Petite comédie gentillette, sortie discrètement en salles à la fin des années 90, Paulie le perroquet qui parlait trop est pourtant mine de rien une agréable aventure que je ne me lasse pas de regarder. Tout est dans le titre, cet oiseau bavard et parfois grossier possède un cœur et une âme et il ne tarde pas à enchainer les bourdes et les leçons de vie. Leçons de vie qu'il apprendra à ses dépens en parcourant les États-Unis durant toute une vie à la recherche de son amie d'enfance, rencontrant tour à tour des personnages hilarants, tous aussi différents les uns que les autres. Réalisation soignée, musique entrainante, acteurs convaincants (dont Tony Shalhoub, Gena Rowlands, Cheech Marin et Bruce Davison) et scènes hilarantes sont au rendez-vous, comme lorsque Paulie danse pour un impresario de perroquets ambulant ou encore la fameuse scène où il chante "What's New Pussycat ?" de Tom Jones. Une comédie délectable à consommer sans modération.
Un film larmoyant à souhait, les histoires de péripétie d'animaux me font pleurer, adorable perroquet fantaisiste prénommé Paulie, romanesque et humble.
Je viens de tomber sur ce film par hasard et à ma grande surprise j’ai adoré. Paulie est tendre, drôle, touchant, émouvant, mais ne tombe pas dans la mièvrerie. J’ai souris, ris, et oui j’avoue, j’ai eu la larme à l’œil. Et maintenant je me sens bien : j’ai un sourire sur mon visage depuis le mot fin, et c’est pour ça que je me suis précipitée ici pour le partager avec vous. Si vous avez un petit coup de blues, ce qui était mon cas, ce film met du baume au cœur. Enfants, ados, adultes, ce film est pour tout le monde ! Je ne vais pas vous faire le pitch, tout est dit dans le synopsis, je tenais juste à vous communiquer mon ressenti.
« Paulie, le perroquet qui parlait trop » est sorti sur les écrans en 1998 peu de temps après la création du Studio Dreamworks par Steven Spielberg, David Geffen et Jerry Katzenberg parti de chez Disney où il était le puissant responsable du département animation ayant contribué à la relance du studio. C’est le quatrième long métrage de DreamWorks qui marque déjà son inclinaison pour les productions destinées à la jeunesse. Dans les sous-sols d’un institut scientifique effectuant des recherches sur le comportement animal, Misha (Tony Shalhoub), un émigrant russe embauché pour le ménage découvre un perroquet qui semble mis à l’isolement. Curieux, Misha entame un monologue avec le perroquet qui lui répond, montrant des dispositions étonnantes. Paulie comme il se nomme, va narrer à son nouvel ami son parcours parmi les humains qui l’a conduit jusque dans cette cage et dans ce sous-sol. A la manière de Balthazar, l’âne de Robert Bresson (« Au hasard Balthazar » en 1966), Paulie va faire la triste expérience de la cruauté et de la bêtise humaine mais aussi partager plus rarement des moments de tendresse avec une vieille dame iconoclaste (Gena Rowlands) et avec sa première maîtresse, une enfant handicapée par un bégaiement. S’adressant à des enfants, « Paulie, le perroquet qui parlait trop » est certes beaucoup moins pessimiste et n’a pas la même portée que le chef d’œuvre du maître qu’était Robert Bresson mais il a sans doute le mérite de s’adresser à un plus large public qu’il saura tout à la fois amuser et émouvoir. Modeste succès à sa sortie, le film de John Roberts (réalisateur anglais quasi inconnu) a depuis les sorties en DVD et les diffusions télévisées acquis une renommée qui n’est pas usurpée tant sa narration et son traitement sont empreints de subtilité.
Il y a parfois de ces films « pour enfants » dont on attend strictement rien et qui savent pourtant se faire contre toute attente fort touchant et sympathique : ce « Paulie » est de ceux-là. Oh non pas que l'on tienne un génie de la mise en scène en la personne de John Roberts, mais quelle sincérité, quelle tendresse dans le propos! Au point d'ailleurs que nous ne sommes jamais très loin de la niaiserie, et pourtant ce ton assez guimauve et consensuel ne nuit jamais au film, bien au contraire. Car il n'est finalement pas si courant de voir des spectacles s'assumant aussi bien tout en gardant une élégance, une émotion réelle à plusieurs reprises. Dommage alors que le film faiblisse tout de même bien sur la fin, le « sketch » avec la toujours magnifique Gena Rowlands demeurant de loin le plus réussi de tous, mais reste que l'on ne peut rester au final totalement insensible à cette oeuvre tendre et plaisante : pourquoi s'en priver?
Gena Rowlands, Tony Shalhoub, Bill Cobbs, Jay Mohr... Un casting intéressant ma foi... Et le film n'est pas mal non plus. Une comédie sympathique à regarder, ces aventures de Paulie sont quelques fois amusantes, quelques fois tristes, mais ne manquent pas de sentimentalisme.
Je n'ai pas découvert ce film quand j'étais petite, seulement maintenant à 21 ans. Je peux dire que malgré ça, c'est un film qui m'a touché, on s'attache vite à Paulie, ce perroquet si adorable. Le film est très bien contruit et émouvant. Il plaira beaucoup aux enfants, ainsi qu'aux plus vieux ! A voir en famille ;)
Un film qui a bercé mon enfance. Une charmante histoire. Tony Shalboub est à l'aise dans son rôle d'antihéros. Le reste du casting est excellent. Le perroquet est bien dressé pour paraître bavard, marrant et émouvant à la fois.
Ce film est une vraie pépite : tendre et drôle, mais tellement juste et vraie. Belle leçon d'amitié, de ténacité, d'abnégation, ... de vie ! Film excellent pour les enfants, mais pas qu'eux !
Ce film constitue un bon film pour enfant dont on se souvient bien. L'histoire est très sympathique. Le personnage du perroquet est absolument hilarant et très touchant. La voix du perroquet est très bien. L'acteur Tony Shalhoub est bien de son côté. Les mésaventures de Paulie le perroquet sont très divertissantes. On ne s'ennuie pas du tout.
Ce film est fabuleux !!!Une petite merveille rare et intelligente,qui démontre que parlait trop ne nous apporte que des ennuis mais qu'il n'est pas interdit de parler non plus.Beaucoup d'humour des seconds rôle attachant,des scènes inoubliables,une fin bouleversante et une B.O de qualité.C'est le film qui a bercé mon enfance,un régal !!!!
Un des films qui a bercé mon enfance. Je l'ai regardé encore il n'y a pas si longtemps, et j'ai autant pleuré que lorsque j'avais 8ans (j'en ai 22). Pourquoi? Parce que c'est émouvant, et qu'en tant qu'amoureuse des animaux, je n'ai pas supporté ce thème de l'abandon et de la fidélité d'un animal pour son maitre. Il uy a également des passages assez drôles. Un bon film pour tous!