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    THX 1138
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    213 critiques spectateurs

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    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 097 abonnés 3 970 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 juillet 2017
    J'ai vu ça totalement par hasard (mais vraiment, j'étais sur Netflix, mon clavier tombe et le film se lance, j'ai décidé que c'était donc le destin) et j'ai trouvé ça assez mauvais. J'ai vu le film dans sa version Director's Cut, je ne sais pas ce qui a changé, mais en tous cas visuellement pour un film de 1971 ça en jette. Mais bon connaissant Lucas il a peut-être refait les effets spéciaux. Reste que je ne retiendrai du film que ça : un visuel, un visuel que je connaissais d'ailleurs avant même de voir le film.

    Je pense que le visuel est assez marquant d'ailleurs puisque avant même de voir le film, l'image d'un monde dystopique, froid et carcéral ressemble un peu à ça. Et si je pense que Lucas sait créer des univers, finalement il ne sait pas réellement quoi raconter de palpitant à l'intérieur, surtout là, où franchement c'est assez mou du genou, même dans les scènes d'action (scènes assez inutiles au récit par ailleurs).

    Il y a néanmoins les scènes de tendresse qui fonctionnent plus ou moins, notamment parce que l'actrice garde un certain charme avec son crâne rasé et elle accorde au film une touche de sensibilité. Mais sinon globalement je me suis ennuyé tout du long. Par rapport à la littérature du genre, je n'ai pas l'impression d'avoir vu quelque chose de neuf et que ce que le film avait à raconter et comment il le racontait valait de perdre 1h28 de sa vie.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 085 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 septembre 2019
    Premier film de George Lucas, THX 1138 représente autant un ovni dans la carrière du réalisateur que pour le cinéma en général. Sorti des suites du succès artistique de 2001 : L'odyssée de l'espace, il incarne avec surprise le renouveau de la science-fiction du Nouvel Hollywood, tant au niveau de son esthétique que des thématiques abordées, se plaçant à des années lumières du cinéma commercial qu'il nous livrera bien des années plus tard.

    Film étrange et passé inaperçu à l'époque, son principe est aussi simple que génial : plaçant le spectateur dans une nouvelle esthétique dystopique, il décide de l'épurer totalement avec un brio rare, balançant ses acteurs (dont l'énigmatique et charismatique Robert Duvall) dans un monde impitoyable bien qu'en apparence des plus paisibles.

    Effrayant en cela qu'il est d'une banalité horrible, d'une simplicité impressionnante : servi sur des touches de blanc profondes et envahissantes, l'univers cauchemardesque du jeune Lucas est aussi fascinant que redoutable, réussi grâce à sa fantastique première demi-heure d'exposition, aboutie de bout en bout; que ce soit esthétiquement, philosophiquement (le rapport à l'amour entravé par les dogmes d'une société hyper religieuse et droguée, plus proche du fanatisme dissimulé que du repos feint) ou scénaristiquement, elle se pose comme un cours de cinéma à destination des jeunes réalisateurs/scénaristes en herbe.

    Passé cette première demi heure passionnante, THX 1138 déchante et cabotine : entre une séquence beaucoup trop longue et grotesque d'emprisonnement (pourtant très bien mise en scène) et sa course-poursuite finale au rythme défaillant, on regrette finalement la réflexion fine et bien amenée de la première partie, disparue derrière des tonnes d'éclairages et d'effets spéciaux 3D jurant horriblement avec les moyens de l'époque.

    Ne critiquons pas Lucas pour ses remaster; c'est son oeuvre, il en fait ce qu'il veut. Questionnons-nous plutôt sur l'utilité de filmer, à l'époque, une scène de course-poursuite si l'on est incapable de la rendre énergique, intéressante, passionnante. On se rend alors compte que le point culminant de l'intrigue ne tiendra aucunement dans cette séquence d'action mal fichue, mais bel et bien dans ce plan final absolument magnifique emporté par l'envolée sublime de la musique de Lalo Schifrin, qui n'avait déjà plus rien à prouver.

    C'est à ce moment qu'on comprend qu'on est passé à côté de l'un des plus grands films de science-fiction de sa génération : thématiquement très riche (cette société perdue dans sa propre modernité rappelle forcément les problématiques de notre temps), il se perd au bout d'une demi-heure et patine une heure entière, à expérimenter un visuel qui n'a plus d'autre histoire à raconter que celle de quelques hommes perdus dans une époque qu'ils ne comprennent plus, avec un Donald Pleasence en surjeu total, rendu insupportable par le comportement caricatural de son personnage.

    S'il sert à poser l'ambiance étrange de ce passage aux plans expérimentaux très intéressants, il met en exergue les éléments dérangeants de ce premier long-métrage : jamais trop sûr de comment poser son rythme, Lucas opte pour une mise en scène presque uniquement composée de plans fixes bien composés mais handicapant par nature pour qui veut poser autre chose à l'écran qu'une personnalité contemplative et oppressante (particulièrement lors des scènes de course, tant à pied qu'en voiture).

    Il n'y a que grâce aux policiers (des T1000 avant l'heure) et au comportement de cette société sans saveur qu'il parviendra à mettre mal à l'aise; le reste, trop démonstratif pour intéresser dans la durée, donne l'impression de voir un projet de fin d'étude principalement fait pour prouver les capacités formelles de son réalisateur/co-scénariste, de toute évidence plus compétent en ce qui concerne la composition de ses plans que pour le développement de son intrigue et de ses thématiques.

    Culte dans le sens où il aura posé une nouvelle esthétique dans un genre nécessitant à l'époque besoin un grand renouveau (le très bon Soleil Vert terminera d'achever un public déjà bouleversé par l'apéritif La Planète des Singes), THX 1138 mérite son statut d'oeuvre culte pour ce qu'il aura apporté au cinéma, des thématiques nouvelles flanquées d'un paradoxe comptant parmi les plus importants du nouvel Hollywood : comment un réalisateur à ce point expérimental et inventif aura pu devenir en si peu de temps l'artiste à l'origine d'une saga aussi formatée et lisse que Star Wars (que j'adore cependant), et le business man milliardaire qu'on connaît à présent?

    A l'image de son premier film, George Lucas demeure, aujourd'hui encore, une figure emblématique du Nouvel Hollywood qui fait autant débat que ce qu'il reste mystérieux, unique, fascinant. N'est-ce pas après tout la marque des grands artistes que de déchaîner autant les foules? Elle est la même que celle des grands films : entre l'intouchable et le critiqué, on les retiendra surtout comme des pièces motrices du cinéma qu'ont connaît aujourd'hui.

    Une pièce d'histoire.
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2024
    "George Lucas a longtemps été un référent de la pop culture et de la science-fiction. Retour sur un petit bijou du Nouvel Hollywood, dont le cinéaste californien fait partie des pionniers. Et quoi de mieux que de revenir sur son tout premier long-métrage, qui contient notamment les prémices de sa célèbre saga d’une autre galaxie. THX 1138 est une dystopie qui chasse le peu d’humanité qui reste dans une société où les désirs et la liberté sont régulés, voire prohibés."

    "Rien n’est organique au sein de l’usine où les protagonistes travaillent. Ils font partie d’une chaîne de production, même lorsqu’on les associe en binômes. Cependant, la cohabitation de THX 1138 (Robert Duvall) avec LUH 3717 (Maggie McOmie) n’a rien à voir avec la représentation d’un couple où chaque élément devrait compléter l’autre. Cette vie à deux est uniquement nécessaire et déterminante afin de maintenir le contrôle de l’un sur l’autre, que rien ne déborde encore une fois. Il est donc essentiel de maintenir l’illusion en créant des habitudes néfastes au cadre de vie artificiel des habitants. La nourriture sans saveur, les médicaments aux composés suspicieux, les hologrammes de divertissement, qui prônent d’ailleurs la violence, constituent également des preuves qui renforcent le sentiment carcéral. Mais ces derniers ont pourtant succombé à la tentation, des sortes d’Adam et Ève qui ont bravé l’interdit sexuel de leur monde, avec une sanction « divine » les rattrapant."

    "Toutes les thématiques de fond sont ainsi explorées avec spontanéité, restituant une partie du malaise et la solitude des personnages à l’écran. L’humanité, même si elle est vouée à pourrir dans le péché, continuera à lutter pour sa survie. THX 1138 montre qu’une autre façon de regarder le monde est possible, de même qu’un nouvel espoir."

    Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    400 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 septembre 2019
    Film clairement en avance sur son temps en terme d’univers, mais un peu trop simplet à mesurer politiquement, le récit d’anticipation est trop explicite, et même niveau action ça reste mollasson et mis en scène aléatoirement, sous ces aspects je trouve qu’il n’a pas très bien vieillit, reste néanmoins le côté humain du couple de personnages qui sonne plus universel et intemporel. Et les quelques retouches de Lucas ne sont, pour le coup, pas inutiles, notamment pour donner du relief.
    Eselce
    Eselce

    1 421 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 février 2016
    L'univers futuriste n'est pas mal. On reconnaît la patte du réalisateur de Star Wars. Les dialogue se veulent techniques et futuristes mais ne nous apporte rien. Il ne se passe presque d'ailleurs presque rien. Il semble s'agit davantage d'un essai plutôt que d'un véritable film. Je n'ai aimé que les voitures du final, bien faites et menant enfin à un peu d'action car pour le reste, il faut le dire : On s'ennuie "grave" ! L'univers est bon, les véhicules sont là, les policiers semblent issus des "Terminator". Le film est à découvrir car malgré le fait qu'il ne soit pas terrible, il comporte de nombreuses idées qui semblent avoir inspirées bien des réalisateurs qui ont, avec, conçus des chef d’œuvres ! Une ébauche intéressante sans être palpitante. spoiler: Surtout pour un tel final !
    maxime ...
    maxime ...

    250 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2021
    THX 1138 à agit sur ma personne comme un long cauchemar ! Un défilé d'images en forme d'épreuve à vivre, forcement cela interpelle, pousse aux résonnements, trop peut être pour une première ?

    Le film de George Lucas rappel dans un premier temps avant de s'en éloigner 2001 de Kubrick dans son intention de collage, d'endurance et d'exigence dans son rendu. Pour autant si on se fit à son récit c'est bien plutôt vers l'asile de dingue qu'il faut se tourner ... La fuite n'est d'ailleurs que la seule parade à la démence institutionnelle ici. Difficile d'en dire plus pour moi tant je me suis manger un mur sur ce point.

    Sur le rendu visuel par contre le tout jeune réalisateur fait déjà des merveilles. L'immersion va de soi avec le décor et la caméra dans sa mouvance bien caractérisé. La scène final et la course poursuite en particulier ont retenu mon attention.

    A revoir.
    kibruk
    kibruk

    150 abonnés 2 583 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 février 2014
    Film très audacieux et quasi expérimental de Lucas, "THX1138" est au début totalement fascinant. Le monde totalitaire et effrayant qui y est présenté sert de cadre à une critique acerbe de la société industrielle de consommation. L'histoire se perd par la suite dans des dialogues abscons et dans une succession de scènes sans grand intérêt. La restauration du film permet de rendre hommage à son remarquable aboutissement visuel, mais il est bien dommage que M. Lucas ait dénaturé l'œuvre originale par l'ajout inutile de plans numériques.
    Artriste
    Artriste

    123 abonnés 2 024 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juin 2019
    Premier long-métrage de Georges Lucas, Thx 1138 est un film très particulier. L'histoire nous plonge dans un monde futuriste à l'intérieur d'un système totalitaire ou certains habitants vont tenter de fuir. L'ambiance est très spécial on se retrouve dans un environnement épuré sans repaire temporel. Les premières minutes sont longues et on espère qu'au fil du temps ça va décoller mais il ne se passe vraiment pas grand chose à part parler. Je n'ai pas aimé l'ambiance sonore que j'ai trouvé lourde et redondante avec les messages qui passent en boucle inlassablement. J'ai trouvé ça vraiment fatiguant. Le reste du temps ça passe à dialoguer avec des voix énervantes et des dialogues pas franchement intéressant. Côté personnages ils se ressemblent forcément tous et je n'ai pas été séduit par Robert Duvall. Point positif le film est assez court et j'ai apprécié la dernière partie avec la course. J'ai beaucoup aimé le design de la voiture et c'est plutôt bien réalisé. Reste une fin assez mystérieuse et au final on ne sait pas grand chose de cet univers. Thx 1138 est un film de science-fiction qui possède un univers qui aurait mérité un traitement plus approfondi et en l'état ce n'est pas un film que je conseillerai tant il y à mieux dans ce genre cinématographique.
    Vrakar
    Vrakar

    42 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2014
    "THX onze trente-huit" est certainement un des meilleurs films d'anticipation SF des 70's. Le jeune George Lucas était alors un créatif réalisateur plein d'entrain et rebelle. Ca fonctionnera jusqu'à sa 1ère trilogie "Star Wars" avant que les millions de dollars à brasser n'aient raison de son génie. Venons-en à ce THX. La lenteur générale et les longueurs auront tôt fait d'endormir le 'djeuns' d'aujourd'hui, habitué aux blockbusters à 1138 images/seconde. Tant pis pour lui. Pour les autres, c'est l'occasion d'apprécier la vision alors futuriste de Lucas. Certes, tout ne tient pas debout dans le scénario mais cet univers aseptisé au possible est impressionnant et les dialogues des robots-policiers déroutants. Les acteurs principaux sont très bons, avec la participation de l'excellent Donald Pleasence. La B.O s'en sort bien, tandis que les mises en scène sont solides. Le rythme s'accélère sur le dernier 1/4 d'heure, avant de se conclure sur... spoiler: à vous de vous procurer le dvd ou le divx
    . Préférez la version d'origine au remaster. En 2014, il y a de plus en plus de caméras dans nos rues, internet est fliqué de partout, les chaînes de télé utilisent notre temps de cerveau disponible et il ne suffit pas de grand chose pour se retrouver au chômage ou en prison. C'est peu reluisant mais il y a encore beaucoup de boulot pour arriver au niveau de THX...
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 445 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mars 2016
    Dans un futur mal défini, toute la société est sous la coupe d'un pouvoir totalitaire qui l'exploite aussi bien par des moyens "doux" (persuasion, bourrage de crâne...), que des moyens plus coercitifs (robots armés de matraques qui envoient des décharges électriques, etc). Ce film résolument sombre réussit, comme tout bon film de science-fiction, à rendre sinon réel du moins crédible un univers totalement imaginaire. La couleur dominante blanche, de même que les gros plans sur des visages souvent tourmentés, rendent l'univers de ce film pesant, oppressant même. Les voix presque humaines des robots chargés de pourchasser tout esprit rebelle ("Nous ne vous voulons pas de mal"...) excellent à rendre plus terrifiante encore cette société monstrueuse, dont il est difficile de s'échapper, que ce soit physiquement ou mentalement. Quelques aspects négatifs toutefois. Le scénario ne m'a pas paru totalement achevé. Qui dirige l'ensemble et pourquoi ? Quel est le but ultime ? De même, la façon dont la porte de sortie de la prison est trouvée est déroutante... Mais ce film reste fort, et les acteurs sont crédibles.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    702 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2017
    George Lucas dresse le portrait d'une civilisation endoctrinée, ou chaque individu n'est qu'une copie de son voisin. Uniformisation, enfermement, contrôle des esprits, tout y est dans ce monde terne et morose, dans la lignée de 1984 ou Le Meilleur des Mondes. Une œuvre qui manque cependant d'un soupçon d'ambition à cause d'une intrigue trop rectiligne.

    https://m.facebook.com/la7emecritique/
    dai72
    dai72

    153 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2011
    Comme pour Star Wars, c'est sûr que pour l'époque ce film faisait sensation et était doté d'un côté novateur extraordinaire. Cependant, à voir aujourd'hui, on se lasse vite de cette histoire aspetisée et lente à mon goût. De plus, j'ai été gêné par la luminosité qui en ressort !!
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    118 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 janvier 2017
    Difficile de faire la chronique d'un film de 1970. Tout ce que l'on dira sera forcément en décalage avec le contexte de l'époque. Le visionnage de ce film laisse mitigé. On retrouve dans THX 1138 ce qui donnera de l'inspiration à Matrix et Equilibirum par exemple. Formidable son, on comprend pourquoi George Lucas réutilisera le sigle THX pour sa société spécialisée dans le son. Visuellement il y a quelques belles choses: des hologrammes bien réalisés, la scène de l'espace blanc apparemment infini. Un clin d'oeil aussi au futur Star Wars avec ce dialogue "- Je crois que j'ai renversé un wookie". Les acteurs jouent leur rôle, par exemple Donal Pleasence en citoyen un peu fou sur les bords. Au-delà de ça, il est vraiment difficile de rentrer dans le film, avec de longues périodes de lenteurs un peu douloureuses pour nous. Quand on se rappelle qu'à l'origine il s'agit d'un court métrage de 15 minutes sans dialogues, c'est peut-être l'explication.
    Flying_Dutch
    Flying_Dutch

    70 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2012
    Film de SF déroutant mais réussi. Un univers fascinant, mais j'avoue avoir eu du mal à y entrer totalement au début. Ce n'est qu'à partir de l'emprisonnement, puis la fuite que j'ai vraiment accroché au film. En tout cas, l'imagination de Lucas est ici très prolifique et les prestations de Duvall et Pleasance très très bonnes. En plus de la parabole sur la société des années 1970, j'ai facilement repéré les "hommages" à des oeuvres telles que 2001 ou 1984 dont Lucas s'est largement inspiré. Une oeuvre culte assurément, mais dans le genre, j'ai personnellement préféré Brazil de Gilliam.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 juillet 2019
    Veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée, cette machine est hors service momentanément, sa réparation s’effectuera pour une courte durée avec peu d’efficacité. Le scénario n’arrive pas à décoller de ses ailes qui pèsent lourdement, l’ambiance de la mise en scène des personnages est relaxé, cool, tranquille, sans stress dans cette société soporifique où consommer n’a que faire du shopping�. Pas de pression imposée sinon, la romance recherchée est esthétique un point c’est tout, le visuel correctement travaillé. On s’adresse à des ordinateurs programmés derrière l’écran icône philosophique, pour satisfaire nos sollicitations besoins personnelles plus loin dans temps jusqu’à notre époque avec la technologie moderne, la religion a sa place sous d’autres formes d’outils de propagande. Il y a du Star Wars avant l’heure pour le réalisateur, l’empereur et son armée robotisée en marche utilise bâton très souple au niveau du durcissement de la meute d’égarés. La révélation du monde hors système confiné sera ensoleillée, des idées mais pas de patte de génie, c’était pour la photo de Donald que me fait penser ce film, l’inhumanité est ce soleil vert qui nous prévient du futur diktat.
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