AlloCiné
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Votre avis sur Blonde ?
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Le Rabzz
Au delà de la performance d'Ana de Armas, le film est ennuyeux, il se passe rien, on suit la vie de cet icône mais y'a beaucoup trop de longueur, on se perd parfois c'est bien dommage.
Je mets 5 pour contrebalancer ceux qui osent mettre 1. Car que l’on adhère ou pas à la thèse de l’auteur ce film est tout de même un petit chef d’oeuvre sur le plan cinématographique. L’actrice est magistrale. Bien sûr on attendait un peu plus que du drama tout au long du film et aussi une fin plus ressemblante à ce qui s’est dit autour de sa mort mais le film est top. Moi je n’ai pas vu les 3 h passer.
"Blonde" est un film que je n'ai pas très bien apprécié et il s'agit d'un drame biographique sur Marilyn Monroe inspiré du roman du même nom de Joyce Carol Oates. Un film assez intéressant mais j'ai trouvé qui manquais beaucoup de choses et d'autre trucs qui sont pas du tout développés. Je me suis ennuyé la moitié du film et dommage qu'il soit si long car certaines scènes sont fades et long. Après les acteurs jouent bien.
Certe "Blonde" n'est pas un mauvais film, car de nombreuses qualités ressortent du long métrage. Mais malgré la réalisation convaincante et la merveilleuse et sublime interprétation de Ana De Armas qui j'espère va enfin être reconnu comme une grande actrice, le film est une déception pour ma part. Peut être que l'attente était trop grande car je voulais vraiment voir une histoire touchante et poignante avec l'une de mes actrices préférées. Mais malgré le jeu d'acteur d'une dramaturgie sans nom de De Armas, le film n'a pas réussi à me prendre au tripe. L'une des cause est sûrement la durée du film qui est très longue et même si au début j'accrochais bien, la dernière heure à commencé à me perdre du également à la répétition des problème du personnage qui n'évoluent jamais et qui deviennent lassant. Sans pour autant être mauvais "Blonde" me laisse malgré tout un goût amer.
Le film fait un choix, le réalisateur choisi une posture. Un angle brutal et tragique, pour montrer Marilyn vulnérable à chaque instant, chaque plan, chaque regard est conçu pour décrire une crise, qui ne s’achève jamais tout au long de sa vie. La nuance est abolie, Marilyn n’est que maladie et objet manipulable, seulement parfois on entrevoit une candeur d’enfant, peu développée hélas. La pauvre, qu’on se dit tout en étant gêné, estomaqué par ce poids constant. Car l’angle mélancolique usé par le film ne respire pas, on s’étouffe dans ses souffrances qui n’en finissent jamais.
Difficile de ne pas voir un spectacle malsain et impudique d’une femme dont la mémoire ne mérite pas autant de nervosité abusive. On ne ressens rien pour elle, on redoute seulement pour nous ce qu’il pourrait lui arriver de pire, un recul forcé nous sort de l’intrigue et le visionnage devient écœurant. La réalisation est outrancière, aussi exubérante que la direction narrative, les visuels maniérés et convulsifs sont tout sauf nécessaires, ne contiennent aucune signification et aggravent le postulat funeste et larmoyant. On vous répète la même tragédie en boucle. On ne ressent pas de continuité, seulement des successions de dérapage conduisant au crash attendu, comme si l’on vous énonçait sur le chemin du bagne les différentes raisons de votre supplice.
Difficile de ne pas voir un spectacle malsain et impudique d’une femme dont la mémoire ne mérite pas autant de nervosité abusive. On ne ressens rien pour elle, on redoute seulement pour nous ce qu’il pourrait lui arriver de pire, un recul forcé nous sort de l’intrigue et le visionnage devient écœurant. La réalisation est outrancière, aussi exubérante que la direction narrative, les visuels maniérés et convulsifs sont tout sauf nécessaires, ne contiennent aucune signification et aggravent le postulat funeste et larmoyant. On vous répète la même tragédie en boucle. On ne ressent pas de continuité, seulement des successions de dérapage conduisant au crash attendu, comme si l’on vous énonçait sur le chemin du bagne les différentes raisons de votre supplice.
A part la photographie, rien à sauver dans ce film. Tous les bobos qui mettent 5 étoiles, expliquez moi...
. Pourquoi un mélange 4/3 et 16/9 ?
. Pourquoi un mélange couleur et noir&blanc ?
. Ou voyez vous un biopic dans ce film ?
Bref 3 heures de perdues.
. Pourquoi un mélange 4/3 et 16/9 ?
. Pourquoi un mélange couleur et noir&blanc ?
. Ou voyez vous un biopic dans ce film ?
Bref 3 heures de perdues.
Ce film est une fiction basé sur un livre qui ne reflète en rien la vie de Marylin Monroef. Le film est très embrouillé et terriblement mal filmë. C'est un gros gâchis. À éviter si vous ne souhaitez pas perdre 3h pour une nullité.
"Blonde "est à la base un roman de 1000 pages où Joyce Carol Oates se sert de ce qu'on sait sur Marilyn pour écrire une réalité fantasmée et fictionnée. Le problème avec Andrew Dominik est qu'il ne crée pas de hiérarchie entre ce qui est réalitéi et ce qui est fiction. Du coup il réduit sa Marilyn à une victime. Or on sait quand même que Marilyn fut actrice de sa propre vie et qu'elle n'hésita pas à se servir du désir qu'elle inspirait aux hommes pour avancer. On voit donc pendant 2h45 une Norma Jean/Dr Jekyll dépassée par sa propre création MM/Mr Hyde qui finit par la détruire. C'est sans doute un peu réducteur. Le film, très arty,distord certaines images, passe du noir et blanc à la couleur, change de format (4.3 et scope) sans aucune justification. La BO de Nick Cave fait penser à du Badalamenti. Et donc, forcément on pense à Lynch, dont le génie est bien absent de ce travail laborieux. Seule l'actrice Ana de Armas stupéfie dans sa capacité à se glisser dans les moindres mimiques et inflexions de voix de Marilyn. Dommage que Dominik n'exploite pas ce talent pour lui faire faire autre chose que pleurer et hurler pendant ces 3 interminables heures.
Film long, ennuyeux et déprimant. Pauvre Marilyn, elle méritait mieux. J'ai tenu 3/4 d'heure. Préférez "Marilyn, une vie inachevée" avec Catherine Hicks de 1980.
Jamais été fichu de capter l'engouement autour de Norma Jeane Mortenson/Baker alias Marilyn Monroe. Une « plain Jane » recalibrée et teintée, au passables talents d'actrice et de chanteuse, catapultée au rang de mythe planétaire par Hollywood grâce à la Pax Americana. Comme beaucoup d'autres.
Non. Vraiment. Ça ne l'a pas fait. Et ce n'est pas ce film qui va changer la donne. Son titre aurait du être « La femme qui a vu la femme qui a vu la femme qui a peut-être vu Marilyn dans ses rêves ». Car nous parlons de l'adaptation d'un roman biographique de madame Joyce Carol Oates sorti en 1999. En clair une fiction fictionnelle fictionnalisée. Dans laquelle on peut faire dire et faire faire tout et, si besoin, n'importe quoi, aux personnages L'auteure avait d'ailleurs très clairement prévenu que son pavé n'était pas un document historique où on pouvait chercher des faits biographiques sur la star. C'est dire.
Il ne faut pas se méprendre, ce n'est pas foncièrement mauvais. L'actrice principale, Ana de Armas, fait plutôt bien le boulot (et l'équipe de maquillage a assuré). Mais c'est crasseux, misérabiliste et à charge forcenée contre les hommes, spoiler: commençant par le père puis un producteur caricaturalement dégoûtant, Joe « la main leste » DiMaggio, les Kennedy, Arthur Miller, enfin tous. Pas un pour racheter l'autre. Ils ne risquent pas de venir rouspéter de toute façon, ils sont morts depuis belle lurette.
Un souci en moins.
C'est un film #MeToo avec effet retard. Certainement pas un biopic.
Non. Vraiment. Ça ne l'a pas fait. Et ce n'est pas ce film qui va changer la donne. Son titre aurait du être « La femme qui a vu la femme qui a vu la femme qui a peut-être vu Marilyn dans ses rêves ». Car nous parlons de l'adaptation d'un roman biographique de madame Joyce Carol Oates sorti en 1999. En clair une fiction fictionnelle fictionnalisée. Dans laquelle on peut faire dire et faire faire tout et, si besoin, n'importe quoi, aux personnages L'auteure avait d'ailleurs très clairement prévenu que son pavé n'était pas un document historique où on pouvait chercher des faits biographiques sur la star. C'est dire.
Il ne faut pas se méprendre, ce n'est pas foncièrement mauvais. L'actrice principale, Ana de Armas, fait plutôt bien le boulot (et l'équipe de maquillage a assuré). Mais c'est crasseux, misérabiliste et à charge forcenée contre les hommes, spoiler: commençant par le père puis un producteur caricaturalement dégoûtant, Joe « la main leste » DiMaggio, les Kennedy, Arthur Miller, enfin tous. Pas un pour racheter l'autre. Ils ne risquent pas de venir rouspéter de toute façon, ils sont morts depuis belle lurette.
Un souci en moins.
C'est un film #MeToo avec effet retard. Certainement pas un biopic.
Une honte !!! Une vison dégradante de la femme vue par un auteur visiblement uniquement fort content de l'image qu'il se renvoi sans se soucier d'autrui. Et quelle femme ! Un mythe, belle courageuse, charismatique et bien d'autres choses. Où est notre Marylin, vive, tellement charismatique qu'elle donnera un espoir à tous les combattants qui partaient en guerre. Regardez ses films, de vrais documentaires sur cette héroïne, vous auriez pu appeler ce film Alexandra, c'était pareil, mais vous avez tenu à faire de la pub sur une femme formidable avec ses fragilités mais surtout son incroyable talent. A l'auteur de ce film : Mr, vous avez sensiblement un travers PN trés développé et n'avez rien mais RIEN compris aux femmes. HONTE A VOUS. Je vous suggère pour votre prochain film, la vie des serpents en Alaska !!! Bon vent. L'actrice joue très bien cependant, bravo a elle.
Los Angeles, 1950, dans la cité des anges, le nom de Maryline Monroe émerveille.
Dans "Blonde", Norma Jeane Mortenson incarnée par l'actrice Ana de Armas effectue une relecture de la vie de cette actrice, adapté du best-seller de Joyce Carol Oates.
Le long-métrage nous est montré comme un film d'horreur, dans lequel les hommes sont des monstres, ne voulant que la chair de Marilyn et n'ayant que faire de son talent.
Son existence n'a été qu'un cauchemar dans lequel elle n'a jamais pu se réveiller.
Les propos du réalisateur Andrew Dominik sont appuyés par une réalisation très soignée, sans artifice, le montage du film est net et direct. Toujours dans l'hésitation, le trouble, somme nous en train de visionner un tournage ou bien sa vie privée.
Une photographie très délicate, jouant entre la couleur, mais aussi le noir et blanc, accentuant la fracture psychologique du personnage.
Souffrant de quelques longueurs et d'une durée bien trop longue,
"Blonde" arrive tout de même à se démarquer du catalogue Netflix grâce à sa proposition et sa singularité.
N'étant plus que l'ombre d'elle-même, Norma n'a jamais trouvé le bonheur, n'étant qu'un objet, créée pour être désirée et fantasmée.
"Je ne suis pas une star, je ne suis qu'une blonde.
Instagram : _la.pellicule_
Dans "Blonde", Norma Jeane Mortenson incarnée par l'actrice Ana de Armas effectue une relecture de la vie de cette actrice, adapté du best-seller de Joyce Carol Oates.
Le long-métrage nous est montré comme un film d'horreur, dans lequel les hommes sont des monstres, ne voulant que la chair de Marilyn et n'ayant que faire de son talent.
Son existence n'a été qu'un cauchemar dans lequel elle n'a jamais pu se réveiller.
Les propos du réalisateur Andrew Dominik sont appuyés par une réalisation très soignée, sans artifice, le montage du film est net et direct. Toujours dans l'hésitation, le trouble, somme nous en train de visionner un tournage ou bien sa vie privée.
Une photographie très délicate, jouant entre la couleur, mais aussi le noir et blanc, accentuant la fracture psychologique du personnage.
Souffrant de quelques longueurs et d'une durée bien trop longue,
"Blonde" arrive tout de même à se démarquer du catalogue Netflix grâce à sa proposition et sa singularité.
N'étant plus que l'ombre d'elle-même, Norma n'a jamais trouvé le bonheur, n'étant qu'un objet, créée pour être désirée et fantasmée.
"Je ne suis pas une star, je ne suis qu'une blonde.
Instagram : _la.pellicule_
Je met 2 étoiles pour la prestation de Ana de Armas sans faille, mais le film en lui-même est un bousin sans nom.
Pourquoi se baser sur le torchon d'une frustrée, dont le seul but est de salir ce qu'elle n'a jamais pu être.
Sa carrière d'actrice, ses rencontres, ses récompenses, bref ce qui a fait Marilyn, n'existe pas.
Norma Jean est spoiler: juste une névrosée, hystérique, associale, bébète dont la seul intéraction avec le sex opposé est de se faire pilonner.
Chaque scène est une excuse pour la ridiculiser, la noyer sous un sceau de fiel ou de sauce blanche spoiler: le faux couple gay dans lequel est mêlé le fils de Chaplin qui ne l'a jamais été DiMaggio en mari toxique, bref tout les hommes la salisse
.
C'est sale, vile, crasseux, dégueulasse, bref la prochaine fois Hollywood, si vous avez une idée laissez les icônes à part.
Pourquoi se baser sur le torchon d'une frustrée, dont le seul but est de salir ce qu'elle n'a jamais pu être.
Sa carrière d'actrice, ses rencontres, ses récompenses, bref ce qui a fait Marilyn, n'existe pas.
Norma Jean est spoiler: juste une névrosée, hystérique, associale, bébète dont la seul intéraction avec le sex opposé est de se faire pilonner.
Chaque scène est une excuse pour la ridiculiser, la noyer sous un sceau de fiel ou de sauce blanche spoiler: le faux couple gay dans lequel est mêlé le fils de Chaplin qui ne l'a jamais été DiMaggio en mari toxique, bref tout les hommes la salisse
.
C'est sale, vile, crasseux, dégueulasse, bref la prochaine fois Hollywood, si vous avez une idée laissez les icônes à part.
Trop lent ok pour son passé mais j’aurais aimé voir aussi la star . Très belle interprétation de l’actrice.
Très long mais surtout mauvais choix d'actrice :
Certes Marilyn Monroe était tourmentée mais elle n'avait en rien le regard de chien battu qui est bien le seul que l'actrice Ana de armas nous délivre tout au long de ce film,.
Une femme sans personnalité, vide et perdue ...
Très décevant
Certes Marilyn Monroe était tourmentée mais elle n'avait en rien le regard de chien battu qui est bien le seul que l'actrice Ana de armas nous délivre tout au long de ce film,.
Une femme sans personnalité, vide et perdue ...
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