Avis : Le Monde de Charlie - Page 3

Que c'est long et ennuyeux ! Cette histoire est à peine regardable. On sent une petite poésie sous-jasante mais ça ne colle pas avec le mal-être de Charlie.

Film ennuyant, soporifique, bourré de clichés. Scénario de l'ado mal dans sa peau vu et revu.
Bref, à éviter.

c'est vraiment pas terrible , c'est plein de clichés , le nerd qui découvre la vrai vie , en plus y a l'horrible conne des harry potters, la soeur de charlie est comment dirais je à lui latter la gueule , je vois pas ce qu'il a de top ce film encore un film sur les nerds

Charmante comédie dramatique, « Le Monde de Charlie » est l'exemple-type du « Feel-Good Movie » (dramatique donc) que l'on regarde avec beaucoup de plaisir et même plusieurs fois avec une certaine émotion. De plus, avoir placé l'action au cœur des années 70 s'avère judicieux pour de nombreuses raisons, que ce soit pour les multiples références (« The Rocky Horror Picture Show » en tête) ou une bande-originale irrésistible (c'était quand même autre chose qu'aujourd'hui!!), ajoutant un supplément indéniable à l'authenticité des situations. Manque peut-être seulement un supplément d'âme dans la mise en scène, bien que celle-ci soit très correcte, où un soupçon d'originalité empêchant le film d'être un incontournable de l'année 2013. Qu'importe, le trio Logan Lerman - Emma Watson - Ezra Miller s'avérant l'un des plus séduisants vus depuis longtemps, sans oublier quelques seconds rôles particulièrement inspirés (Paul Rudd notamment), malgré quelques petites défaillances dans ce dernier secteur... Mais ne faisons pas la fine bouche et laissons-nous porter par cette vibrante nostalgie consacrée à l'adolescence dans ce qu'elle a de plus belle et de plus touchante : à découvrir.

Le monde de Charlie est une déception. On l'avait vendu comme un teen movie novateur, osé, punchy et distrayant. Ouais, ben non en fait.
Pourtant, moi le concept me plaisait beaucoup. J'ai toujours une certaine nostalgie des films se passant dans les fameux lycées américains avec des teenagers qui sont confrontés à des problèmes insolubles pour leur plus jeune âge... bref des jeunes qui découvrent la vie quoi.
Sauf qu'on en a fait le tour depuis déjà pas mal de temps et que depuis quelques années on cherche à insuffler un nouveau rythme dans le genre (car on pourrait vraiment parler de genre tellement il est codifié). Sauf que le monde de Charlie ce n'est jamais autre chose que ce qu'on a vu... à part quelques moments vraiment réussis qui tout d'un coup soulèvent le film mais qui sont perdus dans un flot de scène sans grand intérêt. La vraie surprise là dedans est en fait Emma Watson qui fait oublier Hermione Granger. Le seul intérêt du film, c'est bien elle.

Pour tous ceux qui ne connaissent pas le Rocky Horror Picture Show, revoyez le monde de Charlie. Erza Miller en Frank-N-Furter, Emma Waston et Logan Lerman qui revisitent la légendaire scène Touch Me. L'histoire d'une troupe de lycéens qui font une représentation du rocky horror pour leur lycée. Un drame poignant sur le personnage tourmenté joué par Logan Lerman.

Séduisant mais banal... Banal mais séduisant... Voilà un petit peu ce qui pourrait résumer mon sentiment à la sortie de ce "Monde de Charlie". C'est valable un peu pour tout : les personnages ont une identité et sont bien interprétés, mais finalement il ne ressort pas vraiment grand-chose d'eux ; les situations n'ennuient pas mais en fin de compte elles se révèlent très classiques voire parfois caricaturales ; quant à la mise en forme de ce film, j'avoue qu'elle sait faire preuve de belles envolées à certains moments... mais au final pour mettre en relief une intrigue et un univers qui n'en a pas vraiment. Alors au final, la sensation est double. Je pense que je ne retiendrai rien de ce film, mais d'un autre côté il ne m'a pas ennuyé, et je l'ai trouvé plutôt sympa en fin de compte... Séduisant et banal ? Finalement ce "Monde de Charlie" vient de me démontrer que ces deux notions peuvent en définitive se combiner sans déplaire... Pourquoi pas...

Chronique adolescente sensible qui suit le parcours initiatique d'un ado au sein de son lycée.
Au travers de ses yeux le film va traiter ses relations avec ses camarades.
Tiré d'un bouquin et mis en scène par l'auteur lui même, l’écrivain n'a pas réussi à retranscrire l'essence même du livre.
Ce qui du coup rend le film fade, et auquel la photo terne n'arrange rien.
Dommage car pour une fois qu'on avait un teen movie intelligent qui s’intéressait avant tout aux sentiments de ses personnages.

Ce film est juste d'une grande beauté. Les acteurs jouent à merveille, les personnages sont attachant et on trouve, parmi tout ces différents personnages, un auquel on s'identifie. Ce film exprime bien le mal être que peuvent subir les adolescents et en particulier la solitude.
Ce film est juste émouvant et nous touche au plus au point. CE FILM EST A VOIR ET A REVOIR !!!
Le tout est accompagné d'une bande son splendide.

Ce film c'est juste une putain de merveille ! J'aurais jamais crus que ce film sois aussi good ! I love it

Mais pourquoi donc suis-je allé voir ce nanar ? Est-ce la fauteà une critique bien complaisante (3,3/5 sur allociné - bon d'accord, surtout grâce à 20 Minutes, Métro et le Parisien) ? A la pauvreté de la programmation assoupie dans l'attente de la sortie des P.T. Anderson, Tarantino, Spielberg et Malick ? A moins que ce ne soit la curiosité de voir ce que devenait Emma Watson sortie des couloirs de Poudlard ? Je vais vous révéler un de mes trucs de critique, piqué à un spectateur de la Cinémathèque : je prends des notes dans le noir sur un petit calepin. Et bien, depuis cinq ans que je procède ainsi, jamais je n'avais aussi peu écrit dessus, tant je n'ai rien eu à relever ni en bien, ni même en particulièrement négatif, non juste le vide.

Alors, essayons de mettre quand même des mots sur ce vide, puisque telle est ma dure condition. Certes je me suis ennuyé, mais moins qu'à " Tabou" ou "Gebo et l'ombre" (n'y voyez pas de lusitanophobie, juste une coïncidence temporelle), sans doute parce que je suis resté en éveil dans l'attente toujours repoussée d'un moment de sincérité ; je n'ai pas non plus eu de sentiment de révolte, comme pour " 300" ou " Apocalypto", voire même pour " Du Vent dans mes mollets", même si l'impression de déjà vu et de machin fabriqué pour plaire m'ont copieusement agacé.

Le coup du pauvre vilain petit canard perdu dans son lycée est une figure obligée du film d'ados, de "Twilight 1" à "American Girls" en passant par " Morse" (admirez l'éclectisme de mes références). Ici, c'est d'autant moins crédible que le canard en question a une bouille d'angelot et qu'à part son bon niveau scolaire il n'a apparemment rien de honteux à cacher. En apparence seulement, puisque tout le propos du film, pompé dans "La Résilience pour les Nuls" est de nous expliquer que le mal-être de Charlie provient de traumatismes de l'enfance évoqués à coup de flashbacks capilotractés, et que même que c'est ça qui explique son sentiment pour Sam qui a vécu aussi des moments bien pénibles même si elle est restée jolie tout de même.

La suite sur les Critiques Clunysiennes
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Un énorme premier coup de coeur pour cette année 2013. Un film d'une justesse rare, servi par deux acteurs en état de grâce : Emma Watson, qui est capable de jouer autre chose que les apprenties sorcières, et surtout Logan Lorman, touchant au possible dans un rôle lunaire d'une tendresse incroyable (alors qu'il était mauvais comme un cochon dans l'affligeant "Les Trois Mousquetaires". Le tout servi par une bande originale brillante (Bowie, The Smiths...) bref 1h50 de pur bonheur

Ennième long-métrage, sur la vie de jeunes ados "bobos" américains.
Au menu : garçons; jolies filles; lycées; soirées déjantées; bagarres; états d'âme;
passé douloureux; amitié; amour; rires; larmes et rock n'roll.
Bref, rien de nouveau, les héros (Sam; Charlie; Patrick) sont insignifiants.
Consernant Emma Watson, l'après Harry Potter s'annonce très délicat car elle a
encore tout à prouver et son prochain film "The Bling Ring", toujours sur le même thème
(ados "bobos" branchés) sent très très mauvais (vu la BA)...
"Le monde de Charlie", est un petit film américain (d'ailleurs, il aurait pu se dérouler
en France dans les Hauts-de-Seine, c'est pareil).
Niais et sans intérêt.

Des acteurs chouchoutés par la critique, des références à des groupes cools comme The Smiths, de la drogue, un léger fond dramatique, de l'homosexualité, un étudiant qui écrit, une critique puérile de la religion, des fêtes étudiantes, des vinyles, du sexe, du travestissement, un vilain homophobe, un professeur gentil, un professeur méchant, l'inadapté social qui séduit malgré lui la jolie fille...The Perks Of Being A Wallflower nous submerge d'une avalanche de clichés indigestes avec une prétention incroyable. Un American Pie intello, avec la même profondeur. A éviter si vous avez plus de 16 ans, ou plus de 16 points de QI.

Il ne faut pas partir avec une idée bien précise du film avant de le voir: le monde de Charlie viendra vous chercher. Très fidèle au livre, cette adaptation est bourrée d'émotion (j'ai moi-même lâchée quelques larmes, pour dire). Il est facile de s'identifier à Charlie - avec une interprétation remarquable de Logan Lerman - grâce à sa personnalité. Je me suis sentie proche de lui du début à la fin, il est devenu comme un meilleur ami, celui auquel nous pouvons tout confier. Et que dire d'Emma Watson (qui crève l'écran, il faut le dire) touchante dans le rôle de Sam? Sans oublier le talentueux Ezra Miller en Patrick. Un trio qui fonctionne à merveille pour nous laisser avec des étoiles dans les yeux sur le générique de fin arrivant presque trop rapidement
. Le monde de Charlie est vraiment un film à voir, rien que pour ce qu'il peut vous faire partager sur une adolescence compliquée avec justesse.