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Un visiteur
1,0
Publiée le 4 mars 2012
"un vrai bordel" insupportable on a l'impression de voir un brouillon même pas fini, ce perd dans tout les sens parlant de n'importe quoi en essayant de porter une certaine émotion... Dommage car il y avait quand même un bon potentiel et un beau sujet (en version court métrage serait plus supportable à regarder)
Super film, chargé émotionnellement, une photo superbe, film très personnel avec de très bons acteurs, la relation Marin Guerrier- Vanessa Paradis magique. Soit on adhère, soit on déteste mais il y a une véritable proposition que peu de film offre. Je suis heureux de voir que les critiques sont devenus meilleures car lorsque je l'ai vu, il y avait que des retours moyens ou médiocres et je me sentais un peu seul. Une experience à vivre.
Très beau film, assez poétique. Sans doute le plus beau rôle de Vanessa Paradis. Elle est juste, délicate, émouvante et loin de ses habituels rôles de jeune fille en fleur. Enfin un rôle de femme!
"Café de Flore" fait parti des films qui laissent une impression étrange. A travers une réalisation alambiquée et un scénario qui donne lieu à des longueurs, ce long-métrage libère tout de même une réelle aura. Jean-Marc Vallée réalise en effet une fiction qui nous marque constamment de son empreinte mélodramatique. Le scénario alterne le récit de deux histoires: celle d'une mère qui surprotège son enfant unique atteint de trisomie dans le Paris des années 60; et celle d'un père de famille montréalais qui de nos jours, a fraîchement reconstruit une nouvelle vie amoureuse. Le film réussit à maintenir une sorte de suspense ambiant, puisque le spectateur se doute bien que les histoires finiront par se rejoindre avant la fin. Le visuel est assez riche avec un sens accordé à chaque image, beaucoup d'effets, des flous, des jeux de lumière et de sons... Des effets de style d'ailleurs pas toujours utilisés avec fluidité, n'hésitant pas à surcharger la photographie. La fin à laquelle on adhère ou pas, démontre une construction recherchée (donne un plus grand sens à la forme), offrant alors une deuxième lecture du film. Si j'ai plutôt adhéré à l'atmosphère décrite par le film, le rythme étiré et les longueurs des scènes garantissent des passages plus ennuyeux, descriptifs, où l'on a parfois envie de compter les moutons. Du côté de l'interprétation Vanessa Paradis fait transparaître beaucoup de tendresse dans son personnage. J'ai été moins convaincu par le canadien Kevin Parent, peu expressif, plus fade, malgré ses beaux yeux. Un film pas toujours divertissant sur le moment, mais qui laisse quelque chose... http://cineglobe.canalblog.com/
Un film touchant et envoutant avec une vanessa paradis au sommet. Une histoire originale et boulversante, les 2h00 du film passe à vitesse grand V, j'ai passé un bon moment de cinéma.Un film qui aurait mérité un plus grand battage médiatique, mieux que the artists et intouchables!!
Jean-Marc Vallée, qui nous avais bluffé avec C.R.A.Z.Y. (2006) nous revient avec Café de Flore (2011), un drame social avec Vanessa Paradis auquel on en attendait beaucoup, vu de quoi est capable le cinéaste québécois. Mais au final, les deux heures que nous réservent le film nous aurons achevé, regrettant même d’avoir pris la peine de s’être intéressé à sa nouvelle réalisation tant cette dernière s’avère décevante et au combien prétentieuse. Un scénario et une mise en scène volontairement alambiquée et labyrinthique, avec des effets de mises en scène n’apportant strictement rien d’original au film. Mélangeant deux histoires d'amour à deux époques différentes (une mère et son fils trisomique dans le Paris des années 60 et un DJ québécois aux relations amoureux complexes). Deux histoires que tout opposent, séparées par 4 décennies, dans deux pays différents, ont-ils pour autant des liens entre-eux ? C’est ce que tente de nous faire croire Jean-Marc Vallée au grès d’une mise en scène assommante et qui en fait des tonnes. Plombé tout au long par une bande-son envahissante et extrêmement répétitive, au final, on pourra toujours se rabattre sur les prestations de Vanessa Paradis & Kevin Parent, mais armez-vous de patience !
Film à l'ambiance particulière. Il peut en dérouter plus d'un c'est sur mais toujours est-il que je suis rentré dedans. Il pose des questions. On passe d'un univers à un autre, d'un personnage à un autre sans tout comprendre tout de suite. Il suscite donc de la réflexion. Côté réalisation, y'a du style, c'est novateur et il laisse son empreinte particulière. La musique est très importante mais on ne saisie pas toujours pourquoi telle image à tel endroit. Peut-être plus tard en comprenant la fin ou avec une deuxième visualisation. Les acteurs sont impeccable. Tous. Kevin Parent est une bonne surprise pour moi, son jeu est sincère et on y croit. Pour Vanessa Paradis aussi. Elle est troublante en mère forte, qui se donne intégralement pour son enfant. Les autres femmes sont aussi très magnétique. Il se passe quelque chose. spoiler: La fin est très surprenante et on se refait le film à l'envers.[/spoiler] Je n'ai pas adoré mais je suis loin d'avoir détesté ! J'ai été capté par l'histoire, je me pose les questions en sortant et j'y pense encore quelques jours après...
Servi par une bande originale que je ne cesse d'écouter depuis, ce film retrace en parallèle l'histoire de deux destins à des époques différentes. Même si leurs histoires sont intéressantes , elle mettent du temps à se rejoindre et ainsi nous demande d'attendre beaucoup trop pour comprendre tout le film. Quant à vanessa paradis, métamorphosée et enlaidie dans ce rôle, elle nous émeut toujours par sa présence et son jeu d'actrice.
Café de Flore de Jean Marc Vallée est avant tout un film de perception. Envoutant, déchirant, mené dans une réflexion introspective, aussi saisissante que terrible. Si l association maladroite de ces traces de vie peu laisser dubitatif, le theme dévoile l une des pistes les plus inexploré du cinéma. L amour, il en est bien question, complexe et déroutant, irraisonné, se jouant de nous même. Un amour passionnel loin d être parfait, parfois égoïste et possessif. Toutefois l angle de vu se resserre pour se focaliser, jusqu'à faire apparaitre une lumière nouvelle. Si la passion guide notre cœur, ce cœur sait il cependant être capable d aimer plus que lui même ? Une question que Jean Marc Vallée a osé poser a travers une réalisation fluide et originale. Vanessa Paradis est magnifique, rayonnante. Chapeau au couple Kévin Parent et Hélène Florent pour la vraisemblance de leurs jeux. Mention spéciale pour la qualité du son, réaliste et naturel, ainsi que du soin apporté a l image. Un film réussi a ne surtout pas rater.
Le genre de film indescriptible que j'adore. Deux histoires en parallèle, deux histoires qui correspondent à deux vies qui se ressemblent étrangement, deux vies antérieures. Café de Flore est un fabuleux film sur l'amour, la nostalgie, la mélancolie. Quand un amour qui débute à l'âge de l'adolescence se brise, les morceaux sont difficiles à remettre en place. Le combat d'une femme face à un nouveau couple qui se forme, face à la mélancolie que lui rappelle un homme. Une histoire qui parle de la beauté horrifique des sentiments. Le montage est sublime, la réalisation est poétique, la musique s’harmonise avec l'histoire. Tout est fait pour me plaire dans ce film parfait à mon gout.
Deux histoires pour le prix d'une se dit-on longtemps en visionnant ce curieux "Café de Flore" (celle de Jacqueline, mère-courage d'un petit trisomique dans le Paris populaire de la fin des années 60, et celle de Carole et Antoine, DJ réputé, puis d'Antoine et Rose dans le Montréal actuel - quel rapport entre les deux ?), jusqu'au tardif point de convergence et d'évidence. Jean-Marc Vallée ("C.R.A.Z.Y", mais aussi "Victoria, les jeunes années d'une reine", de styles vraiment différents) impose ici (il est aussi scénariste, chef-monteur et coproducteur, et assure même un petit rôle) une écriture très personnelle pour ce mélo original où amour et migration des âmes constituent un liant aussi fort qu'improbable. Quelques tonitruances et longueurs mises à part, c'est un film attachant et bien servi (Vanessa Paradis/Jacqueline et Hélène Florent/Carole en particulier, toutes deux fortes et bouleversantes) que nous propose le Québécois.
une campagne de pub sur Vanessa Paradis assez mensongère puisqu'au final on doit la voir 1/3 du film ce qui n'est pas pour me déplaire, Vanessa est une actrice que j'ai du mal à apprécier, elle transpire une suffisance que je ne supporte pas. ça n'empêche pas d'aimer certains des quelques films que j'ai vu avec elle (comme l'’arnacoeur ou café de flore) car oui Café de flore est un bon film. j'aime les films avec plusieurs lecture, les films où on se pose plein de questions parce que certains scènes ou certains dialogues sont incompréhénsibles jusqu'au bout, jusqu'à la toute dernière scène, où tout s'éclaire.
Pour être franc, je en m'attendais pas du tout à ce genre de film. J'avais vu "Crazy" et j'avais bien aimé mais là, le moins que l'on puisse dire, c'est que l'on change carrément de registre. Il faut attendre la dernière demie-heure pour vraiment comprendre le fond du film. J'ai bien aimé ce parallèle, qui à la base n'a aucun rapport et qui ensuite s'avère être en commun. Vanessa Paradis n'est pas mauvaise en actrice mais je me demande encore si elle ne devrait pas mieux se concentrer soit sur la musique soit sur le cinéma. Pas mal de belles images et beaucoup d'émotions qui transpirent (dans le bon sens du termes). Je vais être sincère mais je pense que Jean-Marc Vallée s'est attaqué à un sujet qu'il ne peut maîtrisé parfaitement car peut de réalisateurs arrivent à ce genre de prestations (David Lynch par exemple et comme toujours ...). Cependant, j'ai adoré sa prise de risque, la bande originale, ce côté familial qui n'est pas du tout "gnian-gnian" comme beaucoup de films. La fin m'a fait penser à l'excellent "Stay" au niveau ambiance, ton des couleurs, côté expérimental. Franchement, "Café des Flore" est un beau film dont les deux heures passent à une sacré vitesse mais il manque ce petit quelque chose pour en faire un superbe long métrage. On y était presque. 13/20.