Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Marie-cécile P.
5 abonnés
37 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 5 mai 2013
deux histoires d'amour qui se croisent,une famille de Monréal et une jeune femme et son fils trisomique à est le lien entre ces deux histoires c'est ce qu'on cherche tout au long du scénario est trés décousu,les acteurs se proménent dans le déa Paradis est émouvante en maman d'handicapé,méme si ce n'est pas dutout son meilleur role au cinéma.
Je n'ai pas du tout aimé. Les scènes, bien que lentes et souvent d'un manque d'intérêt, sont zappées sans cesse au montage. Je n'ai pas bien compris l'intérêt du film et ai été déçu de la fin. Bien que la BO comporte quelques perles, l'époque des années 60-70 n'apporte qu'une touche émotion passable à l'histoire du présent, déjà suffisamment plate. De l'ennui, beaucoup d'ennui et un manque d'intérêt certain.
si le film '' Arnacoeur'' a été le film de l 'année, ce film-là est le pire film de la décennie du cinéma français. Il se ressemble beaucoup à un navet ''Tree of life''. Nul, lent, creux.
Super film, chargé émotionnellement, une photo superbe, film très personnel avec de très bons acteurs, la relation Marin Guerrier- Vanessa Paradis magique. Soit on adhère, soit on déteste mais il y a une véritable proposition que peu de film offre. Je suis heureux de voir que les critiques sont devenus meilleures car lorsque je l'ai vu, il y avait que des retours moyens ou médiocres et je me sentais un peu seul. Une experience à vivre.
Maniéré, tape à l'oeil, prétentieux, embrouillé.... Difficile de trouver la bonne définition pour cette purge. Accessoirement, la bande son contribue à nous saouler un peu plus....Certes, il y a Vanessa, excellente comme toujours...Insuffisant pour faire passer la potion !!!!
Jean-Marc Vallée, qui nous avais bluffé avec C.R.A.Z.Y. (2006) nous revient avec Café de Flore (2011), un drame social avec Vanessa Paradis auquel on en attendait beaucoup, vu de quoi est capable le cinéaste québécois. Mais au final, les deux heures que nous réservent le film nous aurons achevé, regrettant même d’avoir pris la peine de s’être intéressé à sa nouvelle réalisation tant cette dernière s’avère décevante et au combien prétentieuse. Un scénario et une mise en scène volontairement alambiquée et labyrinthique, avec des effets de mises en scène n’apportant strictement rien d’original au film. Mélangeant deux histoires d'amour à deux époques différentes (une mère et son fils trisomique dans le Paris des années 60 et un DJ québécois aux relations amoureux complexes). Deux histoires que tout opposent, séparées par 4 décennies, dans deux pays différents, ont-ils pour autant des liens entre-eux ? C’est ce que tente de nous faire croire Jean-Marc Vallée au grès d’une mise en scène assommante et qui en fait des tonnes. Plombé tout au long par une bande-son envahissante et extrêmement répétitive, au final, on pourra toujours se rabattre sur les prestations de Vanessa Paradis & Kevin Parent, mais armez-vous de patience !
Jean-Marc Vallée réalise des films où les histoires sont touchantes mais qui pêche souvent par des longueurs ou par un point de vue mal choisit. Ici on voyage à travers histoires d'amour à 50 ans d'intervalles ; au Canada un homme qui quitte son premier amour après des années et deux filles pour son "âme soeur" aujourd'hui et une mère d'un enfant trisomique dans le Paris des années 60... Premier bon point pour les acteurs, sans compter Vanessa Paradis (dans ce qui reste son meilleur rôle) il faut voir le trio d'acteurs canadiens ils sont vraiment magnifiques. Les deux histoires sont émouvantes et la mise en scène du réalisateur offre un écrin stylisé de belle facture. Le montage peut paraitre cacophonique par moment, valsant avec la chronologie mais c'est sans doute pour mieux mixer les deux histoires... Car là est le problème du film ! Pendant la grande majorité du film on se demande quel peut être le lien entre les deux histoires (par ce qu'il y en a une !) ?! Lorsqu'enfin on comprend le lien, que le "twist" arrive c'est la goutte qui nous gâche un peu le film. Un mixte religion/paranormal aussi absurde que stupide... Au final ce lien entre les deux très belles histoires déroute car cette explication ne convainc pas. Dommage car le film est un bon film au lieu d'être un grand film.
Révélé en 2006 par le succès C.R.A.Z.Y. après Victoria, les jeunes années d’une reine (pas vu) revoilà Jean-Marc Vallée. Son Café de Flore, très attendu, peut laisser perplexe voir être détestable. J’en suis sorti perplexe mais quelques jours après j’y pense encore beaucoup. Aussi chaotique et imparfait qu’il soit, le film fait son petit effet et est finalement très attachant. Il faut dire qu’au départ, c’est un peu déconcertant et cela part un peu dans tous les sens. Cela peut sembler n’être aussi qu’un long vidéo clip, avec ralentis, accélérations, flous artistiques et images léchées (par moment on croirait être devant Les adoptés de Mélanie Laurent…). Le récit est éclaté sur plusieurs époques pour le côté québécois et sur une autre pour le côté parisien. Petit à petit le puzzle se met en place et l’on arrive à situer les personnages. Ce qui est plus difficile c’est de saisir ce qui relie les deux histoires. On le comprend sur le tard mais l’explication reste à la fois naïve et tarabiscotée. Un seul indice en fait nous indique qu’il y a un lien, c’est le fameux disque Café de Flore écouté dans les deux époques par un deux personnages. On s’attache aussi finalement à eux. Celui de Vanessa Paradis... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-cafe-de-flore-97948759.html
Si vous avez aimé C.R.A.Z.Y., fuyez ce mélo mêlant mère hyper-possessive et amoureuse mystico-dépressive. La mise en scène de Café de Flore est calamiteuse, appuyée et apathique. On attendait beaucoup plus de Jean-Marc Vallée.
Le nouveau film de Jean Marc Vallée est un genre de gros sandwich Mac Do qui ne déplaît pas quand on le mange mais dont on a oublié un peu le goût une fois quitté la salle. Pourtant, on n'a pas lésiné sur les ingrédients pour confectionner "Café de Flore". On a d'abord deux tranches de scénarios, un peu bourratives pour donner du corps à l'ensemble. La première tranche se situe de nos jours au Canada où nous rencontrons Antoine, un David Guetta local sans les boîtes de nuit mais avec belle baraque et jolie compagne. Malheureusement, son ex femme, qui cauchemarde souvent d'un enfant qu'elle n'arrive pas à identifier, est toujours amoureuse de lui. L'autre tranche se déroule à Paris, vers la fin des années 60, où Jacqueline, coiffeuse, élève seule son enfant trisomique. Parce qu'elle a multiplié les apparitions télévisuelles, vous savez déjà que c'est Vanessa Paradis qui interprète cette mère courage, possessive, trop aimante et qui va finir par s'enfoncer dans une relation trop unilatérale avec son fils. Pour la garniture, le réalisateur a tout d'abord mélangé énergiquement les scènes, les époques, donnant à son film une allure de clip déjanté, branché et sous caféine. Il a ajouté une musique électro-lounge qui se dispute la vedette avec une voix off cousine de celle qui annonce les trains dans nos gares. Pour bien lier le tout, il a concocté une sauce psycho-ésotérique un peu écoeurante qui n'épatera que l'amateur de hamburger. Quand on regarde le film, on suit le mouvement, car l'oeil est constamment sollicité par un plan tarabiscoté, un zoom et la bande son tiendrait en éveil un spectateur sous Lexomil. On admire Vanessa Paradis, sans maquillage et tellement parfaite dans son rôle de pauvre prolétaire que parfois on a l'impression qu'elle ne ressemble vraiment à rien et surtout pas à la star glamour des magazines de papier glacé. Sur le moment, ce n'est pas tout à fait déplaisant parce qu'énergique. Mais, une fois passé l'épilogue parfaitement indigeste et tiré par les cheveux, on quitte la salle groggy avec l'impression d'avoir vu le film d'un nouveau riche qui veut surtout nous épater avec son gros 4x4 et sa Rolex. La fin sur le blog : http://sansconnivence.blogspot.com/2012/01/cafe-de-flore-de-jean-marc-vallee.html
Un chef d'oeuvre galvaudé. Si JM Vallée n'avait pas explosé en plein vol sur les 15 dernières minutes en nous présentant sortie de nulle part, une théorie des vies antérieures, s'il avait terminé cette masterpiece dans la même veine que le reste du film, c'était 4,5 ou 5 étoiles assuré ! Bon Dieu, de tels moments de cinéma, hallucinés, entremêlés, habités, ça excite, ça trépigne, ça brille, ça émeut !
Tout simplement magnifique. Il y a longtemps que je n'avais eu pareille émotion... Pourquoi cette boule au ventre? parce que l'histoire est aussi triste que belle.! et ca me touche. Ce que je retiens? que dans la vie et les dans les histoires d'amour, personne n'a la même façon d'accepter que l'amour de sa vie le (ou la ) quitte. Que c'est insurmontable : l'histoire parallèle de Vanessa Paradis le montre, elle ne laisse pas partir l'amour de sa vie, cette histoire antérieure est la métaphore ( et là je comprends bien que tout le monde ne le comprennes pas, car le montage compliqué mais hautement sophistiqué, embrouille parfois plus qu'il n'explique.. ) la métaphore donc permet à la femme, la mère délaissée de faire son deuil de l'impossible, celle du seul et unique amour de sa vie. IL faut beaucoup de sensibilité pour entrer dans ce film... Un chef d'oeuvre.
Bouillonnant, imparfait, légèrement bancal on a pourtant envie de défendre ardemment le nouveau film de Jean Marc Vallée, objet filmique débordant de cinéma. Analysant avec maestria les souffrances d'une famille recomposée, épousant avec finesse le point de vue de tous les personnages, il jouxte avec audace ce drame familial avec un deuxième noeud dramatique jamais mièvre ni démonstratif. D'un vague à l'âme prégnant, ce film passionne bien au délà de la simple projection. Les acteurs sont tous épatants, la mise en scène constamment inventive. A voir absolument !!!
Deux belles histoires étrangement mixées nous sont contées là deux heures durant : D’un coté une jeune mère qui, dans le Paris des années 60, élève son fils trisomique en voulant l’intégrer dans une école dite "normale", et d’un autre coté un DJ québécois remettant en doute son divorce. Si la première histoire m’a apporté une belle part d’émotions, la deuxième m’a bien moins intéressé. Si la première m’a prouvé que Vanessa Paradis a un talent d’actrice certain, la deuxième n’aura fait que me faire découvrir des expressions québécoises risibles. Il est certain que les deux histoires sont filmées avec autant de belles images, devenant ainsi sources d’interrogations délicates sur l’amour et la jalousie. Mais la construction chaotique de la narration reste déconcertante, nous faisant douter d’un lien entre ces deux histoires autre que cette chanson entendue des deux cotés du montage. Ce n’est que dans les vingt dernières minutes que l’auteur nous offre une réponse mystico-philosophico-spirituel étrangement tarabiscoté pour justifier son double scénario. Dès lors, le rythme deviendra fou et les images les plus biscornues vont se multiplier pour nous offrir une soi-disant conclusion métaphysique sans envergure. Au final, une seule histoire plus travaillée vaut toujours mieux que deux bâclées.