Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
45 critiques presse
CNews
par Philippe Labro
Car ce film est le contraire de ce que produit, habituellement, le cinéma français : comédies urbaines, intimes. DiCaprio et son metteur en scène vont au-delà. Leur "Revenant" répond à l’une des vocations du cinéma : dépayser, faire peur ou faire rêver, faire appel à l’instinct plutôt qu’à la raison.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Fresque à la fois intimiste et lyrique avec peu de dialogues et à la réalisation magistrale, le film est littéralement porté par la prestation bluffante de Leonardo DiCaprio. Du grand cinéma âpre et captivant.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Boris Courret
DiCaprio, qui signe le rôle le plus taiseux de sa carrière, est époustouflant dans ce revenge movie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Gala
par Jean-Christian Hay
Avec The Revenant, Alejandro González Iñárritu se montre aussi habile à filmer les grands espaces que l’espace confiné d’un théâtre. Sa mise en scène est magistrale.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Express
par Eric Libiot
Dicaprio au meilleur de son talent. Un des plus grands films de l'année. Oui, déjà...
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Derrière sa barbe, le regard bleu glacé de Leonardo DiCaprio, véritable miroir d’une âme tourmentée. Transfiguré, tout en économie de mots et d’effets, il confirme qu’il est un acteur d’exception. Dans une œuvre d’exception.
Le Parisien
par Alain Grasset
Ce chef-d'oeuvre évoque l'univers de cinéastes tels que John Boorman, David Lean ou Werner Herzog. DiCaprio et Tom Hardy sont au diapason de ce film épique exceptionnel.
Le Point
par Christophe Ono-dit-Biot
Il a beau être interminable, le film qui pourrait valoir son premier oscar à DiCaprio est d'une telle splendeur cinématographique qu'on en ressort secoué.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par Alexandre Poncet
POUR : Une fresque désespérée, nihiliste et d'une violence inouïe. Accessoirement, c'est techniquement renversant.
Metro
par Mehdi Omaïs
Aucun doute : "The Revenant" marque d’une pierre blanche la rencontre foudroyante entre un acteur de folie et un cinéaste en état de grâce. Chacun sert et inspire l’autre dans une espèce de flux-tendu qui nourrit l’appétit d’ogre de ce survival.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Dès l'ouverture, des images époustouflantes, qui racontent la nature comme le cinéma l'a rarement fait.
Paris Match
par Alain Spira
Extrême, radical, magnifique, ce western survival est un chef-d'œuvre du genre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Loup Bourget
(Une) oeuvre magistrale d'Iñárritu et (une) performance héroïque de DiCaprio.
Public
par Florence Roman
Un grand film d'une beauté à couper le souffle.
TF1 News
par Océane Le Moal
POUR : Une épopée grandiose menée par Leonardo DiCaprio, méconnaissable et impressionnant en trappeur qui lutte pour sa survie, à travers une nature magnifiée qui devient peu à peu un personnage inquiétant et hostile devant la caméra du maître Alejandro González Iñárritu.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
L’acteur est saisissant et sauvage jusque dans son souffle, qui épouse les craquements de cette nature indomptable. L’ensemble n’en est que plus beau et brutal. Un chef-d’œuvre, stupéfiant et fascinant !
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Voici
par La Rédaction
Une longue odyssée sauvage, vertigineuse et spectaculaire, organique, lyrique et spirituelle.
Ecran Large
par Simon Riaux
C’est justement cette combinaison hétéroclite de défauts et d’immenses qualités qui en font non pas un chef d’œuvre, mais une création à part, un plaisir brutal et inédit.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Khadija Moussou
Les cinéphiles y verront une forte influence des films de Terrence Malick, avec non pas une ode, mais une métaphore sur l’origine de l’humanité notamment lors des scènes de combats avec la nature, les Indiens... Visuellement, c’est fort et très beau. On est pris aux tripes.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par La Rédaction
La mise en scène, avant tout, est impressionnante : chaque cadre, chaque image, chaque couleur est sublime, contrastes intenses, horizons rugueux, silhouettes égarées.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Ghislain Benhessa
"The Revenant" n’est rien moins que l’une des œuvres les plus radicales données à voir ces derniers temps, comme si Iñárritu, grâce au succès commercial et critique de "Birdman", était parvenu à conquérir son espace de liberté à l’intérieur de l’industrie hollywoodienne.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
(...) l’œuvre, d’un réalisme sauvage, s’inscrit dans une tradition épique longtemps incarnée par des cinéastes comme Kurosawa, Boorman, Fuller, ces maîtres chez qui Inarritu n’hésite pas à puiser.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Immensité des paysages, violence primitive, affrontement entre Indiens et trappeurs : Gonzalez Inarritu transforme le western en épopée des temps premiers et DiCaprio en héros mythique.
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Investi à 200 % dans l’aventure, soucieux de la préservation de l’environnement, mais surtout attentif aux tribus déracinées, DiCaprio a même appris le langage des Indiens. C’est indéniable, l’acteur est au sommet de son art.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
Magnifié par la lumière d'Emmanuel Lubezki, le film d'Alejandro González Iñárritu fait de la fondation des Etats-Unis une expérience épique et sensorielle.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Au croisement de plusieurs genres cinématographiques, “The Revenant” est probablement le plus ambitieux et le plus réussi des films d'Alejandro González Iñárritu.
Première
par Christophe Narbonne
Il ne manque rien à "The Revenant", sinon, peut- être, une conscience moins affichée de sa propre grandeur, par ailleurs indiscutable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Maud Antigna
Dans un ballet d'images savamment orchestrées à la manière d'un Terrence Malick qui aurait retrouvé son inspiration, Inarritu ne nous lâche pas pour mieux nous faire déguster.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Une nouvelle performance hors normes pour le comédien : l'immensité de son talent n'a décidément pas de limites.
Télérama
par Louis Guichard
POUR : Il y a une folie hollywoodienne, captivante en soi, dans cette succession d'épreuves inhumaines, qui sont autant de défis lancés à tous : réalisateur, techniciens, comédiens et spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Loris Hantzis
Une expérience unique et absolument indispensable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Cette approche académique du cinéma de genre a au moins un mérite : elle remet le cinéma d’Iñárritu à sa véritable place en le dépouillant de ses habituelles mystifications (ciao le super-auteur qui nous donne des nouvelles du monde) et en réduisant son impayable sérieux à de purs gimmicks hollywoodiens.
Culturopoing.com
par Lucien Halflants
Un rôle christique pour quête mystique qui rapidement tourne à vide tant la force du film se trouve dans son caractère galvanisant, au plus près de l’action de survie. Comme un mince propos apposé à la surface d’une œuvre sensorielle et effroyablement efficace.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Délaissant ses œuvres chorales alambiquées et ses expériences tortueuses, il (Iñarritu) décrit un processus quasi unique, un long chemin de croix non dénué d’une certaine harmonie formelle et faisant la part belle au paysage. Cela dit, le caractère mécanique et répétitif des infortunes du héros éclipse presque la dimension naturelle de l’aventure.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Sud Ouest
par Sophie Avon
Bien sûr, la beauté des paysages et des plans devrait compenser la durée, mais, comme toujours, Iñárritu gâche tout par excès de confiance. Ivre de sa propre virtuosité, il ne renonce à rien, ni à la splendeur, ni à la vérité, ni à la sauvagerie. Qui trop embrasse…
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
VSD
par Olivier Bousquet
On pense fortement à Terrence Malick, auquel Inarritu a emprunté le chef-opérateur. On s'éparpille aussi un peu, au fur et à mesure d'un récit finalement prévisible ponctué de lourdeurs qui, chez d'autres cinéastes moins adoubés par la critique, feraient rire grassement. Reste la performance de DiCaprio.
La critique complète est disponible sur le site VSD
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
A force de rappeler à chaque plan l'effort que celui-ci a nécessité, "The Revenant" perd toute élégance, tout mystique, et ne devient que surlignage maladroit.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Croix
par Arnaud Schwartz
En dépit de sa démonstration permanente de savoir-faire, ce Revenant-là peut aussi se regarder d’un œil morne. Tout ça pour ça.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Après "Birdman", Inarritu repousse encore plus loin les frontières de la prouesse technique. Ultra-spectaculaire, "The Revenant" laisse cependant un arrière-goût dérangeant.
Libération
par Julien Gester
La caméra, volontiers tournoyante, a beau scruter les cieux en quête d’une lueur de spiritualité, courir après la matérialité brute des éléments contraires, sonder avidement la tripaille et les tissus à vif, ce récit peuplé de visions spectrales sans relief n’accède jamais vraiment à aucun souffle, ni divin, ni romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TF1 News
par Romain Le Vern
CONTRE : Leonardo DiCaprio et Tom Hardy sont formidables. Le film, plus poseur que tripal, beaucoup moins. Quelques fulgurants moments de cinéma, dont une hallucinante attaque de grizzly, mais aussi beaucoup d'esbroufe, de lourdeur pachydermique et de plans piochés, entre autres, chez Tarkovski et Jodorowsky.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Aurélien Ferenczi
CONTRE : Juste retour des choses (...), c'est sur l'impossibilité de représenter la vraie sauvagerie que bute le cinéaste : jamais ours numérique (...) n'a paru plus artificiel ou plus bidon. Cet effet qui fait pschitt donne, hélas, le ton du film tout entier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Que dire donc de ce film qui, entre plagiat inavoué et emphase creuse (...) s'avance comme un mastodonte multioscarisable accompagné d'un battage médiatique qui voudrait faire office de critique (...)? Pas grand-chose.
Critikat.com
par Josué Morel
Autant sur le terrain du "Nouveau Monde" que de celui de "Gravity" (Lubezki, encore), Iñárritu fait étalage une fois de plus de sa lourdeur et de sa grandiloquence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Mad Movies
par Laurent Duroche
CONTRE : A force de chercher la performance, Iñárritu se voit plus grand que son sujet. Manque de pot : il ne l'est pas.
CNews
Car ce film est le contraire de ce que produit, habituellement, le cinéma français : comédies urbaines, intimes. DiCaprio et son metteur en scène vont au-delà. Leur "Revenant" répond à l’une des vocations du cinéma : dépayser, faire peur ou faire rêver, faire appel à l’instinct plutôt qu’à la raison.
Femme Actuelle
Fresque à la fois intimiste et lyrique avec peu de dialogues et à la réalisation magistrale, le film est littéralement porté par la prestation bluffante de Leonardo DiCaprio. Du grand cinéma âpre et captivant.
Franceinfo Culture
DiCaprio, qui signe le rôle le plus taiseux de sa carrière, est époustouflant dans ce revenge movie.
Gala
Avec The Revenant, Alejandro González Iñárritu se montre aussi habile à filmer les grands espaces que l’espace confiné d’un théâtre. Sa mise en scène est magistrale.
L'Express
Dicaprio au meilleur de son talent. Un des plus grands films de l'année. Oui, déjà...
Le Journal du Dimanche
Derrière sa barbe, le regard bleu glacé de Leonardo DiCaprio, véritable miroir d’une âme tourmentée. Transfiguré, tout en économie de mots et d’effets, il confirme qu’il est un acteur d’exception. Dans une œuvre d’exception.
Le Parisien
Ce chef-d'oeuvre évoque l'univers de cinéastes tels que John Boorman, David Lean ou Werner Herzog. DiCaprio et Tom Hardy sont au diapason de ce film épique exceptionnel.
Le Point
Il a beau être interminable, le film qui pourrait valoir son premier oscar à DiCaprio est d'une telle splendeur cinématographique qu'on en ressort secoué.
Mad Movies
POUR : Une fresque désespérée, nihiliste et d'une violence inouïe. Accessoirement, c'est techniquement renversant.
Metro
Aucun doute : "The Revenant" marque d’une pierre blanche la rencontre foudroyante entre un acteur de folie et un cinéaste en état de grâce. Chacun sert et inspire l’autre dans une espèce de flux-tendu qui nourrit l’appétit d’ogre de ce survival.
Ouest France
Dès l'ouverture, des images époustouflantes, qui racontent la nature comme le cinéma l'a rarement fait.
Paris Match
Extrême, radical, magnifique, ce western survival est un chef-d'œuvre du genre.
Positif
(Une) oeuvre magistrale d'Iñárritu et (une) performance héroïque de DiCaprio.
Public
Un grand film d'une beauté à couper le souffle.
TF1 News
POUR : Une épopée grandiose menée par Leonardo DiCaprio, méconnaissable et impressionnant en trappeur qui lutte pour sa survie, à travers une nature magnifiée qui devient peu à peu un personnage inquiétant et hostile devant la caméra du maître Alejandro González Iñárritu.
Télé 2 semaines
L’acteur est saisissant et sauvage jusque dans son souffle, qui épouse les craquements de cette nature indomptable. L’ensemble n’en est que plus beau et brutal. Un chef-d’œuvre, stupéfiant et fascinant !
Voici
Une longue odyssée sauvage, vertigineuse et spectaculaire, organique, lyrique et spirituelle.
Ecran Large
C’est justement cette combinaison hétéroclite de défauts et d’immenses qualités qui en font non pas un chef d’œuvre, mais une création à part, un plaisir brutal et inédit.
Elle
Les cinéphiles y verront une forte influence des films de Terrence Malick, avec non pas une ode, mais une métaphore sur l’origine de l’humanité notamment lors des scènes de combats avec la nature, les Indiens... Visuellement, c’est fort et très beau. On est pris aux tripes.
L'Obs
La mise en scène, avant tout, est impressionnante : chaque cadre, chaque image, chaque couleur est sublime, contrastes intenses, horizons rugueux, silhouettes égarées.
La Septième Obsession
"The Revenant" n’est rien moins que l’une des œuvres les plus radicales données à voir ces derniers temps, comme si Iñárritu, grâce au succès commercial et critique de "Birdman", était parvenu à conquérir son espace de liberté à l’intérieur de l’industrie hollywoodienne.
La Voix du Nord
(...) l’œuvre, d’un réalisme sauvage, s’inscrit dans une tradition épique longtemps incarnée par des cinéastes comme Kurosawa, Boorman, Fuller, ces maîtres chez qui Inarritu n’hésite pas à puiser.
Le Dauphiné Libéré
Immensité des paysages, violence primitive, affrontement entre Indiens et trappeurs : Gonzalez Inarritu transforme le western en épopée des temps premiers et DiCaprio en héros mythique.
Le Figaroscope
Investi à 200 % dans l’aventure, soucieux de la préservation de l’environnement, mais surtout attentif aux tribus déracinées, DiCaprio a même appris le langage des Indiens. C’est indéniable, l’acteur est au sommet de son art.
Le Monde
Magnifié par la lumière d'Emmanuel Lubezki, le film d'Alejandro González Iñárritu fait de la fondation des Etats-Unis une expérience épique et sensorielle.
Les Fiches du Cinéma
Au croisement de plusieurs genres cinématographiques, “The Revenant” est probablement le plus ambitieux et le plus réussi des films d'Alejandro González Iñárritu.
Première
Il ne manque rien à "The Revenant", sinon, peut- être, une conscience moins affichée de sa propre grandeur, par ailleurs indiscutable.
Transfuge
Dans un ballet d'images savamment orchestrées à la manière d'un Terrence Malick qui aurait retrouvé son inspiration, Inarritu ne nous lâche pas pour mieux nous faire déguster.
Télé 7 Jours
Une nouvelle performance hors normes pour le comédien : l'immensité de son talent n'a décidément pas de limites.
Télérama
POUR : Il y a une folie hollywoodienne, captivante en soi, dans cette succession d'épreuves inhumaines, qui sont autant de défis lancés à tous : réalisateur, techniciens, comédiens et spectateurs.
aVoir-aLire.com
Une expérience unique et absolument indispensable.
Cahiers du Cinéma
Cette approche académique du cinéma de genre a au moins un mérite : elle remet le cinéma d’Iñárritu à sa véritable place en le dépouillant de ses habituelles mystifications (ciao le super-auteur qui nous donne des nouvelles du monde) et en réduisant son impayable sérieux à de purs gimmicks hollywoodiens.
Culturopoing.com
Un rôle christique pour quête mystique qui rapidement tourne à vide tant la force du film se trouve dans son caractère galvanisant, au plus près de l’action de survie. Comme un mince propos apposé à la surface d’une œuvre sensorielle et effroyablement efficace.
L'Humanité
Délaissant ses œuvres chorales alambiquées et ses expériences tortueuses, il (Iñarritu) décrit un processus quasi unique, un long chemin de croix non dénué d’une certaine harmonie formelle et faisant la part belle au paysage. Cela dit, le caractère mécanique et répétitif des infortunes du héros éclipse presque la dimension naturelle de l’aventure.
Sud Ouest
Bien sûr, la beauté des paysages et des plans devrait compenser la durée, mais, comme toujours, Iñárritu gâche tout par excès de confiance. Ivre de sa propre virtuosité, il ne renonce à rien, ni à la splendeur, ni à la vérité, ni à la sauvagerie. Qui trop embrasse…
VSD
On pense fortement à Terrence Malick, auquel Inarritu a emprunté le chef-opérateur. On s'éparpille aussi un peu, au fur et à mesure d'un récit finalement prévisible ponctué de lourdeurs qui, chez d'autres cinéastes moins adoubés par la critique, feraient rire grassement. Reste la performance de DiCaprio.
CinemaTeaser
A force de rappeler à chaque plan l'effort que celui-ci a nécessité, "The Revenant" perd toute élégance, tout mystique, et ne devient que surlignage maladroit.
La Croix
En dépit de sa démonstration permanente de savoir-faire, ce Revenant-là peut aussi se regarder d’un œil morne. Tout ça pour ça.
Les Inrockuptibles
Après "Birdman", Inarritu repousse encore plus loin les frontières de la prouesse technique. Ultra-spectaculaire, "The Revenant" laisse cependant un arrière-goût dérangeant.
Libération
La caméra, volontiers tournoyante, a beau scruter les cieux en quête d’une lueur de spiritualité, courir après la matérialité brute des éléments contraires, sonder avidement la tripaille et les tissus à vif, ce récit peuplé de visions spectrales sans relief n’accède jamais vraiment à aucun souffle, ni divin, ni romanesque.
TF1 News
CONTRE : Leonardo DiCaprio et Tom Hardy sont formidables. Le film, plus poseur que tripal, beaucoup moins. Quelques fulgurants moments de cinéma, dont une hallucinante attaque de grizzly, mais aussi beaucoup d'esbroufe, de lourdeur pachydermique et de plans piochés, entre autres, chez Tarkovski et Jodorowsky.
Télérama
CONTRE : Juste retour des choses (...), c'est sur l'impossibilité de représenter la vraie sauvagerie que bute le cinéaste : jamais ours numérique (...) n'a paru plus artificiel ou plus bidon. Cet effet qui fait pschitt donne, hélas, le ton du film tout entier.
Charlie Hebdo
Que dire donc de ce film qui, entre plagiat inavoué et emphase creuse (...) s'avance comme un mastodonte multioscarisable accompagné d'un battage médiatique qui voudrait faire office de critique (...)? Pas grand-chose.
Critikat.com
Autant sur le terrain du "Nouveau Monde" que de celui de "Gravity" (Lubezki, encore), Iñárritu fait étalage une fois de plus de sa lourdeur et de sa grandiloquence.
Mad Movies
CONTRE : A force de chercher la performance, Iñárritu se voit plus grand que son sujet. Manque de pot : il ne l'est pas.