Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Du très grand cinéma.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Sabine Gorny
Blonde est un film à la démesure de son sujet, baroque et onirique, irritant et hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Première
par Frédéric Foubert
Le réalisateur Andrew Dominik signe un chef-d’œuvre, virtuose, violent et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
par Justin Kwedi
"Blonde" n’est ni un biopic prévisible et déférent, ni l’avilissement de l’icône que certains se plaisent à voir. C’est un kaléidoscope cherchant à exposer la facette la plus meurtrie de l’artiste, où la langueur hypnotique (bande-son exceptionnelle de Nick Cave et Warren Ellis) se dispute au cauchemar névrotique. Autant de registres où éblouit de bout en bout une extraordinaire Ana de Armas, mise à nu comme jamais, au propre comme au figuré.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Au cœur d'un sensationnel chaos organisé, Andrew Dominik nous plonge dans la psyché cauchemardesque de Norma Jeane avec Blonde, expérience fragmentée fantasmagorique, d'une sensorialité hors du commun, jonglant entre onirisme et horreur, rêve et réalité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par F.D.
Ce film choc aux images parfois redondantes est heureusement porté par la formidable Ana de Armas.
GQ
par Adam Sanchez
Blonde ne ressemble à aucun biopic américain qu'on a pu voir récemment, souvent pour le meilleur et parfois pour le pire. Il en est le négatif cauchemardesque.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Malgré des passages un peu gratuits du noir et blanc à la couleur, du format carré au grand écran, Blonde secoue le genre du biopic dans un cocktail de rouge à lèvres et de draps froissés.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Olivier Lamm
Ballottant lui-même d’un régime d’image à un autre, de la couleur au noir et blanc, Blonde est un film brutal, autodestructeur ; le contraire d’un biopic plan-plan, genre auquel il emprunte la velléité vampirique pour mieux l’éreinter, la maudire, in fine la détruire. Un film de fin du cinéma, avec la plus funeste de ses stars, exclusivement, dans l’objectif, c’est très étonnant à voir, et à souffrir, et peut-être un grand moment de notre si singulière époque de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Malgré ses répétitions, ses outrances et ses préciosités, Blonde, incarné par la stupéfiante Ana de Armas, a l’incontestable mérite de prendre à rebrousse-poil le « mythe » Marilyn et d’entraîner en quelque sorte le spectateur dans les coulisses psychiques d’une héroïne hantée par l’autodestruction. Le voyage en vaut la peine.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé Loisirs
par Maryline Alligier
Déroutant mais fascinant, traversé d'images saisissantes, Blonde est transcendé par la performance intense d'Ana de Armas, qui se livre corps et âme à son rôle.
Critikat.com
par Josué Morel
Pas sans travers, Blonde s’avère toutefois plus curieux et complexe qu’attendu, tant les fluctuations de sa mise en scène obéissent à une logique élastique produisant ici et là des grands écarts aussi stimulants que déstabilisants.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Au final, si le film enferme trop Marilyn (splendide Ana de Armas) dans ses traumas d’enfant non désiré, il a le mérite de livrer une relecture puissante du prix à payer pour la gloire, doublé d’un réquisitoire contre la masculinité toxique, toujours d’actualité.
20 Minutes
par Caroline Vié
On peut se laisser emporter dans ce délire morbide ou trouver que la démonstration, qui part d’un bon sentiment, est assénée au marteau-piqueur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Paris Match
par Yannick Vely
En utilisant l’image de Marilyn Monroe pour sa démonstration, Andrew Dominik nie de surcroit son talent d’actrice et la transforme en femme-objet. En clair et peut-être de manière inconsciente, il fait exactement ce qu’il reproche à Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Adaptation du best-seller de Joyce Carol Oates, « Blonde » fait de la vie de Marilyn Monroe un interminable tableau horrifique que la composition courageuse d'Ana de Armas ne suffit pas à sauver.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Blonde n’est qu’un délire sadique de plus à l’égard d’une victime féminine, opportunément maquillé en cauchemar.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Christian Viviani
Pendant près de trois interminables heures, s’étalent complaisamment toutes les idées reçues sur la blonde des blondes [...].
CinemaTeaser
Du très grand cinéma.
Franceinfo Culture
Blonde est un film à la démesure de son sujet, baroque et onirique, irritant et hypnotique.
Première
Le réalisateur Andrew Dominik signe un chef-d’œuvre, virtuose, violent et bouleversant.
Culturopoing.com
"Blonde" n’est ni un biopic prévisible et déférent, ni l’avilissement de l’icône que certains se plaisent à voir. C’est un kaléidoscope cherchant à exposer la facette la plus meurtrie de l’artiste, où la langueur hypnotique (bande-son exceptionnelle de Nick Cave et Warren Ellis) se dispute au cauchemar névrotique. Autant de registres où éblouit de bout en bout une extraordinaire Ana de Armas, mise à nu comme jamais, au propre comme au figuré.
Ecran Large
Au cœur d'un sensationnel chaos organisé, Andrew Dominik nous plonge dans la psyché cauchemardesque de Norma Jeane avec Blonde, expérience fragmentée fantasmagorique, d'une sensorialité hors du commun, jonglant entre onirisme et horreur, rêve et réalité.
Elle
Ce film choc aux images parfois redondantes est heureusement porté par la formidable Ana de Armas.
GQ
Blonde ne ressemble à aucun biopic américain qu'on a pu voir récemment, souvent pour le meilleur et parfois pour le pire. Il en est le négatif cauchemardesque.
Le Figaro
Malgré des passages un peu gratuits du noir et blanc à la couleur, du format carré au grand écran, Blonde secoue le genre du biopic dans un cocktail de rouge à lèvres et de draps froissés.
Libération
Ballottant lui-même d’un régime d’image à un autre, de la couleur au noir et blanc, Blonde est un film brutal, autodestructeur ; le contraire d’un biopic plan-plan, genre auquel il emprunte la velléité vampirique pour mieux l’éreinter, la maudire, in fine la détruire. Un film de fin du cinéma, avec la plus funeste de ses stars, exclusivement, dans l’objectif, c’est très étonnant à voir, et à souffrir, et peut-être un grand moment de notre si singulière époque de cinéma.
Marianne
Malgré ses répétitions, ses outrances et ses préciosités, Blonde, incarné par la stupéfiante Ana de Armas, a l’incontestable mérite de prendre à rebrousse-poil le « mythe » Marilyn et d’entraîner en quelque sorte le spectateur dans les coulisses psychiques d’une héroïne hantée par l’autodestruction. Le voyage en vaut la peine.
Télé Loisirs
Déroutant mais fascinant, traversé d'images saisissantes, Blonde est transcendé par la performance intense d'Ana de Armas, qui se livre corps et âme à son rôle.
Critikat.com
Pas sans travers, Blonde s’avère toutefois plus curieux et complexe qu’attendu, tant les fluctuations de sa mise en scène obéissent à une logique élastique produisant ici et là des grands écarts aussi stimulants que déstabilisants.
Télé 7 Jours
Au final, si le film enferme trop Marilyn (splendide Ana de Armas) dans ses traumas d’enfant non désiré, il a le mérite de livrer une relecture puissante du prix à payer pour la gloire, doublé d’un réquisitoire contre la masculinité toxique, toujours d’actualité.
20 Minutes
On peut se laisser emporter dans ce délire morbide ou trouver que la démonstration, qui part d’un bon sentiment, est assénée au marteau-piqueur.
Paris Match
En utilisant l’image de Marilyn Monroe pour sa démonstration, Andrew Dominik nie de surcroit son talent d’actrice et la transforme en femme-objet. En clair et peut-être de manière inconsciente, il fait exactement ce qu’il reproche à Hollywood.
Les Echos
Adaptation du best-seller de Joyce Carol Oates, « Blonde » fait de la vie de Marilyn Monroe un interminable tableau horrifique que la composition courageuse d'Ana de Armas ne suffit pas à sauver.
Les Inrockuptibles
Blonde n’est qu’un délire sadique de plus à l’égard d’une victime féminine, opportunément maquillé en cauchemar.
Positif
Pendant près de trois interminables heures, s’étalent complaisamment toutes les idées reçues sur la blonde des blondes [...].