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    Case départ
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    psgmen
    psgmen

    10 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 juin 2014
    film sympa mais rien de bien exceptionnel on va dire. C'est bien dommage qu'on ne puisse voir Thomas Ngijol dans un rôle plus sérieux, qui sait peut être ne sait t'il rien faire d'autre?! en conclusion ce n'est pas un de mes classiques!
    malioth
    malioth

    41 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2014
    Loin d'être un chef d'œuvre mais excellente surprise... Original... drôle... très bon divertissement...
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    80 abonnés 817 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mai 2014
    Fabrice Eboué et Thomas Ngijol réalisent un premier film mordant et très drôle dont la meilleure scène - un juif et un noir se disputent pour savoir lequel a le plus souffert - montre bien les intentions de leurs auteurs de parler de xénophobie en en mettant plein la gueule à tout le monde !
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mai 2014
    Voilà que se forme un tandem comique français au fort potentiel, celui des comédiens Thomas Ngijol, Fabrice Eboué et du metteur en scène Lionel Steketee. A moindre mesure, il semble que les trois compères soit un peu l’équivalent français du célèbre trio britannique d’Edgar Wright, Simon Pegg et Nick Frost, pour ce coté humour parodique et sans la moindre gêne. Case départ, avant tout, traite en toute légèreté, sans la moindre morale, du racisme. Le retour au temps de leurs aïeux antillais de deux parisiens, l’un français type, soit intégré, et l’autre banlieusard émérite, chômeur longue durée et agitateur urbain donne lieu à quelques tirades fortes inspirées qui trahissent une envie certaine de la part du trio comique de rire d’une histoire qui n’est pas drôle. Mais qui pourrait leur en vouloir à l’heure d’affaire d’état pour la moindre allusion à l’ethnie ou la couleur? Le film n’est dans le fond qu’une comédie populaire fort bien menée qui met en avant l’énorme fossé qui sépare les époques.

    Le voyage dans le temps aura globalement toujours très bien réussi au cinéma comique français, je pense là aux célèbres visiteurs de Jean-Marie Poiré. Si l’on atteint jamais ici la grâce et l’humour du film précédemment cité, le tandem d’acteurs fonctionne parfaitement, les deux comédiens étant très complices à la ville. La complémentarité entre les deux personnage est concrètement le maillon fort de l’œuvre, chacun ayant une vision radicalement différente de l’autre sur leurs conditions d’être noirs en France actuelle. Un retour en arrière pour le moins inattendu aura le mérite de leur ouvrir les yeux, seule fin possible. Le sujet est certes un peu polémique, la morale est peu niaise, mais ne cachons pas notre engouement de découvrir une comédie fraiche, au casting impeccable et au montage excellent.

    Quelques séquences comiques sont d’ailleurs de toutes bonnes factures, les personnages étant pour une grande majorité très drôles, du moins très représentatifs de leurs époques, quoique la caricature pointe souvent le bout de son nez. S’il est question de noirs, soit d’africains, le film de Lionel Steketee n’omet ni l’allusion aux juifs ni les présences légères d’autres ethnies en toile de fond. Le blanc français du misérable siècle de l’esclavage est dépeint comme arrogant, stupide et maniéré, et l’on apprice finalement la manière dont le film ridiculise cette haute société d’abrutis. De plus, le trio comique ne manque aucun des clichés propres aux caractéristiques des noirs, parfois c’est amusant, d’autres fois c’est lourd.

    Un premier long métrage qui laisse entrevoir de très belles perspectives pour la suite. Un peu lourds, parfois trop théâtraux, les deux acteurs principaux, assortis de leur compagnon à la réalisation, semblent avoir de beaux jours devant eux. Rien que du fait d’avoir livré une comédie franchement drôle, presque un exploit au jour d’aujourd’hui, les comédiens et metteur en scène de Case départ s’ouvrent les portes d’une carrière toute trouvée. Et nous, on apprécie les nouveaux talents, ceux qui ne peuvent réellement décevoir du fait que jusqu’alors, l’on n’en attendait rien. 12/20
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 mai 2014
    Faire de l'humour en utilisant une sombre periode telle que l'esclavage est plutot une bonne idée. Deux acteurs qui tiennent la route. Le scenario n'est pas le meilleur de l'année mais on passe un bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 mai 2014
    Une bonne comédie sur les clichés du noir "racaille" et du noir "blanc". Cet antagonisme construit une scénario qui se suit et dont les aventures ne peuvent que faire rire.
    ned123
    ned123

    157 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2014
    J'ai vu un film... qui sous couvert d'une comédie, dénonce, on peut le dire, les travers du racisme; voire le racisme de travers... C'est un film assez ambitieux dans le propos, et avec une réalisation qui l'est tout autant... Certains moments prêtent à rire, d'autres sont plus graves... Mais, c'est le genre de comédie positives qui posent des idées sur la table, et qui donnent matière à réfléchir. Je crois qu'on n'a jamais vu le thème du racisme "noir-blanc" et l'esclavage traité de la sorte... On sort en riant, on rentre en y pensant...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 mars 2014
    Lourd lourd archi-lourd... Humour plus que douteux...même si cela se revendique être du second degré... Bref, une déception.
    Objectivons
    Objectivons

    312 abonnés 2 937 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 février 2019
    Film passable bien que (forcément) très caricatural. Fabrice Eboué et Thomas Ngijol (inconnu au bataillon - pour moi - jusqu'à ce que je regarde Case départ) forment un duo disons... correct. Quelques moments amusants.
    Bien que l'ensemble ne vole pas haut, je rappelle aux grincheux de services à propos de la façon dont est traité ce film (anachronismes, Histoire, esclavage) qu'il s'agit d'une comédie, pas d'une reconstitution historique...
    Thewiks79
    Thewiks79

    15 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2014
    Des passages qui sont marrant mais rien d'exceptionnelles. Bonne comédie sur l'esclavage néanmoins. A voir au moins une fois.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    82 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 février 2014
    Pour leur première collaboration sur grand écran, Fabrice Éboué et Thomas Ngijol nous rejouent la carte des Visiteurs. Où deux hommes, issus d’une époque, se retrouvent propulsés par magie dans une autre, qui leur est totalement différente. Est-ce pour cette raison que Case Départ fut assez bien accueilli par la presse, récoltant au passage plus d’un million d’entrées au box-office ? Sans doute, car, en y regardant bien, nous sommes très, très en deçà du film de Jean-Marie Poiré (quoique le 2 et Les Visiteurs en Amérique…).

    Mais contrairement aux Visiteurs, nos héros ne sont pas d’une époque ancestrale, atterrissant dans la notre. Plutôt l’inverse ! Où deux demi-frères (l’un tout juste sorti de prison, véritable glandeur et jouant les caïds, l’autre ayant un mode de vie exemplaire mais reniant par-dessus tout ses origines) doivent se rendre à Cuba, au chevet de leur père mourir, qui leur lègue un acte d’affranchissement de leurs ancêtres esclaves. Qu’ils vont déchirés pour exprimer leur déception face à cet héritage, pour être envoyés au XVIIIe siècle. Période où les Noirs comme ils sont étaient considérés comme des animaux pour le plaisir et les besoins des Blancs.

    La meilleure comédie n’est pas celle qui, obligatoirement, propose à chaque seconde un gag burlesque. Car ce dernier n’est pas sûr de marcher. Non, pour qu’un film comique titille déjà notre intérêt, c’est dans sa base scénaristique, son histoire. Et en voulant parlent de l’esclavagisme, l’équipe de Case Départ veut nous relancer à la figure cette époque misérable, humainement parlant. Où la plupart des séquences humoristiques qui nous sont ici proposées ne font que raviver notre haine face à l’esclavagisme, via une lecture au second degré (domestique devant rester sur place et écouter les horreurs crachées par ses maîtres au sujet de sa « race », le moindre signe de rébellion est tout de suite maîtrisé au fouet, le « Nègre intelligent » et cultivé est considéré comme une bête de foire mais aussi comme un potentiel danger qu’il faut mater…). Si vous vous arrêtez au premier, vous verrez des moments qui font plutôt mouches pour ce qui est de faire rire (par exemple, le réveil des esclaves : le contremaître sonnant le clairon, se faisant insulter par nos héros, habituellement adeptes de la grasse matinée, et qui vont en payer le prix pour avoir haussé le ton).

    Mais bon, voir ces deux nigauds s’empêtrer dans des situations rocambolesques (insulter et menacer leurs maîtres croyant qu’ils vont retourner dans leur époque, alors que non) ou des idées anachroniques réussies (nos héros sur l’estrade de ventes aux esclaves, exposés en public quasiment nus, juste vêtus de… leur boxer !), cela fait rire les premières minutes. Malheureusement pour Case Départ, plus le temps s’écoule et plus les longueurs commencent à se faire sentir.

    La faute à un humour qui ne s’envole véritablement jamais, préférant rester au stade de « bonne gaminerie sympa, sans prise de tête ». À toujours rester sur le même pallier humoristique, le film perd en puissance comique et finit par lasser au bout du compte. Et ça, les scénaristes l’ont remarqué, au point que la seconde partie de Case Départ change littéralement de registre. Fini l’humour bon enfant, place au scabreux ! Et là, c’est parti pour des blagues qui ne font même plus sourire, osant aussi bien le n’importe quoi (le chien de la maîtresse qui finit en brochette) que le vulgaire (taillage de pipe, nos héros procédant à la fornication de leurs ancêtres…). Et cela s’appelle une comédie familiale ! Eh ben…

    Gros problème également venant des interprètes, notamment Fabrice Éboué et Thomas Ngijol. D’accord, ce sont eux les stars du film. Ils ont le mérite de réaliser (avec Lionel Steketee) et de scénariser (avec Jérôme L’Hotsky), montrant qu’ils ont la main sur l’intégralité du projet. Et qu’ils veulent en livrer une bonne comédie. Mais cela ne les empêche pas de jouer convenablement ! Là, ça surjoue comme ce n’est pas possible (Ngijol en faisant des caisses qu’en il pleure, Éboué dans l’hébétement…). Rendant leur personnage respectif un peu trop souvent tête à claques. Difficile de s’y attacher dans ses conditions !

    Case Départ, où le film qui aurait dû ne jamais avancer jusqu’à sa fin, perdant en qualité. Car, il bien faut le reconnaître, si l’annonce du projet laissait envisager une énième comédie française prêt à se vautrer, le début du long-métrage avait de quoi nous clouer le bec, mauvais spectateur que nous sommes ! Mais bon, la raison a rattrapé l’illusion… Et vu quelques gags et le sujet de Case Départ, c’est fort dommage !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 février 2014
    Ce film est drôle et montre que l'on se délaisse des histoires d'esclavage.
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 février 2014
    C'est vrai qu'il a un côté sympa, dynamique ce « Case départ », nous offrant plusieurs répliques bien senties et certaines situations franchement amusantes. De plus, ce mix des « Visiteurs » et « Retour vers le futur » accompagné d'un zeste d' « Un jour sans fin » sauce Jamel Comedy Club lui donne une petite identité, modeste mais agréable. Après, ne nous leurrons pas : il y a beau avoir une légère originalité et un (tout petit) peu de fond, ce n'est pas un exemple de mise en scène et encore moins de subtilité, quelques passages apparaissant même franchement lourdingues, l'ensemble restant globalement sans grande surprise. Deux choix s'offrent alors à vous : voire les débuts au cinéma du tandem Fabrice Eboué - Thomas Ngijol comme une comédie plutôt paresseuse et n'exploitant qu'assez peu son potentiel, ou alors de voir cela comme un moment sans prise de tête à passer, nettement au-dessus du niveau catastrophique de la production hexagonale dans le registre. Personnellement, j'ai choisi la seconde option, conscient des faiblesses et de l'aspect anecdotique de l'entreprise, mais me disant qu'après tout, cela ne fait pas de mal de temps à autre, quitte à ce que l'humour ne fonctionne qu'une fois sur deux. Passable.
    Kalie
    Kalie

    60 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juillet 2016
    Deux jeunes de couleur typiques de la France d’aujourd’hui se retrouvent aux Antilles au 18ème siècle où subsiste encore l'esclavage. Forcément, on devine d’avance les situations comiques tant le décalage est grand. Hélas, les acteurs principaux ne sont pas bons, en particulier Thomas Ngijol avec sa grosse voix, exaspérant en délinquant de banlieue. L’humour tombe souvent à plat. Le film est également pénalisé par la pauvreté de ses dialogues et sa réalisation passable. Néanmoins, le propriétaire des esclaves et sa famille outrageusement racistes, la mauvaise foi de l’église de l’époque, ainsi que spoiler: le juif de 1780 qui se demande qui peut bien être Adolf Hitler
    m’ont amusé. On est en présence d'un film du genre « Les Visiteurs », en plus mal foutu.
    Julien D
    Julien D

    1 197 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 février 2014
    Il apparait en fait bien vite que la véritable motivation des deux révélations du Jamel Comedy Club que sont Thomas Ngijol et Fabrice Eboué en écrivant et en réalisant Case Départ n’était aucunement de rendre hommage, au nom du devoir de mémoire, à leurs ancêtres victimes de l’esclavage mais uniquement de signer un film que n’aurait pas pu se permettre de faire un blanc. Tout dans cette comédie populiste n’est effectivement fait que de clichés, de jeux de mots et de gags qui, en plus de tomber constamment à l’eau, sont ouvertement racistes (mais aussi homophobes et antisémites pour couronner le tout) que le second degré devrait pardonner mais qui ne font que prouver que l’humour et la dénonciation ne sont pas seulement affaires de bonne volonté mais qu’ils sont indissociables d'une certaine subtilité d’écriture et d'un minimum de maitrise du propos. Cette succession, de surcroît mal interprétée et mal filmée, pendant plus d’une heure et demie, de crétineries haineuses, de stéréotypes de mauvais gout et de vulgarités anachroniques est un spectacle tout bonnement insupportable à voir, voire même impardonnable à approuver. Le fait qu’il ait attiré en salles deux millions de spectateurs est d’ailleurs un symptôme fort de la défaillance socio-culturelle française actuelle.
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