Derniers Avis : La Planète des singes : les origines - Page 25

Ce film est une perle comme on en voit beaucoup trop rarement ! car il est un des seuls films à avoir réussi à fondre ensemble et au même niveau de maîtrise, émotion et action. La mise en scène et l'interprétation est de qualité, le scénario tient très bien la route et les très beaux effets spéciaux donnent aux singes une gestuelle des plus réaliste.

L'histoire est bien construite, les dialogues sont correctement écrits.
Maintenant, nous connaissons ... l'origine de l'histoire.
Les singes ont, par moments ... trop même, des réactions beaucoup, mais alors, beaucoup trop humaines. Ce qui est regrettable, même leur regard et expression sont celles des hommes et non d'animaux.
A force de transmettre gênes, l'homme oublie la différence qui réside entre la limite homme / singe - singe / homme.
Ce vaccin-remède miracle est peu crédible, car trop souvent utilisé.

La bande son n'est pas trop envahissante.

L'interprétation des acteurs est bien convaincante, mais manque de profondeur par moment.

L'omniprésence d'images de synthèse gâchent l'impact de celles-ci. Cette dernière remarque ne critique en rien la qualité des effets spéciaux rendus pour mouvoir les singes ! Sans dire que c'est la perfection, cette dernière n'en est pas loin ! Quelle fluidité dans les mouvements, c'est époustouflant.

Néanmoins, à voir ou à revoir, sans hésitation !

Il est vrai que l'idée du pourquoi les singes se révoltent n'a pas beaucoup été creusée. Mais il est largement rattrapé par l'histoire émouvante de César et par les effets spéciaux très réussis sans que ce soit exagérés. Et le jeu d'acteur de césar par Andy Serkis et non seulement bien fait au niveau visuel mais également au niveau du charisme... Je ne pensais pas qu'un singe pouvait autant avoir la classe !

Septique au début depuis la triste version de Tim Burton qui est vraiment moyenne, celui ci ne m’emballait guère. Au final il ne faut pas s’arrêter à ses préjugés car ici exit l'autre version et place à quelque chose de vraiment très bon. L'intrigue est bien amené laissant découlé une histoire limpide du début à la fin, les acteurs sont bon tout comme la réalisation et la musique. Le film arrive à capter l'attention du début à la fin et nous offre un bon moment. Attendons la suite...

Premier opus réussi pour un classique du 7ème art. Les images de synthèse ne sont pas terribles au début du film quand César est petit, mais font ensuite taire toute critique. Véritable prouesse technique de part l'animation faciale, certains moments font froids dans le dos tellement l'émotion et les sentiments sont bien retranscrit à travers le regard des primates. A mettre dans le même panier que la pure réussite visuelle King Kong de Papa Jackson. Quant au scénario il commence bien la trilogie avec pas mal de scènes cultes et le commencement de rébellion des singes avec ce rapport homme/Singe que l'on sent et sentira de plus en plus palpitant et inquiétant lors des suites qui arriveront. Le casting est pour finir sans plus par contre ; seul James franco arrive à tirer réellement son épingle du jeu avec une prestation réussie. Et son père également. Prequel très réussie pour ce qu'on espère être que le début d'un grand hommage à ce classique cinématographique. On espère donc que le meilleure reste encore à venir.

Ce film, reboot de la saga la planète de singes nous raconte comment tout a commencé, et ça donne un résultat plutôt bon ! 3,5/5

Rupert Wyatt a sans doute mis toutes ses bonnes intentions dans ce film. Il y a même mis quelques bonnes idées, entre la mise en place du scénario, assez lente pour être un minimum crédible, et l'importance du visuel, qui, couplé à la simplicité enfantine de l'intrigue, a notamment contribué au succès du long métrage. La distribution est quant à elle très correcte, sans qu'aucun acteur ne brille réellement, si ce n'est que la motion-capture étant très convaincante, le personnage de César est très expressif. Malgré tous ces efforts, le film ne convint que peu. Il semble plus être une publicité de sensibilisation de presque deux heures contre la maltraite des animaux, notamment par le personnage de Dodge, inteprété par Tom Felton, qui semble prendre du plaisir à torturer des animaux. Au delà du fait que ce n'est pas le but premier du film, cette impression, qui se fait ressentir tout au long du film, va à l'encontre de l'histoire originelle, qui se basait autant sur la chute de l'être humain que sur l’évolution des singes. Dans "la Planète des singes, les origines", l'Homme semble s'effacer par malchance, à cause d'une expérience scientifique qui tourne mal. Et c'est là la plus grosse erreur du film : une trop grande simplicité et un non respect de l'histoire de Pierre Boulle et de ses adaptations cinématographiques antérieures, dont il ne se contente pas de se détacher, mais d'en ignorer les portées philosophiques, le fond.
Le film n'est pas un mauvais film, mais il manque cruellement d'ambition. Il a été réalisé pour la génération actuelle : un divertissement sans réelle réflexion, avec un scénario convenu et convenable.

Un film à voir pour se changer les idées quelques effets spéciaux sont très sympas ! L'histoire reste correct et le jeu d'acteur très bon , pour moi le gros point négatif est le fait de synthétiser tout les singes ce qui fait perdre un peu de charme au film mais surtout du réalisme . En tout cas ce film reste quand même un bon divertissement à voir !

Les origines de cette saga culte de la science fiction est un véritable succès. L'histoire tient bien la route. Les singes en motion capture sont impressionnants, très réalistes (avec le spécialiste Andy Serkis dans la peau de César). Les effets spéciaux sont d'une grande richesse. La fin, quand les singes sont sur le pont, est géniale. James Franco est bon acteur. Cependant, on trouvera des incohérences, et quelques passages seront assez longs. Un bon divertissement. Suite pour l'été 2014.

Ce film nous met en scène la genèse de la prise de pouvoir des singes sur l'Homme. Le scénario est de qualité et les rapports entre homme et singe sont plutôt bien exploités. Mention spéciale aux effets spéciaux tout simplement bluffants, notamment les animations faciales des singes. Le travail de "motion capture" réalisé à cet effet est prodigieux. Un film vraiment plaisant.

En gros, ce film est un sorte de surprise car La Planète des Singes est un classique de la SC mais en refaire un des années plus tard en plus Les Origines prométait d'être une catastrophe et au final on est vraiment surpris, un bon film fantastique qui change de la normale ! En plus les effets spéciaux sont grandiose ! A voir ! ( Je ne pensais pas dire ça avant de l'avoir vu ! )

Le film n'égalise en aucun cas l'oeuvre originelle, mais parvient néanmoins à faire honorablement 2h de pur divertissement ! Pour ce qui est des images de synthèse, j'ai toujours du mal à adhérer. Bien que les progrès de la motion capture intensifient l'émotion de certains plans, on distingue trop, pour ma part, le réel de l'iréel !

Il en fallait un nouveau pour remplacer tous les opus précédents vieillissants, le voici, superbement réussi. Un James Franco à son niveau habituel, un scénario qui colle vraiment bien au livre que l'on reconnait souvent. On garde les yeux grand ouverts devant ces singes dont la captivité nous émeut.

Un film que j’apprécie particulièrement. Déjà par sa beauté visuelle, son intelligence scenaristique, et le choix des acteurs judicieux.
On sait où le film va nous emmener car c’est du déjà vu mais c’est agréable. Un super divertissement.

Que l'on soit admirateur ou non de la saga de la Planète des Singes, nul ne peut nier un minimum de connaissance à ce sujet, que ce soit au niveau des costumes ou des symboles iconiques de la série (la statue de la Liberté). Une résurrection opérée par Tim Burton il y a de cela dix ans n'avait pas vraiment emballé le public, et encore moins les fans de la première heure des films originaux, dont je ne fais pas vraiment partie. Le film de Burton ne m'avait pas vraiment déplu, sans être extraordinaire (et un peu trop tordu dans son dénouement), mais je dois avouer que cette nouvelle version de l’œuvre de Pierre Boulle (ouaip, parce que c'est un roman à la base) a toutes les qualités d'un blockbuster qui a du cœur autant que des tripes.

Les bandes-annonces sont d'ailleurs trompeuses sur la marchandise, cette préquelle (procédé grandement à la mode ces derniers temps), ne narre pas la rébellion et les émeutes multiples des singes durant 1h40, cette partie de l'histoire n'occupant que les vingt dernières minutes du film. Le long-métrage de Rupert Wyatt se focalise avant tout sur l'évolution du personnage de César, la véritable star du film, campée à merveille par un Andy Serkis décidément habitué à la motion capture. Le singe malin prend vie à l'écran grâce à des effets spéciaux bluffants de réalisme, et il en est de même pour ses congénères. On en vient à se demander si nous avons affaire à de vrais chimpanzés ou non, même si les animaux gardent des expressions faciales profondément humaines. César est donc au cœur des évènements, un figure emblématique et profondément attachante, aux sentiments palpables, volant la vedette au demeurant très bon James Franco (je ne parlerai pas en détail de sa petite amie dans le film, l'un des personnages féminins les plus insignifiants que j'ai eu l'occasion de voir au cinéma).

Les thèmes abordés et la morale que l'on peut en dégager n'ont rien de bien nouveau, mettant une fois de plus en évidence le caractère autodestructeur de l'Homme par son irrespect face à la nature et les dangers qu'il engendre au nom de la science, mais force est de constater que la recette fonctionne toujours, car que ce soit par la bombe atomique (cf. les anciens films) ou par une médication bactériologique mutante, chaque génération apportera à l'être humain toujours plus de moyens d'assouvir ses penchants masochistes, même si le "remède" en question a ici été crée avec les meilleures intentions (mais heu... c'était pas également le cas avec la bombe atomique ?).

Ne jouez donc pas trop les tortionnaires avec nos camarades animaux, car ils peuvent être rancuniers. La scène d'action finale le montre bien, au travers d'une mise en scène fluide et efficace, des sentiments forts et humains se mêlent à un déchainement de rage vengeresse de la part des primates au cœur d'un San Francisco devenu pour l'occasion un zoo municipal rapidement dépassé par les actions de ses occupants. Tout ceci ne semble être que le début, car la planète des singes est encore loin d'être conquise avec ce premier film, et une nouvelle saga semble évidemment pointer le bout de son nez. J'en reprendrai avec plaisir, si la suite du programme s'annonce aussi éblouissante et jouissive.