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Votre avis sur Margin Call ?
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Probablement le meilleur thriller financier à ce jour. Acteurs, scénario (inspiré de la chute de LB donc en plus utile), image, bande-son, bref, une pépite.
Un film exceptionnel dans sa densité, son interprétation, la qualité des dialogues. Un film sur le management dans les banques, sur le cynisme financier. C'est un régal de réalisation. A ne pas manquer !
Pour un premier film, chapeau l'artiste. Remarquable mise en scène pour un huis clos sans failles. Casting sans failles non plus. Pour répondre à une critique sur le cinéma nord- américain qui peut tout montrer, tout dire, et dans ce cas sans manichéisme, la réponse est simple: ce n'est pas un cinéma subventionné et c'est ce qui lui donne toute sa liberté... Quand le cinéma français aura compris que la réussite est dans la prise de risques, personnelle pas celle du contribuable, nous reverrons de bons films comme à une certaine époque.
[...] A travers les sinuosités mathématiques, ô aubes mortes, demeure pourtant de légères sources d'humanité ; invisible [...]
Loin des clichés de film comme Wall Street
, Chandor s'attaque avec brio au monde de la finance à la manière d'un Fincher pour The Social Network. Servi
par une brochette de stars en verve, le sujet du film est avant tout de dépeindre les hommes et les femmes au cœur du système financier mondial. Jeremy Irons, qui s'est donné pour l'occasion un look à la Iggy Pop, est impressionnant de froideur, Kevin Spacey toujours impeccable... Après Wall Street contre Cleveland (documentaire), Margin Call est le film à voir pour tenter de comprendre les mécanismes et les comportements qui conduisent aux dérives qui ont marqué la période récente.
, Chandor s'attaque avec brio au monde de la finance à la manière d'un Fincher pour The Social Network. Servi
par une brochette de stars en verve, le sujet du film est avant tout de dépeindre les hommes et les femmes au cœur du système financier mondial. Jeremy Irons, qui s'est donné pour l'occasion un look à la Iggy Pop, est impressionnant de froideur, Kevin Spacey toujours impeccable... Après Wall Street contre Cleveland (documentaire), Margin Call est le film à voir pour tenter de comprendre les mécanismes et les comportements qui conduisent aux dérives qui ont marqué la période récente.
Un premier film pour un coup de maître et un coup de poing. Je pensais que "Capital" de Costa-Gravas était un excellent film sur la crise, là le sujet n'est pas identique mais la claque est plus forte.
J.C.Chandor, le sauveur des tradeurs? Pas vraiment. Ils ne sont pas présentés comme meilleur qu'on le pense mais comme des hommes. Car de quoi parle Margin Call? De la crise, comment elle arrive, les effets et comment ces personnages et gens vont gérer tout ça. Car il faut le dire, la crise c'est pour tout le monde. Eux perdent leur job, nous parfois notre vie d'avant. Où comment le réalisateur incorpore un peu de blanc dans ce monde de la finance devenu noir.
Un casting de chef, qui vire parfois au duel K.Spacey-J.Irons, du lourd. Mais dans ces duels, tout comme dans le film, on ne se bat pas avec les mêmes armes. Il y a le supérieur toujours plus fort, car toujours plus riche. Le film me donner l'air d'être incompréhensible. En fait, J.C.Chandor joue avec le suspense. Lorsqu'il part en explication, par le biais de P.Bettany, le rôle du mec salaud mais tant que ça et surtout réaliste et pragmatique. Toute la force du film repose sur lui, car la réflexion vient vraiment de lui. Le génie (Z.Quinto) mais finalement sans coeur, le flambeur superficiel P.Badgley), le bosse déconnecté et dépassé (K.Spacey) mais bon psychologue et finalement au grand coeur meurtri. La garce (D.Moore), le gentil sérieux mais lasse (S.Tucci), le sauveur attitré (S.Baker) et froid et finalement le Big Boss (J.Irons).
Tout à un sens et il dépeint 24 heures de la crise avec une force remarquable. Emmené par le film, savoir où tout ça peut nous mener. C'est une fiction, pourraient-ils nous sauver de la crise? On y croit. Et les moments de dialogues sont rédigés aux petits oignons. Appuyé par une réalisation parfois académique, il n'en perd pas en intensité et on sent qu'il a de la maîtrise. Réalisateur prometteur, intelligent et doué. Espérons, que ceci ne soit pas un coup de chance et que le deuxième film confirmera le bonhomme.
J.C.Chandor, le sauveur des tradeurs? Pas vraiment. Ils ne sont pas présentés comme meilleur qu'on le pense mais comme des hommes. Car de quoi parle Margin Call? De la crise, comment elle arrive, les effets et comment ces personnages et gens vont gérer tout ça. Car il faut le dire, la crise c'est pour tout le monde. Eux perdent leur job, nous parfois notre vie d'avant. Où comment le réalisateur incorpore un peu de blanc dans ce monde de la finance devenu noir.
Un casting de chef, qui vire parfois au duel K.Spacey-J.Irons, du lourd. Mais dans ces duels, tout comme dans le film, on ne se bat pas avec les mêmes armes. Il y a le supérieur toujours plus fort, car toujours plus riche. Le film me donner l'air d'être incompréhensible. En fait, J.C.Chandor joue avec le suspense. Lorsqu'il part en explication, par le biais de P.Bettany, le rôle du mec salaud mais tant que ça et surtout réaliste et pragmatique. Toute la force du film repose sur lui, car la réflexion vient vraiment de lui. Le génie (Z.Quinto) mais finalement sans coeur, le flambeur superficiel P.Badgley), le bosse déconnecté et dépassé (K.Spacey) mais bon psychologue et finalement au grand coeur meurtri. La garce (D.Moore), le gentil sérieux mais lasse (S.Tucci), le sauveur attitré (S.Baker) et froid et finalement le Big Boss (J.Irons).
Tout à un sens et il dépeint 24 heures de la crise avec une force remarquable. Emmené par le film, savoir où tout ça peut nous mener. C'est une fiction, pourraient-ils nous sauver de la crise? On y croit. Et les moments de dialogues sont rédigés aux petits oignons. Appuyé par une réalisation parfois académique, il n'en perd pas en intensité et on sent qu'il a de la maîtrise. Réalisateur prometteur, intelligent et doué. Espérons, que ceci ne soit pas un coup de chance et que le deuxième film confirmera le bonhomme.
C'est avec un parti pris certain que je commente le film. Grand amateur de finance et d'économie, avant même de rentrer dans le salle je savais que j'allais passer un bon moment d'autant plus que pour une fois le film est en VO. En un mot génial, les acteurs sont top notamment le chère service et le PDG. Émotion bien retransmis, et une histoire qui rappelle étrangement la crise des subprimes. Bref, pour tous ceux qui s'intéresse un peu au monde de la finance, foncez.
Très bon film de JC Chandor sur le monde de la finance à New York avec un Kevin Spacey, comme à son habitude, excellent et habité par son rôle. Les effets de la finance sur le monde au quotidien nous est inconnu puisque nous sommes, pour la plupart, en dehors du système financier. Entre un homme, Kevin Spacey, où le monde n'est qu'argent et pouvoir, mais qui est attendrit et humain lors de la mort de son chien, et la dureté des décisions à prendre pour garder son pouvoir financier... ce film démontre bien que le monde de Wall Street n'est pas de tout repos et que les requins ont la dent longue, très longue... Et surtout à choisir entre l'argent et l'honneur... le pas est difficile....
Un thriller maîtriser de bout en bout, certes le sujet est trés technique mais il parvient a captiver. le casting est exceptionnel et que dire sur les acteurs qui sont tous trés bon. rien n'a dire, un chef d'oeuvre !!!!
vu deux fois en trois jours ! acteurs au sommet. .dialogues ciselés..formidable réussite !
Très réaliste pénétration dans le monde des traders
Le meilleur film que j'ai vu cette année-là, toutes catégories confondues.
Il est construit comme un thriller.
La mise en scène est parfaite, l'interprétation de tous les acteurs est formidable.
Le montage est un chef d'oeuvre du genre.
Quant au scénario…
On aimerait que ce soit de la pure fiction, mais c'est de la réalité dont la complexité n'est pas afadie. C'est de la complexité accessible à la compréhension de tous.
Et oui, c'est ça l'horreur de la finance, quand l'économie virtuelle bouffe l'économie réelle et que les économies des petits porteurs filent dans le trou du lavabo…
A voir, à revoir, à méditer, à enseigner aux enfants.
Il est construit comme un thriller.
La mise en scène est parfaite, l'interprétation de tous les acteurs est formidable.
Le montage est un chef d'oeuvre du genre.
Quant au scénario…
On aimerait que ce soit de la pure fiction, mais c'est de la réalité dont la complexité n'est pas afadie. C'est de la complexité accessible à la compréhension de tous.
Et oui, c'est ça l'horreur de la finance, quand l'économie virtuelle bouffe l'économie réelle et que les économies des petits porteurs filent dans le trou du lavabo…
A voir, à revoir, à méditer, à enseigner aux enfants.
"Margin Call" peut sembler lâchement hypocrite et propagandiste si en plus il ne développait en seconde lecture une fascination pour le monde qu'il décrit, en usant de la métaphore de manière franchement subtil.
La Bourse ou La Vie?
La Bourse ou La Vie?
Franchement surpris ... Très très bon film, je vous conseille de le regarder en VO !! il est vraiment bien
Excellent film, on n'en ressort pas spécialement optimiste! Tous les acteurs sont excellents et à la fin, on est assez tente de voter melanchon..
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