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NeoLain
4 942 abonnés
4 741 critiques
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2,0
Publiée le 17 août 2011
Souvenez-vous, le jeune acteur Barret Oliver célèbre pour avoir jouer Bastien du film L'histoire sans fin, et bien avec D.A.RY.L ce sont les deux films de sa filmographie qui restera le plus dans les mémoires des nostalgiques. Bon de mon coté je garde mon coup de coeur de mon enfance pour L'histoire sans fin. D.A.R.Y.L met du temps a démarrer, le début est très simple même trop, faut attendre facile quarante minutes pour que l'histoire prenne véritablement son envol. La dernière partie est meilleur que le début c'est toujours ça. Sinon je reproche absolument pas encore une fois le jeu de Barret qui avait tout pour être un excellent acteur pour sa carrière futur, mais il à décider de prendre un autre chemin professionnel et de s'impliquer dans le domaine de la photographie.
Un petit film de SF qui a beaucoup vieilit . Ce jeune garçon aux super pouvoirs et qui travaillerait pour le gouvernement. L'intrigue est assez bien construite , même si l y a quelques invraisemblances. Assez léger.
Une œuvre de science-fiction (si l'on ose dire) familiale, sans doute un peu mal vendue (l'affiche est un modèle dans son genre...), le côté SF étant clairement sous-développé, peut-être par manque de moyens mais aussi par le biais d'une histoire qui s'intéressera bien plus aux relations entre les personnages, laissant assez vite tomber le côté inquiétant que l'affaire aurait pu prendre. Le propos sur la famille et l'amitié est nettement au premier plan et prend le pas sur le suspense, et il faut bien admettre que le film fait son office, avec des interprètes très concernés, sans pour autant accentuer sur le pathos. Divertissant et agréable.
On a là un bon film, qui traite d'un enfant pas comme les autres, et dont la philosophie, toute simple mais o combien pertinente, est de dire que les enfants quel qu'ils soient, à condition d'être aimés et de se sentir en sécurité, seront heureux et donneront le meilleur d'eux-mêmes. On a donc là un bon film familial, humaniste. Le côté "science fiction" est bien présent, surtout dans le retournement de situation qui intervient à un peu plus de la moitié du film, et qui remet en perspective tout ce qu'on avait vu avant; mais pour finalement se dire que cela ne change rien (et c'est ce qui est génial). Après, le défaut du film est que vers la fin il y a quelques incohérences et exagérations, mais de toute façon ayant été conquis par la philosophie générale du film (et par le retournement de situation!), on peut excuser cela....Donc au total un très bon film. Attention aux spoilers, très nombreux dans les critiques.
Voilà un film qui me rappel de vagues souvenirs … durant ma jeunesse je l’avais probablement enregistré sur une VHS ! J’en gardais un avis assez moyen et pensais qu’il avais probablement dû très mal vieillir. En toute honnêteté c’est plutôt une bonne surprise que de le revoir aujourd’hui. L’histoire est sympathique et assez originale, pas de temps mort, le film à la bonne durée. Voilà une histoire gentillette qui peu plaire aux petits et aux grands même si effectivement il accuse un peu le poids des années, qu’il n’est pas toujours d’une grande subtilité et que la fin est un peu bâclé.
D.A.R.Y.L. (1985) qui signifie Data Analyzing Robot Youth Lifeform (en V.O) et Développement d'Adolescent Robotique à l'Yrithium Laserisé (en V.F) est un film de science-fiction qui n’a pas supporté le poids des années, comme a pu l’être le film Mac et moi (1988) de Stewart Raffill, tous deux surfaient sur la vague des films SF, entre Séries B et véritables réussites, au milieu des années 80, on avait eu droit à tout un tas de films qui sont tous restés dans la mémoire de chacun de nous mais qui dans certains cas, ont pris un sacré un coup de vieux au fil des ans. L’histoire attendrissante plaira à toute la famille, le dénouement de l’intrigue n’a pas cherché à nous surprendre, cela reste un bon film mais sans plus. A noter que l’interprète principal n’est autre que le jeune héros de L'Histoire sans fin (1984), un rôle qu’il campe une fois de plus admirablement.
C'est empli de nostalgie que j'ai revu ce film qui a marqué mon enfance récemment. Le film a pas mal vieilli mais reste amusant et le propos n'est pas si naïf si l'on oublie un peu le côté très kitsch des années 80.
A l'époque j'avais beaucoup aimé le film avec cet "enfant" surgi de nulle part et qui trouve "refuge" dans le cocon chaleureux d'une famille qui ne se pose pas trop de question alors que le petit Daryl est pourchassé par une équipe de chercheurs sans scrupules et sans cœur. Petite comédie d'aventure gentillette qui vieilli assez mal mais doit toujours plaire aux enfants et ados.
Egalement un des film qui à bercer mon enfance,jamais je ne me lasserais de revoir ce superbe film,qui malgré le temps parvient encore à nous(m')accrocher pendant toute sa durée virant entre humour,colére,et surtout beaucoup d'émotions..j'adore..
Les années 80, les films d'exploitation, les films avec des gosses, la science-fiction... Toute une époque ! Et parmi la flopée de films du genre sortis dans ces glorieuses années sortait cette fable fantastique réalisée par Simon Wincer (Harlequin) qui mettait en scène le jeune Barret Oliver (inoubliable Bastian dans L'Histoire Sans Fin) dans la peau d'un enfant pas comme les autres renfermant un lourd secret. Une histoire aujourd'hui classique mais qui délivrait en son temps un message d'avertissement quant à la technologie toujours aussi grandissante... Car lorsqu'il est adopté par la gentille famille Richardson, Daryl est amnésique, ce qui ne l'empêchera pas de se montrer brillant en tout : batteur prodigieux au baseball, génie en informatique, premier de classe et as aux jeux vidéos, le gamin est l'enfant idéal. Il va devenir le meilleur ami du jeune Turtle, faire la fierté de son père adoptif Andy (Michael McKean) mais aussi créer la crainte et le doute pour sa mère adoptive Joyce (Mary Beth Hurt). Et tout va basculer lorsque les vrais parents de Daryl viennent récupérer leur "enfant" qui s'avère être en réalité un androïde créé de toute pièce. Sauf qu'entretemps, Daryl a créé quelque chose d'inattendu : des émotions. Les machines, leur intelligence artificielle, les dangers que cela représente, l'armée, les imprévus... Des sujets classiques, surtout dans les années 80 mais toujours autant efficaces, présenté ici sous la forme d'un film familial tendre et réussi porté par un casting aux petits oignons, une mise en scène soignée et quelques séquences mémorables comme la partie de "Pole Position" sur Atari ou le final à bord d'un avion de chasse. En somme, bien qu'étant en soi un film assez "léger" du à son traitement sobre et à sa prise de risque minime quant à son sujet science-fictionnel, D.A.R.Y.L. n'en demeure pas moins l'un des meilleurs films du genre de sa génération que l'on regarde encore aujourd'hui avec le même engouement qu'à l'époque.
Bon petit souvenir tout public, de mon enfance dans les 80s. Un espèce de mélange d'Oliver Twist, de Frankenstein et de Pinocchio, à la sauce (rétro-)futuriste et candide, qui emprunte beaucoup avec malice, aux grands succès populaire de l'époque( E.T., War Game, Firefox, Terminator, ect...). Un film touchant, très attendrissant et larmoyant. Du moins, du haut de mes 10 ans de l'époque. Pas revu depuis très longtemps. Vraiment très sympa, et sans prétention. Même si je pense sincèrement, que ça a dû prendre un sacré coup de vieux. Mais si vous avez gardé une âme d'enfant, que vous aimez le kitch et la légèreté de cette période, et que vous êtes fan de l'Atari 800XL et du SR-71, cette petite série B familiale de grand studio, presque oublié de nos jours, teinté de course-poursuite, de SF complotiste et anti militariste, ainsi que de naïves aventures d'enfant à la Amblin, est peut-être faite pour vous. Un des derniers grands rôles de Barret Oliver, avant qu'il ne mette fin à sa carrière. Vraiment un pur produit inoffensif, de chamallow-pocorn des années 80. Un authentique classique happy end de cette époque.