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Si "La Dernière Piste" glisse comme une évidence dans l'oeuvre de Kelly Reichardt, qui trouve dans le western une forme d'horizon à son goût pour les grands espaces (à l'image de ses deux premiers films, "Old Joy" et "Wendy et Lucy"), sa beauté demeure suspendue à un fragile équilibre d'étrangeté et de classicisme.
D'une intelligence rare, le film saisit par sa pureté esthétique (les modèles hollywoodiens semblent revenir d'entre les morts) et son acuité – parfois déstabilisante – à poser de véritables questions morales.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ce western, digne, à certains égards, de ceux de Monte Hellman, est un des chapitres les plus originaux et saisissants de cet interminable épilogue du genre. La raison en est simple : "La Dernière Piste" est tout sauf un film terminal. C'est un peu la scène originelle de la conquête de l'Ouest.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La cinéaste (...) s'attache aux détails, objets, gestes, regards, qui sans le cinéma se perdraient dans l'immensité des paysages, et avec eux jusqu'au souvenir de ces êtres sortis de nulle part (...) considérés au prisme d'un regard qui entend embrasser et l'espace et le temps.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Magnifique western contemplatif et bressonnien, "La Dernière Piste" pose la question de l'absurde et de la foi, se recentre sur une femme forte (Michelle Williams), opte pour un format carré qui rappelle la peinture, distille une certaine ironie (...) et incite à une lecture contemporaine : des Etats-Unis vus comme un pays perdu.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'image est proprement magnifique, captant chaque rocher, semblant s'accrocher à chaque grain de poussière et chaque squelette de végétation. L'enfer traversé s'en trouve magnifié...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Filmant depuis le point de vue des femmes, reléguées à l'arrière du convoi, Reichardt offre moins un contrechamp critique que la possibilité d'un regard inédit, quasi-documentaire parce que borné par l'exigence simple de l'observation, sur la marche concrète de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
On n'est jamais loin de l'éblouissement mélancolique et crépusculaire des néo-westerns élégiaques avec le décor-purgatoire, les personnages fantomatiques et le non-événement comme moteur dramatique. Kelly Reichardt réussit une merveille de concision, toute entière tenue par la croyance dans ce qu'elle raconte.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
(...) "La Dernière Piste" s'offre comme une méditation très réussie sur l'espoir et la confiance, à l'heure des choix cruciaux, par des hommes et des femmes ordinaires, au sens fort.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le film produit un violent contraste avec tous les westerns vus jusqu'à présent, même ceux que l'on a qualifié de contemplatifs (...). L'espèce d'"arte povera" que la cinéaste applique au genre, transforme les épisodes classiques (...) en quelque chose d'absolument inédit. L'impression de véracité historique et le geste d'ultrastylisation minimaliste vont de pair, le film gardant l'équilibre entre naturalisme et allégorie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Reichardt réussit là où beaucoup ont échoué, et parvient à transmettre une impression de découverte, d'immensité et de première fois en filmant des plaines caillouteuses bordées de collines minérales, en rendant palpables l'attente et le passage du temps, en privilégiant les menus gestes du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Comme dans son précédent film, "Wendy et Lucy", Kelly Reichardt utilise la forme classique du road-movie pour porter un regard âpre et personnel sur la mythologie américaine.
La critique complète est disponible sur le site Première
La marche, la relation étroite avec la nature, l'inquiétude qui plane : c'est ce qui nous avait tant plu dans les précédents films de Kelly Reichardt. (...) Le retour aux sources concerne ici le genre lui-même, celui 100 % américain du western, mais réduit à sa plus simple et touchante expression, sans être totalement démythifié.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Kelly Reichard tourne le dos à la péripétie. Mais peu à peu se dégage une force naturelle, une sorte d'errance fascinante (...). Le film déroule sa beauté minérale, n'évite pas l'ennui et ne le refuse pas non plus, partant du principe qu'il habite aussi les personnages.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Cahiers du Cinéma
Si "La Dernière Piste" glisse comme une évidence dans l'oeuvre de Kelly Reichardt, qui trouve dans le western une forme d'horizon à son goût pour les grands espaces (à l'image de ses deux premiers films, "Old Joy" et "Wendy et Lucy"), sa beauté demeure suspendue à un fragile équilibre d'étrangeté et de classicisme.
Critikat.com
D'une intelligence rare, le film saisit par sa pureté esthétique (les modèles hollywoodiens semblent revenir d'entre les morts) et son acuité – parfois déstabilisante – à poser de véritables questions morales.
Le Figaroscope
"La Dernière Piste" est une oeuvre sobre, intense, austère, pleine de sueur, de poussière et de silences. Superbe !
Le Monde
Ce western, digne, à certains égards, de ceux de Monte Hellman, est un des chapitres les plus originaux et saisissants de cet interminable épilogue du genre. La raison en est simple : "La Dernière Piste" est tout sauf un film terminal. C'est un peu la scène originelle de la conquête de l'Ouest.
Les Inrockuptibles
La réalisatrice d'Old Joy relit le mythe de la conquête de l'Ouest et substitue à l'épopée un réalisme dur et coupant.
Marianne
"La Dernière Piste", dans sa grâce austère, n'est pas seulement belle, c'est un grand film mystérieux et élégiaque, un western d'avant le western.
TéléCinéObs
La cinéaste (...) s'attache aux détails, objets, gestes, regards, qui sans le cinéma se perdraient dans l'immensité des paysages, et avec eux jusqu'au souvenir de ces êtres sortis de nulle part (...) considérés au prisme d'un regard qui entend embrasser et l'espace et le temps.
TéléCinéObs
Magnifique western contemplatif et bressonnien, "La Dernière Piste" pose la question de l'absurde et de la foi, se recentre sur une femme forte (Michelle Williams), opte pour un format carré qui rappelle la peinture, distille une certaine ironie (...) et incite à une lecture contemporaine : des Etats-Unis vus comme un pays perdu.
Brazil
L'image est proprement magnifique, captant chaque rocher, semblant s'accrocher à chaque grain de poussière et chaque squelette de végétation. L'enfer traversé s'en trouve magnifié...
Chronic'art.com
Filmant depuis le point de vue des femmes, reléguées à l'arrière du convoi, Reichardt offre moins un contrechamp critique que la possibilité d'un regard inédit, quasi-documentaire parce que borné par l'exigence simple de l'observation, sur la marche concrète de l'histoire.
Excessif
On n'est jamais loin de l'éblouissement mélancolique et crépusculaire des néo-westerns élégiaques avec le décor-purgatoire, les personnages fantomatiques et le non-événement comme moteur dramatique. Kelly Reichardt réussit une merveille de concision, toute entière tenue par la croyance dans ce qu'elle raconte.
La Croix
(...) "La Dernière Piste" s'offre comme une méditation très réussie sur l'espoir et la confiance, à l'heure des choix cruciaux, par des hommes et des femmes ordinaires, au sens fort.
Libération
Le film produit un violent contraste avec tous les westerns vus jusqu'à présent, même ceux que l'on a qualifié de contemplatifs (...). L'espèce d'"arte povera" que la cinéaste applique au genre, transforme les épisodes classiques (...) en quelque chose d'absolument inédit. L'impression de véracité historique et le geste d'ultrastylisation minimaliste vont de pair, le film gardant l'équilibre entre naturalisme et allégorie.
Positif
Reichardt réussit là où beaucoup ont échoué, et parvient à transmettre une impression de découverte, d'immensité et de première fois en filmant des plaines caillouteuses bordées de collines minérales, en rendant palpables l'attente et le passage du temps, en privilégiant les menus gestes du quotidien.
Première
Comme dans son précédent film, "Wendy et Lucy", Kelly Reichardt utilise la forme classique du road-movie pour porter un regard âpre et personnel sur la mythologie américaine.
Télérama
La marche, la relation étroite avec la nature, l'inquiétude qui plane : c'est ce qui nous avait tant plu dans les précédents films de Kelly Reichardt. (...) Le retour aux sources concerne ici le genre lui-même, celui 100 % américain du western, mais réduit à sa plus simple et touchante expression, sans être totalement démythifié.
L'Express
Kelly Reichard tourne le dos à la péripétie. Mais peu à peu se dégage une force naturelle, une sorte d'errance fascinante (...). Le film déroule sa beauté minérale, n'évite pas l'ennui et ne le refuse pas non plus, partant du principe qu'il habite aussi les personnages.
Studio Ciné Live
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Le Journal du Dimanche
Le côté documentaire sur le courage des pionniers et le jeu tout en retenue des acteurs ne suffisent pas à faire oublier l'ennui sidéral de ce film.