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Mat145
8 critiques
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4,0
Publiée le 21 mars 2011
Une histoire émouvante, des acteurs attachants (Rachida Brakni et Cyril Descours) et de superbes scènes (entrainement). Résultat : on en ressors émus et plein d'espoir sur la réinsertion et le handicap. Cependant, le scénario ne réserve pas de surprises. Mais ce n'est pas vraiment ce que l'on vient chercher.
Grosse déception de la part de Régis Wargnier, alors que l'intrigue de départ s'avérait intéressante, le film s'enlise dans d'inutiles intrigues où des personnages secondaire superflus (dont Clémentine Célarié) n'aident en rien à l'aboutissement du film. La Ligne droite (2011) est plombé par deux éléments majeurs, d'un côté Cyril Descours qui ne parvient jamais à rendre crédible son personnage (quitte à se ridiculiser complètement) et d'un autre, des dialogues affligeants et consternants par tant de médiocrité et de naïveté. Reste quelques plans intéressant et une Rachida Brakni qui tente ce qu'elle peut pour éviter le pire. Mis à part 110 minutes de promotion pour le handisport et l'athlétisme en général, il n'y a rien d'autre à voir.
L'histoire est sympa, originale... Mais mon dieu quels mauvais acteurs!! Ils en font trop! Beaucoup trop! Ça tire sur les violons! Particulièrement Rachida Brakni, qui, a mon goût, avais un mauvais jeu. Ces pleurs archi poussé m'ont fatigué et énervé. Vraiment dommage que le film dispose d'une actrice possédant un si mauvais jeu (m'enfin... Cyril Descours n'est pas top non plus...) et surjouant les scènes censées nous donner de l'émotion. (m'enfin... Cyril Descours n'est pas top non plus...). Cala gâche l'histoire que j'ai trouvé pas mal.
Dommage... c'est le genre de films que l'on a envie d'aimer, quitte à se forcer, tant les intentions sont bonnes et la volonté de bien faire est présente. Malheureusement, le scénario est très prévisible. Et de surcroît, les dialogues sont d'une lourdeur accablante et plombent totalement le récit. Quant à la musique, on dirait qu'elle est là pour combler le vide ou bien appuyer les moments d'émotion. On a vu Rachida Brakni plus inspirée et Cyril Descours a déjà montré l'étendue de son talent (riche et varié) dans Une Petite Zone de Turbulences et Complices. En espérant qu'il puisse continuer à s'affirmer dans des films à la hauteur de son potentiel. Les bons sentiments et quelques scènes dont les dernières réussissent à apporter un peu de souffle à l'ensemble, ce qui est la moindre des choses compte-tenu du fait qu'ils n'arrêtent pas de courir.
3.5/5 : Très bonne réalisation (travelling parfait !), acteurs principaux convaincants (beaucoup moins pour les seconds rôles ), musiques redondantes mais entrainantes. Problème, le scénario n'est pas incroyable, mais après en tant qu'athlète, je ne me suis pas ennuyé, heureux de me retrouver dans un beau décor !
Un film ouvert sur une relation entre un jeune athlète : Yannick devenu aveugle à suite d'un accident de voiture , et de Leïla qui ressort après cinq années passé en prison. L'histoire est assez intéressante sachant qu'elle retranscrit une réalité. Certaines scènes représente un bol d'air frais , je repense notamment à la scène du bateau ou encore à la fin dans le stade ( scène qui a était tourné au stade de France durant le Meeting Areva ).
J'ai adoré ce film, Il y prone beaucoup de nobles sentiments. Il nous montre le handicap sous un jour différent et plein d'espoir. Bravo. Un point aussi pour la musique que j'ai trouvée très belle.
C' n'est évidemment pas le meilleur film de Régis Wargnier, mais ce film n'en demeure pas moins touchant par sa modestie et par le sujet évoqué (le handicap),. Les amateurs d'athlétisme apprécieront les séances d'entraînement, les spectateurs qui souhaitent surtout de l'action un peu moins...
Régis Wargnier a déjà filmé l'athlétisme, ça se remarque d'ailleurs tant les scènes d'entraînement sont crédibles et bien filmées. Régis Wargnier est bien le réalisateur de la femme de ma vie, d'une femme française, d'Indochine ? où est-il ? qu'est devenu le réalisateur à la direction d'acteurs appliquée, à l'image travaillée, à la réalisation complète et avisée ? où est passé le scénario ? aucune crédibilité dans la rencontre et dans ce que va au fil de la course devenir la relation du coureur et de celle qui accourt. Le personnage de Rachida Brakni sort de prison, a des soucis de garde d'enfants, se heurte évidemment à l'handicap, l'agressivité qui en émane etc... Cyril descours n'est pas bien crédible en aveugle, autant il passe en coureur (de jupons aussi) mais en aveugle, revoir quelques notions de composition... Clémentine célarié ne sauve pas le film mais elle est là et on ne l'oublie pas, mieux on voudrait qu'elle revienne. Comme Régis Wargnier quoi !
excellent film !! il est émouvant les personnages sont touchant belle leçon de vie où je trouve que les acteurs s impliquent beaucoup , l e sujet sort de l ordinaire ..... à voir sans hésitation !!
Un film bof, une histoire qui aurait pu être exploité et interessant, mais ici on tombe dans les clichés. Les personnages sont caricaturaux, on peine a s'attacher à eux. Le scénario est attendu et tellement plat que l'on s'ennuie ferme jusqu'à la dernière partie, où la course finale est très bien pensée et filmé. Bref on peut se passer de voir ce film.
Scénario plûtot mal joué dans l'ensemble, mais une vraie émotion émane des deux personnages principaux, ce qui le rend très touchant. Les larmes montent parfois, une belle histoire de courage et de coeur.
Contrairement à certains je ne trouve pas que tirer sur la corde sensible soit quelquechose de négatif. Ce film m'a vraiment beaucoup ému et j'ai apprécié le jeu de Rachida Brakni. L'image n'a rien d'extraordinaire si ce n'est la façon de filmer certaines scènes de courses (sortie de prison, plage etc...) Un film plein d'humanité, sur les doutes, la reconstruction , la confiance etc... Bref un film assez riche.
Le réalisateur d'Indochine est un fondu d'athlétisme. Pas seulement pour la compétition, mais aussi et surtout, pour l'histoires intime des champions. Ses documentaires, consacrés à Hicham El Guerrouj, Heike Dreschler etc, sont d'ailleurs de petits bijoux. Avec La ligne droite, Régis Wargnier tente de filmer une fiction autour du sport roi de l'olympisme, mais le moins que l'on puisse dire est que le résultat est très décevant. Accusé principal : le scénario, plus chargé que Marion Jones à sa grande époque, qui agrège les malheurs de ses deux personnages principaux (athlète devenu aveugle, jeune femme sortant de prison), au risque du mélodrame. Comment se sortir d'un point de départ aussi ouvert aux clichés ? Eh bien, il ne s'en sort pas. D'autant que le sport passe vite au second plan, derrière la relation psychologiquement compliquée qui se noue entre le coureur invalide et sa guide. Les dialogues sont signifiants, l'interprétation pataude, hormis Rachida Brakni, dix foulées devant ses camarades. Les meilleures scènes sont celles des entraînements, filmés avec fluidité. Mais elles n'occupent qu'une partie infime de cette Ligne droite qui ressemble davantage à une course d'obstacles. Un honnête téléfilm diront les moins indulgents qui n'auront pas vraiment tort. Surtout avec ce dénouement d'un angélisme gênant.