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    Margin Call
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    586 critiques spectateurs

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    MC4815162342
    MC4815162342

    402 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2013
    Un bon film, à voir au moins une fois, un casting surprenant et un scénario très bien construit !
    defleppard
    defleppard

    388 abonnés 3 386 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 février 2014
    J'ai regardé ce film, car j'ai bien aimé "All is lost" du même réalisateur. Je reste déçu, le marché implacable des finances y est traité, mais l'ensemble reste ennuyeux sur la longueur. 1 étoile et demie.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 avril 2014
    Une excellente interprétation de tous les comédiens, en particulier de Kevin Spacey.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 avril 2019
    Ancien réalisateur de publicité et fils d'un ancien cadre dirigeant de Merrill Lynch (banque d'investissement américaine), le jeune JC Chandor ne pouvait rêver meilleur sujet pour démarrer sa carrière de réalisateur que la crise financière de 2008 qui prit sa dimension planétaire suite à la faillite spectaculaire le 15 septembre de la même année de Lehman Brothers, institution jusqu'alors sacrée du monde des affaires. Parfaitement au fait du contexte, JC Chandor écrit lui-même le scénario de "Margin Call" qu'il oriente délibérément vers la voie du suspense en plaçant sa caméra dans les étages supérieurs du siège d'une banque d'affaires la nuit suivant une purge qui a sacrifié sans coup férir plus de 30% du service de gestion des risques. C'est au beau milieu de cette charrette présentée comme salvatrice et régénératrice selon les préceptes du capitalisme débridé à l'américaine que le film démarre, permettant à Chandor de présenter une partie des acteurs principaux de la nuit agitée qui va suivre. Mis sur la piste par son chef de service (Stanley Tucci) avant que celui-ci ne quitte définitivement l'entreprise avec ses cartons entassés dans l'ascenseur, un jeune cadre (Zachary Quinto) va découvrir que la stratégie de la banque concernant les investissements à haut risque ayant généré la crise des subprimes (prêts hypothécaires à risque) l'a fait sortir depuis plusieurs semaines de sa zone de sécurité. Comme le Titanic fonçant sur son iceberg, la banque semble promise à la faillite. Le top management débarque aussitôt avec John Tuld, le PDG (Jeremy Irons) qui arrive par hélicoptère au sommet de la tour. Chandor s'y entend à merveille pour faire monter la tension en jouant sur l'appréhension des deux jeunes cadres qui devront expliquer au big boss la réalité d'une situation qui semble avoir échappé aux cadres les plus confirmés. A la vue de la saignée sanglante de l'après-midi, Chandor a soigneusement préparé le spectateur à un règlement de compte brutal et lourd de conséquences. Prenant tout le monde de court, le jeune réalisateur qui n'a pas froid aux yeux donne au contraire à voir le spectacle de cadres dirigeants plutôt évanescents car très éloignés du terrain et peu au fait de la concrétisation de leur décision, n'hésitant pas à se défausser allègrement de leurs responsabilités grassement rémunérées. Ressort par les paroles lénifiantes du PDG, un cynisme qui inonde en cascade l'ensemble d'un top management largement rodé à un entre soi qui veut que chaque cas se règlera au mieux des intérêts bien compris de chacun. La boucherie de l'après-midi vaut pour la piétaille mais certainement pas pour le cercle restreint des quelques-uns qui n'ont pas pris le soin d'écouter les alertes lancées un an plus tôt. Sam Rogers (Kevin Spacey), le chef du service des risques décapité (sic!) semble un moment ébranlé par cette contradiction qu'il estime sans doute avoir trop longtemps cautionnée. Mais chaque homme à son prix, comme le montrera un JC Chandor parfaitement à son affaire qui de manière tout à fait remarquable, dirigeant de main de maitre un casting de haut vol où se côtoient des profils aussi divers que Demi Moore ou Simon Baker, nous présente un portrait proprement glaçant de ceux qui orchestrent l'économie mondiale. Démonstration éclatante sans aucun doute mais dont malheureusement on peut craindre qu'elle ne soit pas suivi d'effet si l'on songe que cinquante ans plus tôt, Fiedler Cook avec son formidable et trop méconnu "Patterns" avait déjà dressé un constat tout aussi affligeant des méthodes de management radicales que génèrent la recherche du profit quand elle est érigée en but ultime des échanges économiques et financiers. Présenté au Festival du Sundance, le film a remporté un succès d'estime qui a permis à JC Chandor de continuer de creuser son sillon, ce qu'il a fait en affinant encore sa mise en scène avec "All is lost" en 2013 mais surtout avec le superbe "A most violent year" en 2014. Un réalisateur qui semble savoir où il va et comment il y va. On ne peut que s'en réjouir en ces temps où de nombreux réalisateurs transformés en yes men transposent à la chaine les comics y compris les plus obscurs.
    Yetcha
    Yetcha

    894 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2013
    Superbe et sobre mise en image du monde boursier peu avant le krach de 2008. Singeant la banque Lehman brothers qui a fait faillite à cette époque, on voit les avis diverger quant à la décision à prendre. Des traders ne veulent pas tout liquider, puis, l'appât du gain au travers de primes mirobolantes les fait vite changer d'avis. Aucun jugement n'est apporté, juste le regard juste sur un milieu labyrinthique et obscure des arcanes du pouvoir et de l'argent où en définitive les plus honnêtes de font bouffer en premier. Un film à voir absolument en dépit de quelques moments creux et d'une mise en scène vraiment cheap.
    Vador Mir
    Vador Mir

    263 abonnés 796 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2020
    Un film qui devrait être un classique, presque culte. Le casting est énorme et prestigieux et le jeu des acteurs donne une profondeur vertigineuse. On sent la tension d'une situation inextricable, le récit d'une chute. Le grain de la camera est particulièrement beau.
    alain-92
    alain-92

    322 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2012
    Rien à voir avec une énième reprise des tracas d’un Wall Street hasardeux. Tout le contraire. Margin Call, film catastrophe, d’un système qui se croit inébranlable et qui s’effondre faute de réelles fondations. Scénario remarquable et solide, servi par une mise en scène adéquate. La tension reste forte du début à la fin du film. Pour un premier film J.C. Chandor choisit de nous entraîner du côté obscur, sombre et répugnant de la haute finance. Réussite totale. Les comédiens tous excellents augmentent le plaisir de ce grand moment de cinéma. Une très belle surprise et des récompenses largement méritées. À voir sans hésitation.
    http://cinealain.over-blog.com/article-margin-call-104189392.html
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    160 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 août 2017
    Jeffrey C. Chandor fait partie de ceux qui ont traversé les grands évènements au plus près de leur épicentre. Fils de trader, il connaît la réalité sèche de ce métier. C'est donc tout naturellement que son premier long métrage est, à ma connaissance et de loin, le meilleur film de fiction réalisé et sur la Bourse, et sur la crise financière de 2007. Le ton de son long métrage est assez remarquable : il sonne juste. Oui, les traders de Wall Street et de la planète, ont perdu la tête. Mais oui, ils sont des hommes et des femmes comme vous et moi. Oui, la finance est passée de servante à prédatrice en 40 ans. Et oui, en raison de l'avidité décérébrée des épargnants du monde entier. C'est-à-dire, à peu de choses près... nous tous. Chandor ne voile ni pudiquement les responsabilités des acteurs de la finance, ni n'est fasciné par la déchéance morale de certains de leurs représentants (à la différence d'un Oliver Stone ou d'un Martin Scorsese). Il met ses personnages, interprétés efficacement par un casting de choix et travaillant à différents échelons des départements d'une grande banque américaine d'envergure internationale (allez... disons Merrill Lynch, mais ça aurait pu être Lehman Brothers, voire Goldman Sachs) face à leur devoir. Être de bons professionnels ou des truands malhonnêtes et vénaux ? Sauver leur entreprise, ou mettre le monde à genoux ? Sauver des milliers, des millions, des milliards de foyers... ou aucun d'entre eux ? Sachant que leur choix, quel qu'il soit, sonnera de toute façon la ruine de millions de personnes, tellement la situation de leur banque est critique. « Margin Call » est ainsi une intense dénonciation de l'irresponsabilité humaine, qui a mené tout droit le monde à la catastrophe et à la crise économique la plus importante depuis 1929. Et tous sont responsables, du simple citoyen qui exige un taux d'intérêt invraisemblable à son banquier ou à sa caisse de retraite en fermant les yeux sur la façon dont un tel taux est atteint, aux financiers funestement ambitieux, immatures et égoïstes, en passant par leurs chefs incompétents, ou les banques systémiques, dont la chute peut faire sombrer plusieurs états du monde. Le constat est dénué de pathos, mais implacable. Que chacun regarde la poutre qui est dans son œil avant de juger, semble nous dire Chandor.
    Flex07
    Flex07

    88 abonnés 1 705 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mai 2013
    Avis très mitigé, car le film s'écroule au fûr et à mesure de son avancement (alors qu'il devrait monter en puissance!). L'histoire n'est pas si bien traitée, mais le traitement de la hiérarchie dans le monde de l'entreprise, et les personnalités en présence font de ce Margin Call un film qui passe tout juste.
    belo28
    belo28

    70 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mai 2012
    Un très bon film sur l'envers du décors de Wall Street! On ne peut cependant pas le comparer au Wall Street d'Oliver Stone c'est deux aspects totalement différents de la vie boursière. Ce film à cependant nombre qualité pour devenir un classique incontournable! Incroyablement bien ancré dans une réalité économique et social américaine, le casting frôle la perfection (Spacey en tête! On avait oublié qu'il était si bon!)! Si le scénario joue le tour de force de ne raconter que deux petites journées (pas des moindres) c'est surtout la mise en scène qui inspire le respect: une sorte de huis clos dans un bulding New yorkais. Malgré la complexité du film quelque peu déroutante le scénario a la brillante idée de l'expliquer au sein même de son histoire. Malgré un rythme hyper lent, le film ne perds jamais en intensité et en force!
    Marc  Régis
    Marc Régis

    41 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 juin 2012
    Superbe film ! Subtile et jouissif... Pourquoi aime-t-on gagner de l'argent? Et si on perdait tout!... Film d'actualité...
    ARGOL
    ARGOL

    35 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 février 2011
    Il suffirait d’admettre que parmi les 260 films produits en France en 2010, seul un tiers environ mérite véritablement d’être programmé dans les salles de cinéma. Le meilleur tiers… Celui qui aurait un public. Et on débattrait de la manière de les identifier… Mais on laisserait davantage d’espace aux grands films venus d’ailleurs : « Margin Call » est l’un de ceux-là. Oui, c’est encore le cinéma indépendant américain ; oui, il a été programmé à Sundance. Découvert tout à l’heure à la Berlinale, où il concourt pour l’Ours d’Or, ce quasi huis clos qui emprunte quelques codes au théâtre classique, fascine par son intensité. J.C. Chandor n’a pourtant pas beaucoup d’expérience. Et le voilà dirigeant cette somptueuse pléiade d’acteurs de main de maître. Le sujet a frappé : la dernière crise financière, celle des « subprimes », ces titres pourris qui symbolisent les dérives des marchés en financiers, où la titrisation a atteint des niveaux d’absurdité ahurissants. La bulle a explosé : les pauvres en ont pris plein la gueule. Cette fois, cela pourrait paraître assez cynique, on reste du côté des riches salopards qui ont profité du système. Dans ces luxueux bureaux truffés d’ordinateurs, les seuls qui comprennent ce qui se passe et qui peuvent flairer le danger sont ces petits connards d’ingénieurs qui conçoivent les produits financiers en grattant des formules mathématico-statistiques. Leur hiérarchie s’en fout tant que les profits gonflent les poches des actionnaires et des clients… Mais tout à coup la mathématique échoue : le danger mondain menace la perfection des équations. Comment on fait ? Un film à ne pas manquer !
    lost 4/8/15/16/23/42
    lost 4/8/15/16/23/42

    19 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mai 2012
    un trés bon film avec des acteurs tous bon dans leur role ou l'on peut voir le fonctionement de trés grosse société à wall street ainsi que le systéme pouvant lancé une crise financiére mondiale ( on peut pensé que le film parle de la notre ) . A voir
    Elthib7
    Elthib7

    74 abonnés 1 287 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2013
    Pas mal ce film avec un bon casting et une histoire intéressante, mais sans plus. 3/5
    moonboots
    moonboots

    59 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 octobre 2011
    le cinéma américain est plutôt désespérant ces temps-ci mais parfois il a encore le courage de parler du réel
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