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    Les enfants du paradis
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    Eselce
    Eselce

    1 385 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 janvier 2016
    J'ai bien aimé le mime, son imitation pour dénoncer le véritable voleur et sauver l'innocente garance. Pour le reste, en dehors de son historique de tournage, c'est très moyen. Lent et ennuyeux comparé aux films d'aujourd'hui. Il faut le recadrer dans son époque et aimer les vieux films populaires pour bien l'apprécier. J'avoue ne pas être assez bon public. Je ne trouve pas qu'il s'agisse d'un chef d'oeuvre mais je reconnais que ce n'est pas non plus catastrophique. A réserver aux historiens du cinéma ;)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 juillet 2014
    A la sortie du film, j'avais 11 ans . C'est la beauté associée au génie . C'est le film que je revois sans me lasser comme un livre de chevet . La grande rencontre de tous les talents du plus petit rôle au plus grand . Une exception dans le cinéma français .
    Philippe L.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 février 2014
    Interprétations grandioses, dialogues truculents de Jacques Prévert, décors sublimes, musiques resplendissantes, cadre de l'histoire magnifique pour un récit d'amour des plus touchants : " Les Enfants du Paradis " est plus qu'un beau film, ou même qu'une jolie oeuvre d'art ; c'est sans conteste l'un des plus grands joyaux du 7ème Art et mérite tout bonnement sa place au panthéon des oeuvres majeures qui façonnent notre conception du cinéma, voire même de l'amour, de la vie, du chagrin ! A voir et à revoir jusqu'à en perdre le souffle...
    Hannoy
    Hannoy

    18 abonnés 305 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2014
    Beaucoup de critiques furent faites sur ce film, tout le monde s'accorde à dire qu'il est l'un des meilleurs, pourquoi pas. De mon coté, je vais simplement rester dans l'affectif, expliquer ce que j'ai aimé ou non et éviter de faire une critique qualitative. D'ailleurs pour en avoir lu quelques unes sur le site, je dois dire que c'est pas mal de branlette intellectuel, peu d'inspiration et beaucoup de s bien, parlons peu: les enfants du paradis est un film qui joui d'un excellent scripte, les dialogues sont d'une finesse rarement égalée, une douce alchimie qui nous porte et nous transporte (la considération masculine de la beauté). Mais c'est un couteau à double tranchant, car j'ai trouvé que par moment, il y'avait trop de blabla, on se lasse, un peu. La mise en scène est trop théâtral à mon gout, soutenu par des comédiens, on le sent, d'avantage habitués au public qu'à la caméra. Rien à redire sur les décors, ils sont vraiment bluffant. La musique également, mais à un degré moindre, qui ne se coupe pas alors même que le rideau est tombé. Et pour ceux qui considère le cinéma comme un art visuel, ils apprécieront le sourire coquin d'ARIETTY.
    Benjamin F.
    Benjamin F.

    16 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 février 2014
    The film! Poétique, Paris des années 50, personnages captivants, réalisation parfaite Garance, Garance... Un des meilleurs films français !
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    267 abonnés 1 637 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 décembre 2023
    Le film s'impose avec une évidence magnifique comme un chef-d'oeuvre, comme un petit miracle d'alchimie entre de nombreux talents. Il y a d'abord le scénario et les dialogues de Jacques Prévert qui jongle avec les mots comme personne, avec une verve constante, à la fois poétique et gouailleuse, gracieuse et ironique, légère et grave. C'est peut-être le plus beau texte jamais écrit pour le cinéma, dont certains extraits ou certaines répliques sont devenus cultes à juste titre ("Paris est tout petit pour ceux qui s'aiment, comme nous, d'un aussi grand amour"...). L'histoire évoque les vies du mime Debureau, de l'acteur Frédérick Lemaître et du criminel Lacenaire. Trois destinées librement imbriquées et associées à celles de personnages imaginaires, dans le Paris de Balzac, sous Louis-Philippe. Une ville qui revit en une reconstitution fastueuse, superbe cadre d'un récit où il est question d'art de la scène (pantomime et théâtre), d'amour, de jalousie et de liberté. Le ton oscille avec bonheur entre un néoromantisme dramatique et une drôlerie irrésistible. Marcel Carné traduit l'inspiration de Jacques Prévert à l'écran, avec des plans savamment composés, de beaux clairs-obscurs et une parfaite fluidité narrative. Il magnifie deux thèmes centraux dans sa filmographie : le destin et le grand amour impossible. Les Enfants du paradis constitue l'oeuvre phare du tandem Prévert-Carné (huit films à leur actif, de Jenny en 1936 aux Portes de la nuit en 1946) et l'une des plus belles illustrations du "réalisme poétique" que les deux hommes ont contribué à faire émerger dans les années 1930-1940. Le succès immédiat du film, critique et public, doit aussi beaucoup, évidemment, aux interprètes qui "habitent" intensément leur personnage. On a encensé le couple formé par Arletty et Jean-Louis Barrault. Elle, malicieuse et mélancolique. Lui, tour à tour lunaire et exalté. Mais les compositions de Pierre Brasseur (cabotin en diable dans le rôle de Frédérick Lemaître), Marcel Herrand (froidement cynique en Lacenaire) et Pierre Renoir (inquiétant et repoussant oiseau de mauvais augure, baptisé "Jéricho") sont tout aussi excellentes. L'association de ces talents marque ainsi l'apogée du cinéma français sous l'Occupation (et un apogée du cinéma en général).
    Le tournage de cette "superproduction", initialement franco-italienne, a débuté à Nice, dans les studios de la Victorine, en août 1943. Il s'est interrompu quand le régime fasciste de Mussolini est tombé, entraînant la défection du coproducteur italien, puis a recommencé sous la bannière française de Pathé, à Paris, en novembre. Pierre Renoir a alors repris le rôle tenu par Robert Le Vigan, en fuite vers l'Allemagne, tandis que le décorateur Alexandre Trauner et le compositeur Joseph Kosma, tous deux juifs, apportaient leur contribution au film "dans la clandestinité" (comme le précise le générique). Ce tournage mouvementé et paradoxal (car déployant une grande richesse de moyens - décors, costumes... - en des temps de restriction) s'est achevé en mars 1944. Mais il fallut encore filmer quelques scènes de raccord, après la Libération, en obtenant des autorités françaises qu'elles relâchent Arletty, arrêtée pour collaboration, le temps des prises de vue... Le film est finalement sorti en salles en mars 1945.
    François Truffaut dira en 1984, peu de temps avant de mourir : "Je donnerais tous mes films pour avoir réalisé Les Enfants du paradis."
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 août 2013
    Un film poétique sans précédent qui n'a rien à envier aux autres chefs-d’œuvre du même genre : "Out of Africa", "Le voile bleu", "La Belle et la Bête", "La colline de l'adieu".
    Jamais un film français n'a réuni et exploité avec autant de réussite une telle brochette de talents. Scénariste, dialoguiste, réalisateur, décorateurs, acteurs, tout était en place pour que cela fonctionne ! Est-ce la chape de plomb de l'Occupation qui a exacerbé puis aggloméré tout ce savoir-faire, pour le faire fusionner comme une étoile ? En tout cas le résultat est magique ...
    Signe des temps et pied de nez à l'Histoire, "Les enfants du paradis" avait perdu sa magnificence photographique en raison du déplorable état de ses copies et du négatif mal entretenu. Ce sont les allemands qui viennent de lui rendre hommage en le restaurant luxueusement, tant au niveau du son qu'au niveau de ses images.
    Sur le DVD que j'en ai et que j'ai projeté sur une diagonale de 2 mètres avec une sono hifi, je me suis régalé d'un défilement des mouvements fluides, sans rayure ni grain mais aussi d'un son mono cristallin.

    L'un des quatre chefs-d’œuvre majeurs Français ayant marqué l'histoire du Cinéma, avec "La Belle et la Bête", "Les visiteurs du soir" et "Les yeux sans visage" !!!
    LucienLaurent
    LucienLaurent

    4 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juin 2013
    A Paris sous la Restauration, plusieurs hommes se disputent les faveurs de Garance, interprétée par l'irremplacable Arletty. Ce classique du cinéma français est un petit bijou, à voir absolument. Et en version restaurée, c'est encore mieux !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 juin 2013
    Ce film est l’histoire tragique de quatre personnages qui sont totalement libres et, par là, ne le sont pas :

    Garance reste la proie de ses sentiments

    Frédérique Lemaître est mis au pas par sa frivolité même.

    Lacenaire est victime de son orgueil.

    Debureau est prisonnier de son rêve.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 mars 2013
    La critique de la dénommée "Kumbaya" traite ce chef d'oeuvre d'arnaque et lui reproche sa froideur.
    Il n'en est rien, évidemment! Un vrai moment de sincérité et d'émotion qui mérite sa renommée! Pas d'excès hollywoodiens de mélo, un peu daté certes, mais beaucoup de charme!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 21 mars 2013
    Extraordinaire chef d'oeuvre, hein ? Et bien non. Extraordinaire imposture oui. Pour vous, leçon numéro 1 de comment changer un film en chef d'oeuvre :
    1 - Un réalisateur et un scénariste de légende
    2 - Des acteurs immortels
    3 - Une touche de poésie nunuche
    4 - Un sujet dont on se remémorera facilement
    5 - Une histoire intéressante autour du film, avec son grand contexte (tourné dans le Paris de l'occupation allemande) et son succès énorme à sa sortie
    6 - 3 heures de durée pour en accroitre l'ampleur, du moins dans l'impression. ***Sur le papier c'est appâtant, mais formellement ça donne quoi ? Une arnaque habile, un vrai faux chef d'oeuvre.
    Le film est chiant. C'est un mot vernaculaire et simple, mais pas indigent. Le film écrase littéralement par son ennui, la difficulté de comprendre tant dans les messages, l'histoire et les émotions (!) à cause de la distance de l'oeuvre du spectateur. Le visuel tant vanté du film ajoute en fait une sorte de sensation d'étouffement. Pas que je sois anti vieille mise en scène, mais celle-là, bien loin de la fluidité de Lang et Ford, est difficile pour les yeux par ses déplacements imprécis et ses cadrages inconfortables (si ma mémoire est bonne, car ça fait quelques années) ; pas que je sois anti-noir et blanc, mais celui là est si sombre, si cotonneux et la pellicule dégradée par le temps charge l'image de tant de pointillés parasites que j'ai eu le malaise en moins d'une demi-heure.
    Bon, après tout ce que vous voulez c'est une belle histoire ? Histoire j'admets, mais belle ? Je ne sais pas pour vous, mais je connais peu de personnes -et j'ajoute que je ne fréquente pas des beaufs- qui pleureraient aujourd'hui devant une relation "poétique" ou les deux amoureux ne s'embrassent pas, ne s'approchent pas, restent à discuter et se dire des jolies mots, ne sont jamais directs, ne s'embrassent pas... Belle histoire de femme partagée entre deux hommes qui se la disputent, mais elle ne se partage pas entre eux, ne consomme pas. Pour un feu amoureux, c'est aussi torride qu'un bain Norvégien. Les larmes arrivent quand même - celles de la frustration de ne pas voir cette histoire aboutir et ne pas s'identifier à ces personnages distants.
    Alors me direz vous, il reste des acteurs mythiques ? Acteurs, peut être, mais interprétations ? Ici l'arnaque est aussi vicieuse que la prétention. L'épatant Pierre Brasseur ? Théâtral, certes, mais pourquoi semble t'il si statique, si incapable d'émettre une étincelle malgré ses beaux sourires et ses répliques cucul rendues agaçantes par un dur accent ? La divine Arletty alors ? Pour ceux qui pensent que le plus effroyable des accents parigos de la très vieille époque est le signe d'un talent d'acteur, ou qui trouvent que ce sont les dialogues de Prévert qu'elle récite d'une façon répétitive qui font la force de l'acteur, et pas ce que l'acteur fait de ces textes, peut être. Jean Louis Barrault, inoubliable ? Dans le sens où il est le plus attachant de cette galerie inquiétante, le plus vivant, peut être ; quoiqu'il ne diffère pas beaucoup d'eux, son humanité est agrandie chez lui par ses masques au nez disproportionné et ses costumes ridicules, apportent un peu de folie à cet objet antipathique qu'est le film.
    Bref, tout est mémorable, tous les ingrédients pour un des chefs d'oeuvre du 20eme siècle sont là, mais les prétendus cinéphiles n'ont pas oublié que les meilleurs ingrédients ne forment pas la meilleure recette, c'est l'alchimie qui détermine ? Un film poétique certes, totalement même, un film audacieux et unique qui s'assume oui, mais cela ne lui concède hélas (presque) aucune qualité.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 mars 2013
    Un casting comme il n'en a pas existé depuis, des répliques sublimes, une incroyable justesse, pas une once de mièvrerie, fabuleusement filmé ce qui fait des Enfants du Paradis l'un des meilleurs films français, si ce n'est le meilleur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 février 2013
    LES ENFANTS DU PARADIS « chef-d’œuvre indéboulonnable », cette « Joconde » ces « Misérables » du cinéma… qui sacralisent LES ENFANTS DU PARADIS : quel autre film a été l’objet d’une expo pour lui tout seul à la Cinémathèque de Paris ?
    Compte tenu des difficultés liées à l’époque du tournage, de l’implication de certains membres de l’équipe du film dans la résistance ou la collaboration, le film bénéficie d’une aura exceptionnelle, il a eu un gros succès, et sa restauration numérique est largement justifiée.
    Ce film figure dans la plupart des listes de meilleurs films de France, de tous les temps, du siècle, du monde, et j’en passe sûrement. J’aimerais pouvoir gommer Ce film de certaines listes pour faire la place à d’autres : il y a dans la production actuelle des « graines de chef-d’œuvres » qui, compte tenu du mode de distribution actuel et des médias moutonniers, passent inaperçus ou ne passent pas du tout, (là je pense à –par exemple- Dans la brume de Sergei Loznitsa).
    Si LES ENFANTS DU PARADIS était un film traité comme les autres et si (niaise utopie) tous les films étaient traités avec le même égard, je n’éprouverai pas le besoin de donner mon point de vue.
    Tout est trop parfait dans ce « monument du réalisme poétique » : Prévert en premier, les actrices et acteurs qui jouent tellement bien que l’on se croirait au théâtre, les décors superbes toujours éclairés plein pot de peur que l’on ne les voit pas, la musique de Kosma dirigée par Charles Münch comme un vrai concert. Tout est parfait pour ce film au tournage difficile compte tenu de l’époque.
    Pourtant, si la perfection est louable lorsque l’on fait refaire sa cuisine ou son salon, ce n’est pas suffisant pour crier au chef-d’œuvre dans le cas d’un film : la réalisation est très soignée, la fluidité entre les scènes est parfaite, mais il manque au film le grain de génie qui n’est pas compatible avec une perfection académique.
    Un « chef-d’œuvre », ce n’est pas une addition de talents, mais une osmose entre des talents avec le petit je ne sais quoi de plus : le génie.
    Qui est le vrai auteur des ENFANTS DU PARADIS, Carné ou Prévert ? Face à l’artisanat plus que parfait (donc un tantinet conventionnel) de Carné, c’est Prévert qui sort gagnant ; mais ce n’est pas une coopération entre les deux ou l’on se disputerait pour savoir ce qui est de l’un ou de l’autre ; le dialogue de Prévert est écrasant, ce n’est plus un film, c’est une récitation, un florilège de jolies phrases et de bons mots ; si bien que LES ENFANTS DU PARADIS est plus un film à « écouter » qu’à « regarder », et l’on ressent la jubilation qu’ont eus les acteurs à réciter plus que jouer. Il est courant de qualifier le film de « réalisme poétique » : pourquoi je n’adhère pas à ces brillants et littéraires dialogues déclamés sur le boulevard du Temple à Paris, alors que j’ai la larme à l’oeil devant les manifestants qui chantent chez Jacques Demy dans UNE CHAMBRE EN VILLE ? Parce que chez Demy il y a une magie, un bouchon poussé un peu trop loin que l’on accepte ou récuse. Réalisme poétique, si tant est que cela existe, c’est plus chez Demy que chez Carné qu’il se trouve.
    A la vue du film, à l’écoute surtout, je présume que lorsque Prévert avait un crayon en main il était difficile de l’arrêter…. et que ce n’est pas Carné qui a cherché à l’arrêter. Les moments de mime du Théâtre du Funambule sont bienvenus : Prévert-dialoguiste avait comme le spectateur besoin d’un peu de repos et le cinéma n’est pas la littérature et n’a pas toujours besoin du texte.
    On retrouve le même problème avec des films tels que LES TONTONS FLINGUEURS, avec les dialogues d’Audiard : mais (sauf dans des listes qui restent personnelles) il ne figure pas dans les anales des meilleurs films de l’histoire. La liste des meilleurs films de tous les temps, je peux faire la mienne, vous pouvez faire la vôtre, mais la mienne ou la votre ne sera pas gravée dans le marbre pour l’éternité !
    Jean Claude P.
    Jean Claude P.

    6 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 février 2013
    Belle image,bien construit,une autre époque.Découverte des coulisses théatrales,belle romance...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 février 2013
    Voici l'un des chefs-d’œuvre du cinéma français. En effet, c'est un film qui est très complet aussi bien formellement que dans le scénario. Il rassemble parfaitement le muet que le parlant en passant par le théâtre et nous transporte dans un univers saltimbanque où vivent aussi bien l'amour et la liberté que l'argent et l'hypocrisie. De plus, pour l'époque ont peut carrément dire que tous les acteurs sont bons. Et malgré la longueur du film, il passe tout seul et on ne s'ennuie jamais.
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