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Votre avis sur L'Arme fatale 4 ?
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Benjamin A
Ça faisait six ans que l'on avait plus eu de nouvelles de notre duo de flics, les voilà de retour pour un quatrième et derniers, à ce jour, opus. Ici ils auront à faire à de nouveaux adjoints pour faire face à une histoire de faux-monnayeurs, en lien avec un membre de la mafia asiatique...
Six ans que l'on en avait plus entendu parler et c'était peut-être tant mieux. Ici, Donner semble abandonner l'intrigue au profil de l'humour et surtout de l'émotion,, mais malheureusement ça ne marche pas. Dès la première scène, on apprend que Riggs va être père et Murtaugh grand-père et tout le long du film, l'aspect famille plane au point d'être omniprésent et surtout assez insupportable.
De plus, l'humour est assez inégal, par moment bien foutu où l'effet voulu est provoqué lorsqu'à d'autres moments, ça devient franchement lourdingues. Les scènes d'action sont toujours présentes mais souvent sans saveur si ce n'est cette introduction vraiment réussie. Si l'ajout de Jet Li est une réussite, incarnant un méchant froid, cynique et peu bavard, celui de Chris Rock est assez inutile voire insupportable et Joe Pesci est de moins en moins convaincant à force de faire la même chose depuis le second opus.
Donner braque surtout sa caméra sur Riggs et Murtaugh et se concentre vraiment sur leur évolution en tant qu'homme, mari, père... et c'est aussi là l'un des problèmes du film, tant cette évolution s'avère guère intéressante et peu convaincante. Le film manque clairement d'énergie et est surtout sauvé par les séquences avec Jet Li et quelques scènes qui restent bien sympathiques.
Bref, un épisode vain tant nos héros étaient, cette fois-ci, vraiment trop vieux pour ces conneries.
Six ans que l'on en avait plus entendu parler et c'était peut-être tant mieux. Ici, Donner semble abandonner l'intrigue au profil de l'humour et surtout de l'émotion,, mais malheureusement ça ne marche pas. Dès la première scène, on apprend que Riggs va être père et Murtaugh grand-père et tout le long du film, l'aspect famille plane au point d'être omniprésent et surtout assez insupportable.
De plus, l'humour est assez inégal, par moment bien foutu où l'effet voulu est provoqué lorsqu'à d'autres moments, ça devient franchement lourdingues. Les scènes d'action sont toujours présentes mais souvent sans saveur si ce n'est cette introduction vraiment réussie. Si l'ajout de Jet Li est une réussite, incarnant un méchant froid, cynique et peu bavard, celui de Chris Rock est assez inutile voire insupportable et Joe Pesci est de moins en moins convaincant à force de faire la même chose depuis le second opus.
Donner braque surtout sa caméra sur Riggs et Murtaugh et se concentre vraiment sur leur évolution en tant qu'homme, mari, père... et c'est aussi là l'un des problèmes du film, tant cette évolution s'avère guère intéressante et peu convaincante. Le film manque clairement d'énergie et est surtout sauvé par les séquences avec Jet Li et quelques scènes qui restent bien sympathiques.
Bref, un épisode vain tant nos héros étaient, cette fois-ci, vraiment trop vieux pour ces conneries.
J'ai beaucoup aimé le début, le milieu, la toute fin. Mais les passages avec Jet Li un peu moins. Pourtant, j'aime bien l'acteur mais son rôle ici est moyen, l'intrigue est moins prenante également. Sinon, l'équipe reste super, surtout les coups bas de Riggs envers son équipier :D. Ma scène préférée reste celle du dentiste. Hilarante !!
ManoCornuta
On prend les mêmes, on ajoute quelques nouveaux venus, mais là on commence à friser l'indigestion. Si les apartés entre Gibson et Glover nous font toujours sourire, l'histoire sent un peu le recyclage, et l'ajout d'un personnage comme celui de Chris Rock ne vise qu'à faire diversion pour que Joe Pesci n'assume plus seul le rôle du boulet insupportable. Heureusement que Richard Donner maîtrise toujours au niveau de la réalisation et que notre tandem principal est toujours aussi bien accordé. Ce volet est le moins bon des 4, mais reste un film d'action de bon niveau, moins inspiré côté humour mais qui se laisse suivre sans problème.
Voilà une excellente conclusion que ce 4ème volet, avec toujours la même recette, à savoir de l'action et de l'humour, doublé d'une amitié entre Riggs et Murtaugh, et saupoudré des différentes histoires de famille de ces 2 là. Un vrai bon moment qui clôt en beauté cette quadrilogie.
En 1998, Richard Donner, Joel Silver, Mel Gibson, Danny Glover, Joe Pesci et Rene Russo rempilent tous pour le dernier acte d’une franchise inoubliable. L’Arme Fatale, quatrième acte, n’est en somme que très peu différent de ses trois grands frères. Action, humour et intrigue policière, la recette imbattable du Buddy Movie par excellence, porté par des comédiens routiniers du genre, dans la peau de leurs avatars. Un nouvel opus qui s’inscrit donc pleinement dans la lignée de la précédente trilogie, soit un film habilement réussi, aussi captivant que rythmé, aussi drôle qu’artistiquement satisfaisant. Richard Donner n’a pas perdu sa verve, au même titre que Mel Gibson et Danny Glover, qui malgré le temps qui passe, livrent des prestations honorables, confronté pour l’occasion aux triades chinoises.
L’ambiance, la thématique étant la même, il s’agissait ici de faire redécoller une intrigue sur des bases nouvelles. Après les trafiquants de drogues, les trafiquants d’armes, voici venu les trafiquants d’esclaves. La rencontre fortuite du bateau de pêche de nos flics préférés avec un cargo chinois rempli d’immigrés et de truands sonne le début d’une nouvelle confrontation dantesque. Comme grosse pointure, en confrontation avec l’héroïsme et l’humour des personnages principaux, la production offre une opportunité à Jet Li de démontrer ses talents. L’acteur chinois déborde de violence et offre un rempart digne de ce nom à la justice des deux flics, le tout aboutissant sur une scène finale brillante, sans altération musicale de la bande-son, toute en violence et coups sanglants.
Pour clore la quadrilogie, Richard Donner use également de tout son bon sens pour qu’à son tour, Martin Riggs soit trop vieux pour ses conneries. La famille, en pleine évolution, des deux policiers s’affiche comme un pilier, une base solide qui permet aux personnages d’encore d’avantage se rapprocher. Leur amitié avec Léo, impeccable Joe Pesci, prend elle aussi une tournure sentimentale bienvenue. En somme, les rapports entre les différents protagonistes sont habiles, judicieux, et permettent d’apporter une bonne dose de sérénité aux deux héros, toujours aussi drôle.
Dans l’espoir qu’aucune suite ne soit mise en chantier, de nos jours, en vue de respecter les valeurs de la franchise, soulignons que ce quatrième opus est une digne conclusion à cette saga désormais culte. On aura pris énormément de plaisir, à quatre reprises, à suivre Martin Riggs et Roger Murtaugh, personnages emblématiques du cinéma US, drôles de policiers à la sympathie débordante. Mais l’on aura aussi pris beaucoup de plaisir à contempler de nombreuses scènes d’action spectaculaires, en particulier dans ce quatrième opus, débutant sur une scène de chaos diablement bien rythmée. Une référence. 17/20
L’ambiance, la thématique étant la même, il s’agissait ici de faire redécoller une intrigue sur des bases nouvelles. Après les trafiquants de drogues, les trafiquants d’armes, voici venu les trafiquants d’esclaves. La rencontre fortuite du bateau de pêche de nos flics préférés avec un cargo chinois rempli d’immigrés et de truands sonne le début d’une nouvelle confrontation dantesque. Comme grosse pointure, en confrontation avec l’héroïsme et l’humour des personnages principaux, la production offre une opportunité à Jet Li de démontrer ses talents. L’acteur chinois déborde de violence et offre un rempart digne de ce nom à la justice des deux flics, le tout aboutissant sur une scène finale brillante, sans altération musicale de la bande-son, toute en violence et coups sanglants.
Pour clore la quadrilogie, Richard Donner use également de tout son bon sens pour qu’à son tour, Martin Riggs soit trop vieux pour ses conneries. La famille, en pleine évolution, des deux policiers s’affiche comme un pilier, une base solide qui permet aux personnages d’encore d’avantage se rapprocher. Leur amitié avec Léo, impeccable Joe Pesci, prend elle aussi une tournure sentimentale bienvenue. En somme, les rapports entre les différents protagonistes sont habiles, judicieux, et permettent d’apporter une bonne dose de sérénité aux deux héros, toujours aussi drôle.
Dans l’espoir qu’aucune suite ne soit mise en chantier, de nos jours, en vue de respecter les valeurs de la franchise, soulignons que ce quatrième opus est une digne conclusion à cette saga désormais culte. On aura pris énormément de plaisir, à quatre reprises, à suivre Martin Riggs et Roger Murtaugh, personnages emblématiques du cinéma US, drôles de policiers à la sympathie débordante. Mais l’on aura aussi pris beaucoup de plaisir à contempler de nombreuses scènes d’action spectaculaires, en particulier dans ce quatrième opus, débutant sur une scène de chaos diablement bien rythmée. Une référence. 17/20
L’Arme fatale 4 est un super film d’action, où TOUT est bon : le casting, l’action, les combats, l’humour, le budget. Richard Donner, à l’aide de 140 millions de dollars s’évertue à faire évoluer le duo Gibson/Glover dans un déluge d’humour et d’action. Joe Pesci est hilarant et Jet Li est tout à fait crédible dans son rôle de maître de la mafia chinoise. Hormis le casting, les scènes incroyables qui détruisent tout sur leur passage sont innombrables : le paquebot, la scène de l’autoroute avec la traversée de l’immeuble, le feu à la maison. Les combats sont superbement chorégraphiés, les poursuites sont impressionnantes sur les toits de Chinatown. Tout est bon dans ce quatrième volet de l’Arme Fata
Dernier épisode d'une saga définitivement culte. Jet li aura la lourde tâche d'être l'ultime ennemi du duo de flics improbables. Eternellement incontournable !
Ce quatrième opus est bien mais l'histoire de double grossesse fait un peu trop film. Dommage.
Après le succès de la trilogie, un quatrième opus voit le jour. On y retrouve Riggs, Murtaugh, Leo et Lorna. Nos héros vont devoir affronter un ponte des yakusas (Jet Li). Ils ont tous vieillit mais répondent présent. Je trouve tout de même ce film légèrement inférieur aux trois premiers. Malgré l'humour et l'action, il manque un petit quelque chose. Je trouve que l'on voit trop peu Leo Getz à mon gout.
Martin Riggs, dit l'arme fatale, et Roger Murtaugh reviennent et ils sont contents! La scène d'ouverture d'un psychopathe armè d'un lance flamme, menaçant de tout faire pèter aux alentours, donne le ton... Onze ans après le premier èpisode, le duo Mel Gibson / Danny Glover reprend du service pour un quatrième round d'aventures musclèes! La sculpturale Renè Russo et le volcanique Joe Pesci sont toujours à leurs côtès, mais de petits nouveaux dèboulent pour ce qui devrait constituer "peut-être" le dernier numèro de la sèrie choc! Chris Rock, cèlèbre comique black, et surtout Jet Li, superstar du cinèma d'arts martiaux venu tout droit de Hong Kong, viennent pimenter la distribution èclatante de cette quatrième mouture, où l'action ne manque pas! Si le premier parle comme une mitraillette, le second dèploie ses incroyables dons pour le kung-fu en composant un rôle de redoutable mafieux chinois! Richard Donner a mis le paquet sur les cascades (la poursuite sur l'autoroute est un grand morceau de bravoure) et les combats (le final, sorte de combat de rue doublè d'arts martiaux, est d'une violence inouïe) mais que les fans se rassurent, il n'a pas oubliè les dialogues à l'humour bon enfant qui ont fait le succès des trois èpisodes prècèdents.
Si dans le premier volet de la saga, c'était Murtaugh qui était (déjà) trop vieux pour ces conneries, Riggs commence à le devenir aussi dans ce quatrième opus dont le charme opère toujours. Certes, l'intrigue policière est un peu décousue et le méchant incarné par Jet Li frôle presque le ridicule mais le fait est que l'on s'amuse toujours autant. Entre Murtaugh qui va devenir grand-père et Riggs qui va devenir père, nos héros voient le temps passer sous leurs yeux sans pour autant arrêter de se retrouver au cœur d'explosives scènes d'action que Richard Donner filme très bien, le réalisateur étant rodé depuis le temps. Si l'on peut déplorer que ce film est un peu en dessous des autres, le plaisir, toujours intact de retrouver nos héros (même Joe Pesci, pot de colle de la bande) comme on retrouve une vieille bande de potes a énormément de charme. Alliant toujours humour et action, cette "Arme Fatale 4" prouve bien que cette saga est bel et bien le meilleur buddy-movie de tous les temps.
en voyant l intro d ouverture on se disait qu'on allait passer un super moment mais au final on s'ennuie quand meme!! meme si il y'a de superbe scene d'action bien faite ( course poursuite sur l'autoroute, assault dans la maison), jet li fait du jet li meme si sa ne ma pas déplu!!,le saxophone entre chaque scene est un casse tete et certaine scene sois disant comique nous endorme, dommage car les acteurs avait mit leur bonne humeur (chapeau a joe pesci qui me fait tjr autant marrer)!! il paraitrait qui y'aura un 5eme volet en 2015!! comptez pas sur moi je pense qu'il se font trop vieux pour ses conneries!!!
Moins haletant que les précédents mais encore drôle et rythmé.Et même si les scénaristes n'ont pas su trop quoi faire du personnage joué par J.Pesci,on passe un bon moment
Martin Riggs, dit l'Arme Fatale, et Roger Murtaugh reviennent et ils sont contents! La scène d'ouverture d'un psychopathe armè d'un lance flamme, menaçant de tout faire pèter aux alentours, donne le ton... Onze ans après le premier èpisode, le duo Mel Gibson / Danny Glover reprend du service pour un quatrième round d'aventures musclèes! La sculpturale Renè Russo et le volcanique Joe Pesci sont toujours à leurs côtès, mais de petits nouveaux dèboulent pour ce qui devrait constituer "peut-être" le dernier numèro de la sèrie choc! Chris Rock, cèlèbre comique black, et surtout Jet Li, superstar du cinèma d'arts martiaux venu tout droit de Hong Kong, viennent pimenter la distribution èclatante de cette quatrième épisode, où l'action ne manque pas! Si le premier parle comme une mitraillette, le second dèploie ses incroyables dons pour le kung-fu en composant un rôle de redoutable mafieux chinois! Richard Donner a mis le paquet sur les cascades (la poursuite sur l'autoroute est un grand morceau de bravoure) et les combats (le final, sorte de combat de rue doublè d'arts martiaux, est d'une violence inouïe) mais que les fans se rassurent, il n'a pas oubliè les dialogues à l'humour bon enfant qui ont fait le succès des trois èpisodes prècèdents! Regardez "L'arme fatale 4", c'est retrouver une bande de potes...
La fin de la quadrilogie est réussis malgré un scénario plutot
mince.
L'ambiance générale décalé et pleine d'action permet de ne pas
s'ennuyer .
Bon film mais il était temps de s'arréter la.
mince.
L'ambiance générale décalé et pleine d'action permet de ne pas
s'ennuyer .
Bon film mais il était temps de s'arréter la.
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