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Ykarpathakis157
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0,5
Publiée le 1 avril 2020
Tout d'abord, je ne sais même pas pourquoi on l'appelle Maison au bout de la rue car ce n'était même pas au bout d'une rue, c'était au milieu des bois ou il y avait un psychopathe et un coupeur de mauvaises herbes. Ce film est mauvais et je veux dire incroyablement mauvais et il me déçoit parce que j'étais réellement intrigué par l'histoire et c'était agréable de revoir Elsabeth Shue. Cette adolescente nommée Alyssa jouée par Jenifer Lawrence s'installe dans cette nouvelle maison avec sa mère jouée par Elisabeth Shue, elle développe une relation avec un gars joué par Max theriot, qui vit toujours dans la même maison ou sa sœur a massacré ses parents il y a des années. Et à mesure que les deux se rapprochent des choses effrayantes se produisent et il s'avère finalement que le mec n'est pas ce qu'il semble. L'histoire est insignifiante et même pas effrayante. Les jumpscares ne se produisent même pas pendant les moments effrayants. Je ne comprends pas comment quelqu'un peut faire un film comme celui-ci et s'attendre à ce que les gens en aient peur. Je lui donne une demi étoile sur cinq...
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1,5
Publiée le 22 septembre 2019
Une histoire extravagante qui puise son inspiration dans les codes et dans les clichès du cinèma d'èpouvante, mais là où des films comme "Psycho" ètablissaient tout de suite un lien avec le spectateur provoquant la peur, l'angoisse et la folie, "House at the End of the Street" tombant dans l'incohèrence, le clichè et le mal exploitè, crèe immèdiatement la distance et n'èveille que lassitude! Pourtant Jennifer Lawrence et Elizabeth Shue apportent leur charme sans non plus forcer leur talent! Tous les objectifs ne sont pas atteints, en particulier son histoire mal conçue et presque dèpourvue d'effroi! En conclusion, cette « maison au bout de la rue » distille le mystère de manière intermittente avec un manque de rythme èvident! Un thriller d'èpouvante tout juste regardable pour ses actrices et pour Max Thieriot qui se la joue - sans être mauvais pour autant - Norman Bates! N'avait-il pas jouè l'annèe suivante dans l'excellentissime sèrie, "Bates Motel", où il incarnait le demi-frère de Bates ?
Jenifer Lawrence y est crédible mais un peu flasque. Le début semblait prometteur mais le tout reste du domaine du prévisible!. On en comprend vite la trame et la fin est plus qu'insignifiante.
Ce film réalisé par Mark Tonderai et sorti en 2012 n'est vraiment pas terrible. Le synopsis était pourtant alléchant, c'est l'histoire d'une mère et de sa fille qui emménagent juste à côté d'une maison qui a abritée un crime sanglant. Les parents ont été assassinés par leur fille et seul le fils, Ryan, habite encore les lieux. Bon c'est clair que ce n'est pas de par son originalité que le film se démarque mais appréciant en général ce genre d'histoire, je me suis dit pourquoi pas. Même si je ne m'attendais pas à un grand film, c'est tout de même une déception car il n'est, dans l'ensemble, vraiment pas terrible. Il commence pourtant bien, après une scène d'introduction plutôt bien faite, on rentre dans le vif du sujet avec la fille et la mère et puis, petit à petit, la trame devient de moins en moins intéressante jusqu'à en devenir ennuyante. Le film comporte en effet beaucoup de scènes longues et comme il est prévisible, on finit par beaucoup s'ennuyer. Effectivement, le film fonctionne sur des codes vus et revus des dizaines de fois, la trame en devient donc prévisible et le film ne contient donc aucune surprise qui pourrait éveiller l'attention du spectateur. Il en est de même pour les personnages qui ne sont pas originaux, on les connait par cœur et nous avons notamment le conflit mère/fille que l'on a également vu de nombreuses fois au cinéma. La réalisation est quant à elle assez classique et ne comble malheureusement pas le vide narratif. Avec tous ces éléments, nous avons donc l'impression de nous retrouver devant un téléfilm M6 du samedi après-midi qui ne comporte donc rien de réellement intéressant si ce n'est, peut-être, un peu de divertissement. En ce qui concerne les acteurs, nous avons principalement Jennifer Lawrence, Elizabeth Shue et Max Thieriot qui n'ont ici rien d’exceptionnel car ils ont un jeu très classique, ce qui colle finalement assez bien au film. "La Maison au bout de la rue" est donc loin d'être un bon film mais il peut être à la limite divertissent lors d'une journée pluvieuse.
"La maison au bout de la rue" appartient à cette famille de thrillers dans laquelle les personnages ne sont pas forcément ce qu'ils prétendent être et finissent par tomber les masques. Ce que j'aime bien avoir dans ces films, c'est avoir des rebondissements, être surpris et constater effectivement à la fin du film que les choses n'étaient pas celles que je pensait être...C'est effectivement le cas dans ce film, de ce point de vue là rien à dire. Ce que j'ai moins aimé, c'est la morale du film, que j'ai trouvé beaucoup trop cynique. Attention, ne lisez surtout pas le spoiler sinon l’intérêt du film sera gâché: spoiler: ce que j'ai détesté c'est que finalement ceux qui se font tuer,ou peu s'en faut, sont toux ceux qui ont essayé d'aider le pauvre type un peu paumé (dont il s’avérera finalement qu'il s'agissait d'un psychopathe): que ce soit le shérif, la héroïne, ou encore tout simplement la serveuse du bar qui avait eu quelques mots gentils à son égards. Les autres voisins, pourtant détestables au possible, avaient raison...
Bon film, pas horrifique mais il y a du suspens quand même :-) Personnellement, je le recommande pour le jeu des acteurs et l'histoire , qui malgré quelques lenteurs, se défend quand même :-)
Film totalement inutile: pas d'ambiance, aucune imagination dans l'histoire, pas de méchant charismatique, un final qui est une caricature des scènes finales du cinéma d'horreur (spoiler: du policier armé qui se fait dézinguer par le criminel au couteau, l'héroine qui croit s'enfuir mais qui se fait rattraper in-extremis jusqu'au tueur que l'on "croit qu'il est mort mais qu'en fait il ne l'est pas et se lève pour un dernier sursaut avant de se faire définitivement tuer" ). Bon allez, il y a Jennifer Lawrence qui permet à ce film de sortir de l'anonymat dans lequel il mériterait de rester.
Un scénario déjà vu,l'acteur qui joue Ryan est pas très bon,des choses tirées par les cheveux.....Tout ce qui aurait pu en faire un bon thriller n'est pas là.La fin est classique et les dernières images sont dispensables et ne font que nous embrouiller.
Un film qualifié d'épouvante Horreur alors que pas du tout (pas gore et ne fait pas peur) ce qui a pu décevoir ceux voulant avoir peur mais on oublie très vite ce qu'à quoi la bande-annonce nous préparé car elle est piégeuse pour ce très performant thriller dramatique. Le sujet de base est très classique mais des couches viennent se superposer pour en faire un nouveau film . Les personnages sont très bien construits . L'histoire comporte des rebondissements et des surprises hors normes et peu habituel auxquels on ne s'attend pas ,il peut en arriver n'importe quand pour tout faire basculer . Ce film devient entièrement claire et cohérent la dernière seconde ce qui n'est pas banals. Le scénario est très complexe . La fin est grandiose. Le dialogue est bon et c'est la toute dernière phrase qui nous fait tout comprendre . Il ne faut strictement rien loupé ou sinon il est facile de trouver des incohérences. Lawrence ,Shue ,... sont spectaculaires. Presque un chef d'oeuvre mais un coup de coeur !
La réalisation énergique, sans prétention bénéficiant pourtant d'un casting digne (Shue, Lawrence...) nous tient en haleine pour une histoire pourtant prévisible.
"La maison au bout de la rue" utilise toutes les ficelles du genre et ne donne donc aucun souffle nouveau... Mais quelques rebondissements scénaristique font qu'on regarde le film jusqu'au bout avec un certain plaisir.
S’il y a un film qui a eu un relatif succès au box office alors qu’il ne le mérite pas, c’est bien "La maison au bout de la rue". Et il le doit uniquement à son casting, notamment grâce à présence de la jolie Jennifer Lawrence, laquelle vient tout juste de se construire une belle renommée avec "Hunger games", 1er du nom. Il le doit également à celle d’Elisabeth Shue, plus habituée à des rôles dans des productions TV. Le problème est que "La maison au bout de la rue" est vendu comme un film à caractère horrifique, alors qu’il n’en est rien. En fait, il ne se passe pas grand-chose pendant une quarantaine de minutes, quand le pourquoi pour lequel le spectateur s’est rendu devant ce film semble enfin démarrer. Certes le réalisateur a pris le temps d’implanter le contexte. Mais il a tellement pris son temps qu’il use de la patience du public. D’autant plus qu’il utilise tous les codes éculés des films du genre, avec entre autres des jump scares ratés, ou le fait d’avoir rendu ses personnages comme des personnes sans la moindre originalité voire totalement clichées. Hélas, le démarrage qui semble se dessiner n’est qu’un feu de paille. Il y a bien quelques autres démarrages, timides, mais ils sont tous du même acabit. Il faudra attendre bien comme il faut les trois quarts du long métrage pour voir enfin les choses se décanter… Et le spectateur s’apercevra qu’on lui a menti sur la marchandise, puisqu’il constatera par lui-même qu’il est plus devant un thriller qu’autre chose ! Et encore ; il existe des thrillers beaucoup plus inquiétants que celui-là. La déception ne peut donc qu’être au rendez-vous, à moins d’être bon public (et même TRES bon public), et/ou un fervent admirateur de Jennifer Lawrence : elle est belle, elle est jeune, semble bien faite (soupir…), mais ça ne fait pas tout même si ses avantages ont été mis en évidence. Et encore… De ce fait, mon attention n’était pas au top, aussi j’ai pu remarquer quelques erreurs scénaristiques, aussi appelées faux raccords. En effet, lorsque l’héroïne Elissa se rend chez son voisin, celui-ci masque son écran de PC en réduisant la fenêtre. Sur le plan d’après, la page de navigation qu’il consultait est apparente à l’écran, sans que personne n’ait touché quoi que ce soit… Et puis la voiture de ce même voisin : comment expliquer son impeccable état apparent, alors qu’elle venait de recevoir une déferlante de coups donnés à la batte de base-ball ? Non, il faut être honnête, le scénario a été écrit à la va-vite, un comble quand on sait qu’il était sur les tablettes depuis pas mal d’années. La réalisation est bien trop classique, sans aucune originalité, laissant au passage une sensation de déjà-vu au spectateur. Même la musique de Theo Green a un air de déjà-entendu. La seule bonne surprise est de basculer sur un genre inattendu, mais à partir de là, ça devient ultra-prévisible. "La maison du bout de la rue" est donc clairement un film raté, y compris pour une série B. Le seul point réellement positif dans tout ça est le montage.