AlloCiné
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Votre avis sur Blonde ?
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Une bonne distribution pour ce faux biopic. Mais ça s'arrête là ! C'est plat, ennuyeux et triste. J'ai tenu 45 mn avant de finir en accéléré ! Certaines scènes font penser à
spoiler:
celles de Mulholland Drive mais en version Wish.
Avec netflix fallait pas à s'attendre à un miracle. Si ! Des scènes de cul bien glauques pour faire le buzz, attirer le pigeon et récupérer quelques abonnements sans doute.
Avec netflix fallait pas à s'attendre à un miracle. Si ! Des scènes de cul bien glauques pour faire le buzz, attirer le pigeon et récupérer quelques abonnements sans doute.
J’aurais un peu l’impression de m’incruster dans une soirée où je n’ai rien à faire, en donnant mon opinion dissonante dans ce club des aficionados de Marylin Monroe, mais de mon point de vue, l’actrice cubaine Ana de Armas est beaucoup trop latine (malgré son apparence physique modifiée, ainsi que son indéniable talent d’actrice) pour incarner l'affreuse vulgarité nordique de son personnage (dans le film, c’est seulement son entourage qui apparaît répugnant, tandis que la superstar se trouve une nouvelle fois portée aux nues et idolâtrée). Donc cette nouvelle apologie de l'icône sexuelle des années 1960 n’aura pas suffi à me convaincre (même si objectivement le film est plutôt réussi).
A part la photographie, rien à sauver dans ce film. Tous les bobos qui mettent 5 étoiles, expliquez moi...
. Pourquoi un mélange 4/3 et 16/9 ?
. Pourquoi un mélange couleur et noir&blanc ?
. Ou voyez vous un biopic dans ce film ?
Bref 3 heures de perdues.
. Pourquoi un mélange 4/3 et 16/9 ?
. Pourquoi un mélange couleur et noir&blanc ?
. Ou voyez vous un biopic dans ce film ?
Bref 3 heures de perdues.
Ou est Maryline dans ce marasme cinématographique, ce naufrage qui colle si bien à notre époque glauque et quelque peu désespérée.
Ou est sa sublime lumière, son incomparable sourire , l'actrice passe 3 heures à pleurnicher.
N'avoir rien compris à l'âme de Maryline est un fait , vouloir à tout prix la détruire est plus que discutable.
Détruire gratuitement un mythe , sans doute pour éviter de répéter la même histoire que d'autres scénaristes ou réalisateurs ne rend pas ce film "talentueux" pour autant.
Prendre le prisme d'une Maryline perdue et idiote, c'est réellement faire l'impasse sur son intelligence et sa finesse d'esprit , sur l'époque Newyorkaise, sur ces écrits ...
L'actrice fait ce qu'elle peut , mais n'a en rien le glamour et le sex- appeal de Maryline.
Ce pseudo Biopic a quand même réussi un truc , il m'a furieusement donné envie de revoir la VRAIE Maryline....
Ou est sa sublime lumière, son incomparable sourire , l'actrice passe 3 heures à pleurnicher.
N'avoir rien compris à l'âme de Maryline est un fait , vouloir à tout prix la détruire est plus que discutable.
Détruire gratuitement un mythe , sans doute pour éviter de répéter la même histoire que d'autres scénaristes ou réalisateurs ne rend pas ce film "talentueux" pour autant.
Prendre le prisme d'une Maryline perdue et idiote, c'est réellement faire l'impasse sur son intelligence et sa finesse d'esprit , sur l'époque Newyorkaise, sur ces écrits ...
L'actrice fait ce qu'elle peut , mais n'a en rien le glamour et le sex- appeal de Maryline.
Ce pseudo Biopic a quand même réussi un truc , il m'a furieusement donné envie de revoir la VRAIE Maryline....
Résumé à la con : Une nana qui n’est la fille de personne devient une icône mondiale. Alors qu’au fil du temps l’écart se creuse entre sa personnalité complexe et son image publique de godiche, elle se retrouve prise au piège, victime d’un système dégénéré.
L’avis cool : Blonde est un véritable diamant brut, parfaitement déstructuré dans un chaos organisé où l’on se balade entre rêve, cauchemar et réalité. Le travail plastique est à ce point titanesque qu’il dépasse l’entendement. Cette gifle filmique est clairement aussi outrancière que mon vocabulaire et l’on y prend complètement le pouls de la démesure fantasmagorique de cette vie d’icône. Les images sont sublimes en couleur comme en noir et blanc. Ana de Armas se retrouve ainsi propulsée dans le plus grand rôle de sa jeune carrière cinématographique et est étourdissante de vérité dans la descente aux enfers de Norma Jeane Baker aka Marilyn Monroe. Bienvenue dans cette vie d’injonctions contradictoires où chaque moment, même ceux qui devraient être heureux sont empreints de tristesse.
L’avis contexte : On a encore nos deux yeux et les réseaux sociaux. On vous voit les gens qui s'attendent à passer une petite soirée tranquille devant le film d'une icône qu'ils apprécient sans même trop savoir pourquoi... Et bah accrochez-vous bien à vos canapés parce que ce film c’est tout l’inverse du bon côté des strass et des paillettes. Avec Blonde, on vous promet du drame et du Biopic mais par la plupart du temps, on est bien plus proche du film d’horreur brutal tant l’univers de ces années hollywoodiennes va du glauque au sadisme. Pour vous donner une petite idée du délire, c’est un peu comme si en 2010 vous étiez allé au cinéma en pensant voir Le Lac des Cygnes par Darren Aronofsky. Des désaccords artistiques entre le réalisateur Andrew Dominik et Netflix ont d’ailleurs retardé la sortie du film car ces derniers trouvaient certaines scènes « obscènes », à la limite du regardable. Allez-y! C’est un grand film avec une belle liberté de ton, mais pour public très averti seulement.
Si tu veux pousser plus loin l’expérience du glauque à Hollywood :
- Mulholland Drive, 2001 - David Lynch
- LIVRE: Hollywood Babylone, 1975 - Kenneth Anger
Pour plus de billets d’humour, c’est sur l’insta @Desflims
L’avis cool : Blonde est un véritable diamant brut, parfaitement déstructuré dans un chaos organisé où l’on se balade entre rêve, cauchemar et réalité. Le travail plastique est à ce point titanesque qu’il dépasse l’entendement. Cette gifle filmique est clairement aussi outrancière que mon vocabulaire et l’on y prend complètement le pouls de la démesure fantasmagorique de cette vie d’icône. Les images sont sublimes en couleur comme en noir et blanc. Ana de Armas se retrouve ainsi propulsée dans le plus grand rôle de sa jeune carrière cinématographique et est étourdissante de vérité dans la descente aux enfers de Norma Jeane Baker aka Marilyn Monroe. Bienvenue dans cette vie d’injonctions contradictoires où chaque moment, même ceux qui devraient être heureux sont empreints de tristesse.
L’avis contexte : On a encore nos deux yeux et les réseaux sociaux. On vous voit les gens qui s'attendent à passer une petite soirée tranquille devant le film d'une icône qu'ils apprécient sans même trop savoir pourquoi... Et bah accrochez-vous bien à vos canapés parce que ce film c’est tout l’inverse du bon côté des strass et des paillettes. Avec Blonde, on vous promet du drame et du Biopic mais par la plupart du temps, on est bien plus proche du film d’horreur brutal tant l’univers de ces années hollywoodiennes va du glauque au sadisme. Pour vous donner une petite idée du délire, c’est un peu comme si en 2010 vous étiez allé au cinéma en pensant voir Le Lac des Cygnes par Darren Aronofsky. Des désaccords artistiques entre le réalisateur Andrew Dominik et Netflix ont d’ailleurs retardé la sortie du film car ces derniers trouvaient certaines scènes « obscènes », à la limite du regardable. Allez-y! C’est un grand film avec une belle liberté de ton, mais pour public très averti seulement.
Si tu veux pousser plus loin l’expérience du glauque à Hollywood :
- Mulholland Drive, 2001 - David Lynch
- LIVRE: Hollywood Babylone, 1975 - Kenneth Anger
Pour plus de billets d’humour, c’est sur l’insta @Desflims
Un film qui mêle le rêve et la réalité, créant confusion et malaise. Plutôt réussi, avec un côté David Lynch. L’actrice est crédible.
Pour une fois qu'on pouvait voir une actrice avec des formes (55 kg) partout incarner une star d'avant, vous prenez une femme de 43 kg pour l'incarner, ce qui retire tout le principe même de ce qu'elle représentait. Elle représentait la vraie beauté, loin des dictats de la femme de 40 kg qui ne se nourrie pas. Vous êtes donc passé à coté de ce qu'elle incarnait dés le casting... Bravo...
Je pense que c'est le pire film que j'ai jamais vu
Glauque à souhait
Histoire incompréhensible
Le lien avec Marilym Monroe me semble trés lointain
Je ne vois pas l'intérêt de regarder un tel film à part du voyeurisme........
Glauque à souhait
Histoire incompréhensible
Le lien avec Marilym Monroe me semble trés lointain
Je ne vois pas l'intérêt de regarder un tel film à part du voyeurisme........
"Blonde" est un film que je n'ai pas très bien apprécié et il s'agit d'un drame biographique sur Marilyn Monroe inspiré du roman du même nom de Joyce Carol Oates. Un film assez intéressant mais j'ai trouvé qui manquais beaucoup de choses et d'autre trucs qui sont pas du tout développés. Je me suis ennuyé la moitié du film et dommage qu'il soit si long car certaines scènes sont fades et long. Après les acteurs jouent bien.
Marylin de très loin, même si tourné dans un format de documentaire, Blonde propose une immersion dans l'autre vie de Marylin : celle du cauchemar d'une vie brisée par une succession de drames, d'abus sexuels, d'objectivation masculine et de dépressions à répétition. C'est remarquablement dirigé, joué, et plastiquement époustouflant, également (Ana de Armas est formidable).
Le film perd malgré tout de sa substance au fil des 2h40, où longueur et redites finissent par sentir la complaisance ou le voyeurisme. Une impression relayée par des scènes d'avortement formellement discutables, dont il est permis de questionner l'opportunité dans le contexte politique mondial.
Le film perd malgré tout de sa substance au fil des 2h40, où longueur et redites finissent par sentir la complaisance ou le voyeurisme. Une impression relayée par des scènes d'avortement formellement discutables, dont il est permis de questionner l'opportunité dans le contexte politique mondial.
Long, très long. Décousu, ça part dans tous les sens et je me suis rapidement perdue dans cette succession de scènes sans réel fil conducteur pour guider le spectateur. J'ai lâché au bout de 40 minutes interminables. L'actrice surjoue et n'a pas la beauté fascinante de Marilyn. Beaucoup de larmes, de mélo, de cris et d'images quasi surnaturelles, insupportable !
Jamais été fichu de capter l'engouement autour de Norma Jeane Mortenson/Baker alias Marilyn Monroe. Une « plain Jane » recalibrée et teintée, au passables talents d'actrice et de chanteuse, catapultée au rang de mythe planétaire par Hollywood grâce à la Pax Americana. Comme beaucoup d'autres.
Non. Vraiment. Ça ne l'a pas fait. Et ce n'est pas ce film qui va changer la donne. Son titre aurait du être « La femme qui a vu la femme qui a vu la femme qui a peut-être vu Marilyn dans ses rêves ». Car nous parlons de l'adaptation d'un roman biographique de madame Joyce Carol Oates sorti en 1999. En clair une fiction fictionnelle fictionnalisée. Dans laquelle on peut faire dire et faire faire tout et, si besoin, n'importe quoi, aux personnages L'auteure avait d'ailleurs très clairement prévenu que son pavé n'était pas un document historique où on pouvait chercher des faits biographiques sur la star. C'est dire.
Il ne faut pas se méprendre, ce n'est pas foncièrement mauvais. L'actrice principale, Ana de Armas, fait plutôt bien le boulot (et l'équipe de maquillage a assuré). Mais c'est crasseux, misérabiliste et à charge forcenée contre les hommes, spoiler: commençant par le père puis un producteur caricaturalement dégoûtant, Joe « la main leste » DiMaggio, les Kennedy, Arthur Miller, enfin tous. Pas un pour racheter l'autre. Ils ne risquent pas de venir rouspéter de toute façon, ils sont morts depuis belle lurette.
Un souci en moins.
C'est un film #MeToo avec effet retard. Certainement pas un biopic.
Non. Vraiment. Ça ne l'a pas fait. Et ce n'est pas ce film qui va changer la donne. Son titre aurait du être « La femme qui a vu la femme qui a vu la femme qui a peut-être vu Marilyn dans ses rêves ». Car nous parlons de l'adaptation d'un roman biographique de madame Joyce Carol Oates sorti en 1999. En clair une fiction fictionnelle fictionnalisée. Dans laquelle on peut faire dire et faire faire tout et, si besoin, n'importe quoi, aux personnages L'auteure avait d'ailleurs très clairement prévenu que son pavé n'était pas un document historique où on pouvait chercher des faits biographiques sur la star. C'est dire.
Il ne faut pas se méprendre, ce n'est pas foncièrement mauvais. L'actrice principale, Ana de Armas, fait plutôt bien le boulot (et l'équipe de maquillage a assuré). Mais c'est crasseux, misérabiliste et à charge forcenée contre les hommes, spoiler: commençant par le père puis un producteur caricaturalement dégoûtant, Joe « la main leste » DiMaggio, les Kennedy, Arthur Miller, enfin tous. Pas un pour racheter l'autre. Ils ne risquent pas de venir rouspéter de toute façon, ils sont morts depuis belle lurette.
Un souci en moins.
C'est un film #MeToo avec effet retard. Certainement pas un biopic.
"Blonde "est à la base un roman de 1000 pages où Joyce Carol Oates se sert de ce qu'on sait sur Marilyn pour écrire une réalité fantasmée et fictionnée. Le problème avec Andrew Dominik est qu'il ne crée pas de hiérarchie entre ce qui est réalitéi et ce qui est fiction. Du coup il réduit sa Marilyn à une victime. Or on sait quand même que Marilyn fut actrice de sa propre vie et qu'elle n'hésita pas à se servir du désir qu'elle inspirait aux hommes pour avancer. On voit donc pendant 2h45 une Norma Jean/Dr Jekyll dépassée par sa propre création MM/Mr Hyde qui finit par la détruire. C'est sans doute un peu réducteur. Le film, très arty,distord certaines images, passe du noir et blanc à la couleur, change de format (4.3 et scope) sans aucune justification. La BO de Nick Cave fait penser à du Badalamenti. Et donc, forcément on pense à Lynch, dont le génie est bien absent de ce travail laborieux. Seule l'actrice Ana de Armas stupéfie dans sa capacité à se glisser dans les moindres mimiques et inflexions de voix de Marilyn. Dommage que Dominik n'exploite pas ce talent pour lui faire faire autre chose que pleurer et hurler pendant ces 3 interminables heures.
J'ai détesté. Le film est trop long, trop noir et on comprend de suite que l'on sera coincé de manière continue entre 2 notes seulement , les mêmes du début à la fin ! Au final, j'ai trouvé que cela ne rendait pas le personnage de Marilyn très complexe..
Benito G
Formellement ébouriffant, Blonde n'est jamais un simple exercice de style.
A l'image de ces images d'une profondeur rare, aux choix d'une mise en scène ambitieuse et judicieuse ; comme ses couleurs qui ramènent inlassablement Norma Jeane à son passé, à sa mère.
Après son introduction puissante comme une hallucination, Blonde devient le récit d'une jeune femme qui n'a pas eu l'enfance qu'elle méritait... Il est également un tourbillon de violence : maternelle puis sexuelle, de violences envers une enfant, une femme... la violence de cet amour qui n'en n'est pas un, de cet amour reporté. La violence d'une vie éternellement insatisfaite, faite de faux-semblant, de mensonges et d'illusions.
L'histoire d'une femme à la recherche d'un père dans chaque homme (qu'elle nomme "papa"), à la recherche d'une grossesse qui puisse exorciser son enfance malheureuse ; une femme cultivée, fondamentalement gentille, à la bonté incarnée. Un personnage tellement plus complexe que ce à quoi l'on s'attendait. et dont la durée de presque 3h arrive tout de même à tenir un rythme constant une fois la base du film mise en route. En nous proposant un voyage au plus profond d'un être humain, sans doute à la recherche de son âme, tout du moins de son Moi, à travers le récit de son existence, que les auteurs métamorphosent en cauchemar. Le réal met un point d'honneur à désacraliser une star trop parfaite à l'image, trop douce, trop tiède, un personnage créé de toutes pièces mais qui pourrit la vie de sa matrice, l'efface et finalement la détruit. C'est un biopic disgressif qui a cependant tendance à étirer inutilement ses scènes mais qui joue avec une autre notion du "réalisme" : le réalisme psychologique. Sans tabou aucun.
Tout cela est divinement magnifié par l'extraordinaire composition musicale. donnons au final au film tout son sens. bonne surprise générale !
A l'image de ces images d'une profondeur rare, aux choix d'une mise en scène ambitieuse et judicieuse ; comme ses couleurs qui ramènent inlassablement Norma Jeane à son passé, à sa mère.
Après son introduction puissante comme une hallucination, Blonde devient le récit d'une jeune femme qui n'a pas eu l'enfance qu'elle méritait... Il est également un tourbillon de violence : maternelle puis sexuelle, de violences envers une enfant, une femme... la violence de cet amour qui n'en n'est pas un, de cet amour reporté. La violence d'une vie éternellement insatisfaite, faite de faux-semblant, de mensonges et d'illusions.
L'histoire d'une femme à la recherche d'un père dans chaque homme (qu'elle nomme "papa"), à la recherche d'une grossesse qui puisse exorciser son enfance malheureuse ; une femme cultivée, fondamentalement gentille, à la bonté incarnée. Un personnage tellement plus complexe que ce à quoi l'on s'attendait. et dont la durée de presque 3h arrive tout de même à tenir un rythme constant une fois la base du film mise en route. En nous proposant un voyage au plus profond d'un être humain, sans doute à la recherche de son âme, tout du moins de son Moi, à travers le récit de son existence, que les auteurs métamorphosent en cauchemar. Le réal met un point d'honneur à désacraliser une star trop parfaite à l'image, trop douce, trop tiède, un personnage créé de toutes pièces mais qui pourrit la vie de sa matrice, l'efface et finalement la détruit. C'est un biopic disgressif qui a cependant tendance à étirer inutilement ses scènes mais qui joue avec une autre notion du "réalisme" : le réalisme psychologique. Sans tabou aucun.
Tout cela est divinement magnifié par l'extraordinaire composition musicale. donnons au final au film tout son sens. bonne surprise générale !
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