Carlos le film, c’est l’histoire du terrorisme international entre les années 70 et 80, d’origine Vénézuélienne, un sympathisant de la cause palestinienne, anti-sioniste, anti-impérialiste américain, sa suprématie qu’il combat.
Le capitalisme pointé du doigt, une cible d’intrigue créée pour ce cinéma, l’histoire est une semi-fiction en paragraphe en-tête des scénaristes, selon toutes vraisemblances, les rencontres intervenantes interactions sont purement fortuites, sont le fruit du hasard.
C’est la politique interventionniste décriée, la guerre froide, soutien de l’URSS, même politique anti-impérialisme, il y a eu beaucoup de troubles conflictuels mondiaux, l’armée rouge membre Japonais, l’Asie de l’Est très active sur le plan stratégique calcul idéologique.
Des attentats perpétrés sur le sol d’Europe occidental, de Paris à Amsterdam en passant par la RFA surveillée par la RDA, la paranoïa méfiance où le rideau est en fer et les gants de velours portés par ses dirigeants nationaux, des ministres et chefs de sécurité d’état mis sur le devant de la scène.
Sécurité gruyère aéroportuaire, bazooka missile stinger traverse facilement, rudimentaire inexpérimenté en entraînement, on est hébété devant cette incroyable archivage, au temps des deux présidents de la période cinquième république française.
Il y a pas mal de chose utile, plus moins intéressante qui défile, des discussions au bureau soudanais, assis et pieds sur sa table, une prise d’otage lors d’une conférence internationale, la sympathie palestinienne laisse planer le doute.
L’aide négociée du gouvernement algérien de se poser sur son sol, l’avion transportant les otages diplomatiques, afin de négocier leurs libérations, l’argent joue une place importante somme, la destination suivante manque de carburant.
La Libye refuse, contrôle entrée illégale, refoulée à l’expéditeur dans la foulée, l’Irak Bagdad attendra en passant par la Syrie, du Maghreb Afrique du Nord au Moyen-Orient Asie, un vol plein de perturbations, l’action violente jonchée de morts malheureux dans un acte révolutionnaire.
La rage est au bout du mitrailleur pour ces fanatiques allemands, hispano-américains, frustrés, délaissés par tous, sans soutiens de plus, Carlos est compliqué dans son biopic, moins approfondie qu’un Malcom X le chef-d’œuvre, moins charismatique acteur jouant Simon Bolivar, l’Amérique du Sud.