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    Margin Call
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    3,8
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    586 critiques spectateurs

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    hubertselby
    hubertselby

    69 abonnés 436 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mai 2012
    Le film traite de ce qu'il est arrivé à Lehman Brothers, grosse firme de m**** qui pensait planter tout le monde et qui s'est planté en beauté !
    L'action se déroule sur une journée car c'est en 24h que la banque s'est crashée.
    Énorme brochette d'acteur, on se croit presque dans un huis-clos et tout est concentré sur les rapports humains mais le défaut c'est qu'on traite uniquement de leurs rapports humains alors que des milliers de personnes dépendent directement ou indirectement de ces sales *********** !
    Du coup, c'est assez méprisant mais involontairement, on veut nous intéresser aux cas de conscience de ces "dieux dans leur tour d'ivoire" mais on ne souhaite que leurs têtes...
    Visuellement le film est sympa mais essayer de nous les rendre attachant, je trouve ça intellectuellement dur à avaler...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 septembre 2012
    houlala qu'on se fait chier !! Et ce, jusqu'à la fin.
    DarkgothBTZ
    DarkgothBTZ

    56 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 janvier 2012
    Beaucoup de stars pour rien, ennuyeux au possible, gros gâchis pour un pure navet de 2h.
    romain42000
    romain42000

    2 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2012
    Un bel aperçu de ce que peut être le monde de la finance, joué avec une impressionnante justesse!
    Acidus
    Acidus

    735 abonnés 3 720 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 juin 2024
    Avec "Margin Call", J. C. Chandor nous offre une plongée dans les hauts milieux financiers.
    Le long métrage dénonce les travers de cette machine capitaliste sans trop tomber dans les facilités et dans un discours manichéen. Pour autant, il n'a pas réussi à me passionner et j'ai rapidement trouvé le temps long. L'aspect thriller n'a pas fonctionner sur moi et la principal saveur du film vient de son excellent casting.
    Moyen.
    Alasky
    Alasky

    358 abonnés 3 453 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 octobre 2020
    Un film interminable, qui ne raconte pas grand chose au final. Des soucis de traders, et c'est là à peu près tout. On appelle ce film un thriller alors qu'il ne se passe rien, et il n'y a même pas une once de suspense... Cela dit le casting est énorme, c'est grâce à cela que j'ai pu visionner le film en entier.
    kibruk
    kibruk

    149 abonnés 2 579 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2021
    Pour moi "Margin call" est simplement le meilleur film sur la crise des subprimes. Construit comme un thriller psychologique, on suit avec passion les agissements de traders qui font tout pour sauver leur banque en faisant abstraction de toute conception morale. Le tout est un huis clos pesant où de très bons acteurs campent des personnages très bien écrits. Au final ce film est assez désespérant mais il est malheureusement très réaliste. A voir absolument pour mieux comprendre la crise financière de 2008.  
    Serpiko77
    Serpiko77

    60 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2020
    Le monde impitoyable de ces financiers pour la plupart dénués de toute empathie. Pourtant J.C. Chandor ne procède pas à un lynchage public et parvient tout de même à les humaniser un minimum, sans jugement. On a même la sensation qu'il tente, habilement, de dédouaner ces hommes cupides pour qui money est roi en se concentrant sur leurs choix (immorales) effectués sous la contrainte... ou non.
    Pour sa première réalisation il a la chance de réunir un excellent casting, Kevin Spacey en tête dans un rôle taillé pour lui.
    Avec un minimum d'attention le film est assez accessible aux non-initiés de la finance. Pédagogique, il explique très simplement le pourquoi de la grande crise des subprimes de 2008.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 329 abonnés 7 541 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2012
    Premier (et bluffant) long-métrage de la part de J. C. Chandor qui retrace heure par heure (se déroulant intégralement le temps d’une journée) ce qui a précédé le krach boursier de 2008, devenant par la même occasion, la crise mondiale que l’on connaît tous. L’intrigue se déroule dans un building d’une importante compagnie financière (est-il nécessaire de souligner les similitudes avec la banque d'affaire "Lehman Brothers Investissements" qui avait fait faillite en 2008 ?). Alors que le matin même se prépare un important plan social, les dirigeants ne vont pas être au bout de leur surprise lorsqu’ils apprendront le soir-même que la compagnie menace de sombrer si les traders ne liquident pas en un temps record (et à perte), toutes leurs "liquidités". J. C. Chandor nous plonge de plein fouet au coeur de l’univers de Wall Street, de son ambiance feutré et jalousement gardé où tout se compte en millions voir en milliards de dollars, entre pourcentages et algorithmes, coups de chance ou coups de bluff. Extrêmement bien documenté (peut-être trop, prévoyez un décodeur pour réellement bien saisir tout le vocabulaire des traders). J. C. Chandor nous fait revivre de l’intérieur les prémisses de cette crise où l’on découvre les faux-semblants et autres manipulations des dirigeants qui ne reculent devant rien pour sauver leur intégrité (et leur argent) quitte à mettre en danger les autres compagnies, voir la bourse toute entière. Palpitant de bout en bout et ce, en grande partie grâce à un casting quatre étoiles (Kevin Spacey, Paul Bettany, Jeremy Irons, Zachary Quinto qui est également producteur du film, Simon Baker, Demi Moore & Stanley Tucci). A noter enfin que le film fut nominé aux Oscars (Meilleur Scénario Original), mais il repartit bredouille.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 437 abonnés 4 462 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2024
    Je me rends compte que je n’avais pas fait la critique de Margin Call que j’ai pourtant vu plusieurs fois pour la bonne raison que c’est un authentique chef-d’œuvre. Tout est présent dans ce film, mais je dois dire que le point qui fait la différence par rapport à la concurrence dans ce genre, c’est l’étrange poésie que Chandor insuffle à son film. Il dégage en effet une étrange mélancolie, un sentiment de douce tristesse qui l’emporte rapidement sur le côté technocratique du sujet. La raison, je pense, en vient bien sûr du côté technique. Visuellement superbe, Chandor arrive à créer des atmosphères enveloppantes, usant de la nuit, des lumières des ordinateurs, des ambiances feutrées, il se balade avec une aisance rare dans ces hauts lieux de trading et conscient du côté abstrait de son sujet, il s’attache à ses personnages avec lesquels il jongle, là encore avec une maîtrise totale. J’y reviendrai. Margin Call a une superbe photographie, une mise en scène fluide et tirée au cordeau, des décors qui transpirent le soin du petit détail (d’ailleurs on appréciera les promenades hors de l’immeuble également), et le tout accompagné par une bande son discrète mais qui lorsqu’elle arrive est toujours appropriée (le morceau Wolves, si je ne m’abuse, rend particulièrement bien l’atmosphère mélancolique du film et sa poésie un peu triste). Le film est esthétique, mais son esthétique n’est pas que froideur, et j’en viens à l’autre aspect attractif du film et sans doute l’autre raison qui en fait pour moins un film incarné et poétique : sa subtilité. Bien sûr le métrage critique le trading, la haute finance, les comportements détestables du milieu, mais il ne fait pas que cela, et échappe à la caricature. L’ambiguité du personnage de Kevin Spacey par exemple apporte beaucoup de chair au film, de même pour le personnage de Zachary Quinto. Le film est vivant et on se retrouve par moment avec des figures dignes d’une tragédie grecque, confronté à des évènements qui les dépassent et tentant de faire face tout en gérant aussi leurs petits problèmes. Margin Call est un film technique mais d’abord humain, et Chandor, en s’attachant à ses personnages, mais en avant leurs émotions, leur ressenti, leurs contrastes, leurs défauts, et tout cela, plus encore que l’image je pense, donne au film un lyrisme puissant et hyper appréciable ! On ne voit pas le temps filé tant il y a du contenu, de la matière, de la vie et tant tout cela est intelligemment imbriqué. Evidemment, c’est d’autant plus sensible que le casting est énorme, et que tous les acteurs ont été judicieusement choisis. Spacey, Irons, Tucci, notamment, étaient tout trouvés pour leurs rôles, mais même des acteurs que j’apprécie moins, comme Paul Bettany sont parfaitement employés. Ce n’est d’ailleurs pas qu’une simple galerie de célébrités, le film donne à tous ses personnages, même un peu secondaires, un vrai rôle et une vraie place, avec de l’épaisseur et une dimension humaine. Ca fait extrêmement plaisir de voir un film si bien écrit et si bien interprété.
    En définitive, si vous avez peur de l’aspect technique du film, du côté verbeux, pas d’inquiétude, ce n’est pas l’essence du film. D’ailleurs, c’est finalement qu’une petite partie du film. L’essentiel tient dans ce portrait du monde de la finance que fait Chandor, critique mais pas manichéen, incisif mais toujours humain. Rigoureusement écrit, le film est tout aussi rigoureusement réalisé, et d’une esthétique irréprochable, c’est aussi un catalogue d’images superbes et iconiques. C’était pas simple de rendre beau ces open space froid et sans âme, mais Chandor y arrive ! Bravo à lui. Bref, un chef-d’œuvre à découvrir. 5
    vidalger
    vidalger

    325 abonnés 1 252 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 décembre 2014
    Ce film montre davantage une fascination naïve du réalisateur pour les énormes machines de Wall Street qui se tirent régulièrement d'énormes krachs (sauf, pas de pot pour Lehman en 2008!) qu'une dénonciation de ce monde sans foi ni loi de traders, bankers et autres brokers. Les explications techniques sont parfois alambiquées et les dialogues, pourtant largement éclaircis de tout le jargon de ce petit milieu, ne sont pas toujours d'une grande clarté. On retiendra surtout de ce film le jeu d'acteurs de grande classe, de Jeremy Irons à Kevin Spacey en passant par un Paul Bettany à contre-rôle. La force de ce drame (règle des trois unités!) réside davantage dans l'image et l'ambiance qu'a su créer le réalisateur avec un éclairage nocturne du New York des gratte-ciels plutôt réussi.
    norman06
    norman06

    351 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2012
    Respectant l'unité de temps, de lieu d'action de la tragédie, ce drame financier a le mérite d'éviter les effets et rebondissements artificiels. Il gagne en épure ce qu'il perd un peu en rythme. Du bon cinéma hollywoodien classique mais avec sens critique.
    Requiemovies
    Requiemovies

    210 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mai 2012
    Le premier film de JC Chandor se veut le répondant cinématographique de ce que pouvait être le documentaire Inside Job, sur la crise économique. Une marque de temporalité est tout de même à souligner, le film se déroule sur presque 24 heures et en huis clos. Il faudra en outre être armé d’un vocabulaire et d’une attention soutenues afin de ne laisser passer que très peu d’éléments à la bonne compréhension de l’ensemble. L’éclectisme et la justesse du casting , souvent surprenant et crédible pour chacun des principaux personnages (brillent tout de même dans les hauteurs le trio Irons-Spacey-Tucci). Ombre minime au tableau boursier; pour ceux qui n’auraient pas vu Inside Job, le film est un condensé (moins pédagogique cependant) de la crise, pour les autres, seul le rythme et l’accent porté sur le côté thriller financier, vitesse grand V, sont les accents et points forts du film. Concernant l’avidité même de ses traders, nous avons en effet vu mieux et plus posé dans le genre. L’affaire « d’une nuit » reste alors l’élément primordial du métrage, donnant alors une dimension théâtral au film. Opère alors une résonance particulière à un genre bien précis, apportant au film un dernier relief que l’histoire même n’avait pas su tant élever. Utile et première réussite d’un réalisateur à suivre. Rendant la fiction hélas si proche de la réalité. Presque le film d'horreur de la semaine.

    http://requiemovies.over-blog.com/
    Cinephille
    Cinephille

    159 abonnés 628 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2012
    Très bonne surprise que ce Margin Call. Le cynisme de ces entreprises où l'argent a tout envahi, est parfaitement rendu. On voit les sommes vertigineuses qui sont brassées et versées aux salariés "méritants". On voit comment le volcan s'est construit et comment son explosion n'affecte au final pas ceux qui en sont responsables. On voit comment on rend les jeunes cerveaux qui rentrent dans ces firmes, accros à celles-ci. Les mécanismes de chaque échelon sont très bien montrés, avec efficacité. Mais on voit aussi qu'il faut encore quelques humains pour faire marcher tout ça et que celui qui a la plus longue longévité la doit à sa capacité de meneur d'hommes, de conviction. L'autre bonne surprise c'est le casting, plusieurs "vieilles" gloires dont aucune ne cabotine. Chaque acteur joue avec sobriété, personne ne tire la couverture et cette excellente direction d'acteurs est une des raisons de l'efficacité du propos. Enfin, la mise en scène n'a rien d'exceptionnel mais n'est pas déshonorante. Et ça fait toujours plaisir de voir quelques belles images de New-York.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 avril 2012
    Nous ne serons pas les premiers, nous n'avons pas été malins, alors nous allons tricher. Juste un peu. Et puis c'est rien, nous nous relèverons de tout ça, comme nous l'avons toujours fait. Il n'est plus question de faire du profit, il est question de survie. De sauver notre peau, même si pour cela nous devrons anéantir les autres. Je suis désolé, au bout d'un moment, lorsque rien ne va plus, il ne reste que la loi du plus fort.
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