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    Blonde
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    2,9
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    257 critiques spectateurs

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    Casimirismylegend
    Casimirismylegend

    52 abonnés 315 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    Un film qui mêle le rêve et la réalité, créant confusion et malaise. Plutôt réussi, avec un côté David Lynch. L’actrice est crédible.
    DamienReloaded
    DamienReloaded

    28 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    "La vie de Marilyn Monroe sous xanax et antidépresseurs (et un zest de fiction)", voilà comment nous pourrions résumer ce film qui se révèle être une "épreuve audiovisuelle". Exagérémment trop long (presque trois heures !) et d'une profonde tristesse, le film se parcourt comme une longue plainte, semblable à la vie de Monroe. Ici, on déconstruit volontiers le sex-symbol pour laisser place à la femme fragile, épris de troubles et d'un profond mal-être. Difficile de savoir si le long-métrage reflète fidèlement la personnalité de l'actrice, toujours est-il que Ana de Armas confirme ici son talent (et sa beauté) au travers de ce film froid et peu accessible.
    Jean C
    Jean C

    6 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    Lent, long, ennuyeux, sans queue ni tête, soporifique, à fuir si vous ne voulez pas perdre 3 heures de votre temps
    romain M
    romain M

    3 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Que dire de plus déjà sur ce film? Malsain, étouffant, macabre? Beau, lumineux? Il n’y a pas d’espoir dans ce biopique, aucun répit ! Aucune concession . Une anecdote Marylin Monroe a rapporté l’année dernière 8 millions de dollars, son image continue de fasciner….

    Ana de Almas sera je l’espère récompensé par un Oscar de la meilleure actrice, car elle incarne presque d’une manière gênante la star , on ne sait plus ce qui est tourné ce qui est image d’archive tant elle est réaliste dans ce rôle! Elle la ressuscite !

    Mais c est un film très dur, très difficile. Il ne laissera personne intacte….
    Willow68
    Willow68

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Bonnes idées, belles images mais sa s'arrête là, pour un film aussi long il manque beaucoup de choses, et d'autre à l'inverse pas assez développé surtout sur son enfance et son adolescence a l'orpholinat, ont ne comprend pas trop l'histoire c'est un mélange d'image et de petit scénario de va et viens mal contrôler, avec des gros plan parci par là ont ne comprend qu'ont ne comprend pas , musique pas adapté bref, film très attendu pour ma part et malheureusement bien déçu, sa aurais pu être un chef d'œuvre mais c'est un flop total avec pas mal de fausses vérités. Dommage.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    207 abonnés 2 855 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    Suspendu à cette mise en scène entre désirs et phantasmes, osée sans jamais être démonstrative ou révoltante, dans les mains d'Andrew Dominik, Monroe continue d'intriguer, voir davantage encore. Des questions et des doutes persistes. Blonde n'est pas une réponse filmée, c'est un album photo.
    tonyhw
    tonyhw

    42 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 octobre 2022
    Une Marilyn bien lourde, presque indigeste, qui suscite plus d'embarras que d'émotion. Ana de Armas en fait des tonnes. Bon courage si vous tenez vraiment à vous infliger ça.
    Vador Mir
    Vador Mir

    258 abonnés 785 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    2h50 de film, il faut aimer Marylin à la base, sinon c'est long, très long.
    Un rôle à Oscar, servi sur un plateau, pourtant, pas de quoi s'extasier pour la performance d'Ana de Armas qui n'a pas vraiment le physique adéquat pour le rôle. Un psychologisme caricatural. Beaucoup de ouin ouin.
    Le film égratigne la légende. La rend presque anti-pathique.
    Des scènes tournées comme un clip, une jolie lumière quelques effets de style. Mais après Elvis, on aurait préféré voir Baz Luhrman à la réalisation.
    Une scène à moitié gratuite provoquant une interdiction au moins de 18 ans qui aurait du être évité.
    Peu crédible.
    Marie Marie
    Marie Marie

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    On y va gaiement avec la déconstruction d'un des plus grands mythes féminin, en réduisant Maryline a une névrosée souffreteuse, totalement à la merci de tous. Ana de Armas y est magnifique mais c'est seulement sur des plans figés qu'elle lui ressemble, sinon elle n'est pas du tout Maryline, c'est comme si on lui avait retiré tout ce qui l'incarnait, la volupté, l'éclat, rien de ce qui a fait d'elle une star n'existe dans Blonde.
    nath bourg
    nath bourg

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Mauvais film qui se veut être dans l'air du temps. Cette star se fait une fois de plus utilisée par un mauvais réalisateur qui veut faire le buzz. en interprétant certains passages de sa vie. Comme la première scène ridicule! Ennuyant au possible voir désespérant .Les scenes s'enchainent sans cohésion. Ce film raté ridiculise la star au lieu de la sublimer. Marilyn passe pour une blonde idiote qui a réussi avec le sex .Très réducteur et faux.
    Jean-Marie B.
    Jean-Marie B.

    2 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    Pour moi c'est la grande déception. Je me suis ennuyé à mourrir. L'enchaînement des différentes parties de la vie de Marylin m'ont semblé complètement décousues.
    J'ai la sensation d'avoir vu plus un délire d'artiste voulant faire une réalisation percutante que la volonté de montrer quelque chose d'intéressant sur Marylin Monroe.
    Par contre c'est un 5/5 pour Ana De Armas!! L'actrice est grandiose!
    Hulufo
    Hulufo

    7 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    Transfiguration du medium sous une forme bipolaire picturale et caractérielle. À la manière d'un souffle révoltant entre l'onirisme Lynch et l'abstrait Malick.
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    De « L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford » à « Cogan : Killing Them Softly », Andrew Dominik laisse Brad Pitt derrière lui et tous les méchants garçons qui l’accompagnaient, pour s’attaquer au destin tragique d’une muse de l’industrie cinématographique hollywoodienne, responsable de la naissance et du décès d’une star. De Venise à Netflix, l’adaptation du roman éponyme de Joyce Carol Oates nous invite sciemment à projeter notre vision, sur cette idole et cet idéal féminin, dont on croirait sorti d’un conte de fées, où les sorcières seraient remplacées en masse par des hommes-ogres, affamé par leur virilité et le patriarcat, qui ont régné autour des années 50 et qui ont déjà une nette amélioration de nos jours, du moins, sur la scène du spectacle.

    On ouvre sans attendre avec la principale intéressée, dans une enfance rude, où une jeune fille est en opposition à sa mère Gladys (Julianne Nicholson), rongée par la démence, un amour brisé et une maternité imposée. Ne connaissant que les traits du visage de son père biologique, Norma Jeane grandit seule, dans un monde d’hommes et de regards d’hommes. Sa vie d’adulte devient alors une illusion, où les portraits de comédiens finissent par orienter son désir et par façonner le personnage de Marilyn Monroe. La bimbo des magazines reflète ainsi l’état d’esprit d’une misogynie omniprésente, où Ana de Armas compose magnifiquement avec l’innocence, puis la violence d’un milieu, où le profit et l’intimité de Marilyn se confondent. La comédienne cubaine colle parfaitement à la peau du sex-symbol, fantasmé et désiré par une audience, qui souhaite s’arracher un morceau. Le cinéaste néo-zélandais ne lésine donc pas sur la violence ou des scènes de sexes sulfureuses pour explorer la psyché d’une femme, au destin tragique et dont la luxure est un moteur sous l’emprise d’hommes, amoureux du corps de cette dernière.

    Le cauchemar se remplit d’hallucinations et met en avant les transitions, qui heurtent brutalement l’héroïne, constamment entre le noir et le blanc, et dans l’attente d’un père inconnu. Plusieurs points notables constituent cependant des tournants dans sa vie, notamment en amont du tournage des « Hommes préfèrent les blondes ». Ainsi de suite, le réalisateur va continuer de sonder son identité en tant que personnage de sa propre notoriété, ainsi que son identité en tant que femme sur la scène, autant publique que privée. Dominik l’a largement prouvé avec Jesse James, en démantelant le portrait du bandit au sein d’un groupe et d’une famille, en y insérant de remarquables envolées lyriques. Ici, l’héroïne est seule, face à sa célébrité, face à ses fans et à ses collaborateurs, qui abusent autant de son corps que de son esprit, déjà meurtris et mutilés par la séparation d’êtres qu’elle ne pouvait qu’aimer. Cela se ressent davantage, en reconstituant des scènes cultes, dont on viendra dévitaliser de leur usage, au détriment de la pertinence d’un discours, qui concorde avec la lente et longue dérive de Norma Jeane et de sa némésis.

    Marilyn se trouve alors comparée aux chutes du Niagara, un flot ininterrompu de spectacle, mais également de douleur, pourtant lisible sur son regard apeuré, mais qu’aucun homme n’a l’audace, ni la décence de la délivrer (Bobby Cannavale, Adrien Brody). Une étape la rapproche pourtant des enfants de Charlie Chaplin, où ils s’accordent sur leur condition maudite, des indésirables pour leurs géniteurs. Et c’est en cela que l’intrigue ne perd pas pied, car la même histoire continue de hanter les fantasmes sur la personnalité que cachait cette célébrité, qui se démenait simplement pour trouver sa place, en jonglant entre deux réalités bouleversantes. Et final, nous constaterons qu’il ne s’agissait qu’une d’autre qu’une « Blonde » parmi les autres, portant ainsi la tonalité dramatique à son paroxysme.
    Mr cinetok
    Mr cinetok

    259 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 octobre 2022
    Adaptation du Roman best-seller controversé de Joyce Carol Oates, ces louanges de critiques m'énervent (d'où demi étoile) car la majorité confonde biopic avec roman de fiction (inspiré de cette pauvre Marilyn, Elle se retourneraient surement dans sa tombe) Bref c'est beaucoup de bruit pour de la m.rde, trop long (et too much) et heureusement que l'incroyable talent d'Ana de Armas est là pour faire passer la pilule. Aucun hommage à l'icône hollywoodienne à voir dans ce film au final, sinon la tragédie totale d'une pauvre blonde en proie aux hommes monstrueux qui ont croisés sa vie. C'est plutôt bien filmé et l'influence d'ANDREW DOMINIK par le grand David lynch est certain même si il est très loin d'égalé le maître du genre. Ni bousculé, ni ému, ni l'effet Wouhaa décrié, Désolé. Seul intérêt voir la magnifique actrice d'ana grimé en Norma Jeane Mortenson (ressemblance physique très discutable), le reste n'est que fantasme artistique lourdingue, sans cohérence sur le Buzz Gonzo porn psedo pro metoo (NETFLIX en quête de scandale) qui salit, insulte sans nuance la mémoire d'une star mondial à l'image d'une idiote alcoolique bipolaire soumise aux hommes (c'était semble t il l'inverse) et qui fini en suicide... preuve que non... le mystère sur sa mort est toujours total encore aujourd'hui (de nombreux indices de causes accidentelles cachées par les proches etc gros doute donc sur un suicide au moment où elle renouait sa carrière avec la Fox et était en pleine désintox). Paix à son âme pour cette femme sensible et forte, perfectionniste, unique, qui était en quête d'amour (même avec Kennedy "mystère" ou Montant) et de reconnaissance. Que les fans de cet horror porn ne fassent pas oubliés aux plus jeunes de découvrir la formidable et véritable filmographie de cette exceptionnelle étoile blonde d'Hollywwood.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    529 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2022
    « On ne résume pas la vie d’un homme en deux heures. Tout au plus en donne-t-on un aperçu ». Cette simple évidence doublée d'une note d'intention, on la doit au brillant Mank de David Fincher, faux biopic du scénariste Herman J. Mankiewicz et vrai croche-pied aux exégètes prompts à idéaliser une époque trouble ou des figures complexes. L'aphorisme est tout aussi valide pour le projet phare de son camarade et ami Andrew Dominik, consacré à Marilyn Monroe. Une dizaine d'années que le réalisateur australien bûchait sur l'adaptation du best-seller Blonde signé Joyce Carol Oates. Après avoir expurgé l'icône Jesse James du prestige et des fadaises pour livrer un lamentos envoutant (cf. L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford), la perspective de voir le cinéaste passer sur un autre totem culturel est on ne plus excitant. Mais pour quoi ? Chez Fincher, Mankiewicz était l'anti-héros venu livrer une bataille perdue d'avance contre un Hollywood transformé en antichambre de la propagande idéologique. Dominik s'empare de Monroe pour lever le voile sur une usine à rêves ayant peu à peu transformé la vie de Norma Jeane en cauchemar.

    "Une vie distillée sous forme de fiction", selon les propres termes d'Andrew Dominik. Elle ne ressemblera à rien de ce qu'on a déjà vu, une évidence qui vous frappe dès l'introduction. Blonde ne s'embarrassera pas d'une quelconque norme dans son déroulé, d'un montage conventionnel ou d'une approche hagiographique. Pour ça, merci d'aller voir ailleurs si vous trouvez. Et vous n'y gagnerez pas au change, c'est certain. Le portrait schizophrène d'une petite fille devenue femme, puis actrice, puis produit, puis star, se fond dans un kaléidoscope de formats, de couleurs, de reproductions, de souvenirs, de traumas, de fantasmes, de voix de rêves, de hantises,...Certaines photographies immortelles changent radicalement de sens, les scènes cultes deviennent dérangeantes, le sourire de Marilyn fait remonter un cri de désespoir, et la machine à fric persiste à tourner. Comme Norma, on est rapidement sonné par cette frénésie jusqu'à ne plus discerner le vrai du faux. Raison suffisante pour s'y replonger ? Oh que oui. Parce qu'il y a énormément de matière. Et vous n'êtes probablement pas prêt de revoir un pareil objet.

    Non, Blonde n'est pas un film à Oscars. Techniquement, il les mériterait tous. La photographie signée Chayse Irvin est prodigieuse, modifiant sensiblement la colorimétrie, le contraste en fonction de l'humeur ou du décor. Les compositions expérimentales mêlant piano et synthétiseurs vous collent à l'esprit et appuie cette dimension anticonformiste. Le montage est un habile rappel que 2h47 ça peut être très court quand on sait garnir chaque minute. L'interprétation est sans faille, Ana de Armas incarne une Norma Jeane/Marilyn Monroe hors-norme et déchirante, performance d'autant plus notable qu'elle est omniprésente de la première à la dernière minute. Le parterre de seconds-rôles donne le tournis (Adrien Brody, Bobby Cannavale, Julianne Nicholson, Xavier Samuel) et tous sont très investis dans leurs rôles même s'il s'agit d'une poignée de minutes. Toutefois, et sans leur manquer de respect, Andrew Dominik est la force inamovible tractant tout ce très beau monde avec Hollywood en ligne de mire. Il faut quand même le faire, prendre un tel mythe de "l'âge d'or" pour le renvoyer comme un boomerang en pleine face des studios ou des spectateurs.

    Croyez-moi, Blonde n'y va pas par le dos de la cuillère. Il y a des scènes que vous n'avez jamais vu dans un biopic. Compte tenu de sa démarche étonnante, expérimentale même (et accessible), le film se permet beaucoup de choses. De là à imaginer autant d'images horrifiques, choquantes, folles, inédites mais absolument pas raccord avec l'image proprette de Monroe et surtout de l'industrie...Plus encore que sur Jesse James, le réalisateur retourne les attentes tout comme il retourne la nature de son long-métrage, changeant de registre pour épouser le trouble identitaire assaillant Norma. Le cinéma n'a pas vocation à changer le monde, il peut en revanche changer le regard autour de lui. En l'occurrence, Blonde pourrait probablement vous guérir de l'éventuelle envie d'acheter un mug, une carte postale ou la batterie d'assortiments à l'effigie de Marilyn Monroe. Ce n'est pas une question d'éveil de conscience tardif. Mais le constat que Marilyn n'était que le lointain reflet (une métaphore utilisée dans l'œuvre) d'une femme perdue, déconsidérée et incomprise. Dans un monde idéal, on aurait juste voulu voir, écouter et admirer Norma. Dans le notre, Andrew Dominik n'a eu que deux heures et quelques pour nous la présenter. Pas assez pour résumer une vie, mais bien assez pour aimer cet instantané.
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