Des vieux James Bond (avant ceux avec T. Dalton et P. Brosnan), c'est mon préféré. Içi, l'histoire est plus sobre, mieux maîtrisée, avec son scénario malin qui réserve son lot de rebondissements. Certes, la direction artistique a vieilli mais dans cet épisode, les scènes d'action sont classiques et les gadgets peu présents (à part lors de la spectaculaire course-poursuite en voitures, ils sont absents du film). S. Connery joue le flegme britannique comme personne, mêlé à une forte dose de machisme et de violence. Le méchant est assez sobre (mais il a un plan très machiavélique), interprété avec bonhomie par G. Fröbe. Il est épaulé par un serviteur inquiétant, qui donnera pas mal de fil à retordre à notre héros. Episode culte par de nombreux aspects (le chapeau boomerang, l'Austin Martin trafiquée, le générique), au rythme alerte et à l'intrigue suffisamment crédible pour nous tenir en haleine tout le long. D'autres critiques sur
Ultimes représentants du serial (série cinématographique populaire du début du XXème siécle), les films James Bond fonctionne sur une application codifiée de canons particuliers. "Ian Fleming's Goldfinger" (Grande-Bretagne, 1965) de Guy Hamilton en demeure un fleuron exemplaire, associant scénario académiquement établis, donc savamment conforme au désir moyen du spectateur, et glamour parfaitement propice au CinémaScope grandiose. L'élégance habile de Sean Connery, la fourberie machiavélique du personnage Goldfinger (Gert Frobe) et la sensualité des personnages féminins sont tant d'apports typées qui bâtissent la tour experte de cette énième déclinaison des frasques de l'agent 007. Dans cet épisode, l'agent secret britannique doit découvrir l'ambition secrète d'un riche propriétaire omnubilé par l'or. Et l'accent germanique, voire russe de Goldfinger préfigure le conflit qui oppose le bloc occidentale (en la personne de Bond) au bloc soviétique (en la personne de Goldfinger). Le film, amorçant une lutte colossale entre l'armée des Etats-Unis et celles de Goldfinger, se nourrit des péripéties rocambolesques et romanesques de l'agent Bond autant qu'il délivre un message voilée sur la conquête du pouvoir dans le monde. Car l'or tant convoité du film n'est autre que la prépotence des nations et "Ian Fleming's Golfinger" se charge d'en décrire la lutte. Et bien au-delà de la métaphore nécessaire à ces films d'actions soignés, le film d'Hamilton décèle vergogneusement la sexualité de Bond en prolongeant tantôt son phalus par son arme à feu et tantôt en castrant ses ardeurs, symbolisés par la sclérose de son enquête. Héros en crise dans l'analogie d'un monde disputé, "Ian Fleming's Goldfinger", bien davantage qu'un simple James Bond remarquable, se meut en destabilisant ses codes et en retenant l'accomplissement merveilleux des aventures.
Sans dote le meilleur Bond avec Sean Connery. Et quand on sait que ce dernier était le meilleur dans le rôle de l'agent 007, ça vous donne idée de la place de ce film dans la série.
Un James Bond qui ressemble à tous les James Bond : mêmes gadgets, mêmes scènes de poursuites, mêmes bagarres... Néanmoins, c'est très distrayant et on passe un bon moment car il ne se prend pas au sérieux. Quant à Sean Connery, il reste, d'après moi, le meilleur de tous les James Bond. Il a d'ailleurs démontré par la suite qu'il est capable de bien mieux que ça.
On aime ou pas James Bond et on se lasse ou non de revoir entre autres les premières aventures du plus célèbre agent secret alors interprété par le légendaire Sean Connery. Troisième épisode 007, ce "Goldfinger" tourné en 1964 et souvent cité comme étant l'une des références de la série suscite aujourd'hui l'amusement devant un produit complètement démodé mais au charme sixties inégalable. Que ce soit dans la musique, les couleurs, les costumes, toute l'esthétique s'avère indéniablement marquée dans son époque. Connery en impose dès le début par l'intermédiaire de techniques de dragues imparables et un coup d'oeil indétrônable. S'ensuivent quelques prouesses physiques à la chorégraphie limitée (notamment en terme de vitesse dirons-nous) mais fortes agréables. Et pour cause, Bond exécute des coups de poing jubilatoires ici et là et semble bien plus humain que le monnolithique Daniel Craig. So british, il nous régale de ses répliques gentleman qui font toujours mouche. Le charisme est indéniable, la classe afflue et l'on se dit que Connery est vraiment de très loin le meilleur des Bond, James Bond. Il porte le film à bouts de bras, fait entrer dans la légende un bon paquet de péripéties jubilatoires avant de se faire enfermer par le grand méchant. Plutôt réussi d'ailleurs ce Goldfinger qui parvient tant bien que mal à maintenir les rennes d'un long-métrage s'essouflant progressivement. Effectivement, plus le film avance et plus il semble en roue-libre, trop calibré pour intéresser. Hamilton avait déjà à l'époque les contraintes des studios et après une première heure inventive délicieusement kistch, il s'enfonce dans une grosse production peu convaincante aux effets spéciaux dépassés sans être très drôles. Je ne suis pas sûr de convaincre avec ma critique car tout le monde sait de quoi il s'agit mais je souhaitais faire part de la bonne humeur que ce "Goldfinger" dégage, au moins une heure durant.
Ce film est bien.Je trouve qu'il resemble beaucoup aux autres James Bond (filles,accessoirs,...).Le sénario est bien.La première partie est la mieux,c'est marrant,avec pas mal d'action.Elle est très active,que la deuxième est plus cascades vieillotes.C'est un film qui est intéressant pour ce qui aime bien les James Bond ou le genre là.Je pense que ce film peut être regarder par tous,grands comme petits (six ans au minimum).Si vous n'avez rien à faire,vous pourriez regarder ce film qui vous divertira très bien,sans vous ennuyer.J'ai mis deux étoiles surtout pour l'action du début avec les moments rigolos,mais aussi pour la préstation de Sean Conneri.
Je considère personnellement ce film comme le meilleur James Bond de l'ère Sean Connery. Nettement supérieur aux deux premiers épisodes (qui étaient déjà très bons), il encre définitivement James Bond dans l'Histoire du Cinéma. Dr No était un très bon film, Bons Baisers était un excellent film, mais Goldfinger, lui, est un chef d'oeuvre.
Considéré par tous les fans de l'agent secret comme le meilleur épisode, Goldfinger est en effet excellent en tous points : les ennemis sont tellement charismatiques (Pussy Galore est une des plus belles James Bond Girl), une chanson d'intro par Shirley Bassey absolument superbe et un Sean Connery impeccable dans son smoking. Ce titre doit être absolument vu que vous soyez fans ou non de du célèbre agent secret.
Tout simplement le meilleur de tous l'agent double zéro 7. A voir et revoir avec un Sean Connery au meilleur de sa forme et un méchant à souhait... MV de Mada.
Sean Connery prend la pleine mesure de son rôle en lui ajoutant une apréciable dose d'humour. Goldfinger est sans conteste le "méchant" le plus charismatique de la série et les face à face verbaux avec Bond sont jubilatoires, notamment lors de la mémorable partie de golf.
le meilleur bond de sean,des méchants trés inqiétants des james bond girls trés séduisantes,seul quelques scénes de combats en plus en aurrait fait le meilleur