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    Goldfinger
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    385 critiques spectateurs

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    antoine y.
    antoine y.

    5 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2020
    Que dire sur ce james bond ? tout y est on est la dans un james bond cultissime, celui-qui à sans doute défintivement installé james bond dans le paysage du cinéma en lui assurant une perrénité certaine. Première sortie de james bond hors des adversaires du "spectre " apres " dr no" et "bons baisers de russie ", c'est pourtant l'un des adversaires les plus redoutable qu'il aura afrfronté en Goldfinger, et c'est sans compter son adjoint oddjob et son fameux chapeau capable d'agir tel un boomerang et de décapiter ses victimes. L'aston martin et ses fameux gadgets présentés ici ( siège ejectable, plaque d'immatriculaitons interchangeable, radars, mur de fumées ) entre elle aussi dans la légende. Evidemment un mot aussi pour la scène sans doute la plus culte de james bond, celle de shirley easton tuée en etant recouverte d'or. La musique thème de ce james bond signée shirley bassey, va elle aussi entrer dans l'histoire du cinéma et devenir culte. Bref il est difficile de lister tous les élément de james bond que cet opus a rendu culte, ce qui démontre bien le caractère exceptionnel de ce film, considéré par beaucoup comme le meilleur de tous les james bond.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 180 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 novembre 2020
    En 1964, Sean Connery a déjà deux James Bond à son actif. Le succès phénoménal et croissant de ce qui s'annonce comme une saga, ne lui laisse que peu de temps entre chaque épisode mis en branle par les deux producteurs avisés que sont Harry Saltzman et Albert R. Broccoli. L'action de "Goldfinger" doit se passer aux Etats-Unis mais le tournage débute sans l'acteur qui doit d'abord finir "Pas de printemps pour Marnie" d'Alfred Hitchcock. Les scènes américaines se tourneront donc dans les studios de Pinewood situés à l'est de Londres. Terence Young réalisateur des deux premiers épisodes n'ayant pas vu ses exigences financières satisfaites, c'est Guy Hamilton, prévu initialement pour tourner "Docteur No" qui se charge de mettre en scène cette longue traque de l'agent 007 collé aux basques du mystérieux Auric Godlfinger interprété par l'excellent Gert Fröbe. spoiler: Un riche homme d'affaires que son amour maladif pour l'or pousse à envisager de s'attaquer à la réserve d'or américaine située à Fort Knox (Kentucky) . James Bond doit impérativement ramener à la raison le forcené psychopathe
    . Il a pour argument son fameux "permis de tuer" mais aussi son charme dont il est clairement exposé dans ce troisième segment qu'il peut être aussi son talon d'Achille. On ne s'ennuie pas une seconde d'autant plus que Sean Connery est désormais très à l'aise dans un rôle qui semble taillé sur mesure pour son jeu alliant humour et élégance à une certaine sauvagerie mâtinée d'un brin de muflerie. On l'a dit, le méchant est excellent et Honor Blackman si elle n'est pas la plus photogénique des James Bond Girl est sans aucun doute l'une des plus sexy. La scène désormais rituelle avec Miss Moneypenny (Lois Maxwell) est un délice tout comme l'entame du fil où James Bond arrivant sur un lieu d'action par la mer est affublé sur le sommet de son crâne d'un canard censé camoufler son approche. Sans doute une trouvaille de plus de "Q" (Desmond Llewelyn), le monsieur gadget du MI6. L'agacement avec lequel 007, jette l'oiseau une fois arrivé sur la berge du port en sus d'être un effet comique très réussi, montre désormais l'emprise qu'à Sean Connery sur le rôle. Le ton est donné faisant de "Goldfinger" l'épisode le plus réjouissant du début de cette saga. Guy Hamilton relève donc le gant de succéder sans démériter à Terence Young. On notera la superbe chanson du générique interprétée par la grande Shirley Bassey. Tout était donc réuni pour renforcer l'aura de l'espion au service de sa Majesté. Les spectateurs ont répondu en masse. Rien n'arrêtera plus la saga qui en sera bientôt à son 25ème épisode.
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    82 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juillet 2020
    Le queutard du MI6 (S. Connery) est de retour pour une nouvelle mission. Son dernier coup lui ayant attiré les foudres d'un dangereux magnat de l'or (G. Fröbe), 007 s'en va à sa poursuite à travers l'Europe pour finir aux USA. Leurs différentes rencontres sont délicieusement accompagnées de dialogues bien ciselés qui permettent une dynamique nouvelle dans ce troisième opus qui se révèle meilleur en tout, mais peut-être pas en trucages et jeu d'acteur. GOLDFINGER est le précurseur d'une mécanique qui sera réutilisée, trop souvent, par la suite : celle des femmes qui tombent sous le charme de l'espion anglais (même les lesbiennes) et de ses ennemis aux plans machiavéliques, accompagné d'un homme de main qui succombera magnifiquement après une lutte acharnée.
    Florentin Drugmand
    Florentin Drugmand

    8 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 juin 2020
    Premier film qui introduit des gadgets, Golfinger est un film qui fait réellement démarrer la saga en lui donnant une identité qui va la suivre pour les décennies à venir.En effet nous retrouvons les éléments qui font le charme de la saga comme les belles voitures et les gadgets de "Q" plus fantaisiste les uns que les autres. La fin est quand à elle inattendue avec le petit élément qui fait sourire lorsque la bombe est prête à exploser.
    Caine78
    Caine78

    6 703 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2020
    Souvent considéré comme l'un des meilleurs, si ce n'est le plus réussi de la saga, revoir « Goldfinger » aujourd'hui me fait quelque peu tempérer ce statut d'incontournable. Pourtant, certains aspects parlent clairement en faveur de celui-ci : d'abord, son méchant ! Non seulement Gert Fröbe le joue fort bien, mais celui-ci a une vraie personnalité, avec des motivations parfois, certes, originales, mais toujours justifiées, son projet final ayant le mérite d'être pour le moins inhabituel, voire franchement séduisant. De plus, le scénario n'hésite pas à être parfois cruel : spoiler: la mort de Jill Masterson et cette superbe idée de l'avoir transformée en « statue d'or », rejointe peu de temps après par sa sœur, tuée tout aussi brutalement.
    Dans ces moments, on observe un James Bond impuissant, touché, vulnérable à plusieurs reprises (comme quoi, les méchants font TOUJOURS les même erreur : ne pas tuer le héros lorsqu'on en a l'occasion), ce qui le rend plus intéressant. Sans oublier toute cette période spoiler: d' « attente », aussi curieuse qu'inhabituelle, où 007 s'avère à la fois prisonnier et en très charmante compagnie, sorte d'otage de très grand luxe
    . Le problème, c'est que les bons points accumulés sont mis à mal dans la dernière partie : alors que je faisais l'éloge précédemment d'un Bond presque gentleman, le voilà à nouveau terriblement phallocrate, tellement fort qu'il parvient à spoiler: faire passer dans l'autre camp une ennemie qu'il venait quasiment d'agresser sexuellement : pas de doute, se faire rouler une pelle par Sean Connery, ça vous change une femme
    ... Je sais que c'était une autre époque, mais quand même. Surtout, était-il vraiment indispensable de terminer sur spoiler: une énième fusillade avec explosions en tout genre, ayant un sérieux air de déjà vu où seul l'affrontement avec l'imposant Oddjob
    permet de sortir de la monotonie, l'ultime affrontement avec Goldfinger (pourtant très réussie jusque-là, presque à fleurets mouchetés) se terminant presque en spoiler: pochade (Fröbe coincé dans le hublot par sa forte taille : vraiment?)
    , la sublime Honor Blackman ayant spoiler: définitivement succombé au charme de l'ami Sean...
    Heureusement, celui-ci est toujours aussi impérial dans le rôle, et il serait injuste de se focaliser uniquement sur ce dernier tiers au vu des réussites évoqués précédemment : n'empêche, celui-ci laisse clairement un goût amer, empêchant ce numéro trois d'être le volet de référence souvent décrit et qu'il aurait pu, dû être s'il avait maintenu ses belles ambitions, scénaristiques comme « morales » jusqu'au bout : vraiment dommage.
    Le D.
    Le D.

    204 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2020
    "Goldfinger" est le troisième opus de la saga des "James Bond". Un film très divertissant avec Sean Connery qui est très sympa en James bond. J'ai trouvé qui manquait un peu de scènes d'action, de gadgets et j'aurais aimé que le film soit une durée plus long.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2020
    Troisième opus de la série et celui qui ? couplé avec l’excellent « Opération tonnerre » (film suivant), va ancrer définitivement les éléments majeurs donnant son style à la série. Et c’est bien Sean Connery qui donnera ses lettres de noblesse à James Bond. Dès un prologue mémorable, a star is born, Bond sera un dandy capable de faire exploser un complexe industriel en toute discrétion sans perdre son sang-froid et son standing, un homme à femmes misogyne, un professionnel inventif ne perdant jamais son flegme et son humour. Moore composera un autre Bond qui lui fort heureusement ne sera pas la référence. On peut déplorer le côté trop misogyne basique du personnage qui s’arrondira avec le temps.
    Le scénario n’est pas génialissime ; et sans la malice d’Hamilton alliée à l’inventivité de Connery, ce film aurait pu donner une soupe type époque Moore. Comme quoi, çà ne se joue pas à grand-chose un succès. Et dans ces pas grands choses qui font beaucoup : un méchant mégalomane tordu et prétentieux, une chanson qui reste parmi les meilleurs de la franchise, une relation Bond/Goldfinger intéressante, et quelques scènes mythiques dont Jill Masterson couverte d’or ou la course poursuite dans l’usine.
    James Bond est bien lancé et confirmera les attentes dès le suivant avant de s’enliser durant de trop nombreux films médiocres par la suite.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2022
    Un troisième épisode mythique de la saga qui nous entraîne dans une aventure palpitante mêlant espionnage, gadgets ingénieux, courses-poursuites, séduction et humour, dans laquelle Sean Connery va affronter une adversité carrément à la hauteur !
    Alasky
    Alasky

    349 abonnés 3 400 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2020
    Divertissant, dynamique, culte. On ne s'ennuie pas devant cet opus : le suspense, l'action et jolies filles sont au rendez-vous. James Bond est en forme, paré des meilleurs gadgets de l'époque, prêt à défier le méchant dans cette mission palpitante qui a bientôt 60 ans.
    Le fameux canard
    Le fameux canard

    2 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mars 2020
    Goldfinger est le meilleur James Ond avec Sean Connery. L'intrigue est plutôt intéressante, l'action est bien mené... Si seulement James n'était pas un violeur. spoiler: La première fois qu'il couche avec Pussy Galor, on ne peut clairement pas dire qu'elle était consentante. Même en le regardant au second degré, on ne peut être choqué par cette séquence
    . Heureusement que sinon, le film est, au mieux, correct.
    Rorechar
    Rorechar

    7 abonnés 815 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2020
    Goldfinger met en scène pour la première un ennemi qui ne fait pas parti du SPECTRE. Goldfinger prévoit de dérober toutes les réserves d'or des états-unis. C'est la première fois que la Db5, la mythique voiture de Bond fait son entrée. On retrouve Sean Connery qui adopte le rôle de l'espion britannique. Un bon épisode, peut être le plus mythique de l'ère Connery .
    youtube champions
    youtube champions

    45 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 janvier 2020
    Goldfinger, James Bond troisième du nom, est ce qu’on peut qualifier d’un des meilleurs James Bond ! De par son casting exceptionnel, ses cascades impressionnantes et son scénario plus que qualitatif, Goldfinger tire presque du génie ! L’acteur qui se démarque le plus est sans doute Gert Fröbe en Auric Goldfinger. Il joue un méchant décontracté, avec du flegme et du charisme et pourtant très effrayant. On peut toujours saluer la performance de Sean Connery en James Bond, qui comme à son habitude, est parfait . Pour une fois, le scénario met vraiment James Bond dans la galère ou il n’aura la situation en main qu’à la toute fin. On pourra quand même regretter la place peu valorisante qu’ont les personnages féminins dans le film. La BO quant à elle, gérée pour la première fois par Shirley Bassey, est agréable avec évidemment John Barry au musiques. En outre, VOYEZ LE !!!
    Stephenballade
    Stephenballade

    396 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2019
    Qu’on se l’avoue ou pas, le plaisir de retrouver l’agent 007 est bien réel. L’attente provoquée par l’annonce des prochaines aventures de Bond lors du générique de fin de "Bons baisers de Russie" s’en retrouve satisfaite. Par le biais de "Goldfinger", la saga « James Bond » prend une autre dimension. A l’occasion de cette troisième adaptation, après le sixième roman mettant en scène James puis le cinquième, c’est le septième roman de Ian Fleming qui est mis à l’honneur. Sean Connery revêt le costume de 007 pour la troisième fois, Lois Maxwell celui de Miss Moneypenny pour la troisième fois également, Bernard Lee incarne « M » pour la seconde fois après avoir commencé par un personnage différent lors de l’épisode Dr. No, et Desmond Llewelyn réendosse le rôle de « Q », pour la deuxième fois lui aussi. Sauf que tout ce petit monde est cette fois dirigé par Guy Hamilton, Terence Young ayant quitté le navire pour une sombre histoire de désaccord financier. Sûrement une question de salaire, car "Goldfinger » bénéficie d’un budget égal aux deux films précédents réunis ! Alors on peut davantage soigner les effets sonores (Norman Wanstall se verra d’ailleurs octroyer un Oscar), passer la vitesse supérieure sur les voitures et les gadgets, les deux faisant ici la paire. Voici donc la plus célèbre des voitures que James Bond ait eu à conduire, l’Aston Martin DB5. Un modèle si mythique que j’en ai moi-même possédée une… quand j’étais gosse ! Ah ben hein vous ne croyiez tout de même pas que j’en avais eu une pour de vrai, tout de même ? Non, là c’était un modèle réduit. Mais ce véhicule-là contribue à donner plus de dimension aux films James Bond. On peut le noter dès le générique de début, puisque "Goldfinger" est le premier Bond qui bénéficie d’un thème introductif chanté. J’ignore qui a eu cette idée lumineuse, mais le fait est que la voix et la puissance vocale de Shirley Bassey produisent leur effet, d’autant que les vocalises sont posées sur le thème de John Barry, certes réorchestré pour l’occasion. Cela ne veut pas dire que nous perdons le pré-générique habituel, non. Mais avec une telle chanson, ça annonce l’air de rien quelque chose de plus costaud. Et assurément, on a là quelque chose de plus costaud. Dans tous les domaines. Déjà on a beaucoup moins de défauts de montage. Les faux raccords ont quasiment disparus. Il en va de même pour les incohérences. Pourtant, j’étais prêt à crier haro sur ce film en voyant tomber les gens comme des mouches alors que l’avion passe tout juste au-dessus d’eux. D’autant qu’après, on voit des poules se promener tranquillement au milieu des corps inanimés. Là on sait qu’il y a quelque chose qui cloche mais patience ! L’explication viendra plus tard. En attendant, on notera une évolution dans le personnage de cet éternel charmeur qu’est James : non seulement on le voit plus en action que jamais (et ça commence par la tenue de plongeur magnifiquement camouflée par un palmipède, mais en plus c’est la première fois qu’on voit son cœur vaciller. Pourtant, le joli cœur a de quoi satisfaire son besoin irrépressible de charmer, puisque les James Bond girls sont plus nombreuses, notamment par rapport au film précédent. Ainsi, ce sont tour à tour la yougoslave Nadja Regin (Bonita la danseuse au Mexique), Margaret Nolan (Dink, la masseuse de Miami), les britanniques Shirley Heaton (Jill Masterson, l’assistante de Goldfinger) et Tania Mallet (Tilly Masterson), et enfin l’anglaise Honor Blackman qui nous ravit de ses décolletés. A propos de ces décolletés, c’est à peu près la seule décision qu’on approuve de la part de Goldfinger, bien qu’inconvenante il faut bien l’admettre. Toutes ne tomberont pas cependant dans les bras de l’irrésistible espion. L’une d’entre elles n’en aura pas le temps, surtout qu’elle avait autre chose à penser. C’est même d’ailleurs par elle que le légendaire charme de Bond se voit égratigner une première fois. « Je m’appelle Bond, et vous ? J’ai pas de temps à perdre » répond-elle. Trop marrant. Une autre saura résister, égratignant pour la seconde fois l’irrésistiblerie de Bond. « Arrêtez votre numéro de charme ». Et bim ! Mais pas de quoi ébranler l’homme. Les femmes, pour lui, ça va ça vient. Le scénario est plus fourni. Sans doute est-ce dû au fait que Ian Fleming, alors à son septième roman bondesque, a étoffé davantage ses personnages, tout du moins les principaux. C’est le cas d’Auric Goldfinger. Franchement, le dirigeant du Spectre pourrait en prendre de la graine, tant ce Goldfinger parait plus inquiétant encore que les adversaires passés de 007, l’allemand Gert Fröbe ayant su interpréter son rôle-titre avec beaucoup de justesse, en faisant preuve de légèreté à l’encontre de ceux qui pourraient contrarier ses plans. Quant à Sean Connery, il semble désormais s’être bien installé dans ce rôle, se laissant aller quelquefois à quelques mimiques savoureuses. "Goldfinger" est donc bel et bien le meilleur des trois premiers films. Un méchant d’une autre carrure (et ce n’est pas que physique), un Sean Connery qui se bonifie, un budget de plus en plus conséquent amenant plus d’action, et moins d’erreurs techniques. Personnellement, à l’époque, j’aurai signé pour un quatrième film, d’ailleurs annoncé lors du générique de fin. Et comme pour rattraper le temps perdu (enfin si j’ose dire puisque je n’étais pas né), je vais continuer à visiter cette saga très rapidement.
    Alexarod
    Alexarod

    280 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mai 2019
    Nul doute que Sean Connery est le meilleur James Bond, surtout pour moi, néanmoins plus je revois ces films moins j'aime. Je me dis qu'à l'époque ça détonnait, même si personne n'y croyait à sa sortie, mais les temps changent et du coup ça a trop vieilli pour être aussi apprécié aujourd'hui. J'en veux pour preuve les bruitages, très moches, quelques uns ont été remplacé par de la musique (violons pour les prises de judo lors du combat contre le Coréen), mais dépassés de nos jours, les bagarres c'est pareil, le rythme du film est trop lent, l'intrigue pas si palpitante, les longueurs alourdissent l'ensemble, la musique n'est pas top, les gadgets font sourire (surtout le chapeau coupant, Kung Lao de mortal kombat ?) et les fx sont mal faits (incrustations peu soignées).
    Alors certes le temps passe et ne rend pas justice à James Bond surtout si on le compare aux productions actuelles, mais cela demeure médiocre dans d'autres critères. Autre coup de gueule c'est : le méchant, il ressemble trop au flic à la chique de « L’homme au pistolet d’or ». Il a le même charisme (quand on pense que c'est un ressort comique dans cet opus ça fait peur), ne semble pas si malin et sa fin est toute pourrie (et invraisemblable, surtout qu’après son aspiration le seul fait de descendre d’altitude arrête la dépressurisation, n’importe quoi). L'histoire est un peu complexe, sans raisons ce qui est pire, pas mal de persos secondaires inutiles, une mise en scène un peu chaotique, des dialogues moyens, des bons décors par contre, peu d'humour et un jeu d'acteur habituel pour Sean Connery, figé pour d'autres (surtout les femmes, d'ailleurs pas de JBG incontournable, connue grâce à Chapeau melon et bottes de cuir mais sans plus).
    Après ça reste un James Bond, donc rarement complètement nul, mais c'est un film d'espionnage pas minable, les protagonistes importants sont là (M, Q, Moneypenny), les gadgets et les voitures aussi, le générique de Shirley Bassey est ok, les nanas qui tombent comme des mouches sans raisons également mais bon, ça fait rêver donc ça passe. Néanmoins ça a du mal à traverser le temps, d'où les reboot actuels.
    vivaBFG
    vivaBFG

    13 abonnés 1 292 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mars 2019
    Voilà un bon divertissement qui fleure bon les années 60 : pas de cascades grandioses mais pas mal de scène d'action, qui ont la particularité de paraitre crédibles, en regard de ce que l'on peut voir dans les derniers James Bond.
    Le scénario est pas mal, il n'y a pas trop de rebondissement, l'intrigue en est donc simple mais efficace.
    Pour les amateurs de belles voitures, ils seront servis. Non seulement James Bond reçoit pour la 1ère fois la DB5 mais il y a un florilège d'autre belles voitures essentiellement américaines.
    A voir par les amateurs de vieux films d'action et de James Bond bien entendu.
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