras hystériques. McCall est tout simplement un super héros. Il ne présente aucune faille. Si la fin était prévisible, elle m’a cependant un peu surpris : je m’attendais à l’inévitable affrontement final avec le méchant de service, aussi intelligent, aussi redoutable que lui. spoiler: Et ben non, McCall le neutralise assez rapidement
. Il connaît la difficulté dans une lutte précédente avec un des sbires du méchant. Une petite particularité du scénario, ça change. Denzel Washington est tout à fait crédible et dans ses combats et dans sa façon d’agir. A voir en VO évidemment.

Certains spectateurs ont évidement été déçu de ces retrouvailles un rien "calibrées" entre Antoine Fuqua et son acteur oscarisé pour "Training day" l'inimitable Denzel Washington. Alors certes on peut regretter le côté ultra-balisé qui se dégage de l'intrigue, qui recycle les ambiances de "Death wish" ou "Man on fire", en passant par le surestimé "Taken". Seulement Fuqua est un réalisateur qui a un peu plus de tenue que Pierre Morel, et visuellement son Equalizer se place sans trop de problème au dessus du panier. C'est ultra-violent et ultra-réac, mais qu'importe, c'est là que se trouve le charme du film: Denzel y campe un héros taciturne révolté par l'injustice en lui apportant tout son charisme, les scénaristes ont pris grand soin d'installer le personnage dans un boulot de chef de rayon pour magasin de bricolage, ce qui lui garantie un accès presque illimité à des outils pouvant tuer de façon spectaculaire et bien sanguinolente. Bref, Equalizer n'a rien d'un grand film, mais n'en reste pas moins un excellent plaisir coupable du samedi soir, avec toute une série de règlements de comptes plutôt réussis. Et Marton Csokas y compose un délicieux méchant très méchant.

Excellent film mêlant scènes d'action de haut niveau et hauteur de vue d'un personnage dont le rôle est parfaitement exécuté

Étalé sur plus de deux heures, Equalizer affiche un premier degré maladroit avec un scénario beaucoup trop ordinaire

Le cocktail des scènes d'actions efficaces n'épuisera en aucun cas les neurones du public, qui aura bien du mal à reconnaître un véritable intérêt au film ...

Un énième film surfant sur la vague Taken, largement dispensable, surtout dû à son manque de créativité et de mise en abimes ...

spoiler: Ce que je reproche à ce film, c'est la perfection de Denzel Washington, il commet aucune erreur, tout est toujours bon, sa position, son timing, sa réponse à la menace.

Il oublie une chose dans la vie nous sommes sous le principe d'incertitude Heinseberg
pour ceux qui ne connaisse pas sa théorie;
on ne peut jamais connaitre la position d'un électron à un moment donné.
On peut mesurer le moment, mais jamais la position en même temps
on peut connaitre la position ou il est passé mais jamais le moment où il est passé.
La vie c'est pareil.
Déçu par la la perfection l'exactitude de ce film.

Allons-y pour les dragées, Fuqua ! Oui, je sais: c'était assez facile comme "prime joke"...
Qu'écrire sur ce film, à part qu'il s'agit là d'une oeuvre anti-Russe primaire où est mis en avant le fait que ce peuple de l'Est n'est composé exclusivement que de proxénètes tatoués, dealers de drogues, sadiques et très méchants ? Denzel Washington est bon (c'est dû à la mise en scène assez réussie avec un très bon emploi des effets spéciaux, avouons-le), néanmoins l'histoire est simpliste et crétine et là, mes - maigres - amis (si la présente critique est publiée sur ce site de vendus), je vais être obligé de vous résumer la trame de l'oeuvre qui tiendra en 3 lignes. spoiler: Un ancien agent secret rompu aux arts martiaux reconverti en employé de Bricorama (déjà là, on voit que le gouvernement Américain est assez ingrat concernant ses employés d'élite quant à leur retraite) qui semble très posé (il suit les ordres sonores de sa montre à la lettre ! Puisqu'on vous le dit, et vous verrez !), possède ses habitudes (il lit beaucoup puis se rend au café du coin) rencontre une jeune prostituée émigrée Russe qui travaille pour un réseau de mafieux également Russes. Voulant l'acheter au mafieux, qui refuse, il bute tout le monde (à mains nues, si, si...Enfin presque). Ensuite il se met à dos le gros parrain resté en Russie, qui, pour l'occasion envoie son meilleur employé afin de trouver qui a fait le coup. Je vous laisse deviner la suite: c'est pas dur.
Merci aux effets spéciaux pour rendre crédible l'acteur principal qui se fait vieillissant, sinon, filmé en mode "nanard", à mon humble avis, ça aurait eu du mal à passer, mais bon. J'ai apposé la note fantabuleuse de 2,5. Non pas pour le fond, mais pour la forme. Disons-le clairement: le scénario est vu et revu. Néanmoins, c'est visuellement bien traité et le suspens (si on peut le nommer de la sorte), ainsi que la cohérence sont (à peu près) maintenus. C'est un bon divertissement qui n'a cependant absolument rien à voir avec la série éponyme des années 90 qui passait sur M6, à l'époque. Vous passerez outre le message même pas subliminal du tout concernant la propagande anti-Russe permanente au sein du film; à croire que les ricains la veulent absolument, la troisième guerre mondiale...
Comme prévu, ma critique n'est pas publiée; normal, nous sommes ici sur "allo ciné"... Allo ? Mais allo quoi ?