Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
clanki r.
7 abonnés
223 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 26 juin 2012
Dans le genre " les autres " l"orphelinat" je dois dire que ce film est très bien réalisé, très belle photographie, ambiance d'époque très bien restituée, très belles musiques, bien en accord avec la situation....Très bien filmé.Des acteurs assez convaincants...Le scénario en revanche ne m'a pas tellement transporté, quelques moments plats.Dommage ce fillm avait un certain potentiel, avec des vraies qualités, mais malheureusement, une histoire et un rythme qui ne suivent pas...
Les décors, l'ambiance, la musique et un excellent scénario font oublier les quelques moments plats. Les acteurs sont vraiment pas mal aussi. Ce film n'est pas effrayant mais cet inquiétant pensionnat nous intrigue dès le début et on veux savoir ce qui s'y passe et ce qui s'est passé. Et le scénario arrive à délier tous les mystères jusqu'à une fin à la mise en scène excellente! Ce n'est pas aussi stressant qu'un "L’Orphelinat" mais ça vaut tout de même le coup d’œil.
The Awakening s'impose dans la lignée des films comme "L'Orphelinat" ou "Les Autres" avec un scénario classique mais maîtrisé, de nombreux rebondissement et un twist final particulièrement réussi. À voir.
Ce film surprenant, autant sur le fond que la forme, est un véritable coup de cœur. À découvrir pour les amateurs de chefs d’œuvre du calibre de L’Échine du Diable ou Les Autres. Critique complète à lire sur notre site Terreurvision !
Houlala, ces dernières années on a envie de dire aux scénaristes "calmez-vous avec vos idées, pas besoin d'en avoir dix par film, contentez-vous de faire un bon film avec les deux ou trois que vous avez en tête". Voilà ce qu'on peut dire de ce film et d'un tas d'autres ces temps-ci, hélas...
Une petite production fort surprenante. En me lançant sur ce film, je m'attendais à un certain déjà vu. Or, il n'en est rien. L'atmosphère est bien pesante, dans cet orphelinat qui finalement est un cadre idéal pour l'histoire. Le film avance à petits pas pour nous offrir une fin des plus intéressante. Une bonne production à découvrir !
La Maison des Ombres... un film d'une certaine fraicheur (sans jeu de mots). Le sujet est intéressant (de l'existence des fantômes?), traité autour d'une histoire qui suit de près la Grande Guerre, la grippe espagnole et leurs millions de morts traumatisants. L'héroïne, experte en fantômes, n'a de cesse que de prouver que ces derniers n'existent pas; elle va se trouver confrontée cependant au cas bien troublant d'un fantôme dans un pensionnat. Elle poursuit vaillamment sa quête de vérité qui se double d'une redécouverte progressive de sa véritable histoire. Tout cela est fort bien ficelé ma foi, servi par une mise en scène soigneuse, une photographie calme et froide qui convient bien à l'atmosphère lourde de cette antique demeure.Bravo pour le réalisateur, Nick Murphy, qui a su tirer le meilleur de son budget et de ses acteurs aussi. Rebecca Hall est très bien dans son personnage, les seconds rôles aussi. Bien que le manque d'adhésion profonde en l'existence des fantômes (de chair, comme ceux-là) m'ait automatiquement donné un certain manque d'adhésion au fond de cette œuvre, il n'en demeure pas moins un film très très honorable.
Un superbe film d'épouvante, élégant et terrifiant, dans la grande ligné des réussites du genre tel que "Les autres" ou "Les innocents"...tout en gardant sa propre originalité grâce à un récit formidablement bien écrit,une mise en scène parfaitement ciselé et une interprétation convaincante ! Mais pourquoi un film d'une tel qualité n'est il pas sortie en salle au lieu des tentatives ridicule des French frayeurs : "Le village des ombres", "Derrière les murs" ??? Une sacrée bonne surprise vu en exclu inédit sur Canal !!!
Lorsque l'on voit la quantité de films américains du genre qui sortent chaque année et que celui-ci demeure inédit en salles, je me dis que le cinéma est parfois injuste. On est ici en présence d'un vrai chef-d'oeuvre dans son genre, loin de certaines productions abracadabrantesques et tellement "fake" qu'elles n'en deviennent plus drôles. Tout est ici question d'ambiance angoissante (sans effets gores ni effusions de sang), avec un déroulement de la trame parfait (niveau timing des rebondissements aux bons moments) et scénario envoûtant, des acteurs convaincants et un esthétisme rare, que seul un film du genre comme "Les autres" avait su apporter.
Les direct-to-dvd on parfois du bon. Comme partout, il faut savoir trier, être curieux. On peut alors dégoter de petites productions forts sympathiques telles que « La Maison des Ombres », thriller fantastique britannique. Marier le classicisme d'un pensionnat pour enfants aux sombres histoires de fantômes est un excellent compromis garantissant une certaine originalité et fraîcheur au film. L'histoire se déroule en 1921, renforçant la curiosité du spectateur et son immersion dans l'univers vite angoissant de cet établissement rural, coupé du monde ou presque. Ce film a quelque chose de décalé, de singulier que je ne saurais expliciter mais qui le rend particulièrement attachant. Sa force réside peut-être dans sa simplicité, sa sobriété, sa franchise. L'intrigue est efficace mais ne se complique jamais à outrance . Très souple, elle se penche souvent sur la psychologie de l’héroïne, un chasseuse de fantômes torturée par son passé amoureux et au subconscient hanté par son passé familial. La jeune femme (Florence), assez désagréable au premier abord bien que mignonne, va se révéler de plus en plus attachante au fur et à mesure que ces révélations de fantômes et cette enquête de meurtre vont … se concrétiser. Les péripéties tourbillonnent, le mystère nous est petit à petit dévoilé jusqu'à la révélation finale, étonnante ! Les personnages secondaires sont peu nombreux mais tous utiles à l'avancement du récit (pas de place pour le superflu) : l'approche amoureuse et ambiguë de Florence envers Robert Mallory, est délicate ; Le personnage de Maud Hill (la « vieille » dame) est dérangeant tandis que le jeune (dont j'ai oublié le nom) s'avère touchant, en plus de jouer comme un chef ! Soi dit en passant, l'actrice principale, Rebecca Hall, interprète avec justesse et charme son personnage,fragile et indécis. La mise en scène est un cran au dessus des productions du genre, et malgré le budget sûrement loin d’être mirobolant, Nick Murphy (le cinéaste) a réussi à doté son film d'une ambiance artistique réussie. Le traitement de l'image est pale ,angoissant et majestueusement gondolé; les décors sont travaillés avec soin et la mise en scène est bien léchée. Tous ces éléments insufflent davantage de crédibilité au récit. Non vraiment, « La maison des ombres » est une petite production honnête et qui vaut le détour. Plus réussi qu'un « 6ème sens »,dans le genre. Vraiment pas mal.
Le genre de film que j'apprécie de plus en plus en ce moment quand c'est bien fait. L'ambiance et l'intrigue tiennent en haleine, en éveillant la curiosité du spectateur, sans décevoir dans son final.
Je me suis bien fait avoir par la fin ! J’avoue m’être laissé balader dans les couloirs de cet orphelinat. Je craignais un twist qui ne tienne pas debout, ce qui ne fut pas le cas. Il était difficile de faire autrement que le « 6ème sens » ou « The others », autre variante sur la façon dont on perçoit les fantômes. Et la « Maison des ombres » en est une autre assez bien réussie. La photo est léchée, la mise en scène est sobre et travaillée et Rebecca Hall est séduisante et fragile dans son rôle. Il y a bien quelques bémols comme l’amnésie par exemple, je n’en dirai pas plus, mais ça ne gâche pas l’ensemble du film dont l’ambiance est prenante et loin d’être artificielle. En tout cas, moi, j’y ai cru. Voilà un film primé à Gérardmer et qui n’a pas connu de sortie en salle en France. Dommage, il méritait d’être découvert par un très grand nombre.