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willycopresto
136 abonnés
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3,5
Publiée le 4 octobre 2014
TF 1 production avait enregistré 30 % de parts d'audience lors de la sortie de ce film : un succès. A la base, un scénario simple : de quoi reposer les méninges après les avoir fait travailler intensément au bureau par exemple ! Et une certitude qui sert de fil conducteur : quelle bonne idée de commencer un métier à sa base avant de diriger les autres. Faute d'appliquer ce précepte, combien d'entreprises n'ont-elles pas mis la clef sous la porte ? Dans ce film, le vieux couple d'industriels que constituent Bernadette Laffont et Claude Brasseur fonctionne comme s'il était vrai, tandis que leur fils, joué par un excellent Vincent Elbaz virevolte de Julie La Bona à Hélène Noguerra qu'on revoit avec plaisir au milieu de mannequins nues. Ne rêvez pas,elles sont en résines et destinées aux magasins de vêtements. A voir sans craintes ! willycopresto
Ce téléfilm français mielleux a un scénario peu original avec des clichés sur les nantis ou les ouvriers et une grosse morale sur le "vrai" sens de la vie. Cependant, le film n'est pas désagréable à regarder, sauvé par l'humour et de bons acteurs.
Au bas de l’échelle est un téléfilm à la française qui se regarde, mais rien d’exceptionnel. Cette comédie romantique n’a rien d’originale, le scénario reste simple et la mise en scène d’Arnauld Mercadier est classique. L’humour est efficace, mais le long-métrage est trop prévisible et on finit par s’ennuyer. Néanmoins, les acteurs comme Vincent Elbaz, Claude Brasseur ou encore Helena Noguerra sont corrects dans leurs rôles. Bref, à voir.
Vincent Elbaz va hériter d'une usine en difficulté. Poussé par son père, il va y travailler quelques mois à la chaine, anonymement. Il tombe alors amoureux d'une employée, la jolie Helena Noguerra. Un téléfilm gentillet qui se laisse regarder, surfant sur le thème actuel du licenciement économique, et reprenant même les grèves d'employés "dénudés" (comme ceux de l'usine Chaffoteaux et Maury)
Le scénario n'est pas franchement neuf ni la façon de l'aborder, mais ce téléfilm s'en sort quand même grâce à de bons acteurs et des dialogues assez bien troussés. Les vrais bémols sont cette absence d'originalité et un Vincent Elbaz pas très crédible en fils à papa binoclard. Mais l'on passe un bon moment quand même.
Une petite comédie sentimentale très moyenne, made in france, avec le coté patron méchant et gentille classe ouvrière et une petite romance genre pretty woman. Plein de poncifs et une fin télécommandée. Vincent Elbaz est pas un bon acteur. On a tj l'impression qu'il rigole. Plus un téléfilm qu'un film.
Ce téléfilm est très bien construit de façon a ce que le spectateur ne s'ennuie pas. Nous avons aucun Second Plot Point, le téléfilm ne bascule pas vraiment car le spectateur envisage la suite des événements et il n'y a pas vraiment d'intrigue. L'histoire est basée sur un principe à la Marivaux c'est a dire les pauvres contre les riches et inversement. La dialectique (ce qui fait avancer les choses) est respectée mais est très longue à se mettre en marche. Le téléfilm est produit par TF1 il n'est pas trop révolutionnaire dans le sens ou tout est trop prévisible. Nous avons la pour son premier rôle TV un Vincent Elbaz peut crédible en homme riche mais c'est cela qui fait aussi l'un des atouts du téléfilm. Une Eléna Nougera très belle et très touchante. Nous retrouvons un couple d'acteurs confirmés Bernadette Laffont et Claude Brasseur formant un couple de riches idéal, spoiler: la mère poule et le père dur .
Un téléfilm sans prise de tête se laissant regarder. Un pur moment de détente
Avis personnel. Vincent Elbaz et Helena Noguerra font bien le boulot dans ce téléfilm de bonne facture. C'est une comédie romantique simple et plutôt joyeuse malgré un contexte social difficile en toile de fond. Helena est particulièrement douée pour la fantaisie et l'exubérance et est donc particulièrement à l'aise ici. À côté d'eux, en parents envahissants, on trouve l'éternel bougon Claude Brasseur en père dirigiste et Bernadette Lafont en épouse opposée à son mari parce que mère trop complaisante. Ils nous jouent tous les deux un numéro assez réussi et plaisant, surtout Bernadette, toujours capable de donner du cachet au moindre rôle, aussi bien par sa physionomie toujours aussi expressive que par son ton de voix gouailleur inimitable. Une bonne détente pas compliquée dans des décors bien choisis.