Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Excessif
par Julien Munoz
Film de comédien avant tout, "Omar m'a tuer" puisse sa force d'abord chez ses acteurs : notamment chez son interprète principal Sami Bouajila qui au delà de sa transformation physique discrète mais payante, véhicule une indéniable compassion évitant toute empathie malhonnête.
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L'Obs
par Pascal Mérigeau
Au-delà de qualités évidentes, celles de l'interprétation notamment, et d'une attention aux êtres qui dépasse amplement la banale compassion, c'est un vrai désir de cinéma qui dans "Omar m'a tuer" se fait jour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Mieux qu'un réquisitoire, ce film pointe avec minutie les zones d'ombre d'une tragédie. Ce qui est beaucoup plus efficace.
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Le Journal du Dimanche
par Eric Mandel
La force du film tient d'abord à l'interprétation de Sami Bouajila. (...) L'opposition entre deux univers et deux personnages diamétralement opposés, confère une indéniable cohérence et originalité à ce film sous tension.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Marie Sauvion
Un plaidoyer simple et efficace. (...) L'interprétation de Sami Bouajila est poignante.
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Le Point
par Christophe Ono-Dit-Biot
voir lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Metro
par Jérôme Vermelin
Roschdy Zem donne enfin un visage à ce "coupable idéal" et surtout il lui donne une voix. Sami Bouajila se l'approprie avec sobriété, livrant juste ce qu'il faut d'affect pour nous faire partager le calvaire de Raddad.
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Ouest France
par La rédaction
Roschdy Zem a sa conviction, mais il retient sa colère, pour s'en tenir aux faits, en conduisant son récit d'un double point de vue.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Alain Spira
Plaidoyer sincère en faveur de l'accusé, ce film dessine avec sensibilité le portrait d'un homme écrasé par la machine judiciaire.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Maxime Chevalier
(...) le film est d'une grande probité, fort bien interprété de surcroit (émouvant Sami Bouajila), et remplit son projet d'alerter les spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Philippe Jambet
Les moments les plus forts ne sont pas dans les effets de manches qui ont lieu dans les prétoires (par ailleurs moyennement convaincants) mais dans les gestes quotidiens ou les regards d'un homme contraint de grandir par la force des choses et auquel Sami Bouajila offre une humanité bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
La maîtrise de sa mise en scène est renforcée par le tempérament de deux acteurs majuscules : Sami Bouajila, bouleversant d'humanité dans le rôle du jardinier, et Denis Podalydès, magistral dans celui de l'enquêteur.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Roschdy Zem signe un film digne et prenant sur un homme broyé par la machine judiciaire. (...) La performance de Sami Bouajila, sonné mais debout, en impose.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Caroline Vié
Tout à sa démonstration à décharge, le réalisateur oublie presque le crime commis et ne souligne que les éléments venant appuyer sa thèse. Sans doute trop investi par son sujet, il livre une oeuvreattachante par sa sincérité et la dignité débordant de la personnalité du suspect Omar Raddad.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Franck Unimon
(...) Cela ne justifie pas que le film sorte pratiquement à la date anniversaire de la mort de Ghislaine Marchal vingt ans plus tôt : celle-ci n'y est pour rien si sa mort a été attribuée à Omar Raddad. En sortant à un autre moment, "Omar m'a tuer" aurait été aussi légitime qu' "Indigènes" ou "Hors-là-loi".
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Elle
par Claire Hache
"Omar m'a tuer" est une très bonne fiction, parfaitement interprétée et réalisée. Il faut le prendre comme tel. Dans le cas contraire, une question se pose : ne vaut-il mieux pas se contenter d'un bon documentaire sur cette affaire?
La critique complète est disponible sur le site Elle
Filmsactu
par Yann Rutledge
Malgré une mise en scène peu audacieuse, "Omar m'a tuer" reste un bon film d'acteur, reposant essentiellement sur les épaules d'un Sami Bouajila qui incarne avec beaucoup émotion un homme innocent brisé par une justice qui ne doute jamais.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Express
par Eric Libiot
Le film de Roschdy Zem s'appuie sur deux points de vue. Un coup ici, un coup là, un morceau de film derrière les barreaux, un autre en scooter. Certes, pas inintéressant. Mais frustrant. Car l'un finit par affaiblir l'autre. Sami Bouajila est impressionnant de justesse (...). Roschdy Zem filme en douceur et sans effets tire-larmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Marie Boëton
Bien que subtilement mis en scène, le parti pris constitue la principale limite du film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Honnête et sincère dans son propos, le film de Roschdy Zem n'en appelle pas moins certaines réserves. Le choix d'un acteur connu, quand bien même il serait aussi talentueux que Sami Bouajila, en est une. Par ailleurs, la nécessaire prudence à laquelle est tenu le film le rend moins percutant qu'une pure fiction, tel ce "Prophète", de Jacques Audiard, auquel on pense souvent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Michel Henry
Après étude du dossier judiciaire, il [Zem] choisit de traiter le parcours d'un homme illettré, parlant très mal le français et pris dans l'engrenage judiciaire, plutôt que de dérouler les contradictions de l'affaire. En Omar Raddad, homme simple et froid, Sami Bouajila effectue une impressionnante performance, perdant 18 kilos pour montrer les souffrances de l'enfermement et de l'injustice.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Guillemette Odicino
Sami Bouajila est vraiment bouleversant : un homme sans mots, donc sans arme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Ce n'est plus Omar qui vit à l'écran, mais la personnification de " l'erreur judiciaire générée par son lot de préjugés et d'incommunicabilité ". Le film se retrouve alors un peu à court de munitions pour transformer ces grands concepts en moteurs de fiction et se raccroche alors, bon an mal an, au déroulé tranquille d'une contre-enquête jouée d'avance.
Critikat.com
par Benoît Smith
Le dossier assemblé en film par Zem pose le même problème que ceux de Boisset et autres artisans académiques : leur engagement, leur volonté de témoignage sont-ils sincères, ou ne font-ils, en bons conformistes, que s'appuyer que sur des idées déjà largement admises ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Aveuglé par la droiture objective du jardinier, joué par un Sami Bouajila un peu trop ostensiblement dans la performance, Roschdy Zem dilue le soufre de son sujet dans le bouillon de l'empathie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Engagé sans se l'avouer et critique sans adopter de point de vue, le film n'est finalement rien du tout. Sauf peut-être un docu-drama d'inspiration télévisuelle, gorgé de pathos, dont la filiation ne remonte pas tant à Zola qu'à Christophe Hondelatte.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Excessif
Film de comédien avant tout, "Omar m'a tuer" puisse sa force d'abord chez ses acteurs : notamment chez son interprète principal Sami Bouajila qui au delà de sa transformation physique discrète mais payante, véhicule une indéniable compassion évitant toute empathie malhonnête.
L'Obs
Au-delà de qualités évidentes, celles de l'interprétation notamment, et d'une attention aux êtres qui dépasse amplement la banale compassion, c'est un vrai désir de cinéma qui dans "Omar m'a tuer" se fait jour.
Le Figaroscope
Mieux qu'un réquisitoire, ce film pointe avec minutie les zones d'ombre d'une tragédie. Ce qui est beaucoup plus efficace.
Le Journal du Dimanche
La force du film tient d'abord à l'interprétation de Sami Bouajila. (...) L'opposition entre deux univers et deux personnages diamétralement opposés, confère une indéniable cohérence et originalité à ce film sous tension.
Le Parisien
Un plaidoyer simple et efficace. (...) L'interprétation de Sami Bouajila est poignante.
Le Point
voir lepoint.fr
Metro
Roschdy Zem donne enfin un visage à ce "coupable idéal" et surtout il lui donne une voix. Sami Bouajila se l'approprie avec sobriété, livrant juste ce qu'il faut d'affect pour nous faire partager le calvaire de Raddad.
Ouest France
Roschdy Zem a sa conviction, mais il retient sa colère, pour s'en tenir aux faits, en conduisant son récit d'un double point de vue.
Paris Match
Plaidoyer sincère en faveur de l'accusé, ce film dessine avec sensibilité le portrait d'un homme écrasé par la machine judiciaire.
Positif
(...) le film est d'une grande probité, fort bien interprété de surcroit (émouvant Sami Bouajila), et remplit son projet d'alerter les spectateurs.
Première
Les moments les plus forts ne sont pas dans les effets de manches qui ont lieu dans les prétoires (par ailleurs moyennement convaincants) mais dans les gestes quotidiens ou les regards d'un homme contraint de grandir par la force des choses et auquel Sami Bouajila offre une humanité bouleversante.
Télé 7 Jours
La maîtrise de sa mise en scène est renforcée par le tempérament de deux acteurs majuscules : Sami Bouajila, bouleversant d'humanité dans le rôle du jardinier, et Denis Podalydès, magistral dans celui de l'enquêteur.
TéléCinéObs
Roschdy Zem signe un film digne et prenant sur un homme broyé par la machine judiciaire. (...) La performance de Sami Bouajila, sonné mais debout, en impose.
20 Minutes
Tout à sa démonstration à décharge, le réalisateur oublie presque le crime commis et ne souligne que les éléments venant appuyer sa thèse. Sans doute trop investi par son sujet, il livre une oeuvreattachante par sa sincérité et la dignité débordant de la personnalité du suspect Omar Raddad.
Brazil
(...) Cela ne justifie pas que le film sorte pratiquement à la date anniversaire de la mort de Ghislaine Marchal vingt ans plus tôt : celle-ci n'y est pour rien si sa mort a été attribuée à Omar Raddad. En sortant à un autre moment, "Omar m'a tuer" aurait été aussi légitime qu' "Indigènes" ou "Hors-là-loi".
Elle
"Omar m'a tuer" est une très bonne fiction, parfaitement interprétée et réalisée. Il faut le prendre comme tel. Dans le cas contraire, une question se pose : ne vaut-il mieux pas se contenter d'un bon documentaire sur cette affaire?
Filmsactu
Malgré une mise en scène peu audacieuse, "Omar m'a tuer" reste un bon film d'acteur, reposant essentiellement sur les épaules d'un Sami Bouajila qui incarne avec beaucoup émotion un homme innocent brisé par une justice qui ne doute jamais.
L'Express
Le film de Roschdy Zem s'appuie sur deux points de vue. Un coup ici, un coup là, un morceau de film derrière les barreaux, un autre en scooter. Certes, pas inintéressant. Mais frustrant. Car l'un finit par affaiblir l'autre. Sami Bouajila est impressionnant de justesse (...). Roschdy Zem filme en douceur et sans effets tire-larmes.
La Croix
Bien que subtilement mis en scène, le parti pris constitue la principale limite du film.
Le Monde
Honnête et sincère dans son propos, le film de Roschdy Zem n'en appelle pas moins certaines réserves. Le choix d'un acteur connu, quand bien même il serait aussi talentueux que Sami Bouajila, en est une. Par ailleurs, la nécessaire prudence à laquelle est tenu le film le rend moins percutant qu'une pure fiction, tel ce "Prophète", de Jacques Audiard, auquel on pense souvent.
Libération
Après étude du dossier judiciaire, il [Zem] choisit de traiter le parcours d'un homme illettré, parlant très mal le français et pris dans l'engrenage judiciaire, plutôt que de dérouler les contradictions de l'affaire. En Omar Raddad, homme simple et froid, Sami Bouajila effectue une impressionnante performance, perdant 18 kilos pour montrer les souffrances de l'enfermement et de l'injustice.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télérama
Sami Bouajila est vraiment bouleversant : un homme sans mots, donc sans arme.
Cahiers du Cinéma
Ce n'est plus Omar qui vit à l'écran, mais la personnification de " l'erreur judiciaire générée par son lot de préjugés et d'incommunicabilité ". Le film se retrouve alors un peu à court de munitions pour transformer ces grands concepts en moteurs de fiction et se raccroche alors, bon an mal an, au déroulé tranquille d'une contre-enquête jouée d'avance.
Critikat.com
Le dossier assemblé en film par Zem pose le même problème que ceux de Boisset et autres artisans académiques : leur engagement, leur volonté de témoignage sont-ils sincères, ou ne font-ils, en bons conformistes, que s'appuyer que sur des idées déjà largement admises ?
Les Inrockuptibles
Aveuglé par la droiture objective du jardinier, joué par un Sami Bouajila un peu trop ostensiblement dans la performance, Roschdy Zem dilue le soufre de son sujet dans le bouillon de l'empathie.
Chronic'art.com
Engagé sans se l'avouer et critique sans adopter de point de vue, le film n'est finalement rien du tout. Sauf peut-être un docu-drama d'inspiration télévisuelle, gorgé de pathos, dont la filiation ne remonte pas tant à Zola qu'à Christophe Hondelatte.