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    Le Troisième homme
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    4,1
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    Emmanuelle Verhoeven
    Emmanuelle Verhoeven

    2 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2023
    FIlm où vous pourrez apprécier Orson Welles et son regard diabolique et tellement séduisant ! film très beau mais qui a vieilli.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 juin 2012
    Un homme meurt, un ami enquête sur cette mort suspecte, un climat de suspicion dans cette Vienne d'après-guerre belle mais ravagé, des ombres inquiétantes...
    Le mort cache bien des secrets dans ce film noir, un classique, beaux décors, histoire intéressante, excellents acteurs, belle musique ( la cithare d'Anton Karas ) mais totalement inadapté.
    Pourtant j'ai du mal à le considérai comme un chef-oeuvre !
    Une fin un peu décevante fait du troisième homme un bon film mais pas une oeuvre majeure.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mai 2011
    Le Troisième Homme a accédé au rang des chefs d'oeuvre du cinéma mondial les plus souvent cités en marquant les esprits par quelques plans -uniques-, une mélodie -unique-, une tirade -unique-, et une ambiance -unique.

    Vienne n'est pas Prague, très loin de là. Jusqu'en 1950, nul n'y aurait vu une capitale prédisposée pour l'expressionnisme. Mais l'avant-guerre, la guerre et l'après-guerre ont transformé le classicisme de son faste en théâtre d'ombres, ses lendemains de valse en aubes glauques et son sous-sol en lacis d'égouts, hanté et traqué.

    Une tout autre musique se fait entendre que naguère, celle d'une cithère balkanique, insistante, moqueuse et distante à la fois. La ville est quadrillée par les quatre forces d'occupation alliées, qui cohabitent plus qu'elles ne coopèrent, et n'hésitent pas à s'inviter dans les foyers, ausculter les identités, convoquer. La population vit tout cela, la fois rageuse, craintive et désappointée.

    Cotten, prénommé Holly comme le début d'un chewing-gum ou d'une capitale du cinéma, n'en pas un saint mais plutôt un auteur de 'comics' dont l'inculture consterne l'auditoire venu l'entendre débattre. Lui-même n'est venu ici qu'à l'appel d'un ami d'enfance, Harry Lime, dont il découvre, en enquêtant sur sa mort suspecte, qu'il est impliqué dans un immonde abus de faiblesse, un trafic de pénicilline.

    Ce Roméo qui n'a rien d'un alpha croise durant son enquête l'ex-amie de son ami, Anna, une Juliette ligotée dans la dépendance à des faux papiers, qui l'accueille avec décence mais réserve, l'accompagne mais le toise, et ne compte plus sur rien en définitive que sur elle-même. Ses réserves de flamme et de fraîcheur paraissent avoir été préemptées par Harry, à qui elle doit ses papiers et sa vie sauve, mais aussi un coeur resté un peu prisonnier.

    La police pourchassait pour ses forfaits Harry, qui pour survivre a fait mourir à sa place un autre. Holly de son côté s'embourbe dans son enquête, jusqu'au point de se voir suspecté d'avoir assassiné un témoin gênant. Ce n'est qu'à se moment-là que la police assure son emprise sur Holly, et lui dévoilant le résultat des trafics de Harry.

    Mais Holly n'aurait su de tout cela que des échos si Harry ne lui avait dévoilé sa présence dans le rai de lumière d'une porte cochère, et plus tard son essence, du haut de la grande roue du Prater où ensemble ils devisent de la valeur d'une vie humaine, presque à hauteur de bombardier.

    Aussi Holly finit-il par se décider à trahir Harry et le livrer à la police anglo-autrichienne. Harry devient-il alors la proie de son destin ? il fuit dans les égouts de Vienne s'y voit bientôt cerné, au point d'abattre un policier, avant d'être lui-même abattu, à moins qu'il ne s'agisse d'une nouvelle feinte in extremis, puisque le seul témoin visible de sa fin est... son ami Holly.

    Une poignée de terre plus tard, jetée une nouvelle fois sur le cercueil de son ex-protecteur, Anna conclut l'épilogue en s'éloignant seule dans l'aube blafarde, sans accorder un regard à Holly.

    Le Troisième Homme appartient à cette rare catégorie de films qui montrent ce qui se cache, et cachent un peu ce qu'ils montrent, juste assez pour marquer leur époque et ce monde.
    Louis G.
    Louis G.

    1 abonné 108 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2015
    Superbement écrit, réalisé et interprété (pas seulement Welles mais aussi Joseph Cotten), un chef-d'oeuvre avec une musique impeccable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 septembre 2010
    De très bon acteurs, un très bon scénario, excellente mise en scène, mais deux bémols (qui sont pour moi importants) : 1- Des longueurs 2- J'ai l'impression que pour un film sensé être noir, la musique n'était pas du tout appropriée. Cela me frappe d'autant plus que je suis de ceux qui croient que la musique est un des éléments clés d'un film, qui déterminent si un film va plaire ou non. Là j'ai l'impression qu'une musique à l'air exotique ne donne pas une ambiance stressante, pesante que ce film aurait pu me faire ressentir. A moins que j'aie loupé quelque chose, elle aurait plus convenu aux "Bronzés".
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 avril 2011
    Un polar empreint de philosophie avec un bon scénario, une photo splendide, très bien interprété. Une musique superbe de Karas. Chef d' oeuvre à voir et à revoir.
    Lino Massaro
    Lino Massaro

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2021
    Assurément un des plus grands chefs-d'œuvre du 7ème Art ! Des noirs et blancs sublimes ! époustouflants ! une partition musicale envoutante à la cithare signée Anton Karas. Un bon scénario et un Orson Welles mystérieux ! On se laisse entrainer dans la Vienne d'après guerre et ses sombres secrets…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 mars 2010
    Que dire de ce film légendaire, sinon qu'il est l'un des meilleurs films noirs qui soit et un exemple à suivre ! Les cadrages obliques sont fascinants, les acteurs sublimes, la musique de la cithare inoubliable, l'intrigue envoûtante, et Orson Welles omniprésent. Même s'il n'en est pas le réalisateur attitré, on ne peut nier que l'ombre cinématographique wellesienne colle irrésistiblement au film tant par son aspect esthétique que narratif. Les jeux d'ombres et de lumières sont envoûtants, la scène finale labyrinthique dans les égouts de Vienne mémorable, et la claustrophobie vertigineuse de la grande roue à tomber. On a le souffle coupé. La ville viennoise est inquiétante et resplendissante à la fois ; elle est un théâtre d'ombre qui dérobe la vedette aux acteurs parce qu'elle subjugue, fascine dans le chaos de ses décombres d'après guerre. C'est elle l'actrice principale du film à l'instar du film Manhattan de Woody Allen. Le troisième homme est un film qui n'a pas volé sa réputation et ses récompenses (oscar de la meilleure photo et palme d'or en 1949). A ne pas manquer, ou à revoir pour les convaincus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 janvier 2008
    Ce film est absolument splendide. Les scénes tournées de nuit dans cette Vienne dévastée sont magnifiques; Cotten et Welles sont tous deux magistraux; l'intrigue est rondement menée; la photo est superbe. Bref, un superbe film, surement un des meilleurs de son époque.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    La musique d’Anton Karas et les images nocturnes dans la Vienne de l’Après Guerre ont fait du Troisième Homme un symbole viennois au même titre que la roue du Prater !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 10 août 2011
    Il fallait être patient comme un moine tibétain pour supporter la fameuse Cithare Balkanique. Je dois dire que le choix de cette partition a diminué considérablement de la qualité de ce thriller!! Par moments, je me suis dit que tout cela est une parodie ou peut être une tentative de déconstruire le genre du film noir; why not ?"
    Bref, que peut-on dire finalement sur ce "Third man"? Nous avons une excellente prestation de Joseph Cotten, de sublimes décors post-apocalyptiques d'une Vienne fantomatique, quelques prises de vue à couper le souffle (comme celle de la grande Roue / prise en plongée )
    Le reste?? J'ai trouvé assez ennuyeux; peu de rebondissements, Théâtral et relativement bavard!! et ma foi, le tout manque de vie et de tension!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 novembre 2007
    que dire de plus sur le troisième homme?palme d'or à cannes en 1949, la bande originale d'anton karas qui envoute le film de reed, la scène finale, la rencontre entre harry lime et holly martins dans la grande roue de vienne, fait du troisième homme un pur chef d'oeuvre du cinema!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ce film est un petit bijou. C'est simple, tout est génial : la mise en scène, l'interprétation, l'atmosphère, l'histoire, la musique, les dialogues, et j'en passe ! Pour les fans, je conseille le livre de Graham Greene.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mai 2010
    Un des plus grands films noirs. Welles est effectivement génial pendant 10 minutes mais n'oublions pas J.Cotten également excellent ainsi que Alida Valli. Porté par un N/B somptueux et une atmosphère nocturne remarquable dans la Vienne d'après guerre, le film est également riche en scènes cultes (la grande roue, la scène finale dans les égouts et évidemment l'apparition de welles...).
    Un classique indispensable !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 avril 2018
    "Le troisième homme", de Carol Reed, détenteur du Grand prix du festival de Cannes de 1949 et de l'oscar de la meilleure photographie de 1951, se révèle comme étant l'une des œuvres majeurs du cinéma de l’après-guerre.
    En 1949, Vienne est partagée entre la France, la Russie, l’Angleterre et les états-Unis, à l'aube de la guerre froide. C'est dans ce contexte historique compliqué que se déroule l'intrigue du Troisième homme.
    Holly Martins, un auteur policier américain à succès, se retrouve plongé dans l'affaire du meurtre de son ami, Harry Lime. Cependant, la police s’inquiète plus des activités douteuses de Mr. Lime que des circonstances étranges de sa mort.
    Je donne à ce film une note de 4/5, car malgré un scénario très bien ficelé, une très bonne direction artistique et des personnages bien exploités, ce film souffre de quelques défauts mineurs par rapport à ses nombreuses qualités. Si le Troisième homme mérite amplement ses prix, son titre manque de pertinence et la fin nous laisse nous demander si le destin de Harry Lime est bien celui que l'on pense. Carol Reed a très bien utilisée le noir et blanc pour accentuer le ton quelque peu sinistre, malgré une musique unique, répétitive et hors contexte.
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