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CeeSnipes
283 abonnés
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5,0
Publiée le 17 avril 2012
Après deux films réalisés par Terence Young, le réalisateur Guy Hamilton fut appelé à la rescousse quand son prédécesseur jeta l’éponge pour tourner Goldfinger, le troisième opus de la saga de 007.
Si les deux premiers films étaient plutôt sérieux, Goldfinger tombe dans le délire un poil hédoniste qui représente la saga 007 et c’est tant mieux. En effet, bien mis en scène, on peut rendre un 007 passionnant comme celui-ci. Enchaînant les conquêtes et les lieux d’enquête, Sean Connery, de presque tous les plans, encore une fois excellent, traque Gert Fröbe & Harold Sakata, tous deux parfaits et charismatiques en diable, avant de très vite se faire capturer, de manière inattendue, ce qui développe un changement dans le scénario très original. Auparavant, on a le droit à une partie de golf absolument passionnante et à la limite du virtuose et à une jolie attaque gratuite de James Bond envers les Beatles lors d’une scène mythique (celle de la peinture d’or). Quant au climax, il est génial. La mise en scène est donc efficace, n’appuyant pas trop les côtés comiques, et rendant les scènes d’action très efficaces.
Goldfinger est un film passionnant, bien joué, et sans doute le meilleur 007 des trois premiers, tant les demandes du spectateurs sont respectées. Jusqu’où la belle série va-t-elle aller?
Un grand classique. Le Meilleur Bond de Sean Connery et dans le Top 3 des Bond. J'adore le coté vintage de l'époque et la classe de Sean connery. Imaginer ce film a l'epoque qu'il est sorti c'etait tout simplement une tuerie!!!
Goldfinger marque la troisième participation de Sean Connery dans le rôle de James Bond. Malgré son excellente réputation d'ordre mondiale, Goldfinger constitue le film de la saga le plus invraisemblable en terme de technique et de scénario. Un scénario qui, d'ailleurs, part pourtant d'un postulat intéressant mais vite gâché par des faux raccords et des incohérences carrément insupportables (évanouissement soudain des soldats, explosion de l'avion en fin de film, poursuite en voiture, etc.). Le jeu d'acteur de Sean Connery n'arrange rien ; son personnage non plus d'ailleurs. En effet, James Bond se voit être dominer du début jusqu'à la fin par un adversaire (Auric Goldfinger) qui, d'ailleurs, provoque d'avantage le rire qu'autre chose. Mais le héros arrive tout de même à s'en sortir. Comment ? En usant de son charme pour séduire Pussy Galore. Plus familièrement, ce sont les cabrioles du héros qui finissent par sauver le monde. Une partie de jambes en l'air comme solution au problème, voilà ce qu'ont pondu les scénaristes. C'est carrément lamentable. A cela s'ajoutent de mauvais cadrages et une fin totalement ratée. Restent de beaux décors, de belles compositions musicales par John Barry et quelques bonnes scènes comme celle de la partie de golf entre Bond et Goldfinger ou celle du pré-générique. Tout le reste est à jeter. Goldfinger est un film aujourd'hui devenu intolérable car ayant très mal vieilli. Passez donc votre chemin, le meilleur de la saga est ailleurs.
Assurément l'un des meilleurs James Bond: Sean Connery au sommet de son art, un des meilleurs scénario de la série. On y retrouve les ingredients de tout les bons James Bond: une musique prenante, un adversaire à la fois raffiné, élégant et machiavélique assisté d'un véritable tueur, une présence suffisante mais pas étouffante de gadgets (le film ne tombe pas dans un blockbuster où le héros ne sert juste qu'à utiliser les création de Q).
Un an environ après "From Russia With Love" (Terence Young, 1963), la marque James Bond achève d'imposer sa griffe avec "Goldfinger", l'un des épisodes les plus célèbres de la saga. Guy Hamilton réunit déjà tout ce qui va assurer la prodigieuse longévité des aventures filmiques de l'agent 007 : une scène d'ouverture qui est un petit bijou en soi, un scénario sans faille ni temps morts (à l'époque, James Bond relevait encore du pur cinéma d'espionnage ; à partir de l'ère Pierce Brosnan, on glisse de plus en plus vers le film d'action - et, c'est un sentiment personnel, on perd quelque chose en route), un arsenal de gadgets plus géniaux les uns que les autres, et surtout, un héros charismatique, haut en couleur, tout en classe et en finesse, en train d'écrire sa légende en lettres d'or. Face à lui, Goldfinger est l'un des méchants les plus brillants de la saga, monstre mégalomane qui entend atteindre l'excellence en matière criminelle. Sans être mon épisode favori - ma préférence va toujours à "L'Espion qui m'aimait" (Lewis Gilbert, 1977), avec la délicieuse Barbara Bach -, "Goldfinger" demeure une formidable réussite. Avec, en prime, un petit mot acerbe sur les Beatles de la part de James, à une époque où les idoles du rock n'avait pas encore très bonne presse...
Goldfinger est le troisième opus de la saga James Bond, faisant suite à James Bond 007 contre Dr No et Bons Baisers de Russie, tous deux très moyens. Etant actuellement l'épisode le mieux noté sur Allociné, d'ailleurs présent dans le top 200 du site, celui-ci change de cap : malgré que ce ne soit toujours pas un bon film, il n'est plus mauvais. Le bad guy est d'ailleurs plus intéressant, les bourdes moins nombreuses (mais toujours aussi flagrantes) et l'intrigue mieux construite. Avant de visionner prochainement Opération Tonnerre, cet opus marque décidément un cap, celui d'obtenir la moyenne.
Le meilleur James Bond. Des scènes mythiques toutes les cinq à dix minutes, un style très glamour et des répliques mémorables. Un méchant excellent et Sean Connery au sommet de sa forme. La musique est sensass, seul le générique m'a l'air franchement démodé. Une bande originale plus américanisée, c'est aussi le premier 007 se déroulant aux États-Unis. Les premiers gadgets extravagants apparaissent, peu outranciers, juste nécessaire. Guy Hamilton annonce déjà l'humour du début de la période Moore. Mais ici, cela reste en quantité parfaite. Une façon de filmer fluide et en accord avec l'action et le côté glamour du film. La partie de golf est très bien filmée, avec une certaine finesse, presque kubrickienne. Les dialogues du méchant sont très bons. Un excellent film.
toujours imité jamais égalé que ce soit au box office(c'est le plus gros succès de la saga à ce jour en France avec plus de 6 millions de spectateurs dans l'hexagone) ou en structure narrative, c'est le bond qui a le mieux vieilli et qui n'a pas a rougir de ses petits frères, "goldfinger" est un énorme film culte ainsi que l'un des plus grands classiques du cinéma d’espionnage, à voir absolument que vous soyez fan ou néophyte courrez vous le procurer.
Rien de mieux qu'un bon james bond a l'ancienne. Cette épisode nous plonge dans un guerre d'or dont le méchant Goldfinger est opposé au charismatique Mr Bond. J'adore grave!!!
Goldfinger est un des meilleurs de la saga. Un scénario pas trop mal, de bonnes scènes d'action et Sean Connery vraiment crédible en James Bond. Cependant, comme l'ensemble des James Bond, ce film ne vieillit pas très bien.
Mon premier James Bond. Un bon film, avec un bon scénario même si on sent que ce film commence à se faire vieux. Sean Connery semble cependant être fait pour ce rôle.