Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
Mieux que le banal titre français, l'original -On the Edge, "sur le bord"- exprime la justesse avec laquelle ce film traite ce sujet poignant, porté par la grâce toute singulière des trois jeunes acteurs principaux.
Cahiers du Cinéma
par Erwan Higuinen
Malgré quelques retours à l'ordre édifiant, le film touche ainsi : en accordant la primeur à ses fragiles images-instants adolescentes.
Cine Libre
par Marielle Gaudry
(...) John Carney, jeune réalisateur de 27 ans, réussit son pari en mettant autant de pudeur et paradoxalement de chaleur dans son traitement de la folie, et en réunissant ces jeunes acteurs méconnus mais talentueux pour mieux la transmettre.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
(Ce) film est sensible, réaliste et profondément humain. Côté distribution, Stephen Rea est toujours aussi juste, et Cillian Murphy, la révélation du film, est très émouvant et parfaitement crédible dans son rôle d'adolescent en quête d'équilibre.
Libération
par Didier Péron
Parce que ces acteurs ado sont tous objectivement formidables et mignons (Cillian Murphy, Tricia Vessey, Jonathan Jackson...) et que le scénario est cousu de pas mal de séquences bien troussées, le film se voit sans déplaisir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Présentant des personnalités complexes, il pose, sur les traitements psychiatriques ou le mal-être d'une certaine jeunesse, plus de questions qu'il n'en résout, et s'achève sur un sentiment doux-amer qui sonne juste. A découvrir.
TéléCinéObs
par Bernard Achour
"La Vie à la folie" se distingue par une sobriété, et un humour de façade qui décuplent l'impact.
Télérama
par Cécile Mury
La banalité fadasse du titre français et les résonances édifiantes du sujet pouvaient faire craindre le pire, dans le genre sucré et larmoyant. Mais il n'en est rien. (...) ce portrait de groupe un peu cinoque entre quatre murs tristes recèle ce qu'il faut de rage et de silences, d'humour et de vraie souffrance pour retenir l'attention.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) John Carney, réalisateur irlandais, se retrouve avec sur les bras de jeunes acteurs tout à fait désorientés, malgré la présence dans leur hôpital psychiatrique d'un médecin plein de bonté incarné par Stephen Rea.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Alex Masson
La qualité principale de Carney reste malgré tout l'écriture de dialogues incisifs, qui sauvent souvent son film de la nunucherie hollywoodienne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Mathieu Carratier
Ce petit film irlandais est un exemple éloquent du tort qu'une mauvaise réalisation peut causer à son sujet. A force d'arrêts sur images inopportuns, de fondus enchaînés lourds de sens, Carney gâche le charme étrange degagé par ses jeunes acteurs. Si bien que leur déglingue photogénique sur fond de pop dépressive irrite assez vite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Véronique Le Bris
Certes, les personnages, névrosés et jusqu'au-boutistes, sont attachants et plutôt bien interprétés, mais leurs affres restent ici trop extérieures à nous pour emporter l'adhésion.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Mieux que le banal titre français, l'original -On the Edge, "sur le bord"- exprime la justesse avec laquelle ce film traite ce sujet poignant, porté par la grâce toute singulière des trois jeunes acteurs principaux.
Cahiers du Cinéma
Malgré quelques retours à l'ordre édifiant, le film touche ainsi : en accordant la primeur à ses fragiles images-instants adolescentes.
Cine Libre
(...) John Carney, jeune réalisateur de 27 ans, réussit son pari en mettant autant de pudeur et paradoxalement de chaleur dans son traitement de la folie, et en réunissant ces jeunes acteurs méconnus mais talentueux pour mieux la transmettre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
(Ce) film est sensible, réaliste et profondément humain. Côté distribution, Stephen Rea est toujours aussi juste, et Cillian Murphy, la révélation du film, est très émouvant et parfaitement crédible dans son rôle d'adolescent en quête d'équilibre.
Libération
Parce que ces acteurs ado sont tous objectivement formidables et mignons (Cillian Murphy, Tricia Vessey, Jonathan Jackson...) et que le scénario est cousu de pas mal de séquences bien troussées, le film se voit sans déplaisir.
MCinéma.com
Présentant des personnalités complexes, il pose, sur les traitements psychiatriques ou le mal-être d'une certaine jeunesse, plus de questions qu'il n'en résout, et s'achève sur un sentiment doux-amer qui sonne juste. A découvrir.
TéléCinéObs
"La Vie à la folie" se distingue par une sobriété, et un humour de façade qui décuplent l'impact.
Télérama
La banalité fadasse du titre français et les résonances édifiantes du sujet pouvaient faire craindre le pire, dans le genre sucré et larmoyant. Mais il n'en est rien. (...) ce portrait de groupe un peu cinoque entre quatre murs tristes recèle ce qu'il faut de rage et de silences, d'humour et de vraie souffrance pour retenir l'attention.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
(...) John Carney, réalisateur irlandais, se retrouve avec sur les bras de jeunes acteurs tout à fait désorientés, malgré la présence dans leur hôpital psychiatrique d'un médecin plein de bonté incarné par Stephen Rea.
Les Inrockuptibles
La qualité principale de Carney reste malgré tout l'écriture de dialogues incisifs, qui sauvent souvent son film de la nunucherie hollywoodienne.
Première
Ce petit film irlandais est un exemple éloquent du tort qu'une mauvaise réalisation peut causer à son sujet. A force d'arrêts sur images inopportuns, de fondus enchaînés lourds de sens, Carney gâche le charme étrange degagé par ses jeunes acteurs. Si bien que leur déglingue photogénique sur fond de pop dépressive irrite assez vite.
Zurban
Certes, les personnages, névrosés et jusqu'au-boutistes, sont attachants et plutôt bien interprétés, mais leurs affres restent ici trop extérieures à nous pour emporter l'adhésion.