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Votre avis sur Omar m'a tuer ?
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Bien sûr,le sujet était à manipuler avec d'infinies précautions.Le faits-divers sur Omar Raddad,jardinier marocain,jugé coupable du meurtre de sa patronne,puis relaxé par le président,mais pas par la justice,a fait couler beaucoup d'encre dans les années 90.De fait,Roschdy Zem,pour sa deuxième réalisation,s'ancre tellement dans le parti pris,que sa fiction n'offre aucun recul nécessaire,ne donne pas envie d'entrer avec son personnage principal,effectivement victime d'une grossière erreur judiciaire,basée sur des préjugés et l'incommunicabilité.Sami Bouajila,qui a perdu 18 kilos pour le rôle,adopté un accent appuyé et regard hagard,ne parvient pas à transmettre la détresse d'Omar,seulement son ingénuosité.Et il est peu trop dans le registre de la performance discrète."Omar m'a tuer" est un film plombant,ennuyeux,moyennement crédible(surtout au tribunal)et qui ne laisse pas au spectateur le choix de juger par lui-même.La colère de l'injustice a aveuglé et endormi Zem.Le film ne se départit jamais de son aspect téléfilm,et peut dire merci à Denis Podalydès qui apporte un peu de nuance,en contrepoint journalistique.
Le Film montre une histoire vrai ce qui assez bien d?montrer dans l'ensemble mais il y a deux petite critiques que je ferais n?anmoins. Les dates sont un peu confuses on passe de mars 1991 a avril 1994 et ainsi de suite et la deuxi?me c'est que le film n'as pas assez d'action sinon j'ai bien l'histoire du Jardinier Omar Raddad.
En dépit de l'interprétation impeccable de Bouajila, ce film peine à susciter l'émotion. Oscillant entre docu et fiction, il manque partiellement son but, car on ne sait pas trop au final ce qui relève de la fiction ou de l'imagination du scénariste. Le personnage de Tintin-reporter-justicier de Poladyles plombe encore le film. Le comédien qui interprète l'avocat Vergés est beaucoup moins bon et subversif que l'original. Certaines scènes sont inutiles ou mal utilisées comme celle de l'Académie française, à la limite du ridicule. Le cinéaste, Zem, n'a pas su prendre ses distances par rapport à certains aspects de ce sujet qui lui tenait à coeur. De plus, la réalisation, un peu molle, manque de rythme.
Bref, ça se laisse voir, c'est bien intentionné, mais ce n'est pas à la hauteur du drame.
Bref, ça se laisse voir, c'est bien intentionné, mais ce n'est pas à la hauteur du drame.
Un terrible film sur l'histoire vraie d'un faux coupable. Coupable idéal, Omar Raddad et son histoire ont mis en lumière une justice française toujours plus décadente. Bouajila dans le rôle principal est saisissant, impressionnant. Un beau film qui en touchera plus d'un.
Un peu trop de parti pris à mon goût. On aurait pu sous-titrer le tire du film en mettant "tout montre qu'il n'a rien fait et pourtant il est en prison". Outre la reprise des éléments existants, le film est pas mal, un peu mou cependant.
Visiblement convaincu de l'innocence d'Omar Raddad (d'un autre côté, comment ne pas l'être ?), le comédien Roschdy Zem revient à la mise en scène après son sympathique "Mauvaise foi". Plus engagé, plus ambitieux, ce second film reste un brin scolaire et sage pour atteindre la réussite des classiques du genre. Très partisan, il met cependant en évidence les failles d'une enquête bâclée et surtout celles d'un système judiciaire complètement dépassé, prêt à tout pour ne pas reconnaître ses fautes. Dans le rôle principal, Sami Bouajila est absolument saisissant, très bien entouré par un excellent casting.
Film décevant car trés faible au niveau du fond. La mort de Mme Marchal pose des questions complexes et le film est basé sur des idées simplistes.
peut être est ce dû au temps limité ( 1 30 ) mais on se laisse aller à des escroqueries intellectuelles comme par exemple la trop grande régularité de l'inscription Omar m'a tuer alors que seule l'inscription prés de la lumière était alignée !!! Cela gâche tout pour ceux qui ont une certaine connaissance de l'affaire.
Le film aurait dû insiste sur les différentes interprétations des indices de la mort de Madame Marchal.
Bref trés décevant.
peut être est ce dû au temps limité ( 1 30 ) mais on se laisse aller à des escroqueries intellectuelles comme par exemple la trop grande régularité de l'inscription Omar m'a tuer alors que seule l'inscription prés de la lumière était alignée !!! Cela gâche tout pour ceux qui ont une certaine connaissance de l'affaire.
Le film aurait dû insiste sur les différentes interprétations des indices de la mort de Madame Marchal.
Bref trés décevant.
Basé sur un fait divers morbide, le film s’oriente sur les faits et les preuves durant les années d’enquête sans réel enchainement des faits et implication du spectateur. Un documentaire, plus détaillé, aurait suffi.
Un drame judiciaire complet, surtout porté par un brillant Sami Bouajila mais parfois touché par son parti pris. Erreur judiciaire célèbre des années 90, le scénario retrace les sept années de prison d'Omar Raddad, jardinier accusé a tort du meurtre de sa patronne et en parallèle l'enquête mené par un écrivain pour donner une base a la défense de Raddad, un travail de longue haleine bien retranscrit malgré la courte durée du film, mais certaines scènes sont un peu trop caricaturales et presque en trop. Même si je ne l'ai jamais vraiment apprécié en tant qu'acteur, Sami Bouajila est bluffant et interprète toute la colère et la douleur intérieur d'O.Raddad avec beaucoup d'implication et de compréhension, et Denis Podalydès reste toujours dans son jeu très comédie française mais efficace. Pour son deuxième film en tant que réalisateur, l'excellent Roschdy Zem démontre l'innocence de Raddad, et l'objectif est accompli : une mise en scène parfois un peu longue, mais qui touche.
Un drame touchant, une histoire vraie sur une homme qui mérite enfin une vie tranquille comme il le souhaite.
Un drame touchant, une histoire vraie sur une homme qui mérite enfin une vie tranquille comme il le souhaite.
gabdias
Un documentaire sur l'une des affaires phares des années 90, sans l'avouer, Roschy Zem plaide une cause qui semble évidente : l'innocence d'Omar Raddad. D'un point de vue artistique, Sami Bouajila est proche de la perfection et Roschdy Zem arrive à son objectif sans tomber dans le larmoyant.
Un plaidoyer réussi, tracé de main de maitre par l'interprétation juste et émouvante de Sami Bouajila. Ce film sait rester sobre. Il est filmé intelligemment, tout en explorant avec justesse les zones d'ombres de l'affaire.
Ayant toujours été intéressé par cette sombre histoire, ce film, très fidèle aux faits, ne m'a rien appris, Pourtant, il a réussi à m'étonner et à m'émouvoir,de par la compassion et les tourments psychologiques qu'a réussi à communiquer Sami Bouajila, dont tout cela trouve la source dans ce morphing physique troublant.
Ayant toujours été intéressé par cette sombre histoire, ce film, très fidèle aux faits, ne m'a rien appris, Pourtant, il a réussi à m'étonner et à m'émouvoir,de par la compassion et les tourments psychologiques qu'a réussi à communiquer Sami Bouajila, dont tout cela trouve la source dans ce morphing physique troublant.
Merveilleux, alors là Roschdy Zem m'a époustouflée ! Il a réussit à nous fait retranscrire l'erreur de justice sans pathétisme sur la victime mais uniquement avec enchainement de fait réels. Très très bien, j'ai adoré !
Ce film ouvre les yeux sur la calvaire que cela peut être de subir une injustice et être accusé à tort
Film réussi et d'une rare sensibilité. Sami Bouajila est remarquable et retrace parfaitement le calvaire vécu par un innocent depuis maintenant 20 ans victime de l'implacable machine judiciaire et policière.
Un film correctement réalisé, reprenant les faits d'une affaire criminelle marquante dans la mémoire collective. On y perçoit les tenants et les aboutissants de cette affaire toujours non élucidée.
Jolie interprétation générales de la part de l'ensemble de ces acteurs dont je pense que l'objectif était d'être le plus proche possible de la réalité. Objectif atteint.
Jolie interprétation générales de la part de l'ensemble de ces acteurs dont je pense que l'objectif était d'être le plus proche possible de la réalité. Objectif atteint.
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