Avis : Cendrillon - Page 4

Adaptation cinématographique par Disney par Disney, on est pas surpris. L histoire est archi connu donc pas de suspense de ce coté ni d'improvisation. Le plus de ce film se trouve dans les costumes et les robes.
Le carrosse et ses accessoires sont vraiment bien fait. On replonge dans ce conte avec un délice non dissimulé. Cerise sur le gateau ma fille avait les yeux emerveillés.

Ayant été séduite par les réadaptations Maléfique et Alice au Pays des merveilles (même si dans Alice au Pays des merveilles il n'y avait pas assez de l'univers de Burton ) je m'attendais à mieux surtout que les médias en particulier les magasines et le journal parlaient de ce film avec beaucoup d'éloges (mais bon je suppose qu'as force t'en entendre que du bien sur un film généralement on ne peut être déçu de nos attentes) . Tout ce que j'ai trouvé c'est des dialogues assez niais et une Cendrillon nunuche et naif (elle reste avec sa belle mère et c'est deux demi-soeur en préchant la gentillesse et la bonté serte ce n'est que bons sentiments mais à force de le répéter le long du film ça en ai est rasant ,là ou ça aurait interrèssant par exemple c'est qu'elle plaque en les mettant à la porte sa belle mère et soeurs , qu'elle se révolte un peu bref je ne sait pas ,ou que le prince soit gay) fin bref j'arrête mon délire mais que Disney innove et ose bon Dieu même si le succès ne fera peut être pas un aussi gros succès au box office le film aurait au moins le mérite d'être différent et original comme Pirate des Caraibe qui a pris un pari osé en créant un film sur base d'une attraction qui au départ n'était pas censé aussi bien marché ) J'ai tout simplement eu l'impression de regarder le dessin animé des année 50 mais en film en gros simplement copier -coller de celui-ci ce que j'ai trouvé dommage avec une petite déception sur Disney qui c'est derniers temps vise la facilité et non l'originalité .
J'aurais préféré une version un peu modernisé de ce conte (parce que la cendrillon simplette parce que je pense qu'aux 21 ème siècle on devrait montrer une version de la femme plus indépendante et plus forte ) sans oublier la voix de la narratrice qui m'a dérangé durant tout le film (j'ai eu plus l'impression qu'il y avait plus de narration que de dialogue et je ne sais pas vous mais moi je trouve dans un film cela ennuyeux ) cependant chapeau à la méchante belle-mère qui joue parfaitement son rôle et aux prince qui arrive à tenir son rôle avec charme et bon ça tient un peu en haleine mais ça ne sauve malheureusement pas le film

PAR-FAIT !
Y a rien a dire ! Ce film est une pur merveille ! La mise en scène est fabuleuse le jeu d'acteur impeccable (vive les anglais) bref je vois pas comment on peut être contre un peu de magie et de bienveillance ... Sûrement par manque de courage ;-)

Trop niais ! Couleurs criardes, jeu abominable… Tout le film n'est destiné qu'à un public enfantin. Je trouve la version des années 50 bien plus enchanteresse et amusante. Ici, les décors, couleurs et coiffures ressemblent fort à la version de Blanche-Neige avec Julia Roberts. Très mauvais, c'est surjoué et avec des dialogues si mauvais... Je déconseille !

Kenneth BRANAGH érige un éternel de DISNEY en un classique nouvelle génération instantané. Sa relecture du célèbre conte de PERRAULT et du film d'animation des années 50 est très réussie. La féérie est au rendez-vous et les images sont prodigieuses. Le réalisateur nord-irlandais approfondit les liens familiaux et les traumatismes qui hantent ses héros. L'interprète de Cendrillon, Lily JAMES livre une excellente partition. Elle est à la fois intelligente et pleine d'esprit, aussi belle à l'intérieur qu'à l'extérieur. Autant de qualités qui éveillent la sympathie sans condition du public pour son personnage. La belle-mère campée par Cate BLANCHETT est très intéressante. L'interprétation de Cate est pleine de fougue. On peut également louer la performance du fameux Prince charmant incarné par Richard MADDEN. La version live de "Cendrillon" réussit son pari : faire rêver.

Voilà un très beau film au final, qui fait l'objet d'une réadaptation en live du classique et du chef d'œuvre du film d'animation Disney. Etant fan de Disney et des classiques, j'aime voir un peu tout et je ne suis pas déçu du traitement qu'a subi ce film, dans la grande mode de réadaptation des classiques d'animations en films live. Bien évidemment, le film d'animation restera je pense toujours le meilleur, du moins pour celui-ci. Cette version est donc une belle réussite et plaira à quiconque aura déjà vu ou pas l'une des versions du célèbre conte de Charles Perrault et dont l'histoire est ici traité comme il le faut ni plus ni moins. Evidemment des éléments diffèrent par ci par là par rapport aux autres versions mais celle-ci est fidèle au classique, et en demeure superbe sur tous les points. Le métrage possède un certain charme attirant grâce à la patte Disney et aux différentes qualités de l'ensemble. Il est visuellement superbe doté d'une réalisation parfaite avec de très beaux plans, et la magie opère grâce aux effets visuels de l'ensemble tous très bons. La bande son s'accorde parfaitement au métrage avec de belles compositions, elle sublimera les images et reste une belle réussite sur ce point. Quant au casting, il est très bon. Lily James dans le rôle principal y est quasi parfaite, bien qu'on aurait souhaité une actrice plus connue s'avère au final plus que convaincante, Cate Blanchett est excellente dans le rôle de la marâtre, Richard Madden très bon dans le rôle du prince charmant, Helena Bonham Carter super dans le rôle de la marraîne, la bonne fée, puis les reconnu et bons Stellan Skarsgard, Derek Jacobi. Les rôles des deux sœurs Anastasie et Javotte sont bien interprétés et incombent aux deux actrices Holliday Grainger et Sophie McShera.
En bonus, un beau court métrage Disney intitulé La Reine Des Neiges : Une Fête Givrée est présent juste avant le lancement du métrage, vraiment sympa.
Donc un très beau film pour tous, les nostalgiques, les adorateurs de Disney ou autres car il s'avère que l'ensemble est très bon, bonne relecture et réadaptation. Belle réussite.
Ma note : 8/10 !!

"Cendrillon", nouveau film de Kenneth Branagh, avec Lily James, Cate Blanchett, Richard Madden et Helena Bonham Carter. Je connaissais ce réalisateur que de nom, mais on ne m'a dit que du bien de lui, ses oeuvres les plus connus étant "Hamlet", "Frankenstein" ou encore "The Ryan Initiative", je pense qu'on peut compter sur lui. C'est derniers temps, l'adaptation des contes (de Disney) est une grande mode ! Après les récents "Alice au pays des merveilles" et "Maléfique" qui ont d'ailleurs eu des énormes succès, il est temps de passer à "Cendrillon".

Je ne vais pas le cacher, la première raison pour laquelle j'ai voulu voir ce film, c'est Helena Bonham Carter, mon actrice préféré, en Marraine la bonne fée en plus. Mais évidemment le film en lui-même m'intéressait aussi. Je ne m'attendais à énormément de chose, mais vu que je connais (évidemment) l'histoire de Cendrillon, je voulais que le film approfondisse d'avantage l'histoire, surtout au niveau des personnages, mais aussi montrer quelque chose de nouveau, de façon à "redécouvrir" le conte.
Pour commencer, on montre l'enfance de Ella, entouré de ses deux parents respectivement jouer par Hayley Atwell et Ben Chaplin, qu'elle aime et où elle mène une belle vie, jusqu'au jour où sa mère tombe malade et meurt. La suite de l'histoire, on la connait tous : Le père se remarie, qu'il installe chez lui et offre à Ella deux demi-soeurs, le père meurt et la jeune fille devient vite la servante de la maison.

Même si l'histoire retrace évidemment celle du dessin-animé, on peut noter énormément de nouveaux éléments : Les relations entre certains personnages. J'ai apprécier la relation entre Ella et ses parents, totalement inexistante dans l'animé, leurs scènes sont très douce et touchante se qui nous permet d'avoir de l'affection pour la jeune fille. Mais je veux surtout parler du personnage du prince nommé Kit. On ne sait rien du prince dans le dessin-animé, là c'est bien différent; Sa relation avec son père est vraiment intéressante et également très touchante, mais c'est surtout l'idée qu'il rencontre Ella avant le bal, ce qui permet de renforcer leur amour. En revanche, j'aimerai parler des personnage de Lady Tremaine et du Grand Duc, qui sont tous les deux les ennemis de nos héros : Je n'ai pas compris leurs motivations, bon pour Lady Tremaine à mon avis c'est sa jalousie vis-à-vis de Ella, à cause de sa beauté et gentillesse, mais ils auraient pu très exploiter davantage leur relation, dommage. Et le Grand Duc ? spoiler: Pourquoi voulait-il que le prince épouse absolument une princesse ? Qu'est-ce que ça peut lui faire ?
et je pense qu'ils auraient pu faire beaucoup mieux que le spoiler: "ils partirent et on les revus jamais"

Dans l'ensemble, les acteurs sont bons dans l'ensemble, surtout ma Helena que j'ai adoré en Maraine la bonne fée, sa scène est hilarante est donne un vrai coup de frais. Les demi-soeurs apportent une vraie touche d'humour également. Les décors sont très jolie ainsi que les costumes, comme les robes de Lady Tremaine et surtout celle de Cendrillon. La mise est scène est belle, spoiler: l'arrivée de Cendrillon au bal est vraiment bien filmée
, ainsi que des effets-spéciaux plutôt correctes, sauf peut-être le visuel des souris qui tique un peu.
Malheureusement le film comporte des défauts : Pour commencer sur le plan technique, même si les décors, costumes et effets-spéciaux sont bien, quand est-il de la musique ? Elle est inexistante ! Le film a tendance à se montrer un peu trop niais sur les bords, mais autant dire le plus important : Je voulais que le film expose quelque chose de nouveau, montrer de nouvelle chose, dans l'ensemble on peut dire qu'il y arrive, Kenneth Branagh c'est quand même vachement investi; malgré tout, le film manque quand même d'approfondissement (d'ailleurs j'ai remarquer que certaines scènes de la bande-annonce ne sont pas dans le film). Mais surtout : Ça manque un peu de magie. Il ne se démarque pas, la scène de fin m'a fait un étrange effet de ni chaud ni froid.

Pour conclure, je pense que "Cendrillon" est un bon film pour toute la famille, mais manque vraiment d'approfondissement et de modernité, et ne se démarque pas par rapport à d'autres productions qui sont des adaptations de contes. C'est trop classique, pas assez innovent, même si le message est crédible et honnête. Mais ça reste un bon divertissement. Je pensais au départ lui mettre un 3/5, mais je peux lui rajouter un 0,5 pour Helena. Donc 3,5/5.

film complètement nul. Énorme déception pour un film de Kenneth Branagh.
il y avait tellement à faire avec un tel sujet. J'attendais de la magie, de l'onirisme, de la mélancolie et de l'amour, je n'ai eu qu'un fade remake du dessin animé de Disney. à éviter...

Une adaptation réussie d un grand classique Disney. Le casting est plutôt réussi.
les décors et déguisements nous transportent dans la féerie du conte.
Un beau moment de partage en famille

Kenneth Branagh maîtrise ce classqiue d'une main de maître en respectant le plus fidèlement possible l'intrigue de Cendrillon. Il prend la voie la plus basique, et c'est ce qu'il fallait faire pour que ça fonctionne. L'univers magique respecte extrêmement bien le conte originel, et tous les éléments sont bien présents dans ce film : soulier de verre, carrosse en citrouille, bal, belle-mère et belles-soeurs cruelles, prince, souris... Et c'est ce qui fait la réussite de ce Disney. Lily James livre une interprétation relativement simple parfois niaise, mais se retrouve vite épaulée par une Helena Bonham Carter envoûtante et une Cate Blanchett exceptionnelle et inoubliable. Les effets spéciaux sont sublimes et fascinants. On est au coeur de Cendrillon, on en connaît la fin, et c'est cela qui est amusant et remarquable, contrairement aux versions remasteurisées de Blanche-Neige et la Belle au bois dormant. Une version basique et sans surprises qui fonctionne tout de même assez bien car très fidèle au conte éponyme.

Après l’échec de La belle et la bête de Christophe Gans, c’est au tour d’un autre conte populaire d’être adapté à l’écran. Cendrillon, conte populaire transcrit par Charles Perrault puis amélioré par les frères Grimm, adapté pour la première par George Méliès en 1899, sera popularisé par les Studios Disney grâce à l’animation en 1950. Soixante-cinq ans après, ces mêmes studios reprennent le flambeau en transposant le conte en prise de vue réelle. Kenneth Branagh introduit davantage de réalisme sans nuire à la magie.

Ella (Lily James), jeune fille insouciante, élevé dans une famille bourgeoise par des parents aimants, perd sa mère. Son père se remarie à Madame Trémaine (Cate Blanchett dont on a parlé pour Monuments Men et Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées), une belle-mère acariâtre n’ayant pour seul but que de placer ses filles, Javotte (Sophie McShera) et Anastasie (Holliday Grainger que l’on a vu dans The Riot Club), auprès d’un riche mari. Lorsque le père (Ben Chaplin) d’Ella décède, elle reste seule avec sa marâtre et ses demi-sœurs qui, peu à peu, lui font mener une vie de plus en plus difficile et la surnomme alors Cendrillon, mélange de cendre et de souillon.

Raconté à la troisième personne par la fée et marraine de Cendrillon (Helena Bonham Carter), Cendrillon reprend dans les grandes lignes le déroulement du conte et des adaptations précédentes. Toutefois, à l’exception de l’intervention de la fée, le film s’inscrit dans un réalisme plus présent. Cendrillon, bien que naturellement courageuse et empathique, ne passe plus son temps à chanter. Les animaux ne parlent pas non plus. Ainsi, Cendrillon élève bien des souris, mais elles ne l’aident pas à confectionner sa robe. Elles ne sont qu’une compagnie réconfortante pour une âme bien seule. Cendrillon n’en reste pas moins capable de s’étonner de peu et de se contenter, de manière humble, du minimum. Moralisant le petit peuple auquel on dit, dans Cendrillon, de se satisfaire de ce qu’il a et de ne pas chercher à s’élever, d’attendre sagement un signe de la destinée qui pour le plus grand nombre ne viendra jamais, le conte, désagréable sur cet aspect, n’en reste pas moins également une sage leçon d’émerveillement au quotidien. Pour une Cendrillon au destin princier, combien de souillons le resteront ? Peu importe notre condition, il est néanmoins essentiel de cueillir le jour. Rajoutons que le thème du conte originel reste présent en filigrane et continuer de promouvoir une morale d’un autre temps. À savoir que toutes les femmes du conte, la marâtre, Cendrillon et ses sœurs n’envisagent et ne cherche l’avenir que dans la dépendance d’un homme.

L’adaptation de Branagh adopte une direction artistique amenant une esthétique très agréable et rappelant les tableaux de Johannes Vermeer. Dans sa cuisine, seule, se tuant à la tâche, Cendrillon, dans les costumes imaginés par Sandy Powell, rappelle parfois la laitière du peintre néerlandais. Les accoutrements des deux sœurs donnent l’impression d’être de grande coutures tout en étant finalement assez laids. Après tout, c’est l’apanage de la mode de vendre du moche très chère. N’est-ce pas Louis Vutton ? Au contraire, dans ses habits plus simples ou dans sa robe de bal classique, Cendrillon étincelle. À l’élégance, Cendrillon adjoint également une émotion que l’on aurait pu croire perdue derrière un écran de sensiblerie et de niaiserie. Il n’en est rien. À notre grand surprise, Cendrillon porte quelques scènes émouvantes sans fioritures inutiles. Ni Lily James ni Richard Madden (alias Kit le Prince Charmant et surtout Robb Stark dans Game Of Thrones) n’ont besoin de surjouer pour rajouter à l’émotion sincère qui se dégage lorsque la vie rend enfin justice à la bonté de la belle. Même si, on le répète, l’histoire de Cendrillon idéalise une vision de la vie où le bien engendre le bien, parfois, cela fait du bien, justement, de vivre un conte de fée et de se laisser porter par un monde où tout finit bien.

Artistique et sensible, Cendrillon version vingt-et-unième siècle, offre un casting à l’investissement irréprochable. Branagh offre une adaptation réussie ne faisant pas doublon avec l’animation des années cinquante et nous offrons à nouveau, un bon moment magique à passer en famille.

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Cendrillon : Une excellente et fidèle adaptation du dessin animé Disney. Vraiment, on retrouve tous et ils ont rien oublié pour nous faire revivre cette magie. Vraiment, j’apprécie redécouvrir ce classique Disney que pourtant on connaît par cœur mais c’est comme si on le regarder pour la premier fois comme cette fois, c’est en film. Et même si ce n’est pas original car on dirait qu’ils ont pu d’idée à vouloir refaire leurs classique Disney comme Maléfique, la Belle et la Bête…. Mais, c’est un plaisir coupable mais je peux que constater les qualités et la fidélité de ce film. Car comme je disais, il reprend tous, ça rien modifié comparé par exemple a Maléfique. On retrouve Cendrillon, sa belle mère et ses sœurs et même les animaux : les souris, le chat Usifére… Et ils sont très bien représentés les personnages et son même plus humains que dans le dessin animé, il y a des vraies émotions et c’est ça que j’ai était agréablement surprit. Car, on ne transmet pas les mêmes émotions dans un film que dans un dessin animé, la on voit les personnages pleurés, souffrir, s’émerveillé… et c’est ce qui rend magnifique ce film. Et que dire de la magie car oui, il y a pas mal de scène ou on est transporté, on notre âme de petit enfant revint, comme la fameuse scène du bal qui est juste sublime, et quand on découvre le robe de Cendrillon, whoua. Et ça, c’est aussi grâce a une mise en scène classique et enchanteresse avec un réalisateur de premier ordre : (Hamlet…), vraiment, il s’approprie a merveille l’univers avec une mise en scène très soignée et un souci du cadrage. Ensuite, il y a de très belles musiques que j’ai retenues, il y a très peu de chanson par contre. Et pour finir, j’ai trouvé le casting parfait et les acteurs extra. Donc voila, une des meilleures adaptations d’un Disney en film que j’ai vu, ni plus, ni moins.

Cendrillon en version live. La mode que de voir des classiques de Disney être retranscris avec de vrais acteurs.
Ce dessin animé de légende, apportera son lot de réussites grâce à des acteurs investis et cohérents de bout en bout. L'histoire forcément ne surprend pas puisque nous suivons Cendrillon, une jeune fille généreuse et belle qui sera exploitée par sa belle-mère et ses belles-sœurs à la mort de son père.
Une histoire avec des princesses, un prince charmant, son lot de magie avec une bonne fée.
Une histoire touchante accentuée par une magnifique bande-son.
Bref : l'histoire de Cendrillon.

Tout le monde connaît déjà l'histoire mais on ressort émerveillé et enchanté de la salle... parce que les histoires de princes et princesses sont éternelles ! Avec des très beaux décors et des costumes magnifiques pour accentuer la magie.

En cruel manque d’originalité depuis plus d’une décennie, Hollywood préfère porter à l’écran des œuvres préexistantes plutôt que d’imaginer de nouvelles histoires. Après avoir abondamment puisé dans le monde des super héros, la Mecque du cinéma s’attaque aux films d’animation Disney. Blanche Neige et les sept nains et La Belle au Bois Dormant ayant déjà fait l’objet de transposition ciné (Blanche Neige et le chasseur et Maléfique), c’est au tour de Cendrillon de passer de l’animé au live. Malheureusement la magie n’opère pas à tous les coups.
Mignon ! C’est le premier mot qui vient à l’esprit devant Cendrillon. Ce film est très gentil mais voilà, il n’est que ça. Ce conte de fées déjà bien cul-cul chez Disney est encore plus mièvre entre les mains du réalisateur britannique Kenneth Branagh (Thor). Si on peut pardonner à un Disney des années 50 son manque de modernité, difficile de le faire soixante-cinq ans après. Dans ce long-métrage aux allures de grosse meringue, Lily James et Richard Madden sont des plus charmants mais on les plaint de...

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