Mon compte
    Goldfinger
    Note moyenne
    3,9
    14885 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Goldfinger ?

    385 critiques spectateurs

    5
    111 critiques
    4
    164 critiques
    3
    72 critiques
    2
    33 critiques
    1
    5 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    stallonefan62
    stallonefan62

    287 abonnés 2 554 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 avril 2022
    Une bonne histoire, de bonnes scènes d'actions avec pas mal de fusillades et cascades !! Un antagoniste intéressant et imposant !! bref, ce 3ème volet est un bon cru !! Avec un très bon Sean Connery , un vrai charmeur de femmes !!!
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    175 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 janvier 2016
    Goldfinger est le James Bond par excellence. Celui qui a inventé la plupart des choses qui font James Bond (la scène d ouverture, le première fois que l on voit M présentant ses gadgets, la fameuse Aston Martin). Le méchant est un deux mieux réussi et que dire de la prise de fort knox. Un des meilleurs si ce n est le meilleur des Bond.
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2022
    Peut-être la plus mythique des adaptations de Ian Fleming, enveloppée par la voix divine de Shirley Bassey. Richard Maibaum insère un premier virage dans la franchise : la James Bond Girl n'est plus un objet. Bon, ce n'est pas non plus du féminisme, mais Honor Blackman nous fait grâce d'une indépendance certaine. Pas si facile quand on s'appelle Pussy...Avant de dérouler l'intrigue sur l'Est-USA, Mr Bond étrenne pour la première fois la fameuse Aston Martin DB5 sur le col de la Furka et ses lacets dans les Alpes suisses, un mythe dans le mythe. Q y insère un GPS (précurseur vous avez dit?) type sonar en écran de contrôle, des moyeux amovibles et tranchants, des jets de fumigène et d'huile par l'arrière, ou encore un siège passager éjectable, tout un programme. La sympathie du méchant très naïf, et déjà trop riche, Auric Goldfinger, est presque déconcertante, son homme de main Oddjob l'étant beaucoup moins. On note deux faits intéressants : l'intrigue pré-générique au Mexique est complètement déconnectée de la suite du film. Aussi, on met de côté l'organisation du Spectre, dont le n°1 aperçu en contre-champ dans Bons Baisers de Russie n'a toujours pas révéler son identité. A noter que ces trois premiers films nous annonce déjà les suites dans les génériques de fin, c'est dire si le business model était déjà très puissant.
    VOSTTL
    VOSTTL

    95 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mai 2022
    Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
    Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
    A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
    Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
    D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

    « Goldfinger ».
    Troisième épisode de la jeune série James Bond.
    Terence Young a laissé sa place à Guy Hamilton.

    « Goldfinger » est mon premier James Bond vu dans un cinéma « Art et Essai » en 1977 !
    Quatre grands souvenirs : Gert Fröbe, une femme nue peinturlurée d’or, un reflet dans un oeil et une voiture avec siège éjectable.
    Une voiture que j’avais eue comme cadeau quand j’étais petit, copie conforme au film avec le siège éjectable et la figurine !
    J’étais content de découvrir le film dans lequel je retrouvais cette voiture nommée Aston Martin DB-5, la voir réellement vivre, si je puis dire.

    Je ne m’éternise pas : « Goldfinger » est un bon cru, je le préfère au premier épisode, cependant, il reste derrière « Bons baisers de Russie », en ce qui me concerne.

    Le générique annonce la couleur avec des formes féminines couvertes d’or dans lesquelles ondulent les personnages qui nous seront donné à voir. Et cette fois, le générique est accompagné d’une chanson interprétée par Shirley Basset
    La saga évolue pas à pas.

    James Bond doit surveiller les agissements d’un homme d’affaire milliardaire, Goldfinger, obsédé par l’or. Apparemment, il en possède une grande quantité.
    spoiler: Au cours de sa mission, 007 va découvrir que ce milliardaire a pour folie d’irradier le stock d’or entreposé à Fort Knox ; cet or inutilisable estimé sur 58 ans, permettra à l’or de Goldfinger d’exploser sa valeur.

    Goldfinger, c’est Gert Frobe, celui de mes souvenirs.
    L’extravagance est de retour après la parenthèse « Bons baisers de Russie » ; on parle de bombe atomique quand même, spoiler: bombe utilisée seulement pour irradier un simple entrepôt d’or !
    Et on parle aussi de gaz mortel aspergé du haut d’une escadrille volante.
    Si on y réfléchit bien, cette extravagance reste encore dans le domaine du raisonnable !!!

    Gert Frobe campe un méchant assez classique, il impose par sa stature mais tout passe par son homme de main, le redoutable Oddjob (Harold Sakata), d’une stature toute aussi imposante, affublé d’un chapeau coupe-tête.

    Autre souvenir : le fameux reflet dans l’oeil. spoiler: James Bond voit son agresseur dans l’oeil de la femme qu’il s’apprête à embrasser.

    Une belle trouvaille de mise en scène.

    Autre souvenir : une femme au corps recouvert d’une peinture or allongée sur un lit.
    J’avais le souvenir qu’elle était nue. Elle l’est. La mise en scène nous la fait deviner. Pourtant, j’ai eu des doutes, les fameuses photos du film nous montrent un corps portant un maillot, lui-même enduit d’or.
    Je ne vous cache pas ma déception, je pensais voir au moins une autre victime peinte en or, la signature d'Auric Goldfinger. Peine perdue.
    Après tout, Auric Goldfinger n’est pas un serial killer !

    La James Bond girl ?
    Sur le lit, gît Jill Masterton (Shirley Eaton) ; spoiler: la malheureuse, surprise à aider Goldfinger à tricher et séduite par James Bond, finira assassinée le corps nu couvert d’or.

    Elle est écartée dans la première demi-heure du récit.
    Dans l’entourage de Goldfinger, Pussy Galore sous les traits de Honor Blackman. Avec un prénom pareil, on pouvait s’attendre à une nunuche, au contraire, on a droit à une James Bond Girl de caractère :
    « Cessez le charme, je suis immunisée » dit-elle à James Bond étonné qu’une « pussy » ne lui tombe pas aussi facilement dans ses bras !
    Caractère qui finira par céder, comme toute James Bond Girl qui se respectent.
    Cahier des charges, oblige !
    Pussy a tout de l’opportuniste. Elle s’appuie sur Goldfinger pour empocher une belle somme qui assurera ses beaux jours, elle ne compte pas le servir ad aeternam. spoiler: Quand elle réalisera que Goldfinger est synonyme d’arme atomique, elle sera l’alliée inattendue de l’agent 007.


    Avec ce troisième épisode, j’ai noté qu’il ne fallait pas trop se poser de questions.
    spoiler: En effet, après avoir expédié Goldfinger par le hublot de son jet piloté par Pussy,
    spoiler: cette dernière impuissante à redresser ledit jet qui s’apprête à piquer dans la mer, se retrouve à terre dans les bras de James Bond des parachutes autour d’eux. On voit l’avion s’abîmer en mer mais on ne voit pas nos tourtereaux sauter en parachutes.

    A voir en V.O si possible pour la voix Gert Fröbe, quand même.
    Xavier D
    Xavier D

    59 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2021
    Considerer comme le meilleur épisode de la saga, on a tous, en effet, dans celui-ci. Les filles, Laston Martin Db5, les scènes d'action, le méchant le plus réputé avec son colosse asiatique et son chapeau melon. Des scènes d'anthologie extrême, le personnage de Q, les gadgets don't le plus célèbre et le plus utile, la Db5. Le chanteuse qui chante Goldfinger, on l'a tous en tête, également. La fille en or, aussi, allongé sur le lit. Le scénario est plus que malin, tiré du roman de Ian Fleming, et la première réalisation de Guy Hamilton ! Le bijoux de la saga des James Bond, c'est celui là et un autre, outre de retrouver Sean Connery, qui nous fit découvrir ce personnage emblématique, des années plus tôt. Là, on s'appuie juste sur l'aspect général de l'épisode, qu'aucun autre, ne trouvera où fugassement, le même niveau d'excellence !
    Julien D
    Julien D

    1 197 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2013
    Après deux épisodes signés par Terence Young nous introduisant ce nouvel icône du cinéma d’action ainsi que les bases de la saga, la troisième aventure de James Bond s’axe avant tout sur ses décors plus impressionnants, en particulier les coffres forts de fort Knox, et sur les armements et autres gadgets mis à disposition de l’agent 007, parmi lesquels on découvre un nouvel élément qui deviendra récurrent, et même inhérent à la franchise, qu’est l’Austin Mini. Sean Connery excelle plus que jamais dans le rôle de cet agent secret britannique débordant de charisme mais Honor Blackman s’avère être une "James Bond girl" moins envoutante que les deux précédentes. Mais le principal regret autour de Goldfinger vient du fait de savoir qu’Orson Welles était initialement pressenti pour incarner le méchant de l’histoire mais pu être recruté. L’aspect rocambolesque et le peu de complexité de l’intrigue comparativement à celle du précédent opus peuvent faire paraitre le film comme un simple divertissement plutôt que comme un réel thriller d’espionnage mais son énorme succès commercial imposa aux producteurs de faire de sa structure narrative la nouvelle pièce maîtresse de la plupart des films suivants.
    7eme critique
    7eme critique

    531 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2017
    "Goldfinger" est un James Bond qui se démarque grâce à ses idées certainement plus marquantes que bon nombre de ses autres épisodes, en plus d'un thème musical de grande qualité.
    Ce troisième opus des aventures de James Bond a de la classe et du rythme, de quoi ne pas faire décrocher le spectateur une seule seconde (si ce n'est quelques moquerie à l'égard des scènes de bagarres sacrément dégueulasses de l'époque). Un grand classique de la franchise !
    Stephenballade
    Stephenballade

    396 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2019
    Qu’on se l’avoue ou pas, le plaisir de retrouver l’agent 007 est bien réel. L’attente provoquée par l’annonce des prochaines aventures de Bond lors du générique de fin de "Bons baisers de Russie" s’en retrouve satisfaite. Par le biais de "Goldfinger", la saga « James Bond » prend une autre dimension. A l’occasion de cette troisième adaptation, après le sixième roman mettant en scène James puis le cinquième, c’est le septième roman de Ian Fleming qui est mis à l’honneur. Sean Connery revêt le costume de 007 pour la troisième fois, Lois Maxwell celui de Miss Moneypenny pour la troisième fois également, Bernard Lee incarne « M » pour la seconde fois après avoir commencé par un personnage différent lors de l’épisode Dr. No, et Desmond Llewelyn réendosse le rôle de « Q », pour la deuxième fois lui aussi. Sauf que tout ce petit monde est cette fois dirigé par Guy Hamilton, Terence Young ayant quitté le navire pour une sombre histoire de désaccord financier. Sûrement une question de salaire, car "Goldfinger » bénéficie d’un budget égal aux deux films précédents réunis ! Alors on peut davantage soigner les effets sonores (Norman Wanstall se verra d’ailleurs octroyer un Oscar), passer la vitesse supérieure sur les voitures et les gadgets, les deux faisant ici la paire. Voici donc la plus célèbre des voitures que James Bond ait eu à conduire, l’Aston Martin DB5. Un modèle si mythique que j’en ai moi-même possédée une… quand j’étais gosse ! Ah ben hein vous ne croyiez tout de même pas que j’en avais eu une pour de vrai, tout de même ? Non, là c’était un modèle réduit. Mais ce véhicule-là contribue à donner plus de dimension aux films James Bond. On peut le noter dès le générique de début, puisque "Goldfinger" est le premier Bond qui bénéficie d’un thème introductif chanté. J’ignore qui a eu cette idée lumineuse, mais le fait est que la voix et la puissance vocale de Shirley Bassey produisent leur effet, d’autant que les vocalises sont posées sur le thème de John Barry, certes réorchestré pour l’occasion. Cela ne veut pas dire que nous perdons le pré-générique habituel, non. Mais avec une telle chanson, ça annonce l’air de rien quelque chose de plus costaud. Et assurément, on a là quelque chose de plus costaud. Dans tous les domaines. Déjà on a beaucoup moins de défauts de montage. Les faux raccords ont quasiment disparus. Il en va de même pour les incohérences. Pourtant, j’étais prêt à crier haro sur ce film en voyant tomber les gens comme des mouches alors que l’avion passe tout juste au-dessus d’eux. D’autant qu’après, on voit des poules se promener tranquillement au milieu des corps inanimés. Là on sait qu’il y a quelque chose qui cloche mais patience ! L’explication viendra plus tard. En attendant, on notera une évolution dans le personnage de cet éternel charmeur qu’est James : non seulement on le voit plus en action que jamais (et ça commence par la tenue de plongeur magnifiquement camouflée par un palmipède, mais en plus c’est la première fois qu’on voit son cœur vaciller. Pourtant, le joli cœur a de quoi satisfaire son besoin irrépressible de charmer, puisque les James Bond girls sont plus nombreuses, notamment par rapport au film précédent. Ainsi, ce sont tour à tour la yougoslave Nadja Regin (Bonita la danseuse au Mexique), Margaret Nolan (Dink, la masseuse de Miami), les britanniques Shirley Heaton (Jill Masterson, l’assistante de Goldfinger) et Tania Mallet (Tilly Masterson), et enfin l’anglaise Honor Blackman qui nous ravit de ses décolletés. A propos de ces décolletés, c’est à peu près la seule décision qu’on approuve de la part de Goldfinger, bien qu’inconvenante il faut bien l’admettre. Toutes ne tomberont pas cependant dans les bras de l’irrésistible espion. L’une d’entre elles n’en aura pas le temps, surtout qu’elle avait autre chose à penser. C’est même d’ailleurs par elle que le légendaire charme de Bond se voit égratigner une première fois. « Je m’appelle Bond, et vous ? J’ai pas de temps à perdre » répond-elle. Trop marrant. Une autre saura résister, égratignant pour la seconde fois l’irrésistiblerie de Bond. « Arrêtez votre numéro de charme ». Et bim ! Mais pas de quoi ébranler l’homme. Les femmes, pour lui, ça va ça vient. Le scénario est plus fourni. Sans doute est-ce dû au fait que Ian Fleming, alors à son septième roman bondesque, a étoffé davantage ses personnages, tout du moins les principaux. C’est le cas d’Auric Goldfinger. Franchement, le dirigeant du Spectre pourrait en prendre de la graine, tant ce Goldfinger parait plus inquiétant encore que les adversaires passés de 007, l’allemand Gert Fröbe ayant su interpréter son rôle-titre avec beaucoup de justesse, en faisant preuve de légèreté à l’encontre de ceux qui pourraient contrarier ses plans. Quant à Sean Connery, il semble désormais s’être bien installé dans ce rôle, se laissant aller quelquefois à quelques mimiques savoureuses. "Goldfinger" est donc bel et bien le meilleur des trois premiers films. Un méchant d’une autre carrure (et ce n’est pas que physique), un Sean Connery qui se bonifie, un budget de plus en plus conséquent amenant plus d’action, et moins d’erreurs techniques. Personnellement, à l’époque, j’aurai signé pour un quatrième film, d’ailleurs annoncé lors du générique de fin. Et comme pour rattraper le temps perdu (enfin si j’ose dire puisque je n’étais pas né), je vais continuer à visiter cette saga très rapidement.
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juillet 2010
    La série s'améliore au fil des épisodes. Dans "Goldfinger", il y a tout : un Sean Connery parfait (plus charismatique et macho que jamais), une super BO (la chanson titre interprétée par Shirley Basset), tous les "codes" enfin réunis (la phrase, le cocktail, la scène de Q, les gadgets, M, Money Penny, Félix Leiter...), un bon scénario (la victime peinte en or, le tueur au chapeau, l'attaque de Fort Knox), des méchants d'anthologie (le génial Goldfinger campé par l'énorme Gert Fröbe, le terrible Oddjob...), une James Bond girl enfin pas nunuche (Pussy Galore au nom évocateur), des scènes d'anthologie (le pré-générique, la scène du laser, la partie de golf...). Et en plus, James Bond a désormais sa voiture : la légendaire Aston Martin DB5 ! Un très bon cru auquel on ne pourra que reprocher son côté vieillot (les effets spéciaux) et une certaine passivité de 007 lors de sa captivité chez Goldfinger.
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    351 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2016
    Goldfinger, 1964, 3ème opus et certainement l'un des plus populaires de la saga avant l'ère Brosnan. Un film aussi bien ficelé ne peu que bien vieillir. Tantôt policier, tantôt espionnage, tantôt action, les plaisirs sont variés, et l'on comprend tout de suite d'où vient cette notoriété universelle et intemporelle. L'acteur icône de sa génération, Sean Connery, crève littéralement l'écran. Au volant de son Aston Martin ou lors d'une partie de golf à la loyal, il ne perd jamais de sa prestance. La fascination pour l'or est au centre du débat comme en témoigne le cadavre d'une femme entièrement recouvert d'or. Attaque au sommet dans un Fort Knox néanmoins accessible comme un moulin. Un opus des plus cultes pour ces scènes marquantes: Bond menacé par un rayon laser, l'homme au chapeau melon tranchant, les scènes d'action impressionnantes pour l'époque, et cette mise en scène irréprochable. Toujours sous le charme des belles femmes, l'agent britannique n'est jamais avar de sa personne et s'est tout à son honneur. Un grand classique devenu culte. 4/5
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    283 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 avril 2012
    Après deux films réalisés par Terence Young, le réalisateur Guy Hamilton fut appelé à la rescousse quand son prédécesseur jeta l’éponge pour tourner Goldfinger, le troisième opus de la saga de 007.

    Si les deux premiers films étaient plutôt sérieux, Goldfinger tombe dans le délire un poil hédoniste qui représente la saga 007 et c’est tant mieux. En effet, bien mis en scène, on peut rendre un 007 passionnant comme celui-ci. Enchaînant les conquêtes et les lieux d’enquête, Sean Connery, de presque tous les plans, encore une fois excellent, traque Gert Fröbe & Harold Sakata, tous deux parfaits et charismatiques en diable, avant de très vite se faire capturer, de manière inattendue, ce qui développe un changement dans le scénario très original. Auparavant, on a le droit à une partie de golf absolument passionnante et à la limite du virtuose et à une jolie attaque gratuite de James Bond envers les Beatles lors d’une scène mythique (celle de la peinture d’or). Quant au climax, il est génial. La mise en scène est donc efficace, n’appuyant pas trop les côtés comiques, et rendant les scènes d’action très efficaces.

    Goldfinger est un film passionnant, bien joué, et sans doute le meilleur 007 des trois premiers, tant les demandes du spectateurs sont respectées. Jusqu’où la belle série va-t-elle aller?
    flushroyal
    flushroyal

    32 abonnés 910 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2013
    Un troisième épisode de très bonne facture considéré pour beaucoup comme le meilleur de la série. Toutefois, si le cahier des charges de la série est parfaitement déroulé, je n'irai pas jusqu'à considéré ce Golfinger comme tel. Il n'en demeure pas moins qu'il s'agit d'un très bon épisode ou Sean Connery compose son personnage avec toujours beaucoup de classe. L'histoire est prenante et rythmé avec des scènes d'action inventives. Certains passages sont presque devenus cultes. Le scénario s'amuse à multiplier les surprises en n'hésitant pas à surprendre le spectateur. Le fond sur la spéculation sur l'or est plutôt bien exploité. Un épisode qui installe définitivement et durablement la saga de l'agent OO7 comme la référence du cinéma d'action.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 septembre 2009
    Un bijou, avec le talentueux S.Connery ! De l'humour, de véritables beautés, de l'imagination, des effets, de la technique, de la classe, de la distinction. Le scénario un peu gros est à la hauteur du personnage. Goldfinger est vraiment impeccable dans son rôle. Un must que ce chef d'œuvre ! A ne pas louper.
    Fabien S.
    Fabien S.

    544 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2020
    Un très bon troisième volet des aventures d'espionnage de James Bond. Sean Connery incarne cet agent secret célèbre et british avec classe et élégance.
    oranous
    oranous

    141 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2009
    Je trouve que cet épisode est supérieur aux deux autres, a tous points de vue. L’histoire est vraiment très prenante et on ne relâche a aucun moment. Toujours aussi manichéen, ce nouveau méchant est meilleur. Les combats sont toujours aussi spectaculaires. En bref, ce James Bond reste pour autant un divertissement spectaculaire de haut niveau.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top