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Quatrième volet des Fantômas réalisé par Louis Feuillade, "Fantômas contre Fantômas" se suit très agréablement grâce à une intrigue solide qui a des allures de jeu de rôle, et aussi et surtout par rapport à la mise en scène toujours très appliquer de la part du metteur en scène français. René Navarre est, quant a lui, excellent dans sa prestation des trois personnages qu'il doit interprété - à savoir Fantômas, le Père Moche et le détective Tom Bob. A l'image des trois autres, nous sommes donc devant un opus assez réjouissant à suivre et qui mérite clairement d'être découvert par un large public.
AMCHI
4ème opus de l'adaptation de Fantômas par Feuillade, un épisode plutôt brillant pour l'époque malgré une certaine candeur bien flagrante, c'est encore le début de la fiction au 7ème Art et Feuillade nous livre pour l'époque une œuvre bien réalisée. On se laisse prendre par le côté feuilletonesque bien qu'il faut avouer que l'histoire n'est pas forcément très passionnante à suivre mais c'est rythmé et l'on ne s'ennuie jamais.
Redzing
Alors que Fantômas demeure insaisissable, la presse commence à soupçonner le commissaire Juve d’être lui-même le célèbre criminel ! Il est arrêté fissa, ce qui va déclencher une série d’événements. Quatrième volet de la série muette de Louis Feuillade, « Fantômas contre Fantômas » affiche les rebondissements rocambolesques pour meubler son heure. Ca a le mérite de ne pas ennuyer, mais il faut dire que c’est parfois un peu tiré par les cheveux.
Il y a tout de même de bonnes idées, dont plusieurs seront reprises dans les films d’André Hunebelle : Juve accusé d’être Fantômas, un bal masqué, Fandor qui se déguise… On retrouve aussi des acteurs en forme (dont René Navarre, toujours inquiétant) et une mise en scène dynamique. Sympathique.
Il y a tout de même de bonnes idées, dont plusieurs seront reprises dans les films d’André Hunebelle : Juve accusé d’être Fantômas, un bal masqué, Fandor qui se déguise… On retrouve aussi des acteurs en forme (dont René Navarre, toujours inquiétant) et une mise en scène dynamique. Sympathique.
Après un épisode central plus long où le personnage de Juve semblait être mort et où la présentation des différents visages de Fantômas au début du film avait disparu, Fantômas contre Fantômas retrouve un aspect plus fidèle aux autres volets de la saga puisque le film revient à une durée d’environ une heure, l’introduction refait son apparition
spoiler:
et Juve est à nouveau présent
. Toutefois, Fantômas contre Fantômas apporte quelques nouveautés. spoiler: Ainsi, Juve est emprisonné pendant la majorité du film car il est suspecté d’être Fantômas (aspect aujourd’hui assez comique pour qui connait les adaptations d’André Hunebelle où c’est l’interprète de Fandor qui incarnait également Fantômas)
. De plus, cet épisode possède un rythme de montage qui semble un peu plus moderne car les déplacements entre les différents lieux s’accélèrent, ce qui crée un enchaînement de plans plus rapide spoiler: , et surtout la séquence où Juve est capturé alors que Fandor se cache dans le tonneau est légèrement découpée (avec une légère alternance entre différentes échelles de plans) à l’intérieur de celle-ci (alors que jusqu’à présent seuls des inserts sur des lettres ou des cartes coupaient les plans-séquences).
Pour le reste, Fantômas contre Fantômas est dans la droite ligne des précédents volets que ce soit par son efficacité ou par sa naïveté pouvant être assez ridicule pour le spectateur du XXIème siècle spoiler: (le fait que Nibet ait gardé la fiole de narcoleptique et le couteau ayant blessé Juve sur lui, la manière dont Fantômas échappe à Juve et Fandor dans la dernière séquence…)
. Fantômas contre Fantômas est donc une fois encore une réussite ouvrant la porte au dernier volet : Le Faux Magistrat.
. Toutefois, Fantômas contre Fantômas apporte quelques nouveautés. spoiler: Ainsi, Juve est emprisonné pendant la majorité du film car il est suspecté d’être Fantômas (aspect aujourd’hui assez comique pour qui connait les adaptations d’André Hunebelle où c’est l’interprète de Fandor qui incarnait également Fantômas)
. De plus, cet épisode possède un rythme de montage qui semble un peu plus moderne car les déplacements entre les différents lieux s’accélèrent, ce qui crée un enchaînement de plans plus rapide spoiler: , et surtout la séquence où Juve est capturé alors que Fandor se cache dans le tonneau est légèrement découpée (avec une légère alternance entre différentes échelles de plans) à l’intérieur de celle-ci (alors que jusqu’à présent seuls des inserts sur des lettres ou des cartes coupaient les plans-séquences).
Pour le reste, Fantômas contre Fantômas est dans la droite ligne des précédents volets que ce soit par son efficacité ou par sa naïveté pouvant être assez ridicule pour le spectateur du XXIème siècle spoiler: (le fait que Nibet ait gardé la fiole de narcoleptique et le couteau ayant blessé Juve sur lui, la manière dont Fantômas échappe à Juve et Fandor dans la dernière séquence…)
. Fantômas contre Fantômas est donc une fois encore une réussite ouvrant la porte au dernier volet : Le Faux Magistrat.
Quatrième opus du Fantômas selon Feuillade, ou quand le génie ludique du feuilleton investit le cinéma. On est dans une mise en abîme et un jeu de rôle (qui se cristallisent dans la scène du bal masqué) où les identités se dupliquent et s’intervertissent, les jeux de déguisements et de masques convenant tout particulièrement au septième art. Le pittoresque parisien joue à fond avec les personnages d’apaches. Le plus jubilant des épisodes.
Il me semble avoir déjà vu ce film à la tv, il doit daté de 1914, cette façon de faire de l'époque me laisse sur les fesses.
Ha les bon vieux films noirs blancs, celui là à plus de 106 ans, c'est dingue, je me souviens que le film vu qu'il n'y avait pas de sons à cette époque, que quand on parlais, c'était écrit en blanc sur fond noir, le tout accompagné par une chouette musique qui accompagne le film, c'est bizarre, mais plus c'est vieux, mieux c'est, ça devait être exellent de le regarder sur bobine super 8 avec un vieux projecteur, j'en ai déjà vu un, et on avait un trépier avec un écran blanc qui se déroule, à l'époque comme c'était bien.
Ha les bon vieux films noirs blancs, celui là à plus de 106 ans, c'est dingue, je me souviens que le film vu qu'il n'y avait pas de sons à cette époque, que quand on parlais, c'était écrit en blanc sur fond noir, le tout accompagné par une chouette musique qui accompagne le film, c'est bizarre, mais plus c'est vieux, mieux c'est, ça devait être exellent de le regarder sur bobine super 8 avec un vieux projecteur, j'en ai déjà vu un, et on avait un trépier avec un écran blanc qui se déroule, à l'époque comme c'était bien.