Derniers Avis : Case départ - Page 19

C'est une bonne comedie ou l'humour est au rendez vous le scenario coherent et bien tisseler. Les acteurs sont tres prenant et joue tres bien leur role bref comedie a voir,on passe un bon moment

Juste une tuerie ce film! ngijol et eboué sont enormes... a voir et a revoir... :-)
un scenario original et super bien ficelé

En voyant sur l'affiche que ce sont Eboué et Ngijol(les meilleurs humoristes de leur génération) qui ont réalisé eux même le film,j'imaginais déjà que "Case Départ" n'allait pas être le chef d’œuvre du siècle mais je m'attendais pas à voir un tel navet!Déjà que le film reprend tous les défauts habituels des grosses comédies franchouillardes de ces 10 dernières années,il enfonce encore plus le cou car le manque de non-professionnalisme de ces 2 zouaves derrière la caméra saute aux yeux.D'abord,où est passé l'humour sombre d'Eboué et la tchatche de Ngijol?On trouve à la place des gags tombant vite à l'eau et des blagues de gamins de 12 ans.Le contexte historique de l'esclavagisme dans une comédie était vraiment une idée très intéressante mais le duo ne l'exploite jamais à part pour véhiculer des propos puant la démagogie.Certaines scènes,essayant de placer l'humour correctement dans une situation à priori dramatique,ne réussissent pas à être à la hauteur de "La vie est belle"(même procédé d'une comédie dans un contexte historique difficile) et provoquent plutôt un gros malaise.Pfffffff,et le scénario?Il a du être torché dans les W.C.,n'a littéralement ni queue ni tête et Eboué/Ngijol l'amènent tant bien que mal jusqu'à la fin.Il faut rajouter dans tout ce tas de défauts l'interprétation de ces 2 zouaves qui est juste lamentable;on dirait Laurel&Hardy version 2012,cabotinage jusqu'à l’écœurement!La cause de toute cette catastrophe c'est que ce soit ces 2 incompétents,n'ayant aucune connaissance du langage cinématographique,qui tiennent la caméra et qui écrivent seuls le scénario.Ils auraient du laisser la casquette de réalisateur à un mec qui sait mettre en scène des comédies(Romain Levy par exemple,réal du drolatique "Radiostars") et ils auraient du aussi collaborer avec des vrais scénaristes qui pouvaient arrondir le scénario et le rendre homogène.Avec une telle aide,le film aurait pu donner quelques chose de vraiment sympathique comme "Intouchables".Mais en l'état,il n'y a qu'un mot à dire:Nul!

gag vulgaire,acteur mauvais et ça donne un beau gros navet qui méritait pas son succès en salle

Thomas Ngijol et Fabrice Eboué pour leur première œuvre en tant que scénaristes-réalisateurs-acteurs ont plutôt bien réussi leur coup avec cette comédie qui au-delà de l’aspect humoristique traite du toujours présent problème du racisme et en même temps procède à une piqûre de rappel sur ce qu’était l’esclavagisme, à la française j’allais dire, dans les pays d’outre-mer. À travers d’archétypes pas très tendres de membres de la population noire française les deux humoristes mettent face-à-face les lieux communs, les stéréotypes, les tics de langages que cette population et la population française majoritaire s’applique les uns aux autres. Mais tout cela est fait de façon plutôt drôle et assez fine, sans démagogie et jamais de façon simpliste et caricaturale ni d’ailleurs partisane, les deux côtés de la barrière en prenant pour leur grade. La partie sur l’esclavagisme est un savoureux florilège d’anachronismes qui permettent quand même de percevoir que depuis le XVIII ème siècle les choses ont quand même fortement évoluées. Elle permet surtout de mettre l’accent sur le déplacement du curseur du racisme qui est passé d’une vision très primaire : hommes vs sous-hommes, vers une vision plus insidieuse (racisme ordinaire). Alors l’histoire pâtie parfois de moments plus faibles qui flirtent parfois dangereusement avec une bouffonnerie plus vraiment drôle et scénaristiquement facile quant à la progression de l’histoire. Finalement on a affaire à un film drôle qui réussit à être militant sans alourdir de façon trop idéologique le propos et qui permet de voir des acteurs noirs dans des premiers rôles qui, si on reste dans les thématiques d’intégration et de banlieue, le sont de façon moins pesante qu’habituellement.

J'ai passé un bon moment, merci. Bon film.
Pour ceux qui sont choqué, faudrait qui pète un bon coup. C'est une comédie.
Y a pas mort d'homme.

Film très plaisant à voir, beaucoup d'humour et de gags mais sur un thème qui fait réfléchir! Beaucoup d'anachronismes c'est vrai, mais qui donnent un certain charme à cette comédie très réussie!

Bon film, Fabrice Eboué mais fait énormément rire autant que dans ces sketchs! Bon dialogue, bon gags non vraiment film plaisant a voir !

Scandaleux!! Que des humoristes "issus de" (comme on dit) piétinent à ce point un héritage Historique comme la traite des esclaves est tout simplement révélateur de la bassesse à laquelle sont prêt certains pour pouvoir gratter quelques miettes de cet univers tordu qu'est le Show business.
Partant d'un postulat déjà très limite d'un point de vue narratif et caricatural au possible, Case départ traite son sujet complètement par dessus la jambe, cumulant les inexactitudes Historiques et les situations grotesques jusqu'à l'immondice (la scène où les deux bouffons tentent d'accoupler leurs ancêtres). Ridicule en tout point, le film ne sert de prétexte qu'à l'accumulation de gags tous plus foireux les uns que les autres, faisant d'une des pages sombres de notre passé national une quasi promenade de santé pour des esclaves limités à leur rôles de figurants, réduits à de simples faire valoir à ce numéro débile, à croire qu'être esclave soumis au code noir n'était en vérité pas si difficile que ça!
Le comble de la tartufferie étant atteint quand les deux énergumènes se voient affranchi par des maitres dépassés par leurs gesticulations et qui dans un instant de communion artificiel d'avec le sujet de leur bouse, délèguent gracieusement leur précieux sésame (obtenu lamentablement) à leurs ancêtres reconnaissant, pour clore dans le Happy end de rigueur cette farce absolument pas drôle qui au final fait bien plus de mal à la cause qu'elle ne lui apporte de soutient.
Une production Shoananas en bonne et dû forme, histoire de rappeler que la vraie soumission, elle, est toujours d'actualité

L'un des films de propagande les plus infâmes que le cinéma français a produit ces dernières années, et pourtant il n'y a pour ainsi dire que ça. La lutte était donc rude pour se démarquer mais ce Case départ, par son racisme anti-français permanent, son apologie de la mentalité racaille, son message de solidarité communautaire manipulateur (c'est une assoc' anti-raciste qui a écrit ce passage?) et son révisionnisme historique propagandiste et mensonger, y parvient sans mal. Et puis pour une fois qu'on sortait un film sur l'esclavage, on voit le résultat... Que chacun en tire ses conclusions...

Un très bon film, très rigolo, à prendre au seocnd degré mais qui nous rappelle que l'escalavage a existé et qu'il ne faut plus jamais que cela se reproduise.

On sait tous qu'Eboué est un fan de l'humour noir. Son premier film (en collaboration avec Ngijol) nous le prouve. La critique de l'esclavage permet de faire l'éloge du système français, pas si mauvais que ça après tout. Les gags sont droles et l'histoire est garantie sans effets spéciaux. Que demander de plus? Quand aux gens qui disent que des Noirs ont pu être choqués par le film, je leur répondrai en citant mon voisin noir au cinéma. Lors des blagues racistes, il disait: "Houahahaha! houhouhou! Tah! Trop énorme! Hihihihi!". Sans commentaires donc.

Comment ; je dis bien COMMENT, peut on faire une comédie sur la traite négrière ? C'est une honte, un enchainement de blagues racistes et le sujet est traité grossièrement.....
Une honte

Bon film, certaines scènes amusantes, d'autre pas ou trop prévisibles. Certaines péripéties ne sont pas très bien traités.

Une comédie française grand public assez largement au-dessus de la moyenne. Absurde sans jamais tomber dans le grotesque, elle manie habilement les clichés et les caricatures. Case Départ véhicule de plus un message quant aux difficultés identitaires rencontrées par les noirs français ou métis sans jamais s'alourdir d'une prétention didactique trop encombrante. Fabrice Eboué et Thomas Ngijol forment un duo efficace et les 90 minutes de films passent certes sans provoquer une hilarité de tous les instants, mais plutôt vite et avec quelques sourires à la clé. Un bon moment.