Mon compte
    Sur la route
    Note moyenne
    2,8
    3370 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Sur la route ?

    440 critiques spectateurs

    5
    26 critiques
    4
    79 critiques
    3
    118 critiques
    2
    122 critiques
    1
    61 critiques
    0
    34 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 17 juin 2012
    L'ambiance de Sur la route est vraiment réussie, c'est un vrai road trip ou les personnages balancent toute leur vie par la fenêtre pour traverser le pays, mais bon c'est bien gentil 5 minutes mais quand ils font ça plein de fois dans le film sans but réel, c'est lourd.

    Le problème étant que les relations entre les personnages n'évoluent pas ou alors de manière obscure, au bout d'un moment on a qu'une envie c'est qu'ils se posent et qu'ils fassent enfin quelque chose d'utile.

    Le film est surtout trop long à mon gout, ce passerait mieux avec 30-40 minutes en moins mais bon les acteurs ne sont pas mauvais pour autant, c'est déjà ça, de plus il y a de la bonne musique et du sexe à volonté :P

    Ah oui et Viggo Mortensen, il dépote !!
    ISAO12
    ISAO12

    44 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juin 2012
    Le temps passe vite dans ce road movie avec de très bons acteurs meme si cette période d'après guerre nous offre une jeunesse alcoolisée , perdue qui recherche des paradis sous drogue s, médicaments et qui dans le sexe ne propose que manipulation perverse et aucuns sentiments. Une belle ballade sauvage et désabusée.
    Stellouch
    Stellouch

    17 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 juillet 2012
    C'est long, inutilement trash et pour ne rien arranger les voix des 2 acteurs principaux m'ont énormément dérangé.
    Serge K
    Serge K

    14 abonnés 347 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2022
    des longueurs, des clichés, on accroche pas vriament ,avec ses personnages qui fleurtent avec l'homosexualité, des plans sont inteminables, j'ai été content quand le FIN arrive
    islander29
    islander29

    860 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2012
    le roman de Jack Kerouac, trouve ici un bel écho dans le film de Walter Salles....Ce film c'est un peu l'expérience qui précède l'écriture, quoique pour certains écrivains, ce soit le contraire....La jeunesse a besoin d'expériences initiatiques, alcool, sexe, drogue peuvent en être les éléments catalyseurs...C'est ce qui se passe dans ce film (attention au moins de douze ans, plusieurs scènes de sexe très explicites) où des amis vont échanger les lieux, les filles, les rencontres pour en quelque sorte donner un sens à leurs existences...Le principe est bien connu...Le film n'a pas de temps mort et l'histoire est limpide, il s'agit d'aller souvent de la côte Est à la côte Ouest, au travers de paysages magnifiques, chez l'un ou l'autre des amis....beaucoup de déchirures amoureuses, un monde d'illusions, le film malheureusement s'il conte bien, manque de moments d'émotions, trop de rythme empêche la vraie émotion, celle de la contemplation, de l'empathie et, je dirais presque de la prise de conscience des personnages....C'est un peu le seul reproche à ce film éloquent par ailleurs qui laisse quand même un beau message sur la vie, , sur la passion (un peu comme la fureur de vivre ou into the wild) ....A voir.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    290 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juin 2013
    "Sur la route" se laisse doucement regarder. Rien de transcendent, puisque tout réside dans les interactions entre personnages. La première partie est assez classique dans le genre road-movie dramatique, le réalisateur préférant s'attarder sur les divagations philosophiques des personnages principaux. La deuxième partie est bien plus passionnante, et l'histoire gagne en intensité. L'interprétation est à la hauteur, la photographie finit par lasser, mais le tout reste très correct. J'aurais néanmoins aimé plus de folie.
    annastarnomberon
    annastarnomberon

    136 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juin 2012
    C'est l'histoire de Sal, un écrivain un peu paumé qui se cherche des idoles, ne veut vivre que dans l'excès et la passion, et qui cherche surtout un sens à sa vie. C'est l'histoire de Dean, un mec qui se traine un besoin d'affection lié à l'absence du père, sorte de pervers narcissique ultra magnétique qui aime être aimé et y parvient extrêmement bien. C'est l'histoire de Marylou, gamine rêveuse pour qui la quête d'absolu passe par la quête de Dean, auquel elle est attachée parce qu'elle sait qu'il glisse entre ses doigts et que jamais elle ne pourra l'avoir. Et c'est accessoirement l'histoire de Carlo, jeune homosexuel fan de poésie qui, pour les mêmes raisons que Marylou, brûle d'amour et de désir pour Dean en qui il pense avoir trouvé l'être absolu, l'homme, celui avec un grand H, avec qui le sexe a un sens. Bon, c'est gentil, cette histoire de jeunes qui s'idéalisent entre eux, qui se désirent, qui se perdent, qui se retrouvent, qui cherchent un sens à leurs vies, qui sont en fait en quête de leurs origines.Mais ici, dans le film, le problème c'est que l'on sait où l'on va, et que malgré toutes les belles phrases mises en œuvre pour nous faire réfléchir, la réflexion est pré-mâchée. Tout nous est balancé, il ne nous reste plus rien à interpréter. cette Je comprends le but recherché, nous montrer une jeunesse incandescente, qui se consume, qui « brûle » comme Sal et Dean le disent eux-mêmes à plusieurs reprises. Mais cette volonté de mettre en scène la fureur de vivre, cette sorte d'admiration que Walter Salles a pour ses personnages, au lieu de les rendre fascinants, sonne faux. Il y a comme une mise en abyme de l'admiration : Les personnages s'admirent entre eux (ce qui donne d'ailleurs lieu à une réplique insupportable où un type demande à Sal où il « trouve ces gens géniaux », ajoutant que lui ne « rencontre jamais personne comme ça »), ou du moins admirent Dean, et le réalisateur lui-même admire ses personnages. On a l'impression que le film ne prend pas de recul par rapport à ce qu'il raconte, qu'il tombe lui aussi sous le charme de ces jeunes bohèmes quitte à en perdre tout esprit critique. Et on a en plus cette désagréable impression que tout est fait pour que nous aussi, nous nous laissions séduire et porter d'admiration pour ces « fous » qui se laissent porter par leur jeunesse. Cette volonté de nous étourdir de la décadence des personnages se retrouve dans la manière-même dont Salles filme : des caméras à l'épaule, des séquences où la caméra tourne avec les personnages, comme pour nous faire perdre la tête à nous aussi...
    Si cet amour et cette admiration que Salles semble porter à ses personnages pourra en toucher certains -car après tout, quoi de mieux qu'un réalisateur qui aime ceux à qui il donne vie à travers sa caméra ?-, elle risque aussi d'énormément lasser, ce fût mon cas. On a rapidement l'impression de participer à une sorte de délire égocentrique et même de l'encourager, de rentrer dans le système auto-contemplatif du film.
    Tout semble alors devenir prétexte à la folie, à montrer à quel point ces jeunes consument la vie par les deux bouts, à montrer qu'ils ont une soif infinie d'expérience. Que ce soit ces scènes de sexe répétitives et pas toujours réussies (elles deviennent parfois grossières car on sait où cela veut en venir) qui semblent se gargariser d'elles-mêmes, ou ces passages où les personnages semblent vouloir « faire des folies pour faire des folies » (la conduite nus, les excès de vitesse, l'insolence envers les flics). On a vraiment l'impression que tout est bon pour nous montrer combien ils savent vivre même s'ils ne savent pas où ils vont.
    Mais une folie autant revendiquée perd de son pouvoir d'attraction. À force de nous rappeler, par des formules en voix-off à visée poétique, par des plans avantageux, par des ellipses, la soif de nouveauté et le désir d'absolu des personnages, le message se dénue de toute force. Comme si, à trop vouloir montrer des fous, Sur la route ne montrait que des gens qui se prennent pour des fous.
    Finissons sur le jeu des acteurs, que je n'ai pas mentionné jusque là car il est tout simplement moyen. Sam Riley, qui était extrêmement prometteur dans Control, livre ici une interprétation honnête mais énervante, celle d'un personnage suiveur qui vit par procuration et se délecte de ce qu'il admire chez les autres. Kristen Stewart ne dégage pas grand chose. Si elle n'a pas sur le front l'étiquette de la nymphette de Twilight, elle ne réussit en tout cas pas à faire vivre et à donner corps à la Marylou qu'essaie de nous vendre Salles. Et Garrett Hedlund, si l'on oublie son impressionnante beauté, ne dégage pas vraiment le pouvoir d'attraction que Dean est censé incarner. Ils sonnent en fait tous comme des coquilles vides. Seule Kirsten Dunst est vraiment bonne en fille rangée qui sent qu'elle ne satisfait pas les envies de liberté d'un mari qui lui échappe. Dommage, on ne la voit que trop rarement dans le film...
    BeatJunky
    BeatJunky

    149 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2012
    un très bon moment qui donne envie de voyager tout en concluant que cette vie de voyage ne dure qu'un temps. Acteurs impeccables et mise en scène classique mais efficace font de ce film un très bon road movie plaisant et qui passe assez vite malgré ces 2h20.... Je m'attendais à plus de présence de Miss Twilight mais le peu de scènes où elle figure confirme que sa carrière ne s'arrêtera pas là....
    A voir.....
    SuperMadara
    SuperMadara

    84 abonnés 935 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2012
    Une semi-déception que cet adaptation longtemps espéré du roman culte de Jack Kerouac , entre une travail de reconstitution impeccable mais un manque de vie flagrant. Adaptation de l'oeuvre phare et semi-autobiographique de l'écrivain de la Beat Generation Jack Kerouac , l'histoire raconte la vie sur la route de Sal Paradise qui, après la mort de son père, rencontre le charismatique Dean Moriarty et sa jeune femme Marylou et ensemble , ils vont voguer sur les routes de l'Amérique profonde entre trip et recherche philosophique de soi, un grand voyage initiatique qui offre de belles scènes , de moments forts mais reste dans la longueur assez morne et d'une fadeur surprenante vu le matériau... Réunion de la nouvelle génération américaine , le casting déroute, avec un excellent Sam Riley parfait dans le côté spectateur de Kerouac, un Garrett Heldund parfois trop viscéral ou encore une Kristen Stewart lascive mais trop ambigu , et puis une pluie de seconds rôles de renoms comme Viggo Mortensen et Kirsten Dunst. Habitué aux grands voyages initiatique , le brésilien Walter Salles filme ce road trip des années 50 avec une belle photo, une mise en scène forte mais la vie, l'énergie brulante que le roman dégage ne se ressent jamais vraiment , ça reste très plat.
    Un road trip mitigé , entre de bons acteurs, une belle reconstitution mais pas d'énergie, un film qui ne brule pas assez...
    sword-man
    sword-man

    84 abonnés 1 017 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juin 2012
    Sur le papier le projet "Sur la route" est prometteur, à l'écran c'est une autre histoire. Le scénario reste en surface n'offrant pas de personnages attachants, il présente juste un écrivain et ses potes se prétendant intellectuels, à la recherche de l'inspiration pour écrire son livre. Inspiration qu'il va chercher dans des expèriences pas toujours recommandables l'empêchant de rester lucide pour penser et réfléchir, se découvir soi même. Une pseudo contestation qui en réalité est la norme et la banalité. Portrait d'une génération d'après guerre pensant changer le monde sans esprit ni yeux ouverts, "Sur la route" ne va jamais plus loin que ça alors qu'il y a la quête du père et de soi même en toile de fond, tout ça n'est jamais traité, c'est du sexe et de la drogue à gogo. Même la mise en scène n'est pas capable de traité de tout ça, offrant un découpage brouillon ou l'on a pas le temps de s'interesser ou de s'interroger, un faux rythme ou on l'on la désagréble sensation que ça n'évolue pas du début à la fin. Vraiment dommage.
    littleplayer77
    littleplayer77

    71 abonnés 948 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2012
    Je l'avoue volontiers : les voyages initiatiques, ça n'a jamais été ma tasse de thé. J'avais déjà enduré un "Into the wild" qui était une purge (OK, j'exagère un peu ...), mais ce "Sur la route" le ferait presque passer pour un chef d'œuvre. "Sur la route" pourrait se résumer en quatre mots : drogue, sexe, alcool et jazz, lesquels se succèdent sans discontinuer et à un rythme effréné. Hommage s'il en est à la prose spontanée de la fin des années 50, "Sur la route" est l'adaptation de l'oeuvre de Jack Kerouac, auteur étendard de la beat Generation précurseur du mouvement hippie. Ode à la passion et à la liberté, ce (très) long-métrage ne laisse transpirer ni l'un ni l'autre, un comble pour une oeuvre qui aurait dû marquer de son empreinte le spectateur par son émotion et sa spiritualité. Hésitant entre le pur road-movie et une adaptation littéraire stricte, le réalisateur Brésilien Walter Salles - qui a récupéré le projet après que de nombreux autres (et pas des moindres : Brando, Hopper, Coppola, Van Sant ...) aient jeté l'éponge - n'est pas parvenu à trouver son style et s’est embourbé dans un récit répétitif ponctué par des citations en voix off qui révèlent l’absence de lien entre les séquences de son film. La mise en scéne manque cruellement de relief et de profondeur pour que le public s'immerge dans l'oeuvre et s'imprégne totalement de l'intrigue. Certes tout n'est pas à jeter, loin de là : une belle photographie avec de superbes images de l’Amérique profonde, une belle bande-son jazzy, des acteurs excellents - avec des mentions spéciales pour Sam Riley et Garrett Hedlund (pour ce qui est de Kristen Stewart, elle est très mignonne, mais on en a vite fait le tour). Néanmoins, cela paraît insuffisant pour garder un certain attrait, surtout sur une telle durée (le film dure 2h20 et honnêtement, après 1h, on se languit d'en voir la fin tellement ça semble interminable). En conclusion, "Sur la route" est un film controversé et qui sera loin de faire l'unanimité : voilà des critères légitimes pour être sélectionné au Festival de Cannes (cf "The tree of life" etc ...) ...
    Béatrice G.
    Béatrice G.

    81 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mai 2014
    Gros morceau auquel s'attaque Walter Salles et il se sera à moitié étouffé dessus! Bien sûr je ne suis pas complètement neuneue et je comprends parfaitement la nécessité quand on adapte un livre, surtout un truc aussi dense que Sur la Route, de faire des coupes et des sacrifices, le problème c'est qu'ici c'est complètement décousu. On a parfois l'impression qu'ils ont pris des pages au hasard, les ont adaptées mot pour mot sans chercher à établir de cohérence ou de continuité. Ainsi on a plusieurs personnages -qui se veulent folkloriques- qui débarquent comme des fleurs dans le récit, s'y arrêtent 30 secondes pour raconter leur vie et disparaissent comme ils sont arrivés sans laisser de traces (bonjour, merci, au revoir). Et ce choix, ce découpage presque échantillonaire serait pardonnable et même acceptable si encore les extraits choisis reflétaient l'esprit du livre, le message de Kerouac. Mais en quoi, par exemple, le passage chez Old Bull Lee est-il plus emblématique que toute la séquence à San Francisco avec Remi Boncoeur, si ce n'est pour pouvoir exhiber deux grands noms comme Viggo Mortensen ou Amy Adams? De la même manière, était ce vraiment judicieux d'accorder si peu de place à Terry et autant à Marylou ou Camille? Et je parle même pas du voyage au Mexique (enfin si en fait), qui est traîté par dessus la jambe, un peu comme si arrivés à la fin de leur pellicule ils s'étaient rendu compte qu'ils l'avaient oublié celui-là et qu'ils l'aient rajouté en catastrophe, histoire de (un bordel et un joint ça ira bien!). Du coup entre tous ces passages supprimés, ceux expédiés en deux temps trois mouvements, ceux traités superficiellement, c'est à se demander par quel miracle (ou sortilèges de nécromant) ils ont réussi à nous pondre un film de 2h20! Et puis le ton n'y est pas du tout: il faut plus que deux ou trois roulages de joints, et parties de jambe en l'air pour faire de l'anticonformisme! Et niveau subtilité c'est pas mieux: et vas y que je te colle des gros plans à répétition sur A La Recherche Du Temps Perdu, pour le côté intellectuel! C'est vraiment désolant, car il y a aussi du bon dans ce film, le casting par exemple. Sam Riley et Tom Sturridge sont parfaits dans leurs rôles respectifs, Kristen Stewart délivre une performance qui tient la route et surtout, Garret Hedlund prouve qu'il n'est pas qu'un (fort) joli minois et qu'il a tout à fait la carrure pour un tel rôle. La photographie est également un point de satisfaction, les lumineux paysages de l'Ouest Sauvage sont parfaitement mis en valeur. Reste que du coup de poing culturel qu'est cet épique road trip de Kerouac, on a fait une gentille balade digestive de dimanche après midi!
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 935 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2013
    Voilà ce que j’écrivais au sujet de Kristen Stewart après avoir vu « Blanche Neige et le Chasseur » : « Je n’ai pas envie d’être sévère ni avec ce film ni avec Kristen Stewart. Si encore une fois, elle paraît peu expressive, la faute en revient à son directeur d’acteurs : Ruppert Sanders. Il ne tient qu’à lui de la diriger, de lui faire ressortir tout ce qu’elle a dans le ventre ; je suis persuadé qu’elle a de quoi exprimer. Si elle passe entre les mains d’un Tarantino, d’un Woody Allen, d’un Roman Polansky, d’un James Grey, d’un Winding Refn voire d’un Judd Apatow, je suis certain de son potentiel. Encore faut-il que les réalisateurs cités soient convaincus. En tout cas, je suis sûr qu’elle peut contredire ses détracteurs. Ça viendra. » Je peux rajouter à cette liste Walter Salles. Tout dépend des rencontres, tout dépend des réalisateurs dénués de préjugés et d’étiquettes. Kristen Stewart nous sert une prestation inhabituelle autour de Garrett Hedlung, Sam Riley, Amy Adams, Kirsten Dunst, Viggo Mortensen, Steve Buscemi. Mais à bien y regarder, elle fait son métier d’actrice tout simplement. « Sur la route » fait partie de ses romans difficiles à restituer sur pellicules ou d’en élaborer une trame fluide. Walter Salles a assuré en extrayant l’essentiel, en réalisant ce qui lui paraissait le toucher. Comme à l’image des paysages qu’on traverse durant un long voyage, parfois on s’y ennuie, parfois, on a le regard collé à la vitre. J’avoue que je ne referai pas le voyage... même pour la prestation de Kristen Stewart.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 mai 2012
    Le film d'évasion parfait. Un régal, un film très frais, magnifiquement adapté du livre. Une réalisation inspirée quoiqu'un peu approximative, un jeu d'acteur magnifique. Un peu à la Into The Wild mais avec moins de poésie. Cependant peut être pas fait pour le festival de Cannes.
    Paul M
    Paul M

    24 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2012
    Intriguant !
    C'est le mot que je retiendrais pour ce film. Pour vous dire je viens juste de finir de le regarder et ma critique aurait pu être autre si je l'avais écrite à froid.
    Tout le film est décousu et insensé. Walter Salles se plante réellement en adaptant l'inadaptable. Zappe des scènes et passages phares du livre. L'ambiance magique et unique du livre n'y est pas. Sans avoir lu le livre je ne sais pas comment une personne peut suivre le périple ! Les personnages sont des caricature etc...
    Mais alors pourquoi trois étoile ?
    Parce que les 20 dernière minutes sont complètement réussies et un réel hommage au livre. La fin est totalement retournante et l'on sens la fureur mêlée au désespoir de Dean. Celle que l'on ressens tout le long du livre. Celle qu'on aurait voulu vivre pendant 120min ci ce n'est plus.
    Bref on zappe le film et on se concentre sur la fin qui nous transporte dans la psychologie des personnages bien plus que n'a su le faire tout le film !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top