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    THX 1138
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    213 critiques spectateurs

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    Florence
    Florence

    22 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 avril 2012
    Ce film est très mauvais, trop lent, on s'ennuie tout du long.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 février 2014
    Vivre avec des poncherellos en métal n'est pas une sinécure et ça Bob l'a bien compris. Les scènes de poursuites sont cauchemardesques à souhait.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 364 abonnés 7 544 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2010
    THX 1138 en version Director’s Cut, cela donne quoi ?
    Tout d’abord, ce qu’il faut savoir c’est qu’il s’agit d’une version enfin approuvée par son réalisateur George Lucas (chose qui n’avait pas été le cas lors de sa sortie en salle, en 1971). Ensuite, on constatera des nouveaux plans numériques et enfin, une bande-son restaurée. Certains trouveront à redire, notamment que tout ceci dénature le film. Détrompez-vous ! Le film reste le même, en 36 ans d’existence, il n’a pas pris un coup de vieux, surtout au niveau de l’esthétisme et du scénario qui évoque remarquablement l’ordre totalitaire.
    Avec THX 1138, on découvre un monde aseptisé, où chaque fais et gestes, chaque paroles est enregistrées. Un monde où l’on est en permanence épié et où la liberté d’expression est réduite au plus haut niveau !
    George Lucas, qui réalisait ici son tout premier film, changera littéralement d’orientation quelques années plus tard, afin de nous offrir sa version du côté Obscure, avec l’hexalogie la plus connue au monde, je fais bien sûr référence à l’incroyable saga Star Wars.
    stebbins
    stebbins

    507 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2012
    Premier essai et coup de maître pour l'américain Georges Lucas, qui réalisa ce superbe film au début des années 1970. Un film n'ayant pas prit une ride, dans lequel les scènes spectaculaires et les scènes plus contemplatives font mouches ( ces deux types de scènes rythment harmonieusement l'ensemble ). Lucas nous montre un univers à la fois aseptisé, uniformisé et désincarné dans cette oeuvre rappelant 1984 ( le roman de Georges Orwell ). Robert Duvall habite littéralement le film grâce à son considérable charisme, et Donald Pleasance nous offre une amusante prestation, toute en ambiguité ( son personnage est-il homosexuel ? Quoi qu'il en soit, THX 1138 est davantage fondé sur l'indicible et les non-dits que sur l'évidence et le premier degré ). A la fois huis-clos, film de science-fiction et drame psychologique, THX 1138 est un admirable premier film, qui n'a certes pas connu le succès de la saga Star Wars, mais qui n'en demeure pas moins un chef d'oeuvre esssentiel et authentique. En un mot : génial !
    Redzing
    Redzing

    1 148 abonnés 4 499 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 août 2021
    Avec son style visuel épuré, sa narration semi-implicite, et ses dialogues bourrés de jargon technico-technocratique, « THX 1138 » peut facilement rebuter son spectateur. Il serait néanmoins dommage de ne pas s'intéresser à ce premier long-métrage de George Lucas, ne serait-ce que pour y voir l'embryon de « Star Wars » (les robots inspireront les stormtroopers, plusieurs écrans de contrôle seront repris, le terme « wookie » est mentionné, important travail sur le sound design, etc.). En terme de ton, le film n'a absolument rien à voir avec la célèbre saga. De par les couleurs blanches éclatantes, les personnages sans émotion car drogués, et les plans assez originaux, l'atmosphère est oppressante. Le film pointe ainsi du doigt le totalitarisme et la technocratie, non pas en évoquant une dictature sordide, comme beaucoup d’autres œuvres le feront (on pense à « Equilibrium », qui s’en inspirera allègrement). Mais en dépeignant le fonctionnement d'une gigantesque fourmilière froide, déshumanisée et anxiogène, où les hommes sont éduqués, produisent, consomment, et obéissent par des procédures, des chiffres, des budgets, sans vraiment comprendre d'où tout cela vient. Une critique presque nihiliste, qui n’est pas aujourd’hui sans évoquer le fonctionnement de certaines grandes entreprises. Une volonté de produire à tout prix, « en toute sécurité », qui aboutit à une organisation soi-disant optimisée, ayant en réalité cloisonné et dilué les responsabilités et le sens du travail. Un jargon incompréhensible pour qui débarque dans cet univers. Des réunions où l’on parle plutôt que l’on agit. Bref, les salariés de groupes du CAC40 devraient bien s’amuser en regardant « THX 1138 » ! La faiblesse de l’œuvre réside dans son intrigue, qui s’avère assez simple, et s’efface clairement devant l’univers et les idées du film. Même si Robert Duvall et Donald Pleasence sont tout à fait convaincants, ils participent surtout à une ambiance plutôt qu’à une histoire. Ceux qui y recherchent une odyssée de SF seront donc déçus, soyez avertis ! « THX 1138 » n’en demeure pas moins un film fort, qui prouve qu'avant de réaliser sa célèbre saga, Lucas était parfaitement ancré dans le Nouvel Hollywood.
    artaud
    artaud

    26 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 juin 2007
    Je trouve hélas que le film manque de conviction, que le baratinage, le charabia et l'amphigouri de science-fiction se sont emparé de cette esthétique irréprochable pour un film de 1971.
    Les rôles sont joués, bien dans la mesure du possible. Le doublage est médiocre.
    Néanmoins un film avant-gardiste pour des émotions qui resteront, pour l'essentiel, le tréfond de l'être et de sa métaphysique.
    Estonius
    Estonius

    3 489 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2013
    Un concept intéressant (qui sera repris dans "l'Age de cristal" de Michael Anderson 1976 et dans The Island de Michal Bay (2005). Mais la réalisation est confuse, ça se traine pas mal et le scénario manque de rigueur : La notion d'incitation à la consommation n'a aucun sens dans une société de ce type (d'ailleurs ils jettent les trucs bizarres qu'ils achètent et on en saura pas plus). Le film n'a pas compris les limites de la société orwellienne, surveiller tout le monde, c'est rendre tout le monde potentiellement coupable, mais juste potentiellement sinon tout le monde se retrouve en cabane ! Mais le pompon c'est sans doute cette prison dont il suffit de s'éloigner pour en sortir… Quant à Donald Pleasance dont on comprend mal le rôle, le scénario le perd en route… Reste quelques belle images (Maggie McOmmie est bien belle dans son presque unique rôle au cinéma) et la fin est émouvante. Intéressant néanmoins malgré ses défauts, mais ne crions pas au chef d'œuvre, on en est bien loin !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 février 2014
    Dans ce film à l'incognito immérité du grand public, Robert Duvall et Donald Pleasence font une prestation de très haut niveau. L'atmosphère hallucinante du roman original y est parfaitement reproduite. Georges Lucas s'est encore scratché en ajoutant des effets par ordinateur au film de 1971 alors que cela était totalement inutile. Sans ses additions purement commerciales, la version originale est un excellent récit de SF.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 décembre 2014
    Devant tant d'encensement de la part des critiques, que dire de ce film, comment réagir ? Eh bien je serai tout simplement honnête et vous déconseillerai de le voir car on s'y ennuie terriblement. Bon je me suis dit, c'est Lucas = c'est bien. Grave erreur ! C'est une grosse daube sans queue ni tête et de toutes façons, on n'a pas envie de comprendre tellement c'est mou....
    Acidus
    Acidus

    736 abonnés 3 722 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 août 2011
    Déçu par ce film dont les qualités qui lui sont conférées me semblent éxagérées. Selon moi, "THX 1138" ne doit sa popularité qu'à son réalisateur. En effet, le film n'a rien d'un grand long métrage. L'histoire et l'univers sent fortement le réchauffé, la réalisation est d'un banal affligeant, et l'intrigue ennuie plus qu'elle ne maintient en éveil. Les dialogues sont inutilement complexes avec une accumulation excessive de chiffres et de lettres. Au final, on ne comprend pas où Lucas nous mène et la question est de savoir si lui-même le sait....
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 juin 2008
    Beaucoup de cinéastes, plus ou moins connus selon les cas, se sont un jour essayer au film expérimental. THX 1138 en est la preuve. Du moins pour George Lucas. Seulement, il faut avoir un minimum de chose à dire et une pointe de réflexion pour réaliser un film qui soit à la hauteur de son genre. Ce que le réalisateur ne fera pas. Jamais. Tout d'abord, signalons que notre pauvre industriel du cinéma populaire hollywoodien ne trouvera même pas son ton et sa personnalité. D'ailleurs, George Lucas prendra ses références et sans honte de le dire sur le plus grand film de l'histoire du cinéma, véritable pilier du septième art : 2001, l'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick. En l'occurrence, le film raconte l'histoire de l'homme vu par l'un des leurs, parlant de son origine à sa fin. Et de ce cercle qui ne cesse de tourner de par sa natalité et sa mortalité forme de ce que l'on appelle l'existence. Par conséquent, le film expérimental doit-être un objet à la base simple de réfléxion posant les véritables questions sur les origines et les fondements de l'être humain. Il n'est donc pas seulement un object de philosophie, mais il est avant tout film de métaphysique. Le réalisateur ne l'a pas tout à fait comprit et nous sort un objet vide de tous éléments incitant à la réflexion pour tomber dans une critique de la société minable sur fond politique pitoyable. Facile et débile pour un genre expérimental, THX 1138 pourrait alors se classser parmis les quelques films de science-fiction bas du plancher qui dénonce les méfaits de la société avec peu de d'intélligence. C'est déjà beaucoup. C'est navrant de le dire, mais cet exercice de forme n'arrive jamais à trouver son fond. Et pire, il ne peut faire partit de l'expérimental, sa réflexion trouvant pour base la politiques et le pamhplet à deux sous. Révoltant en première partie, cette misère cinématographique s'enlise finalement dans le pathétique. On pourrait pleurer, mais on préferera en rire. Tout simplement fascinant.
    Tedy
    Tedy

    256 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 août 2009
    Un film horriblement ennuyeux, avec des décors et des costumes laids et des dialogues sans queue ni tête. On peut très bien faire passer un message tout en divertissant, ce qui n'est pas du tout le cas de "THX 1138".
    Dr. La Peloche
    Dr. La Peloche

    47 abonnés 242 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 août 2010
    Depuis des années que j'en entend parler, il était temps que je le vois ce fameux chef d'oeuvre. Encensé par le site et par nombre de fans de SF, je m'attendais donc à prendre une claque, mais ce ne fût pas vraiment dans le sens où je l'entendais ! Il aurait peut-être fallu pour cela que je fasse attention aux critiques des utilisateurs: les 5* sont courtes et obséquieuses, les 1* sont dûmment argumentées... Ça aurait dû me mettre la puce à l'oreille ! Commme beaucoup de films à la réputation superfaite, il est de bon ton d'aduler THX 1138 pour 2 raisons. La première est qu'il s'agit du film de Lucas qu'il préfère de lui-même et la seconde est que le film est pompeux, minimaliste et faussement abscons, donc typiquement le film qui fait passer pour un intello quand on se pâme servilement à ses pieds...
    Bref, pour être aussi clair que cette production prétendumment complexe, l'idée de base, pompée sur 1984 et autres oeuvres d'anticipations, est interessante, tout comme l'univers semble travaillé, mais ce ne sont que des faux semblants pour tenter de complexifier inutilement un message et des symboles simples. Ce qui n'est pas vraiment une preuve d'intelligence (et encore moins pour ceux qui tentent de faire croire qu'ils ont compris les subtilités d'un message qui n'en à pas). Il aurait fallu étoffé l'histoire au lieu de simplement rajouter des scenes ridicules à un cour métrage...
    En somme, rien ne sauve vraiement cette production, pas même les acteurs qui ne sont pourtant pas à blâmer, mais on s'ennuie ferme devant ces dialogues insipides et ridicules et ces tableaux d'alliénés fuyant devant des flics-motards-nazillons-en-fer-blanc. Et que dire de la fin... Convenue. Plate.
    Un film nullement expérimental car trop basique dans son propos et pas même un film à cause sa réalisation misérable.
    Si Lucas a su être un visionnaire, il faut reconnaitre que comme réalisateur, il est minable. On le voit d'ailleurs avec la saga des Star Wars: tous ceux qu'il a réalisé sont les moins bon !
    Xsmooth
    Xsmooth

    27 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 avril 2012
    THX 1138 où la prétention de faire passer un film minimaliste et faussement subtil pour une oeuvre de génie... qui séduira seulement les fans les plus dévoués de Lucas et quelques fans assidus de SF bien pompeuses. Les thématiques, plus ou moins interessantes, sont totalement noyées dans une réalisation insipide, où seul l'ennuie nous accompagne tout au long de cette fuite au dénouement prévisible. Lucas oublie ou ne réussit à rendre cette copie un minimum divertissante, et la réflexion qui en découle n'est tout simplement pas suffisante pour combler des faiblesses bien trop nombreuses.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 avril 2012
    Chez les films de science fiction, il y a ceux qui sont divertissants, les space opéra, et ceux qui nous fascinent en nous plongeant dans le mystère. THX 1138 appartient assurément à la deuxième catégorie. Le premier film de George Lucas est en effet bien plus proche d'un 2001 que d'un Star Wars et c'est pour cette raison qu'il est parvenu à se hisser au rang des classiques de la science fiction malgré un manque évident de moyens. Car ce film est un film qui, dès la première vision, demande à être revu et re-revu. Le premier visionnage nous fait ressentir le film, à travers ses espaces agoraphobes mêlés de recoins claustrophobes, ce qui produit une angoisse particulière et contrastée qui n'a de cesse de nous heurter, nous asphyxiant d'incertitude surtout grâce à une musique extrêmement soigné qui sait ce faire rare et prenante. On ne comprendra que l'essentiel – ce qui nous permet de suivre l’histoire dans ses grandes lignes et d'intégrer les idées de bases – mais on perçoit en même temps une telle richesse cachée dans cette œuvre quasi muette et quasi monochrome qu'on est immédiatement tenté de s'y pencher dessus en détail, et donc le re-visionnage s'impose. Ceci pour dire que la vraie substance du film ne se dévoile pas instantanément, qu'on ne fait que l'entrevoir et que à coup sûr beaucoup de gens vont passer à côté. Mais revenons en aux sensations qui s'imposent lors de cette première vision : c'est là que se situe la base de toute recherche approfondie. Tout d'abord, notons une certaine violence caractérisant l'univers totalitaire de THX 1138, principalement physique et mentale, et il y a également censure sexuelle. On nous montre également de l’assujettissement en matière de religion proférée dans le but de tranquilliser les habitants. Cet ensemble peut être résumer en un maître mot : contrôle. C'est ce qui anime la structure du système de ce monde, où tout est contrôlé de force, où la liberté n'existe sous aucune forme. D'où le sentiment d'oppression qui nous envahit, peu à peu renforcé au cours du long métrage, jusqu'à atteindre son paroxysme lors des tests de THX puis de sa mise en prison avec d'autres devenus fous. A partir de ce moment débute la seconde partie du film, celle e l'évasion, qui se transforme en course poursuite interminable qui peu à peu révèle les failles du système et son incapacité à faire face à la volonté d'un homme de s'en émanciper. Ici on reconnaît le style de Lucas qui transparaît derrière la poursuite finale sur le périphérique ou encore dans le look des gardes policiers robots. L'envers du décors nous est ainsi peu à peu exposé, et c'est là qu'on prend conscience de la nécessite de fuir du héros, et qu'on s'accroche à la trame haletante, qui nous hisse à des sommet d'intensité dramatique pour les dernières répliques qui se répercutent déjà au loin comme un écho « Nous devons rentrer...Laissez nous vous aider ! C'est votre dernière chance ! ». Puis arrive le plan final d'une beauté à couper le souffle et qui achève de faire de ce film un véritable triomphe à la gloire de la science fiction. Amen.
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