AlloCiné
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Votre avis sur Le Guet-apens ?
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une masterclass! C'est à la fois un film de braquage, un super" actionner", un film d'amour avec une touche de roadmovie! Avec le charisme de Steve McQueen c'est un pur régal !
Steve McQueen est le plus grand méchant de son temps (à part Clint Eastwood). Alors qu'y a-t-il de mal à encourager le méchant. Le Guet-apens semble presque sans faille avec ses poursuites en voiture excellemment exécutées, ses fusillades excitantes et pleines de suspense et ses séquences émotionnelles fascinantes. McGraw et McQueen font de ce film une expérience qui en vaut la peine. Bien qu'il s'agisse d'un film violent surtout pour l'année de sa sortie il a ses moments de soulagement comique et même de sérénité qui rendent ce film digne des yeux a toute personne morale. Sans vouloir dévoiler l'intrigue du film imaginez une sorte Bonnie et Clyde avec l'une des meilleure expérience d'action et d'aventure qui soit...
La version Peckinpah évidemment. Bruit et fureur avec style.
Un thriller efficace et plaisant à regarder grâce au couple formé par Steve Mcqueen et Ali McGraw. Mais là où le film se distingue surtout, c'est dans sa très bonne mise en scène de Sam Peckinpah. Le film démarre tout d'abord lentement, puis fini petit à petit par trouver sa cadence idéal et ainsi permettre d'enchaîner intelligemment les rebondissements jusqu'au fameux twist final dans l'hôtel où apparaissent clairement des plans typiques du réalisateur de "La Horde Sauvage", qui filme avec une virtuosité époustouflante les fusillades grâce aux sensationnels ralentis utilisés par le metteur en scène. "Guet-apens" aurait cependant gagné à être amputé de quelques scènes un peu lourdes (principalement celles avec Al Lettieri et les 2 badauds), mais reste indéniablement un polar solide.
Une des réalisations les plus marquantes de Sam Peckinpah, avec Steve McQueen qui endosse le rôle central, celui de Carter McCoy, ancien prisonnier mais non-repenti, a qui il arrive les pires ennuis. L'histoire s'installe rapidement et correctement, On n'as pas le temps de s'ennuyer, on se retrouve vite submergé par un suspens intense et quelques délicieuses scènes de fusillade ! Les braquages, les poursuites, les affrontements... tout est maitrisé comme il faut ! On reconnait la marque de Sam Peckinpah et sa manière de tenir la caméra, c'est un vrai régal ... Une référence en la matière ! Guet-Apens est une sorte de Western moderne, mais avec quand même Steve McQueen ! L'intrigue est superbe, et le film est tres prenant et bien construit, car le suspens augmente d'autant plus qu'a des moments clés, la scène s'interrompt pour qu'on observe ce qu'il se passe au même moment, avant d'y revenir ... un maitrise parfaite de l'angoisse du spectateur, on demeure scotché a l'écran du début a la fin ...
Sorti 10 ans avant, un film que l'on peut aisément comparer à « Thief » de Michael Mann, en un peu moins subtil tout de même. Sam Peckinpah dirige un Steve McQueen impeccable dans le rôle d'un gangster en quête de rédemption. Et bien entendu, pour parvenir à ses fins, notre personnage devra passer par le fameux « dernier coup », qui ne va, évidemment, pas se dérouler comme prévu. Le réalisateur transpose les codes des westerns au cœur des années 70 et offre un polar vitaminé, rythmé, violent et dénué de toute morale. Même si, et c'est devenu une habitude chez lui, Peckinpah a tendance à abuser des effets ralentis, ce dernier nous offre quelques bonnes fusillades de haute volée. Au rayon des défauts, on notera également le jeu pas toujours convaincant de l'actrice Ali McGraw (c'est à se demander si Peckinpah n'avait pas un léger problème dans la direction des femmes), malgré sa beauté assez atypique. Les touches d'humour parsemées par le réalisateur ne sont également pas toujours fines ni utiles. Soulignons également la bonne prestation de l'acteur Al Lettieri, en second couteau plutôt véloce. Pas un chef d'oeuvre mais un polar d'époque musclé et de bonne facture.
Road movie de Peckinpah, il est son plus grand succès au box office, Steeve Mc Queen oblige... Film le plus réussi des deux collaborations entre Peckinpah et Mc Queen (Junior Bonner est pas trop mal...), thriller sur fond de musique stridente assez expérimentale (French Connection, proche en âge, dispose d'une bande originale toute aussi particulière...). Rythmé et efficace!
Un bon film de truand ou, pour une fois, les voleurs
spoiler:
partent avec le butin
. Fin immorale certes, mais le scénario fait que l'on prend partie pour eux, même s'ils commettent erreur sur erreur. Ce butin, ils l'ont chèrement acquis, mais a y bien réfléchir, ce n'est pas très joli tout de même.
Ali Macgraw est vraiment une très jolie femme, et rien que pour cela ce film a un intérêt. Le scénario est bon, les quelques courses poursuites bien orchestrées, sans trop de tape à l’œil. Quelques longueurs, mais inévitables, je pense.
A voir par tous les amateurs de film de truands, de Macqueen et Macgraw
. Fin immorale certes, mais le scénario fait que l'on prend partie pour eux, même s'ils commettent erreur sur erreur. Ce butin, ils l'ont chèrement acquis, mais a y bien réfléchir, ce n'est pas très joli tout de même.
Ali Macgraw est vraiment une très jolie femme, et rien que pour cela ce film a un intérêt. Le scénario est bon, les quelques courses poursuites bien orchestrées, sans trop de tape à l’œil. Quelques longueurs, mais inévitables, je pense.
A voir par tous les amateurs de film de truands, de Macqueen et Macgraw
Dik ap Prale
Ce Guet-Apens n'a pas d'interdit pour véhiculer la pensée de son auteur, cheminement de toute une carrière. Dans une filmographie fondée autour de la montée de la violence et ses raisons - souvent décriée comme son apologie de par son formalisme esthétique, parfois douteux mais toujours pondéré et qui reflète encore à ce jour sa modernité - Peckinpah réalise son polar, en figurant un homme repenti contraint de reprendre les armes, courant après sa liberté, pour vivre en paix avec l'être aimé. On regrettera les faussetés de rythme qui accuse le coup dans la mise en place de certains personnages grotesques et vains - tel que le personnage de Rudy Butler, heureusement jamais stérile grâce à la forte interprétation d'Al Lettieri, mais qui alourdi le discourt sur l'hyper-violence - pour mener à bien un discourt qui n'aura jamais l'impact de Les Chiens de paille (1971). Des éléments sonores criards pour une bande son de Quincy Jones, finalement très mal exploitée. On appréciera d'avantage l'escapade et la relation tumultueuse de ces deux amants dans ce jeu de violence; L'orchestration maestria de Peckinpah qui accorde une singularité à chaque évènement, s’ajoutant dans la survie du charismatique Steve McQueen.
superbe film , un polar béton et en plus avec la classe de McQueen, c'est exquis , scénario classique mais bien ficelé
Redzing
Mon premier visionnage de "The Getaway" remonte à bieeeen longtemps. J'étais alors passé à côté, l'appréciant sans plus. Je le revois aujourd'hui, et c'est une véritable redécouverte.
Steve McQueen incarne Doc, un braqueur fraîchement sorti de prison sous conditionnelle, grâce à un homme d'affaire véreux. Celui-ci exige que Doc et sa femme dévalisent une juteuse banque locale, avec des complices pré-déterminés. Evidemment, tout partira en sucette !
"The Getway" se constitue surtout d'une fuite à travers le Texas pour Doc et sa femme. Pourchassés par la police, leurs commanditaires, et un traître. Ce genre de film contient souvent des temps mort, mais il n'en est rien ici. Sam Peckinpah parvient à maintenir la tension pendant les deux heures, se permettant aussi à l'occasion quelques touches d'humour noir.
Le réalisateur s'avère particulièrement habile dans le montage. Une introduction diablement efficace qui évoque le cauchemar mécanique que constitue la prison pour notre héros. Un flash forward bucolique à la limite de l'expérimental. Des moment de suspense très bien gérés. Et bien sûr, les fameuses fusillades. Où Sam Peckinpah utilise ses ralentis à bon escient, et parvient à rendre fluides et percutantes des affrontements entre plusieurs personnages.
Tandis que le coeur du film est composé du couple entre Steve McQueen et Ali MacGraw. Qui doit tout autant combattre les éléments extérieurs, que leurs propres dissensions, dues à l'emprisonnement de Doc et aux arrangements que madame a passé avec les pourris. De quoi donner une relation creusée, et une vraie dynamique dramatique. Les deux acteurs ont une véritable alchimie, il est peu étonnant qu'il aient démarré une relation à la ville suite à ce tournage !
A leurs côtés, quelques bonnes têtes. Dont, détail amusant, deux acteurs que l'on retrouvera la même année dans "The Godfather". Al Lettieri en complice trouble. Et Richard Bright en arnaqueur local.
Du Peckinpah en forme.
Steve McQueen incarne Doc, un braqueur fraîchement sorti de prison sous conditionnelle, grâce à un homme d'affaire véreux. Celui-ci exige que Doc et sa femme dévalisent une juteuse banque locale, avec des complices pré-déterminés. Evidemment, tout partira en sucette !
"The Getway" se constitue surtout d'une fuite à travers le Texas pour Doc et sa femme. Pourchassés par la police, leurs commanditaires, et un traître. Ce genre de film contient souvent des temps mort, mais il n'en est rien ici. Sam Peckinpah parvient à maintenir la tension pendant les deux heures, se permettant aussi à l'occasion quelques touches d'humour noir.
Le réalisateur s'avère particulièrement habile dans le montage. Une introduction diablement efficace qui évoque le cauchemar mécanique que constitue la prison pour notre héros. Un flash forward bucolique à la limite de l'expérimental. Des moment de suspense très bien gérés. Et bien sûr, les fameuses fusillades. Où Sam Peckinpah utilise ses ralentis à bon escient, et parvient à rendre fluides et percutantes des affrontements entre plusieurs personnages.
Tandis que le coeur du film est composé du couple entre Steve McQueen et Ali MacGraw. Qui doit tout autant combattre les éléments extérieurs, que leurs propres dissensions, dues à l'emprisonnement de Doc et aux arrangements que madame a passé avec les pourris. De quoi donner une relation creusée, et une vraie dynamique dramatique. Les deux acteurs ont une véritable alchimie, il est peu étonnant qu'il aient démarré une relation à la ville suite à ce tournage !
A leurs côtés, quelques bonnes têtes. Dont, détail amusant, deux acteurs que l'on retrouvera la même année dans "The Godfather". Al Lettieri en complice trouble. Et Richard Bright en arnaqueur local.
Du Peckinpah en forme.
Un honorable Peckinpah suivant le destin d'un couple de vagabonds américains après avoir braqué une banque. Ca traine en longueurs quelque fois mais bon le duo McQueen-McGraw est très bon et nous fait passer un agréable moments. Les scènes de flingues avec Mc queen au bout du canon sont très efficaces comme sait nous les concocter Monsieur Peckinpah. La fin m'a assez plu aussi et bien que ce film vaut plus que 3 étoiles certainement, il n'a été qu'un bon divertissement pour moi.
Sam Peckinpah nous offre un super film policier sans temps mort, avec un parfait Steve McQueen qui trouve un rôle à sa hauteur. Un film culte dont le remake (avec Alec Baldwin et Kim Basinger) n'est pas mal non plus.
Un Policier très bien scénarisé, avec de bons acteurs, Getaway est un très bon film, qui a réellement tous les atouts pour plaire.
ca fait du bien de voir un bon film policier excellent mcqueen a voir et a revoir
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