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Ah, l'idée était bonne. Mais... Les acteurs ont fait de leur mieux avec un tel scénario, qui tombe très rapidement dans le mélo. Les dialogues sont très fouillis, maladroits, et parfois strictement inutiles. Certaines scènes sont vraiment de trop, ne serait ce que lorsqu'il tombe du bateau... Cela devient drôle alors que ce n'est pas le but. Dommage.
bof ! bof et bof. à voir un jour de grisaille et si on à rien à faire d'autre. même pas sensible
"La Ligne droite" ou la rencontre de deux accidentés de la vie (Yannick, non-voyant suite à un accident de voiture, et Leïla, mère de famille qui vient de purger 5 années de prison) qui vont unir leurs forces pour se reconstruire : on comprend assez aisément ce qui a attiré Régis Wargnier dans ce projet car il y a dans cette histoire une multitude de thèmes potentiellement intéressants. Là où le bât blesse, c'est que le réalisateur de "Coeurs d'athlète" (un documentaire déjà sur le monde de l'athlétisme) a accumulé les maladresses : les clichés s'amoncellent, les personnages sont caricaturaux (le rôle de Leïla est catastrophique de ce point de vue malgré l'énergie de Rachida Brackni), certains dialogues fortuits et certaines scènes déplacées (comme un symbole : la photo-finish au Stade de France ...) sans parler des sentiments de Yannick pour sa guide (aucune réelle alchimie ne se produit entre les deux comédiens qui accusent visiblement une trop grande différence d’âge). Malgré une écriture plutôt indigente, la vraie surprise du film réside dans le scénario puisque je m'attendais effectivement à voir le duo faire la course finale. Les thèmes abordés - le handicap et le handisport, 2 mondes plutôt méconnus du spectateur lambda - font figure de bouée de sauvetage et pour moi, "La ligne droite" ressemble plus à un hommage à ces coureurs aveugles pour qui les courses sont plus que de simples courses et à leurs guides bénévoles. D'ailleurs, à ce sujet, il y avait dans la salle un groupe de personnes handicapées qui ont applaudi à la fin du film : comme quoi, la réceptivité de chacun peut être bien différente ...
Un film touchant, sans prétention mais avec une grande sincérité. La relation entre l'athlète non-voyant et sa guide évolue constamment, et le besoin mutuel est bien rendu. Belle performance de Rachida Brakni, très crédible, une mise en scène sobre appuyée par une musique omniprésente. On sent que Régis Wargnier aime ce milieu de l'athlétisme, il sait filmer les coureurs comme nul autre pareil !
J'ai trouvé ce film émouvant et plein d'espoir Je suis sortie ravie
Les acteurs sont tous bien dans leur rôle allez le voir !!!
Les acteurs sont tous bien dans leur rôle allez le voir !!!
Une très belle histoire servie par des comédiens justes et émouvants.
Les scènes de course sont impressionantes....
Les scènes de course sont impressionantes....
Basé sur une bonne idée de scénario, Régis Warnier n'arrive pas à nous faire rentrer dans son histoire. La faute à des dialogues mal écrits, des tirades et phrases qui s'enchaînent sans faire ressortir la moindre émotion. Seule la fin du film est efficace (quoi que prévisible) et nous tire quelques frissons, car la situation dépasse les mots. La réalisation est néanmoins propre, les acteurs corrects. La façon dont Warnier filme ce sport nous amène au plus près des personnages grâce au steadycam. En somme une belle histoire plombée par des dialogues (trop) lourds de sens et dénués d'émotions.
L'histoire de deux blessés de la vie qui vont guérir ensemble mais aussi séparément.
J'avais peur d'un film à la « Angèle et Tony » filmé avec les pieds à l'économie, surprise, de la part d'un vieux routard sur un sujet style indé, la qualité d'image est très propre, techniquement en tout cas. Car artistiquement, c'est un autre sujet !
Pour une fois, il y a un budget, et la musique correcte fait le papier cadeau.
Il y a certes une accumulation de coïncidences dues à la facilité de l'âge et à la volonté d'une démonstration sans faille. Et surtout la scène complètement ratée de la rupture d'avec le mari.
Enfin, la totale irresponsabilité des deux protagonistes est tellement caricaturale qu'on en vient à espérer que personne n'arrive à cumuler autant de prises de risques dans sa vie.
Mais il faut bien avouer que ce film est une très bonne surprise. Au milieu d'un racisme ambiant au cinéma français, on a enfin des héros positifs de l'immigration, je ne parle pas forcément de la maghrébine qui n'a pas le (vrai) bon rôle mais plutôt de sa communauté et des africains, forçats de l'athlétisme. Exit les malfrats ou les victimes, enfin des gens normaux et honnêtes à défaut d'êtres parfaits, et c'est la bonne surprise de l'équilibre du caractère des protagonistes.
On se laisse porter par un récit idéal semé d'embûches et d'amours contrariés qui prend au ventre grâce aux expressions formidables de Rachida Brakni.
Pour tout dire, le parti pris de l'émotion fonctionne à fond sans être forcément tire-larme car les seconds rôles donnent un aspect choral qui déconnecte l'effet.
Un film qui fait du bien, c'est déjà pas si mal en ces temps difficiles. Bravo au réalisateur de réussir à échapper à la niaiserie qui rôde généralement dans ce genre.
J'avais peur d'un film à la « Angèle et Tony » filmé avec les pieds à l'économie, surprise, de la part d'un vieux routard sur un sujet style indé, la qualité d'image est très propre, techniquement en tout cas. Car artistiquement, c'est un autre sujet !
Pour une fois, il y a un budget, et la musique correcte fait le papier cadeau.
Il y a certes une accumulation de coïncidences dues à la facilité de l'âge et à la volonté d'une démonstration sans faille. Et surtout la scène complètement ratée de la rupture d'avec le mari.
Enfin, la totale irresponsabilité des deux protagonistes est tellement caricaturale qu'on en vient à espérer que personne n'arrive à cumuler autant de prises de risques dans sa vie.
Mais il faut bien avouer que ce film est une très bonne surprise. Au milieu d'un racisme ambiant au cinéma français, on a enfin des héros positifs de l'immigration, je ne parle pas forcément de la maghrébine qui n'a pas le (vrai) bon rôle mais plutôt de sa communauté et des africains, forçats de l'athlétisme. Exit les malfrats ou les victimes, enfin des gens normaux et honnêtes à défaut d'êtres parfaits, et c'est la bonne surprise de l'équilibre du caractère des protagonistes.
On se laisse porter par un récit idéal semé d'embûches et d'amours contrariés qui prend au ventre grâce aux expressions formidables de Rachida Brakni.
Pour tout dire, le parti pris de l'émotion fonctionne à fond sans être forcément tire-larme car les seconds rôles donnent un aspect choral qui déconnecte l'effet.
Un film qui fait du bien, c'est déjà pas si mal en ces temps difficiles. Bravo au réalisateur de réussir à échapper à la niaiserie qui rôde généralement dans ce genre.
Deux films en même temps sur deux handicaps différents mais autant "La permission de Minuit" est un mauvais film, mal joué, autant cette recherche de réapprendre à vivre des deux protagonistes est émouvante et bien jouée. Certains spectateurs ont trouvé que c'était un film pour les sportifs. Pas seulement, il est émouvant et nous fait comprendre le courage que doivent développer ces cabossés de la vie pour reprendre leur rythme d'avant. Un non voyant, une jeune femme sortie de prison vont vivre ensemble des moments difficiles, des moments de doute intense, des moments de bonheur jusqu'à réussir à renaître.
Plus un film de télévision que de cinéma, le film passe tout de même dans les salles obsures, sauf que là on ne peut pas zapper! LOL un peu d'humour se que manque cruellement le film voulant joué la carte de l'émotion..ratée malgrès les scènes ou les athlètes courent qui sont très belles! L'intrigue inutile et le jeux des acteurs et très mauvais! Faux pas
La ligne droite est une course émouvante pour cette rencontre entre Leila qui sort de prison et Yannick un athlète qui a perdu la vue dans accident. Ce drame sur un fond de sport donne l'espoir et c'est une réussite!
Un film assez émouvant avec des personnages attachants. Cependant, il est regrettable que la mise en scène n'ait pas été davantage soignée (perche et perchiste régulièrement visibles, cadre tremblant, etc...) on passe tout de même un bon moment.
Retour fracassant de Regis Wargnier avec cette histoire tres emouvante. Cette façon de filmer le sport est remarquable. Les comediens sont tous exelent. Ce film rentre dans les tres grand films du cinema français.
Rachida Brakni (Madame Con-tona à la ville ), joue la pleureuse de service dans ce mélo prévisible , dommage parce que l'idée était bonne ,mais le scénério reste brouillon et sans saveur .
Très beau film qui met enfin l'humain avant le handicap. Magnifique.
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