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Un joli petit film sur l'athlétisme, mais aussi et surtout sur 2 êtres brisés par le destin, qui se trouvent pour panser leurs plaies. Une jolie histoire, même si l'on rapidement ce qui va se passer, qui nous fait tirer quelques larmes. A voir.
traversay1
Le réalisateur d'Indochine est un fondu d'athlétisme. Pas seulement pour la compétition, mais aussi et surtout, pour l'histoires intime des champions. Ses documentaires, consacrés à Hicham El Guerrouj, Heike Dreschler etc, sont d'ailleurs de petits bijoux. Avec La ligne droite, Régis Wargnier tente de filmer une fiction autour du sport roi de l'olympisme, mais le moins que l'on puisse dire est que le résultat est très décevant. Accusé principal : le scénario, plus chargé que Marion Jones à sa grande époque, qui agrège les malheurs de ses deux personnages principaux (athlète devenu aveugle, jeune femme sortant de prison), au risque du mélodrame. Comment se sortir d'un point de départ aussi ouvert aux clichés ? Eh bien, il ne s'en sort pas. D'autant que le sport passe vite au second plan, derrière la relation psychologiquement compliquée qui se noue entre le coureur invalide et sa guide. Les dialogues sont signifiants, l'interprétation pataude, hormis Rachida Brakni, dix foulées devant ses camarades. Les meilleures scènes sont celles des entraînements, filmés avec fluidité. Mais elles n'occupent qu'une partie infime de cette Ligne droite qui ressemble davantage à une course d'obstacles. Un honnête téléfilm diront les moins indulgents qui n'auront pas vraiment tort. Surtout avec ce dénouement d'un angélisme gênant.
j'ai aimé le discours du film, une soif d'absolue, de dépendance des êtres, d'amour, un beau discours sur la métaphore de l'aveugle et du voyant.....Régis Wargnier assure une efficacité à sa caméra et à sa mise en scène......L'émotion est brute et sans détours, un peu froide pour tromper les apparences sociales....Une femme va aider un non voyant et au fond le reconstruire...La métaphore est riche et profonde....Un film moral quelques part, trop peut être, un scénario rigoureux, qui va nous envoyer en bretagne, pour ceux qui connaissent ce coin, du côté de la rade de Brest, entre la minuscule Tibidi (Daoulas) et le cimétière de bateaux de guerre, une des plus belles vues, des plus belles routes en Europe...Le film est intransigeant, comme les personnages et se veut une leçon, une leçon sociale et humaniste à ne pas prendre à la légère....J'ai aimé....
Régis Wargnier a déjà filmé l'athlétisme, ça se remarque d'ailleurs tant les scènes d'entraînement sont crédibles et bien filmées. Régis Wargnier est bien le réalisateur de la femme de ma vie, d'une femme française, d'Indochine ? où est-il ? qu'est devenu le réalisateur à la direction d'acteurs appliquée, à l'image travaillée, à la réalisation complète et avisée ? où est passé le scénario ? aucune crédibilité dans la rencontre et dans ce que va au fil de la course devenir la relation du coureur et de celle qui accourt. Le personnage de Rachida Brakni sort de prison, a des soucis de garde d'enfants, se heurte évidemment à l'handicap, l'agressivité qui en émane etc...
Cyril descours n'est pas bien crédible en aveugle, autant il passe en coureur (de jupons aussi) mais en aveugle, revoir quelques notions de composition...
Clémentine célarié ne sauve pas le film mais elle est là et on ne l'oublie pas, mieux on voudrait qu'elle revienne. Comme Régis Wargnier quoi !
Cyril descours n'est pas bien crédible en aveugle, autant il passe en coureur (de jupons aussi) mais en aveugle, revoir quelques notions de composition...
Clémentine célarié ne sauve pas le film mais elle est là et on ne l'oublie pas, mieux on voudrait qu'elle revienne. Comme Régis Wargnier quoi !
10,5 / 20 La ligne droite et une déception , un film français qui apporte un bon intérêt , le film prouve que malgré son handicap on peut faire de belles choses , j'approuve ça mais je suis pas très satisfait par l'ensemble du film , c'est parfois navrant et au final très moyen ..ça ce laisse regarder avec parfois quelques difficultés , des longueurs , une musique répétitive et agaçante digne d'un téléfilm du soir , les acteurs ne sont pas spécialement convaincants , il faut dire que le casting est très peu avantageux , rien de sensationnel , le scénario est prévisible depuis la première scène et les premiers dialogues , l'émotion est totalement aux oubliettes malgré un sujet sensible , un handicap déchirant et un personnage pu être plus émouvant . Le mise en scène est pourtant sympathique , la photographie jolie et de beaux plans , malheureusement on s'ennuie vite , quelques acteurs mauvais et le rythme est pénible . Comme je l'ai dis , Cyril Descours est pas vraiment convainquant , parfois énervant, parfois correct , je suis mitigé sur lui et son personnage . Rachida brakni est pas mal mais rien non plus de glorieux ! Je voulais allé le voir surtout pour Clémentine célarié , que j'adore , trop absente , c'est regrettable … je suis vraiment déçu concernant les acteurs et surtout le scénario , tout est vu à l'avance , le final est reltivement « beau » mais trop attendu ! Surtout que le réalisateur inflige de très grosses longueurs , c'est vraiment dommage , l'idée de base était intéressante et originale , c'est pas un bon film , c'est même pas à mes yeux un drame . J'ai très moyennement aimé , une réalisation française potable avec de gros défauts , ça manque de rebondissement , d'émotion , de subtilité et parfois même de crédibilité , quelques détails inutiles et franchement inintéressants . Allez le voir pour vous faire une idée ! Je pense que c'est le genre de film à interpréter sous différentes façons .
"La Ligne droite" ou la rencontre de deux accidentés de la vie (Yannick, non-voyant suite à un accident de voiture, et Leïla, mère de famille qui vient de purger 5 années de prison) qui vont unir leurs forces pour se reconstruire : on comprend assez aisément ce qui a attiré Régis Wargnier dans ce projet car il y a dans cette histoire une multitude de thèmes potentiellement intéressants. Là où le bât blesse, c'est que le réalisateur de "Coeurs d'athlète" (un documentaire déjà sur le monde de l'athlétisme) a accumulé les maladresses : les clichés s'amoncellent, les personnages sont caricaturaux (le rôle de Leïla est catastrophique de ce point de vue malgré l'énergie de Rachida Brackni), certains dialogues fortuits et certaines scènes déplacées (comme un symbole : la photo-finish au Stade de France ...) sans parler des sentiments de Yannick pour sa guide (aucune réelle alchimie ne se produit entre les deux comédiens qui accusent visiblement une trop grande différence d’âge). Malgré une écriture plutôt indigente, la vraie surprise du film réside dans le scénario puisque je m'attendais effectivement à voir le duo faire la course finale. Les thèmes abordés - le handicap et le handisport, 2 mondes plutôt méconnus du spectateur lambda - font figure de bouée de sauvetage et pour moi, "La ligne droite" ressemble plus à un hommage à ces coureurs aveugles pour qui les courses sont plus que de simples courses et à leurs guides bénévoles. D'ailleurs, à ce sujet, il y avait dans la salle un groupe de personnes handicapées qui ont applaudi à la fin du film : comme quoi, la réceptivité de chacun peut être bien différente ...
"La Ligne droite" c'est l'histoire de la rencontre de deux accidentés de la vie : Leila, qui vient de sortir de prison et qui vit toujours éloignée de son fils, et Yannick, jeune athlète, qui vient de perdre la vue. La première va devenir le guide du second sur la piste de course, et ensemble ils vont retrouver goût à la vie.
Sur le thème éculé de la reconstruction de soi, Régis Wargnier offre le meilleur comme le pire. Commençons par le pire, qui se situe surtout du côté du personnage de Leila (heureusement sublimé par Rachida Brakni) et de ce côté mélo plein de clichés (sortie de prison, séparation de la mère et de son enfant). Pas que le parallélisme entre l'écorchée du cœur et l'handicapé physique soit sans intérêt, mais le caractère de déjà vu du personnage de Leila fait pâle figure et ennuie face à un sujet moins courant au cinéma. Car c'est justement dans son approche du handicap et du handisport que Régis Wargnier offre le meilleur. Pas de sentimentalisme larmoyant dans la volonté de ce jeune sportif qui n'aspire qu'à retrouver sa vie d'avant. On décèle bien ça et là quelques clichés (la mère protectrice, la rébellion du jeune homme), mais qui sont acceptables et plausibles face à une telle situation. Cyril Descours apporte beaucoup à ce personnage, pas tant dans la comédie pure, mais dans l'utilisation de son corps, véritable élément d'expression du personnage.
Régis Wargnier filme d'ailleurs magnifiquement les corps de ces deux personnages, qui se frôlent, souffrent ensemble, avancent ensemble, trébuchent, se relèvent... Il est au plus près d'eux, de leurs foulées, de leurs mains liées, des leurs souffles. La caméra leur colle à la peau, mais le montage sonore apporte aussi beaucoup à l'ambiance (rappelons que Yannick est aveugle). En grand admirateur de l'athlétisme, Régis Wargnier le filme donc de l'intérieur et permet au spectateur de s'immerger complétement dans la course des athlètes. Il se paie même le luxe de tourner sa séquence finale au cours d'une vraie compétition au Stade de France. Mais plus qu'un film sur l'athlétisme, "La Ligne droite" est un film sur le handisport, un monde plutôt méconnu du spectateur lambda. Régis Wargnier rend hommage à ces coureurs aveugles et à leurs guides. Les premiers pour qui les courses sont plus que de simples courses. Les seconds qui, au delà d'être de simples yeux, font preuve d'un dévouement immense et s'efface littéralement derrière les précédents. Et ce lien qui se crée entre eux, bien au delà des stades...
Sur le thème éculé de la reconstruction de soi, Régis Wargnier offre le meilleur comme le pire. Commençons par le pire, qui se situe surtout du côté du personnage de Leila (heureusement sublimé par Rachida Brakni) et de ce côté mélo plein de clichés (sortie de prison, séparation de la mère et de son enfant). Pas que le parallélisme entre l'écorchée du cœur et l'handicapé physique soit sans intérêt, mais le caractère de déjà vu du personnage de Leila fait pâle figure et ennuie face à un sujet moins courant au cinéma. Car c'est justement dans son approche du handicap et du handisport que Régis Wargnier offre le meilleur. Pas de sentimentalisme larmoyant dans la volonté de ce jeune sportif qui n'aspire qu'à retrouver sa vie d'avant. On décèle bien ça et là quelques clichés (la mère protectrice, la rébellion du jeune homme), mais qui sont acceptables et plausibles face à une telle situation. Cyril Descours apporte beaucoup à ce personnage, pas tant dans la comédie pure, mais dans l'utilisation de son corps, véritable élément d'expression du personnage.
Régis Wargnier filme d'ailleurs magnifiquement les corps de ces deux personnages, qui se frôlent, souffrent ensemble, avancent ensemble, trébuchent, se relèvent... Il est au plus près d'eux, de leurs foulées, de leurs mains liées, des leurs souffles. La caméra leur colle à la peau, mais le montage sonore apporte aussi beaucoup à l'ambiance (rappelons que Yannick est aveugle). En grand admirateur de l'athlétisme, Régis Wargnier le filme donc de l'intérieur et permet au spectateur de s'immerger complétement dans la course des athlètes. Il se paie même le luxe de tourner sa séquence finale au cours d'une vraie compétition au Stade de France. Mais plus qu'un film sur l'athlétisme, "La Ligne droite" est un film sur le handisport, un monde plutôt méconnu du spectateur lambda. Régis Wargnier rend hommage à ces coureurs aveugles et à leurs guides. Les premiers pour qui les courses sont plus que de simples courses. Les seconds qui, au delà d'être de simples yeux, font preuve d'un dévouement immense et s'efface littéralement derrière les précédents. Et ce lien qui se crée entre eux, bien au delà des stades...
« La ligne droite », réalisé par Régis Wargnier, est le récit de la rencontre de deux êtres brisés par la vie. D’un côté Leila qui sort de prison après cinq ans et une condamnation pour homicide involontaire. Et de l’autre Yannick, jeune athlète qui a perdu la vue six mois auparavant dans un accident de voiture. Ces deux personnages, à travers l’athlétisme et la course du 400 mètres pour non-voyants, vont apprendre à se connaître et se reconstruire mutuellement, Leila servant de guide à Yannick dans cette compétition. Le moins que l’on puisse dire est que Régis Wargnier, réalisateur et scénariste de ce long métrage, a chargé un maximum ses deux personnages principaux afin d’exposer un peu maladroitement leur renaissance. Le scénario est en effet un peu trop consensuel et simpliste, et atteint des sommets d’angélisme dans sa conclusion. Cependant, la présence de l’excellente Rachida Brakni dans le rôle de Leila et une composition convaincante de Cyril Descours dans celui de Yannick permettent à « La ligne droite » de sauver cette production de la banalité. Les scènes d’athlétisme sont bien tournées mais ponctuées d’une musique exagérément emphatique. Le film est assez émouvant par moment mais aurait gagné à élaborer un récit plus réaliste moins chargé en bons sentiments, l’excès de pathos finissant par altérer l’intégrité de cette production.
J'ai adoré ce film, Il y prone beaucoup de nobles sentiments. Il nous montre le handicap sous un jour différent et plein d'espoir. Bravo. Un point aussi pour la musique que j'ai trouvée très belle.
J’ai eu peur d’avoir affaire à un téléfilm (je ne regarde pratiquement jamais ce format) ; et on n’en était pas loin dans l’ambiance. Je suis rassuré de lire que certains allocinautes aient eu la même impression au point de faire une recherche sur l’origine de ce film. Film à l’origine pour la téloche puis revirement de situation format cinoche avant de franchir l’arrivée ! La scène entre Descours et Brakni dans le bar du club en avait toute l’atmosphère. Sans compter le temps de réponse entre les deux acteurs qui me semblait long ; ça sonnait creux, surfait... téléfilm quoi ! Bref, après un tour de piste, j’étais un peu plus rassuré. Cependant, si la fin ne m’était pas si prévisible que ça, je m’attendais à ce que Leïla coure ; le reste fait preuve d’un manque total d’imagination : la femme et son lourd secret au point de parasiter l’essentiel qui selon moi était l’athlétisme. Wargnier me refile une intrigue familiale cliché dont je me fous. La ligne droite a pris une tangente qui m’a déplu. Comme à l’image d’un athlète : ce film a du potentiel, mais il a raté sa course.
Le genre de film qui ne sert à rien. Sitôt vu sitôt oublié.
J'avoue avoir eu de gros doutes avant de voir ce films, je m'attendais à de grandes longueurs mais je n'en ai pas trouvés. C'est un bon films pleins de sentiments et j'ai appris beaucoup de choses sur le 400m avec guide. Cyril Descours est parfait dans ce rôle.
joli film, l'histoire est bien menée et c'est pour nous plonger dans ce contexte, communiquer autrement et sentir les relations entre les personnages...
L'histoire de deux blessés de la vie qui vont guérir ensemble mais aussi séparément.
J'avais peur d'un film à la « Angèle et Tony » filmé avec les pieds à l'économie, surprise, de la part d'un vieux routard sur un sujet style indé, la qualité d'image est très propre, techniquement en tout cas. Car artistiquement, c'est un autre sujet !
Pour une fois, il y a un budget, et la musique correcte fait le papier cadeau.
Il y a certes une accumulation de coïncidences dues à la facilité de l'âge et à la volonté d'une démonstration sans faille. Et surtout la scène complètement ratée de la rupture d'avec le mari.
Enfin, la totale irresponsabilité des deux protagonistes est tellement caricaturale qu'on en vient à espérer que personne n'arrive à cumuler autant de prises de risques dans sa vie.
Mais il faut bien avouer que ce film est une très bonne surprise. Au milieu d'un racisme ambiant au cinéma français, on a enfin des héros positifs de l'immigration, je ne parle pas forcément de la maghrébine qui n'a pas le (vrai) bon rôle mais plutôt de sa communauté et des africains, forçats de l'athlétisme. Exit les malfrats ou les victimes, enfin des gens normaux et honnêtes à défaut d'êtres parfaits, et c'est la bonne surprise de l'équilibre du caractère des protagonistes.
On se laisse porter par un récit idéal semé d'embûches et d'amours contrariés qui prend au ventre grâce aux expressions formidables de Rachida Brakni.
Pour tout dire, le parti pris de l'émotion fonctionne à fond sans être forcément tire-larme car les seconds rôles donnent un aspect choral qui déconnecte l'effet.
Un film qui fait du bien, c'est déjà pas si mal en ces temps difficiles. Bravo au réalisateur de réussir à échapper à la niaiserie qui rôde généralement dans ce genre.
J'avais peur d'un film à la « Angèle et Tony » filmé avec les pieds à l'économie, surprise, de la part d'un vieux routard sur un sujet style indé, la qualité d'image est très propre, techniquement en tout cas. Car artistiquement, c'est un autre sujet !
Pour une fois, il y a un budget, et la musique correcte fait le papier cadeau.
Il y a certes une accumulation de coïncidences dues à la facilité de l'âge et à la volonté d'une démonstration sans faille. Et surtout la scène complètement ratée de la rupture d'avec le mari.
Enfin, la totale irresponsabilité des deux protagonistes est tellement caricaturale qu'on en vient à espérer que personne n'arrive à cumuler autant de prises de risques dans sa vie.
Mais il faut bien avouer que ce film est une très bonne surprise. Au milieu d'un racisme ambiant au cinéma français, on a enfin des héros positifs de l'immigration, je ne parle pas forcément de la maghrébine qui n'a pas le (vrai) bon rôle mais plutôt de sa communauté et des africains, forçats de l'athlétisme. Exit les malfrats ou les victimes, enfin des gens normaux et honnêtes à défaut d'êtres parfaits, et c'est la bonne surprise de l'équilibre du caractère des protagonistes.
On se laisse porter par un récit idéal semé d'embûches et d'amours contrariés qui prend au ventre grâce aux expressions formidables de Rachida Brakni.
Pour tout dire, le parti pris de l'émotion fonctionne à fond sans être forcément tire-larme car les seconds rôles donnent un aspect choral qui déconnecte l'effet.
Un film qui fait du bien, c'est déjà pas si mal en ces temps difficiles. Bravo au réalisateur de réussir à échapper à la niaiserie qui rôde généralement dans ce genre.
Plutôt déçu, même si ça se regarde... Je trouve que tous les acteurs ne jouent pas très juste, en particulier la tête d'affiche féminine, et parfois ça fait spot publicitaire pour une association de lutte contre le handicap. Je trouve parfois les personnages assez caricaturaux également.
Non, très moyennement emballé !
Non, très moyennement emballé !
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