Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Elle
par Anne Diatkine
Un premier film dont les émotions naissent de la direction d'acteurs, mais aussi du soin extrême apporté aux couleurs et aux cadres.
La critique complète est disponible sur le site Elle
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Fable politique glacée (c'est bien d'exclusion programmée et d'arbitraire qu'il s'agit ici), travaillée par le sexe et le désir de transgression, "La Lisière", affiche ses lumières blafardes (il fait souvent nuit et le jour tire la gueule), attrape la grâce (des filles) en appelle à Tourneur et sort des sentiers battus. Beaux débuts.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Quelles que soient les réserves qu'on puisse émettre sur "La Lisière", Géraldine Bajard a déjà une patte, un univers, qui en font à coup sûr une cinéaste à suivre.
Critikat.com
par Nicolas Journet
Pas franchement novateur dans ses thématiques, trop touffu dans ses références et maladroit dans ses dialogues, "La Lisière" n'en est pas moins un pont intéressant avec la "nouvelle vague allemande", adoptant sa forme glacée pour mettre en place une atmosphère lynchienne plutôt maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Romain Le Vern
Malgré les faiblesses liées à la nature de ce genre d'exercice, ce coup d'essai témoigne d'une sobriété qu'il serait trompeur de confondre avec de la banalité.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
Un premier film plein d'ambiguïté qui intrigue de bout en bout. Moins d'intellectualisation et plus de chair auraient été bienvenus, mais la réalisatrice a le mérite de surprendre et de s'aventurer hors des sentiers battus de la fiction française.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Géraldine Bajard concentre sa mise en scène sur l'atmosphère, douce, feutrée, évocatrice de secrets inavouables. (...) On en vient à se dire que la maladresse épisodique du jeu des jeunes acteurs nourrit le propos.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par La Rédaction
(...) un premier film d'une grande maîtrise formelle mais on a eu du mal à capter le pouvoir d'envoûtement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Bernard Achour
Réalisé avec une vraie maitrise visuelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette
Une bonne idée de thriller (celle, après tout, du "Ruban blanc"), maladroitement exploitée. Le ton est aussi impersonnel que les décors et les personnages, sans que cela ne devienne jamais un style.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Jamais, malgré ses interprètes, "La Lisière" ne retrouve le vertige réaliste de la nouvelle vague allemande.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
Le souvenir du très réussi "Harry, un ami qui vous veut du bien" (Dominique Moll) est encore trop vivant, et ce nouveau film tombe dans son propre piège d'une froideur exsangue.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Mathilde Blottière
L'atmosphère travaillée de ce thriller vaguement fantastique, inspiré du "Village des damnés", ne suffit pas à compenser sa vacuité et son manque de rythme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce premier film qui se réclame du jeune cinéma allemand ne parvient pas à mettre en place une seule situation convaincante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Elle
Un premier film dont les émotions naissent de la direction d'acteurs, mais aussi du soin extrême apporté aux couleurs et aux cadres.
TéléCinéObs
Fable politique glacée (c'est bien d'exclusion programmée et d'arbitraire qu'il s'agit ici), travaillée par le sexe et le désir de transgression, "La Lisière", affiche ses lumières blafardes (il fait souvent nuit et le jour tire la gueule), attrape la grâce (des filles) en appelle à Tourneur et sort des sentiers battus. Beaux débuts.
Cahiers du Cinéma
Quelles que soient les réserves qu'on puisse émettre sur "La Lisière", Géraldine Bajard a déjà une patte, un univers, qui en font à coup sûr une cinéaste à suivre.
Critikat.com
Pas franchement novateur dans ses thématiques, trop touffu dans ses références et maladroit dans ses dialogues, "La Lisière" n'en est pas moins un pont intéressant avec la "nouvelle vague allemande", adoptant sa forme glacée pour mettre en place une atmosphère lynchienne plutôt maîtrisée.
Excessif
Malgré les faiblesses liées à la nature de ce genre d'exercice, ce coup d'essai témoigne d'une sobriété qu'il serait trompeur de confondre avec de la banalité.
L'Express
Un premier film plein d'ambiguïté qui intrigue de bout en bout. Moins d'intellectualisation et plus de chair auraient été bienvenus, mais la réalisatrice a le mérite de surprendre et de s'aventurer hors des sentiers battus de la fiction française.
Le Monde
Géraldine Bajard concentre sa mise en scène sur l'atmosphère, douce, feutrée, évocatrice de secrets inavouables. (...) On en vient à se dire que la maladresse épisodique du jeu des jeunes acteurs nourrit le propos.
Libération
(...) un premier film d'une grande maîtrise formelle mais on a eu du mal à capter le pouvoir d'envoûtement.
Première
Réalisé avec une vraie maitrise visuelle.
Le Figaroscope
Une bonne idée de thriller (celle, après tout, du "Ruban blanc"), maladroitement exploitée. Le ton est aussi impersonnel que les décors et les personnages, sans que cela ne devienne jamais un style.
Les Inrockuptibles
Jamais, malgré ses interprètes, "La Lisière" ne retrouve le vertige réaliste de la nouvelle vague allemande.
Positif
Le souvenir du très réussi "Harry, un ami qui vous veut du bien" (Dominique Moll) est encore trop vivant, et ce nouveau film tombe dans son propre piège d'une froideur exsangue.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
L'atmosphère travaillée de ce thriller vaguement fantastique, inspiré du "Village des damnés", ne suffit pas à compenser sa vacuité et son manque de rythme.
L'Humanité
Ce premier film qui se réclame du jeune cinéma allemand ne parvient pas à mettre en place une seule situation convaincante.