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7 critiques presse
France Soir
par A.L.
C'est purement et simplement du cinéma, fruit de la collaboration de deux authentiques artistes de cinéma qu'on a laissés libres d'agir, un grand technicien, Carol Reed, un grand conteur, Graham Greene. France-Soir, 22 octobre 49
Libération
par La rédaction
On a rarement vu film plus diaboliquement mené, plus machiavéliquement construit et monté pour exercer sur le public le plus averti une espèce de fascination. Libération, 26 octobre 49
Zurban
par Addison De Witt
Le Troisième Homme se laisse voir et revoir avec le même plaisir. Le noir et blanc contrasté et les cadrages "malades" contribuent à la puissance de cette oeuvre inégalée. Avec deux atouts dans la manche : Orson Welles (...), et l'immortelle cithare d'Anton Karas sur la bande-son.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mairy
Eloge du Troisième homme en trois points. Un : la réplique. De celles qui marquent l'histoire du cinéma. Deux : la musique. De celles qui marquent aussi l'histoire du cinéma (et qui justifient la répétition). Trois : la ville. La Vienne de l'après-guerre, belle et laide à la fois, lumineuse et remplie d'ombres, une cité en noir et blanc magnifiquement photographiée dans un film aux plans d'anthologie (...).
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Le documentaire, malgré quelques maniérismes, passionnera les cinéphiles par les anecdotes de tournage aussi bien que par les témoignages et les informations qu'il apporte (...). Le Troisième Homme a réuni des talents exceptionnels. Il faut se replonger dans son atmosphère magique de romanesque noir, de soupçons, de pièges, de trahisons, au milieu d'une capitale détruite. Se laisser de nouveau hanter par les ombres et les menaces, et par la cithare obsédante d'Anton Karas.
Le Monde
par Henry Magnan
"Le troisième homme" est extraordinairement, "monstrueusement" habile. Le Monde, 21 octobre 69
France Soir
C'est purement et simplement du cinéma, fruit de la collaboration de deux authentiques artistes de cinéma qu'on a laissés libres d'agir, un grand technicien, Carol Reed, un grand conteur, Graham Greene. France-Soir, 22 octobre 49
Libération
On a rarement vu film plus diaboliquement mené, plus machiavéliquement construit et monté pour exercer sur le public le plus averti une espèce de fascination. Libération, 26 octobre 49
Zurban
Le Troisième Homme se laisse voir et revoir avec le même plaisir. Le noir et blanc contrasté et les cadrages "malades" contribuent à la puissance de cette oeuvre inégalée. Avec deux atouts dans la manche : Orson Welles (...), et l'immortelle cithare d'Anton Karas sur la bande-son.
aVoir-aLire.com
Eloge du Troisième homme en trois points. Un : la réplique. De celles qui marquent l'histoire du cinéma. Deux : la musique. De celles qui marquent aussi l'histoire du cinéma (et qui justifient la répétition). Trois : la ville. La Vienne de l'après-guerre, belle et laide à la fois, lumineuse et remplie d'ombres, une cité en noir et blanc magnifiquement photographiée dans un film aux plans d'anthologie (...).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Le documentaire, malgré quelques maniérismes, passionnera les cinéphiles par les anecdotes de tournage aussi bien que par les témoignages et les informations qu'il apporte (...). Le Troisième Homme a réuni des talents exceptionnels. Il faut se replonger dans son atmosphère magique de romanesque noir, de soupçons, de pièges, de trahisons, au milieu d'une capitale détruite. Se laisser de nouveau hanter par les ombres et les menaces, et par la cithare obsédante d'Anton Karas.
Le Monde
"Le troisième homme" est extraordinairement, "monstrueusement" habile. Le Monde, 21 octobre 69