AlloCiné
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Excellent film!!
Il montre la dureté qu'a vécue Marilyn Monroe dans sa vie..
Même si c'est tiré d'un livre de fiction, Beaucoup de choses sont vrais… Très belle actrice et rôle très réaliste!!
Par contre les gens qui n'aiment pas les biographies et qui n'aiment pas Marilyn Monroe, par pitié ne regardez pas ces films là pour aller mettre un mauvais commentaires après...
Il montre la dureté qu'a vécue Marilyn Monroe dans sa vie..
Même si c'est tiré d'un livre de fiction, Beaucoup de choses sont vrais… Très belle actrice et rôle très réaliste!!
Par contre les gens qui n'aiment pas les biographies et qui n'aiment pas Marilyn Monroe, par pitié ne regardez pas ces films là pour aller mettre un mauvais commentaires après...
Un pseudo-film malsain de bout en bout. Une ode à la dépression dont les spectateurs qui auront su parvenir au générique de fin auront du mal à se remettre, s'ils ne se sont pas suicidés avant, que ce soit par la mise en scène expérimentale sans queue ni tête... pardon... "artistique", l'absence de scénario qui se résume à "Salaud de mâle blanc X viole Marilyn et la rend encore plus malheureuse que Salaud de mâle blanc X précédent" ou la longueur démesurée de cette chose honteuse qui rendrait n'importe quel séjour en enfer plus supportable. Il n'y a que la performance de la divine Ana de Armas qui est à saluer (autant que son physique qui fait passer le temps un tout petit peu plus vite mais bien trop peu). Evidemment, lesdits "cinéphiles" se sont pognés à fond sur ce truc (littéralement) pour le propulser dans les meilleurs films de l'année, alors que c'est en réalité une purge qui fait honte au cinéma et, plus grave encore, à Marilyn Monroe qu'on ferait mieux de laisser reposer en paix plutôt que d'instrumentaliser de manière si insipide et offensante. Je ne suis pas sûr que les hommes préfèrent les blondes, mais ils préféreront sans nul doute l'iconique actrice originale dans ses innombrables œuvres à ce triste "biopic" pathétique tout juste bon à ériger le Prozac en produit de l'année 2022.
Réaliser une oeuvre sur une icône en ne passant pas par la case du biopic classique ? Ok why not. C'est la voie empruntée par Andrew Dominik qui filme Marilyn Monroe a travers un récit dépressif et désespérant à souhait, surfant sur Lynch.
Certains crient a l'audace de filmer une "icône" de la sorte. Est-ce vraiment le cas ? Je ne trouve pas surtout que la plupart des films, livres et autres consacrés à Monore ne s'attardent que sur son histoire cauchemardesque, sa "mort", sa relation chelou avec les Kennedy, ses adictions en oubliant l'empreinte qu'elle a laissé dans le monde du cinéma. Sur ce point, le film n'apporte rien, il même dans la continuité de ce qui est fait.
Et ces scènes qui oscillent entre noir et blanc et couleur ? Insupportable et sans intérêt. Et surtout le film est d'un ennui avec du blabla pour rien et un récit qui évolue sans queue ni tête.
Rien a sauver malgré la prestation et l'implication de Ana de Armas et la réalisation se voulant soignée car on ne peut pas dire qu'il n'y a pas une bonne intention derrière (mais ratée).
Certains crient a l'audace de filmer une "icône" de la sorte. Est-ce vraiment le cas ? Je ne trouve pas surtout que la plupart des films, livres et autres consacrés à Monore ne s'attardent que sur son histoire cauchemardesque, sa "mort", sa relation chelou avec les Kennedy, ses adictions en oubliant l'empreinte qu'elle a laissé dans le monde du cinéma. Sur ce point, le film n'apporte rien, il même dans la continuité de ce qui est fait.
Et ces scènes qui oscillent entre noir et blanc et couleur ? Insupportable et sans intérêt. Et surtout le film est d'un ennui avec du blabla pour rien et un récit qui évolue sans queue ni tête.
Rien a sauver malgré la prestation et l'implication de Ana de Armas et la réalisation se voulant soignée car on ne peut pas dire qu'il n'y a pas une bonne intention derrière (mais ratée).
Comme quoi Blonde divise radicalement. Si certains s'attendaient à un biopic made in Hollywood... je comprends leur grande déception. Pour ceux qui aiment les récits tortueux... eh bien vous allez être servis. Ceci n'est pas un biopic.... ceci est une intrusion dérangeante, remuante, fascinante, troublante... dans l'intimité d'une femme. Entre Norma Jean et Maryline Monroe il y a une petite pépite ... Ana de Armas est juste stupéfiante dans la chaire de Maryline. Certains vont détester, d'autres vont adorer mais une chose est certaine c'est que ce film ne laissera personne indiffèrent. Certains parlent comme si ils détenaient la vérité sur la vie de Marilyn alors que personne ne sait et ne saura.... Le film est long, lent avec des moments malaisants et d'autres flamboyants. Ce film va vous bousculer vous toucher et au final vous laisser sans voix.
Un chef d'oeuvre !??? Une blague oui. Un film pervers, choquant, qui n'apporte rien du tout...oú il n'en ressort rien. Mal filmé, long, bande son minable....du viol, du sexe, de la misěre...Un film malsain.
Le film enferme Norma jane dans la folie, il exploite à mille pourcent la névrose et la sexualisation de Maryline Monroe
Maryline n'est qu'objet sexuelle et norma est névrosée ...ok mais...
On oublie Maryline créatives et futée
C'est un bilan psychiatrique de Norma ...
Je trouve le film grossier résumé un produit d'Hollywood à cela, Norma était complexe ce qui as donner vie à Maryline , un produit d'Hollywood se doit d'être névrosé pour exalté comme la pu le faire Maryline .Au final c'est la principale qualité de Maryline qui ici est vécu comme un fardeau, fardeau oui qualité également.La légende est complexe d'où sont titre de légende ...
Maryline n'est qu'objet sexuelle et norma est névrosée ...ok mais...
On oublie Maryline créatives et futée
C'est un bilan psychiatrique de Norma ...
Je trouve le film grossier résumé un produit d'Hollywood à cela, Norma était complexe ce qui as donner vie à Maryline , un produit d'Hollywood se doit d'être névrosé pour exalté comme la pu le faire Maryline .Au final c'est la principale qualité de Maryline qui ici est vécu comme un fardeau, fardeau oui qualité également.La légende est complexe d'où sont titre de légende ...
Un film sans intérêt malgré ses qualités techniques puisqu'il ne nous épargne rien des horreurs subies par Norma Jane tout le long de sa vie, mais dont tout le monde est déjà au courant.
Toutes les scènes morbides sont entièrement gratuites, Anna de Armas trop passionnée pour un rôle de femme fragile, les personnages secondaires sont bâclés et ne servent que de bourreaux.
On surfe sur un mythe ringard : la femme enfant fragile ballottée dans un monde trop hostile pour elle, qui se veut féministe mais ne l'est pas.
L'icône est trop malmenée : tantôt fragile, tantôt forte, le parti n'est pas pris. Des scènes et des dialogues incompréhensibles qui surfent entre l'érotique et le symbole, le glamour et le médiocre.
Trop de choses, trop de mélanges, le tout est brouillon et ennuyeux.
Toutes les scènes morbides sont entièrement gratuites, Anna de Armas trop passionnée pour un rôle de femme fragile, les personnages secondaires sont bâclés et ne servent que de bourreaux.
On surfe sur un mythe ringard : la femme enfant fragile ballottée dans un monde trop hostile pour elle, qui se veut féministe mais ne l'est pas.
L'icône est trop malmenée : tantôt fragile, tantôt forte, le parti n'est pas pris. Des scènes et des dialogues incompréhensibles qui surfent entre l'érotique et le symbole, le glamour et le médiocre.
Trop de choses, trop de mélanges, le tout est brouillon et ennuyeux.
Film de l'année et rôle d'une vie pour Ana de armas. Ce biopic fictionnel de maryline monroe est un prétexte pour mettre en lumière l'horreur exercée par l'industrie hollywoodien sur les femmes, qui sont réduites à des bouts de viande désirables. Ça parle aussi de traumatisme familiale, d'abandon et de folie.
Dommage que le film soit mal compris par une partie du public qui s'arrête au premier degré de lecture, passant totalement à côté du message pourtant pro-féministe.
Dommage que le film soit mal compris par une partie du public qui s'arrête au premier degré de lecture, passant totalement à côté du message pourtant pro-féministe.
Norma Jean a débutée sa carrière avec la tête encore plus vieille qu'lle ne l'a terminée...pourquoi pas? Seulement ça remet tout en cause au sujet de son aura hypnotique ou vampirisant....
Le reste est à l'avenant, le tout Hollywood lui est passé dessus sauf la diligence de My Darling Clementine...pas sûr ?
Pour ceux qui ne voient les films avec Marylin Monroe qu'en version française et qui ne regarde pas les images je comprends que cet, à peut pré suffise, mais enfin un peu de recul tout de même.
Pour les accrocs aux journeaux de propagande scandaleuses régalez-vous tout ce que vous croyez savoir au sujet de Marilyn Monroe est là réuni, même la médiocrité qui accompagne sa pire légende soyez en assurés.
Le reste est à l'avenant, le tout Hollywood lui est passé dessus sauf la diligence de My Darling Clementine...pas sûr ?
Pour ceux qui ne voient les films avec Marylin Monroe qu'en version française et qui ne regarde pas les images je comprends que cet, à peut pré suffise, mais enfin un peu de recul tout de même.
Pour les accrocs aux journeaux de propagande scandaleuses régalez-vous tout ce que vous croyez savoir au sujet de Marilyn Monroe est là réuni, même la médiocrité qui accompagne sa pire légende soyez en assurés.
Ufuk K
"Blonde " en compétition cette année à la Mostra de Venise, diffusé sur Netflix est un drame biographique sulfureux. En effet Il s'agit d'un biopic sur Marilyn Monroe inspiré du roman du même nom de Joyce Carol Oates, qui raconte une version très romancée de la vie de l'actrice. L'histoire s'inspire des traumatismes de l'icone Marylin Monroe avec ses excès en tout genre sexe, drogue, alcool, et dépression proposant aux spectateurs des séquences sidérantes, envoutante, visuellement sublime (noir et blanc) avec la performance grandissime de Ana de Armas (nomination aux oscars souhaité) dommage que l'ensemble comporte des nombreuses longueurs et un film bien trop long (2h43).
C’est une réalisation d’Andrew Dominik. Blonde est tiré du roman du même nom de Joyce Carol Oates, revisitant la vie de Marilyn Monroe avec une part de fiction. Il a été dans la sélection à la Mostra de Venise 2022. Ce biopic dramatique américain est sorti le 28 septembre 2022 sur Netflix.
Avant même sa sortie, Blonde faisait déjà parler de lui. Ce biopic sur Marilyn Monroe est le premier film de Netflix interdit au moins de 17 ans. Si la plateforme a décidé d’en arriver là, c’est qu’il contient certaines scènes sulfureuses.
L’intérêt de ce film va d’ailleurs poser question. Les intentions du réalisateur ne sont pas toujours claires quant au traitement de Marilyn Monroe. On pourrait même dire que le mythe se casse. Plusieurs rumeurs sont affichées comme des vérités, mêlant réalité et commérage. Au cœur du film, nous avons la relation qu’entretient Marilyn Monroe avec les hommes. On va la voir se faire maltraiter psychologiquement et sexuellement. Cela va en répudier plus d’un.
Il y a une obnubilation de la face sombre de Marilyn Monroe. On va s’attarder sur tous les moments terribles de sa vie éclipsant ceux plus joyeux. Ce n’est pas avec ce biopic que l’on va voir et comprendre l’ascension de cette figure moderne. Il faut rajouter à cela une mise en scène assez trouble. En revanche, il faut reconnaître que la photographie est tout simplement sublime.
Ana de Armas est la plus grande réussite de Blonde. L’actrice est tout simplement parfaite. Elle signe une des meilleures prestations de cette année 2022. À côté d’elle, tous les acteurs font pale figures. Heureusement, Adrien Brody arrive tout de même à apporter quelque chose.
Avant même sa sortie, Blonde faisait déjà parler de lui. Ce biopic sur Marilyn Monroe est le premier film de Netflix interdit au moins de 17 ans. Si la plateforme a décidé d’en arriver là, c’est qu’il contient certaines scènes sulfureuses.
L’intérêt de ce film va d’ailleurs poser question. Les intentions du réalisateur ne sont pas toujours claires quant au traitement de Marilyn Monroe. On pourrait même dire que le mythe se casse. Plusieurs rumeurs sont affichées comme des vérités, mêlant réalité et commérage. Au cœur du film, nous avons la relation qu’entretient Marilyn Monroe avec les hommes. On va la voir se faire maltraiter psychologiquement et sexuellement. Cela va en répudier plus d’un.
Il y a une obnubilation de la face sombre de Marilyn Monroe. On va s’attarder sur tous les moments terribles de sa vie éclipsant ceux plus joyeux. Ce n’est pas avec ce biopic que l’on va voir et comprendre l’ascension de cette figure moderne. Il faut rajouter à cela une mise en scène assez trouble. En revanche, il faut reconnaître que la photographie est tout simplement sublime.
Ana de Armas est la plus grande réussite de Blonde. L’actrice est tout simplement parfaite. Elle signe une des meilleures prestations de cette année 2022. À côté d’elle, tous les acteurs font pale figures. Heureusement, Adrien Brody arrive tout de même à apporter quelque chose.
BLONDE (2022): Pour apprécier ce film, il sera préférable de le visionner en deux temps (comme moi), dû à sa longueur (2h46), mais aussi à cette surprenante mise en scène filmée parfois d'une manière schizophrénique. L'oeuil de la caméra virevoltera si près de Norma Jeane (Marilyne Monroe), qu'il arrivera à nous imprégner du ressenti de celle-ci. Suivant certaines étapes de sa vie, les images pourront virer du noir et blanc à la couleur (la douleur/ le bonheur). Une existence fracassée par une enfance déséquilibrée, brutalisée, on ne pourra avoir que de la compassion pour cette ravissante fillette. Puis, prenant son destin en main, s'ouvrira devant elle une vie adulée mais bien trompeuse, car derrière ce rideau étoilé, l'indélicatesse aura fait de cette star une gentille gamine dans un jolie corps de femme. Une réalisation sans paillettes pour évoquer la fragilité mentale névrotique de Marilyne Monroe. La petite Lily Fisher dans le rôle de Norma Jeane enfant, une incarnation bouleversante. L'actrice Ana de Armas, une Marilyne Monroe très affectée par ce manque d'amour parental, une excellente interprétation pour cette vision d'une douleur inconsolable. Un style cinématographique assez particulier, qui pourra aussi déplaire à de nombreuses personnes.
Dans sa vaine quête de s'acheter une légitimité aux Oscars, Netflix a choisi de nous pondre un navet gratiné. Un drame calibré pour une ou plusieurs récompenses qui seront le cas échéant parfaitement imméritées. On s'ennuie ferme durant ce pensum de deux heures et quarante-sept minutes, à côté duquel la perspective de regarder de l'herbe pousser ou de la peinture sécher vous fera trépigner d'enthousiasme.
Ana de Armas n'a pas la splendeur physique pour incarner un sex-symbol comme Marilyn Monroe. Elle est certes une actrice respectable, mais ce n'est pas Meryl Streep. Son jeu manque d'envergure, d'intensité et sa personnalité de charisme.
Visiblement, le réalisateur Andrew Dominik n'était pas non plus le bon candidat pour ce film. Qu'a-t-il fait en vingt ans de carrière ? "Chopper" (2000), "L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford" (2007) et "Cogan : Killing Them Softly" (2012) et c'est tout. Pas de quoi se relever la nuit.
C'était sans doute trop difficile de faire un film glamour, hollywoodien, plein de chansons et de couleurs, autrement dit un long métrage distrayant qui respire la joie de vivre, plutôt que ce drame insipide et éprouvant qui insiste lourdement sur le côté destin brisé et tragédie personnelle.
Marilyn Monroe est devenue un mythe parce qu'elle incarne l'idéal féminin de l'âge d'or de Hollywood. C'est ce rêve en forme de symbole dont l'imaginaire collectif veut se souvenir, pas de la réalité d'un quotidien forcément pénible, triste sort de l'être humain qui doit se battre pour exister.
Et cette idée saugrenue de préférer une image 4/3, à croire que le format est devenu un atout artistique ! C'est un aspect technique, pas esthétique. À chaque époque son format. Nos téléviseurs sont 16/9 (équivalent à 1.78), les réalisateurs n'ont qu'à s'y plier. S'ils veulent faire une sortie salle en bon vieux Cinemascope 2.35 ou en IMAX 1.43 comme Jack Snyder avec son long métrage "Justice League", c'est une autre affaire. Lors d'une retransmission télévisée ou en streaming, des bandes noires sont rajoutées en haut et en bas dans le premier cas, et l'image est zoomée et recadrée en plein écran dans le second cas. Le résultat est satisfaisant. Pas ridicule comme dans "Blonde", avec des bandes noires verticales à gauche et à droite de votre beau téléviseur. Une aberration dont l'inutilité sidère, d'autant que le film n'est sorti que dans quelques salles dans le seul but d'être éligible aux Oscars, avant d'être diffusé mondialement en streaming.
Si vous aimez le cinéma gratifiant et roboratif, les années 50 et 60, et Marilyn Monroe qui est l'icône absolue et universelle du XXe siècle, alors fuyez ce faux biopic parfaitement désolant, relecture maladroite du roman éponyme paru en 2000 de l'écrivaine américaine Joyce Carol Oates.
Ana de Armas n'a pas la splendeur physique pour incarner un sex-symbol comme Marilyn Monroe. Elle est certes une actrice respectable, mais ce n'est pas Meryl Streep. Son jeu manque d'envergure, d'intensité et sa personnalité de charisme.
Visiblement, le réalisateur Andrew Dominik n'était pas non plus le bon candidat pour ce film. Qu'a-t-il fait en vingt ans de carrière ? "Chopper" (2000), "L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford" (2007) et "Cogan : Killing Them Softly" (2012) et c'est tout. Pas de quoi se relever la nuit.
C'était sans doute trop difficile de faire un film glamour, hollywoodien, plein de chansons et de couleurs, autrement dit un long métrage distrayant qui respire la joie de vivre, plutôt que ce drame insipide et éprouvant qui insiste lourdement sur le côté destin brisé et tragédie personnelle.
Marilyn Monroe est devenue un mythe parce qu'elle incarne l'idéal féminin de l'âge d'or de Hollywood. C'est ce rêve en forme de symbole dont l'imaginaire collectif veut se souvenir, pas de la réalité d'un quotidien forcément pénible, triste sort de l'être humain qui doit se battre pour exister.
Et cette idée saugrenue de préférer une image 4/3, à croire que le format est devenu un atout artistique ! C'est un aspect technique, pas esthétique. À chaque époque son format. Nos téléviseurs sont 16/9 (équivalent à 1.78), les réalisateurs n'ont qu'à s'y plier. S'ils veulent faire une sortie salle en bon vieux Cinemascope 2.35 ou en IMAX 1.43 comme Jack Snyder avec son long métrage "Justice League", c'est une autre affaire. Lors d'une retransmission télévisée ou en streaming, des bandes noires sont rajoutées en haut et en bas dans le premier cas, et l'image est zoomée et recadrée en plein écran dans le second cas. Le résultat est satisfaisant. Pas ridicule comme dans "Blonde", avec des bandes noires verticales à gauche et à droite de votre beau téléviseur. Une aberration dont l'inutilité sidère, d'autant que le film n'est sorti que dans quelques salles dans le seul but d'être éligible aux Oscars, avant d'être diffusé mondialement en streaming.
Si vous aimez le cinéma gratifiant et roboratif, les années 50 et 60, et Marilyn Monroe qui est l'icône absolue et universelle du XXe siècle, alors fuyez ce faux biopic parfaitement désolant, relecture maladroite du roman éponyme paru en 2000 de l'écrivaine américaine Joyce Carol Oates.
Blonde est un film biopic pour retracer une partie de la vie de la célèbre Marylln Monroe, ses joies, ses peines, ses démons, son talent, sa beauté... Le film est très long mais quelle performance d'Ana de Armas, magnifique, puissante, qui incarne Marylin d'une façon admirable.
L'histoire est forte, tragique, commune à nulle autre et de fait, donne une grande force à ce film.
Bref : un grand film pour la blonde la plus célèbre de la planète !
L'histoire est forte, tragique, commune à nulle autre et de fait, donne une grande force à ce film.
Bref : un grand film pour la blonde la plus célèbre de la planète !
Commençons par le negatif 2h47 c'est un peu long, surtout qu'on a plus l'impression de contempler une succession de scènes un peu survolés, et les séquences dites choquantes sont pour le coup assez gratuites. A côté de ça Blonde envoute et fascine autant qu'il met mal à l'aise. On est plus du côté de Mulholland Drive et l'echelle de Jacob que de Bohemian Rhapsody. C'est sans conteste l'un des plus beaux films de l'annee et sorti depuis longtemps mais en même temps Blonde laisse un goût un peu amer lorsqu'il se termine. Ce n'est pas toujours trés clair les transitions entre le noir et blanc et la couleur, par exemple, la premiére partie est un peu laborieuse.
A travers le personnage de Marylin Monroe, on decouvre l'histoire d'un Hollywood construit dans le sang, la violence sexuelle et physique, la masculinité toxique.
C'est un grand film avec une actrice habitée par son rôle et un realisateur au sommet de son talent. Blonde risque de ne laisser personne indifférent. Je vais les regarder autrement les tableaux Ikea avec Marylin Monroe.
A travers le personnage de Marylin Monroe, on decouvre l'histoire d'un Hollywood construit dans le sang, la violence sexuelle et physique, la masculinité toxique.
C'est un grand film avec une actrice habitée par son rôle et un realisateur au sommet de son talent. Blonde risque de ne laisser personne indifférent. Je vais les regarder autrement les tableaux Ikea avec Marylin Monroe.
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