Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Excessif
par Geoffrey Crete
POUR : (...) une étrange magie opère et transforme le film en expérience envoûtante. (...) Jean-Marc Vallée insuffle une sincérité flagrante, romanesque et maîtrisée. "Café de Flore" est dans son genre un petit bijou.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
Vanessa Paradis en maman protectrice et possessive est excellente, la musique enivrante (notamment le morceau qui sert de fil rouge et de titre au film) et la mise en scène inspirée.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
De ce labyrinthe, (...) Jean-Marc Vallée tire une oeuvre étrange et belle où le vide côtoie le trop-plein dans une sorte d'équilibre instable. À l'image de la vie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Metro
par Geoffrey Creté
[...] Un récit aussi magique qu'inattendu.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Mathieu Carratier
Pro de la B.O., le réalisateur de "C.R.A.Z.Y." a carrément conçu son nouveau long comme le set d'un DJ qui mixerait plusieurs destins pour mieux entendre le sens de la vie. S'il monte parfois un peu trop le volume, on sort de son ambitieux "Café de Flore" avec les jambes coupées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
En maman exigeante mais aimante, [Vanessa Paradis] insuffle à ce film étrange sa petite musique à fleur de peau, qui perdure bien après la projection.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Critikat.com
par Ursula Michel
A la manière de "Mr Nobody", "Café de Flore" brouille l'espace et le temps, les rêves et la réalité pour une fresque amoureuse ambitieuse, Mais vouloir n'est pas réussir, et le penchant ésotérique du film s'avère dangereusement glissant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Si l'auteur excelle et nous épate aux postes de monteur et réalisateur, son scénario se plante hélas dans les grandes largeurs.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette
Vanessa Paradis, en mère d'un enfant trisomique, et Kevin Parent, en pleine crise de la quarantaine, convainquent. Surprenant et bancal.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Excessif
par Romain Le Vern
CONTRE : Le problème, c'est que l'on se croirait chez Lelouch et Jaco Van Dormael dans leurs pires moments. (...) L'esthétique publicitaire, les personnages téléguidés et le bon goût agressif font lorgner "Café de Flore" du côté du "Huitième Jour" et de "Mister Nobody" (...).
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ça s'inscrit vaguement dans la continuité d'un Atom Egoyan, maestro canadien du cinéma déconstruit. Mais, malgré les efforts méritoires de Vanessa Paradis en mère Courage, cela reste vain. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Soit on se laisse embarquer et la séduction opère, soit on trouve cette construction alambiquée joliment fumeuse. C'est un peu notre cas.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Pour Vanessa Paradis, on peut voir ce "Café de Flore". Pour elle, on peut aussi être profondément irrité par l'extravagante nunucherie de ce film enflé jusqu'à contenir deux récits pour les digérer en une bouillie mystique et moderne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
L'auteur dessine quelques pistes : l'amour fusionnel, la réincarnation... Le tout en multipliant les figures de style agaçantes (...). L'ensemble est tellement fumeux qu'on s'interroge jusqu'à la fin pour comprendre où il voulait en venir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Deux histoires parallèles à 50 ans d'écart, reliées par un même goût pour la musique et les mystères de l'amour : Jean-Marc Vallée assume son lyrisme... mais finit par se perdre dans un mysticisme grotesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Jean-Marc Vallée n'a acquis une certaine notoriété internationale qu'en 2006, avec le grand succès de C.R.A.Z.Y. (...). Il est peu probable que son nouveau film, "Café de Flore", trop long et tarabiscoté, obtienne la même audience.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
(...) l'émotion attendue se perd dans les sophistications d'une mise en scène embrouillée et maniérée, que de vagues considérations sur le destin et sur la vie sont censées pimenter. En vain.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Nicolas Bauche
Après la réussite de "C.R.A.Z.Y.", (...) "Café de Flore" fait méchamment tapisserie, au point de mettre en doute le talent de Jean-Marc Vallée. Mais il y a Vanessa Paradis. (...) A voir juste pour elle.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Accrocheur, agaçant, entêtant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
La déception est à la mesure de l'enthousiasme de jadis : ce "Café de Flore" est un "mix" mystico-benêt de deux époques, de deux histoires, réunies à la glu par un artifice de scénario digne de Paco Rabanne : la réincarnation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
On frôle l'overdose de saccharine dans ce film tape-à-l'oeil à la bande son envahissante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Excessif
POUR : (...) une étrange magie opère et transforme le film en expérience envoûtante. (...) Jean-Marc Vallée insuffle une sincérité flagrante, romanesque et maîtrisée. "Café de Flore" est dans son genre un petit bijou.
L'Express
Vanessa Paradis en maman protectrice et possessive est excellente, la musique enivrante (notamment le morceau qui sert de fil rouge et de titre au film) et la mise en scène inspirée.
La Croix
De ce labyrinthe, (...) Jean-Marc Vallée tire une oeuvre étrange et belle où le vide côtoie le trop-plein dans une sorte d'équilibre instable. À l'image de la vie.
Metro
[...] Un récit aussi magique qu'inattendu.
Première
Pro de la B.O., le réalisateur de "C.R.A.Z.Y." a carrément conçu son nouveau long comme le set d'un DJ qui mixerait plusieurs destins pour mieux entendre le sens de la vie. S'il monte parfois un peu trop le volume, on sort de son ambitieux "Café de Flore" avec les jambes coupées.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
En maman exigeante mais aimante, [Vanessa Paradis] insuffle à ce film étrange sa petite musique à fleur de peau, qui perdure bien après la projection.
Critikat.com
A la manière de "Mr Nobody", "Café de Flore" brouille l'espace et le temps, les rêves et la réalité pour une fresque amoureuse ambitieuse, Mais vouloir n'est pas réussir, et le penchant ésotérique du film s'avère dangereusement glissant.
Ecran Large
Si l'auteur excelle et nous épate aux postes de monteur et réalisateur, son scénario se plante hélas dans les grandes largeurs.
Le Figaroscope
Vanessa Paradis, en mère d'un enfant trisomique, et Kevin Parent, en pleine crise de la quarantaine, convainquent. Surprenant et bancal.
Excessif
CONTRE : Le problème, c'est que l'on se croirait chez Lelouch et Jaco Van Dormael dans leurs pires moments. (...) L'esthétique publicitaire, les personnages téléguidés et le bon goût agressif font lorgner "Café de Flore" du côté du "Huitième Jour" et de "Mister Nobody" (...).
L'Humanité
Ça s'inscrit vaguement dans la continuité d'un Atom Egoyan, maestro canadien du cinéma déconstruit. Mais, malgré les efforts méritoires de Vanessa Paradis en mère Courage, cela reste vain. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
Le Journal du Dimanche
Soit on se laisse embarquer et la séduction opère, soit on trouve cette construction alambiquée joliment fumeuse. C'est un peu notre cas.
Le Monde
Pour Vanessa Paradis, on peut voir ce "Café de Flore". Pour elle, on peut aussi être profondément irrité par l'extravagante nunucherie de ce film enflé jusqu'à contenir deux récits pour les digérer en une bouillie mystique et moderne.
Le Parisien
L'auteur dessine quelques pistes : l'amour fusionnel, la réincarnation... Le tout en multipliant les figures de style agaçantes (...). L'ensemble est tellement fumeux qu'on s'interroge jusqu'à la fin pour comprendre où il voulait en venir.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Deux histoires parallèles à 50 ans d'écart, reliées par un même goût pour la musique et les mystères de l'amour : Jean-Marc Vallée assume son lyrisme... mais finit par se perdre dans un mysticisme grotesque.
Les Inrockuptibles
Jean-Marc Vallée n'a acquis une certaine notoriété internationale qu'en 2006, avec le grand succès de C.R.A.Z.Y. (...). Il est peu probable que son nouveau film, "Café de Flore", trop long et tarabiscoté, obtienne la même audience.
Ouest France
(...) l'émotion attendue se perd dans les sophistications d'une mise en scène embrouillée et maniérée, que de vagues considérations sur le destin et sur la vie sont censées pimenter. En vain.
Positif
Après la réussite de "C.R.A.Z.Y.", (...) "Café de Flore" fait méchamment tapisserie, au point de mettre en doute le talent de Jean-Marc Vallée. Mais il y a Vanessa Paradis. (...) A voir juste pour elle.
TéléCinéObs
Accrocheur, agaçant, entêtant.
Télérama
La déception est à la mesure de l'enthousiasme de jadis : ce "Café de Flore" est un "mix" mystico-benêt de deux époques, de deux histoires, réunies à la glu par un artifice de scénario digne de Paco Rabanne : la réincarnation.
20 Minutes
On frôle l'overdose de saccharine dans ce film tape-à-l'oeil à la bande son envahissante.