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    Goldfinger
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    Julien D
    Julien D

    1 128 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2013
    Après deux épisodes signés par Terence Young nous introduisant ce nouvel icône du cinéma d’action ainsi que les bases de la saga, la troisième aventure de James Bond s’axe avant tout sur ses décors plus impressionnants, en particulier les coffres forts de fort Knox, et sur les armements et autres gadgets mis à disposition de l’agent 007, parmi lesquels on découvre un nouvel élément qui deviendra récurrent, et même inhérent à la franchise, qu’est l’Austin Mini. Sean Connery excelle plus que jamais dans le rôle de cet agent secret britannique débordant de charisme mais Honor Blackman s’avère être une "James Bond girl" moins envoutante que les deux précédentes. Mais le principal regret autour de Goldfinger vient du fait de savoir qu’Orson Welles était initialement pressenti pour incarner le méchant de l’histoire mais pu être recruté. L’aspect rocambolesque et le peu de complexité de l’intrigue comparativement à celle du précédent opus peuvent faire paraitre le film comme un simple divertissement plutôt que comme un réel thriller d’espionnage mais son énorme succès commercial imposa aux producteurs de faire de sa structure narrative la nouvelle pièce maîtresse de la plupart des films suivants.
    7eme critique
    7eme critique

    477 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2017
    "Goldfinger" est un James Bond qui se démarque grâce à ses idées certainement plus marquantes que bon nombre de ses autres épisodes, en plus d'un thème musical de grande qualité.
    Ce troisième opus des aventures de James Bond a de la classe et du rythme, de quoi ne pas faire décrocher le spectateur une seule seconde (si ce n'est quelques moquerie à l'égard des scènes de bagarres sacrément dégueulasses de l'époque). Un grand classique de la franchise !
    Stephenballade
    Stephenballade

    365 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2019
    Qu’on se l’avoue ou pas, le plaisir de retrouver l’agent 007 est bien réel. L’attente provoquée par l’annonce des prochaines aventures de Bond lors du générique de fin de "Bons baisers de Russie" s’en retrouve satisfaite. Par le biais de "Goldfinger", la saga « James Bond » prend une autre dimension. A l’occasion de cette troisième adaptation, après le sixième roman mettant en scène James puis le cinquième, c’est le septième roman de Ian Fleming qui est mis à l’honneur. Sean Connery revêt le costume de 007 pour la troisième fois, Lois Maxwell celui de Miss Moneypenny pour la troisième fois également, Bernard Lee incarne « M » pour la seconde fois après avoir commencé par un personnage différent lors de l’épisode Dr. No, et Desmond Llewelyn réendosse le rôle de « Q », pour la deuxième fois lui aussi. Sauf que tout ce petit monde est cette fois dirigé par Guy Hamilton, Terence Young ayant quitté le navire pour une sombre histoire de désaccord financier. Sûrement une question de salaire, car "Goldfinger » bénéficie d’un budget égal aux deux films précédents réunis ! Alors on peut davantage soigner les effets sonores (Norman Wanstall se verra d’ailleurs octroyer un Oscar), passer la vitesse supérieure sur les voitures et les gadgets, les deux faisant ici la paire. Voici donc la plus célèbre des voitures que James Bond ait eu à conduire, l’Aston Martin DB5. Un modèle si mythique que j’en ai moi-même possédée une… quand j’étais gosse ! Ah ben hein vous ne croyiez tout de même pas que j’en avais eu une pour de vrai, tout de même ? Non, là c’était un modèle réduit. Mais ce véhicule-là contribue à donner plus de dimension aux films James Bond. On peut le noter dès le générique de début, puisque "Goldfinger" est le premier Bond qui bénéficie d’un thème introductif chanté. J’ignore qui a eu cette idée lumineuse, mais le fait est que la voix et la puissance vocale de Shirley Bassey produisent leur effet, d’autant que les vocalises sont posées sur le thème de John Barry, certes réorchestré pour l’occasion. Cela ne veut pas dire que nous perdons le pré-générique habituel, non. Mais avec une telle chanson, ça annonce l’air de rien quelque chose de plus costaud. Et assurément, on a là quelque chose de plus costaud. Dans tous les domaines. Déjà on a beaucoup moins de défauts de montage. Les faux raccords ont quasiment disparus. Il en va de même pour les incohérences. Pourtant, j’étais prêt à crier haro sur ce film en voyant tomber les gens comme des mouches alors que l’avion passe tout juste au-dessus d’eux. D’autant qu’après, on voit des poules se promener tranquillement au milieu des corps inanimés. Là on sait qu’il y a quelque chose qui cloche mais patience ! L’explication viendra plus tard. En attendant, on notera une évolution dans le personnage de cet éternel charmeur qu’est James : non seulement on le voit plus en action que jamais (et ça commence par la tenue de plongeur magnifiquement camouflée par un palmipède, mais en plus c’est la première fois qu’on voit son cœur vaciller. Pourtant, le joli cœur a de quoi satisfaire son besoin irrépressible de charmer, puisque les James Bond girls sont plus nombreuses, notamment par rapport au film précédent. Ainsi, ce sont tour à tour la yougoslave Nadja Regin (Bonita la danseuse au Mexique), Margaret Nolan (Dink, la masseuse de Miami), les britanniques Shirley Heaton (Jill Masterson, l’assistante de Goldfinger) et Tania Mallet (Tilly Masterson), et enfin l’anglaise Honor Blackman qui nous ravit de ses décolletés. A propos de ces décolletés, c’est à peu près la seule décision qu’on approuve de la part de Goldfinger, bien qu’inconvenante il faut bien l’admettre. Toutes ne tomberont pas cependant dans les bras de l’irrésistible espion. L’une d’entre elles n’en aura pas le temps, surtout qu’elle avait autre chose à penser. C’est même d’ailleurs par elle que le légendaire charme de Bond se voit égratigner une première fois. « Je m’appelle Bond, et vous ? J’ai pas de temps à perdre » répond-elle. Trop marrant. Une autre saura résister, égratignant pour la seconde fois l’irrésistiblerie de Bond. « Arrêtez votre numéro de charme ». Et bim ! Mais pas de quoi ébranler l’homme. Les femmes, pour lui, ça va ça vient. Le scénario est plus fourni. Sans doute est-ce dû au fait que Ian Fleming, alors à son septième roman bondesque, a étoffé davantage ses personnages, tout du moins les principaux. C’est le cas d’Auric Goldfinger. Franchement, le dirigeant du Spectre pourrait en prendre de la graine, tant ce Goldfinger parait plus inquiétant encore que les adversaires passés de 007, l’allemand Gert Fröbe ayant su interpréter son rôle-titre avec beaucoup de justesse, en faisant preuve de légèreté à l’encontre de ceux qui pourraient contrarier ses plans. Quant à Sean Connery, il semble désormais s’être bien installé dans ce rôle, se laissant aller quelquefois à quelques mimiques savoureuses. "Goldfinger" est donc bel et bien le meilleur des trois premiers films. Un méchant d’une autre carrure (et ce n’est pas que physique), un Sean Connery qui se bonifie, un budget de plus en plus conséquent amenant plus d’action, et moins d’erreurs techniques. Personnellement, à l’époque, j’aurai signé pour un quatrième film, d’ailleurs annoncé lors du générique de fin. Et comme pour rattraper le temps perdu (enfin si j’ose dire puisque je n’étais pas né), je vais continuer à visiter cette saga très rapidement.
    dougray
    dougray

    216 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juillet 2010
    La série s'améliore au fil des épisodes. Dans "Goldfinger", il y a tout : un Sean Connery parfait (plus charismatique et macho que jamais), une super BO (la chanson titre interprétée par Shirley Basset), tous les "codes" enfin réunis (la phrase, le cocktail, la scène de Q, les gadgets, M, Money Penny, Félix Leiter...), un bon scénario (la victime peinte en or, le tueur au chapeau, l'attaque de Fort Knox), des méchants d'anthologie (le génial Goldfinger campé par l'énorme Gert Fröbe, le terrible Oddjob...), une James Bond girl enfin pas nunuche (Pussy Galore au nom évocateur), des scènes d'anthologie (le pré-générique, la scène du laser, la partie de golf...). Et en plus, James Bond a désormais sa voiture : la légendaire Aston Martin DB5 ! Un très bon cru auquel on ne pourra que reprocher son côté vieillot (les effets spéciaux) et une certaine passivité de 007 lors de sa captivité chez Goldfinger.
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    322 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2016
    Goldfinger, 1964, 3ème opus et certainement l'un des plus populaires de la saga avant l'ère Brosnan. Un film aussi bien ficelé ne peu que bien vieillir. Tantôt policier, tantôt espionnage, tantôt action, les plaisirs sont variés, et l'on comprend tout de suite d'où vient cette notoriété universelle et intemporelle. L'acteur icône de sa génération, Sean Connery, crève littéralement l'écran. Au volant de son Aston Martin ou lors d'une partie de golf à la loyal, il ne perd jamais de sa prestance. La fascination pour l'or est au centre du débat comme en témoigne le cadavre d'une femme entièrement recouvert d'or. Attaque au sommet dans un Fort Knox néanmoins accessible comme un moulin. Un opus des plus cultes pour ces scènes marquantes: Bond menacé par un rayon laser, l'homme au chapeau melon tranchant, les scènes d'action impressionnantes pour l'époque, et cette mise en scène irréprochable. Toujours sous le charme des belles femmes, l'agent britannique n'est jamais avar de sa personne et s'est tout à son honneur. Un grand classique devenu culte. 4/5
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    261 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 avril 2012
    Après deux films réalisés par Terence Young, le réalisateur Guy Hamilton fut appelé à la rescousse quand son prédécesseur jeta l’éponge pour tourner Goldfinger, le troisième opus de la saga de 007.

    Si les deux premiers films étaient plutôt sérieux, Goldfinger tombe dans le délire un poil hédoniste qui représente la saga 007 et c’est tant mieux. En effet, bien mis en scène, on peut rendre un 007 passionnant comme celui-ci. Enchaînant les conquêtes et les lieux d’enquête, Sean Connery, de presque tous les plans, encore une fois excellent, traque Gert Fröbe & Harold Sakata, tous deux parfaits et charismatiques en diable, avant de très vite se faire capturer, de manière inattendue, ce qui développe un changement dans le scénario très original. Auparavant, on a le droit à une partie de golf absolument passionnante et à la limite du virtuose et à une jolie attaque gratuite de James Bond envers les Beatles lors d’une scène mythique (celle de la peinture d’or). Quant au climax, il est génial. La mise en scène est donc efficace, n’appuyant pas trop les côtés comiques, et rendant les scènes d’action très efficaces.

    Goldfinger est un film passionnant, bien joué, et sans doute le meilleur 007 des trois premiers, tant les demandes du spectateurs sont respectées. Jusqu’où la belle série va-t-elle aller?
    flushroyal
    flushroyal

    26 abonnés 910 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2013
    Un troisième épisode de très bonne facture considéré pour beaucoup comme le meilleur de la série. Toutefois, si le cahier des charges de la série est parfaitement déroulé, je n'irai pas jusqu'à considéré ce Golfinger comme tel. Il n'en demeure pas moins qu'il s'agit d'un très bon épisode ou Sean Connery compose son personnage avec toujours beaucoup de classe. L'histoire est prenante et rythmé avec des scènes d'action inventives. Certains passages sont presque devenus cultes. Le scénario s'amuse à multiplier les surprises en n'hésitant pas à surprendre le spectateur. Le fond sur la spéculation sur l'or est plutôt bien exploité. Un épisode qui installe définitivement et durablement la saga de l'agent OO7 comme la référence du cinéma d'action.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 septembre 2009
    Un bijou, avec le talentueux S.Connery ! De l'humour, de véritables beautés, de l'imagination, des effets, de la technique, de la classe, de la distinction. Le scénario un peu gros est à la hauteur du personnage. Goldfinger est vraiment impeccable dans son rôle. Un must que ce chef d'œuvre ! A ne pas louper.
    Fabien S.
    Fabien S.

    476 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2020
    Un très bon troisième volet des aventures d'espionnage de James Bond. Sean Connery incarne cet agent secret célèbre et british avec classe et élégance.
    Chevalier du cinéma
    Chevalier du cinéma

    232 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 novembre 2015
    C’est donc avec ce troisième épisode, sorti en 1964, que la saga James Bond prend enfin toute l’importance qu’on lui connaît aujourd’hui puisque Goldfinger établit pour de bon la schématique et le « style bondien » qui feront le succès et le mythe immortel de cette saga d’action et d’espionnage. Sans doute le film le plus culte de l’agent secret de sa Majesté, et je pèse mes mots et beaucoup de Bondophiles seront d’accord, Goldfinger est en quelque sorte le « grand classique » de la saga car étant le plus célèbre par son titre et aussi l’un des plus grands succès de l’ère Sean Connery. A Miami, l’agent 007 se voit confié par M la mission de surveiller Auric Goldfinger, un industriel milliardaire obsédé par l’or. Au départ, cette mission se présente comme une simple surveillance mais James Bond se rend très vite compte qu’Auric Goldfinger est un homme qu’il ne faut pas sous-estimer lorsqu’il découvre le corps sans vie de la secrétaire du milliardaire, totalement recouverte de peinture d’or. Rentré à Londres, Bond en apprend plus sur sa mission qui consiste à établir comment Goldfinger réussit à faire passer son or sans qu’il ne se fasse repérer lors du passage des frontières de l’Angleterre. Mais cette mission va se révéler beaucoup plus difficile que prévu où Bond tentera de contrecarrer le plan diabolique que Goldfinger a en tête depuis de nombreuses années. Réalisé par Guy Hamilton, Goldfinger est donc l’épisode phare de la saga James Bond, le plus culte au sein de la mythologie bondiènne. Après un premier épisode dans un style d’aventure/espionnage exotique et un deuxième opus plutôt dans le genre du thriller d’espionnage de la Guerre Froide, ce troisième volet des aventures de James Bond prendrait ici l’identité d’un vrai film d’espionnage british et chic à la sauce bondiènne. Une fois de plus adapté d’un des romans de Ian Fleming, le septième, Goldfinger connu un immense succès à sa sortie en salle avec notamment plus de 6 millions d’entrées en France, l’épisode ayant le plus fédéré de spectateurs français dans les salles avec Skyfall sorti en 2012. Véritable classique de la saga, Goldfinger est l’épisode qui met enfin en place le mythe Bond au cinéma en rassemblant tous les codes de la saga qui ont été inventés petit à petit dans les deux premiers films et surtout dans le précédent, Bons Baisers de Russie qui était tout de même encore incomplet. Mais grâce à Goldfinger, la légende James Bond peut exister car le réalisateur Guy Hamilton et son équipe ont livré le « premier vrai Bond » au Septième Art avec sa propre identité. Avec une intrigue bien menée et suffisamment bien rythmée pour ne pas perdre le spectateur en cour de route, Goldfinger enchaîne les morceaux d’anthologie en établissant les codes récurrents de la saga comme le Gunbarrel qui est toujours présent avec la musique de Monty Norman ainsi que la scène d’ouverture présentant Bond en pleine mission. Mais si le film est devenu aussi culte au fil des années c’est bien grâce à l’introduction du premier générique en chanson de la saga. Sous la voix puissante et majestueuse de Shirley Bassey, la chanson du générique en or massif de Goldfinger résonne encore dans l’esprit des fans comme l’une des meilleures chansons jamais interprétées de toute la saga James Bond ! Ce titre fera tellement sensation que Shirley Bassey sera amenée à chanter les génériques de deux autres aventures de l’espion britannique dans Les Diamants sont Eternels et Moonraker. Après, Goldfinger reste marquant pour l’arrivée du plus populaire et mythique gadget de l’agent 007, l’Aston Martin DB5 modifiée exclusivement pour notre agent préféré avec entre autre siège éjectable, mitrailleuses, vitres par balles et même un dispositif de changement de plaques d’immatriculation. Et grâce à la mise en scène de Guy Hamilton, cette troisième aventure de 007 offre à la saga quelques morceaux d’anthologie avec notamment la fameuse scène du laser où Goldfinger questionne Bond mais aussi la poursuite avec l’Aston Martin en Suisse dans l’entreprise du mania de l’or et surtout la scène de la découverte du corps de Jill Masterson totalement recouverte de peinture dorée, une des scène les plus iconiques de la saga. Goldfinger est donc un pur film de mythologie bondiènne puisque nous retrouvons également la fameuse James Bond Girl qui fera chavirer le cœur de notre héros pendant sa mission. Ici c’est la magnifique Honor Blackman qui prête ses traits à Pussy Galore, l’une des plus séduisantes et inoubliables Bond Girl de la série. Alors certes l’actrice est l’une des conquêtes de 007 les plus âgées mais elle n’en demeure pas moins complexe et se caractérise par un caractère bien trempée et d’un charisme de folie ! L’ex-star de la série culte Chapeau Melon et Botte de Cuir est devenue immortelle grâce à son rôle de James Bond Girl dans le plus culte de tous les épisodes de la saga. Mais ce qui rend le film encore plus mémorable parmi ses personnages c’est du côté des bad guy puisque ce troisième film porte carrément comme titre le nom de méchant principal ! Auric Goldfinger est tout simplement l’un des méchants les plus impressionnants de la saga, brillamment incarné par l’acteur allemand Gert Fröbe, parfaitement machiavélique, qui rend son personnage définitivement culte avec la fameuse réplique « Non monsieur Bond, j’espère que vous mourrez ! ». Malgré une mort qui semble un peu ridicule de nos jours, le personnage n’en reste pas moins un grand méchant bondien : manipulateur, tricheur, assassins et diabolique. Par ailleurs, il s’agit de la seule aventure de l’ère Sean Connery où Bond n’est pas confronté au S.P.E.C.T.R.E., un film que l’on pourrait qualifier « hors fil rouge » qui montre très bien ce que peut être une vraie mission de James Bond à part sauver le monde et lutter contre la puissante organisation S.P.E.C.T.R.E. Ensuite, l’autre méchant qui retient tout particulièrement notre attention est celui d’Oddjob, le majordome/garde du corps coréen muet de Goldfinger, rendu plus que célèbre par son chapeau mortel capable de trancher une tête humaine. Voici l’un des hommes de main les plus redoutables de la saga, avant d’être surpassé en termes de présence physique par Requin sous l’ère Roger Moore. Et puisque nous avons fait un point sur les acteurs, difficile de résister à ne pas évoquer la prestation de Sean Connery qui campe une fois de plus James Bond avec un charisme et une classe dévastatrice ! Dans Goldfinger, l’acteur écossais est au sommet de sa classe et pousse encore plus loin le chic, l’humour macho et l’héroïsme du personnage et réussit à devenir James Bond pour de bon et surtout pour toujours. Pour conclure, Goldfinger est le parfait James Bond et incontestablement l’un des meilleurs volets de la saga où tout est en place pour laisser 007 construire son mythe au fur et à mesure de ses aventures et de l’évolution de sa saga. Même si le film vieillit par moments, il n’en reste pas moins très agréable et plaisant à regarder notamment pour son histoire prenante jusqu’à la fin, sa chanson culte, ses acteurs très investis dans leur personnage et ses scènes cultes qui hantent nos rêves de Bondophiles. Après le gros succès de ce troisième film, nous pouvons dès lors être sûrs que James Bond reviendra, et pour l’épisode le plus bondien de la franchise : Opération Tonnerre.
    oranous
    oranous

    134 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2009
    Je trouve que cet épisode est supérieur aux deux autres, a tous points de vue. L’histoire est vraiment très prenante et on ne relâche a aucun moment. Toujours aussi manichéen, ce nouveau méchant est meilleur. Les combats sont toujours aussi spectaculaires. En bref, ce James Bond reste pour autant un divertissement spectaculaire de haut niveau.
    Shelby77
    Shelby77

    143 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 août 2017
    Critique de "Goldfinger". Je le trouve un cran au dessus de Bons Baisers De Russie. Goldfinger nous transporte dans une belle aventure d'espionnage. Disons que les deux premiers films étaient des brouillons, puisque dans ce troisième James Bond ce qui faisait a été plus ou moins corrigé. Un grand Bond contre un grand méchant. 3,5/5
    Selingues G
    Selingues G

    61 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 août 2009
    Le plus grand face à face des James Bond et le plus grand film. Cascades de haut niveau et un très très très grand Sean Conery. Le scénario de bonne qualité et renforce ce super film d’espionnage. Un très grand James Bond.
    JamesDomb
    JamesDomb

    83 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Changement de réalisateur pour le meilleur épisode de la saga Bond. Guy Hamilton remplace Terence Young. Pour moi quand on évoque James Bond, Goldfinger est la première chose qui me vient à l'esprit. Tout est là. L'agent secret aimant les femmes et le Vodka-Martini au shaker et non à la cuillère, la femme fatale, le mégalo projetant le plus formidable et le plus diabolique des projets, des décors de reve, la chanson-générique culte, etc...Sean Connery n'a pls rien à prouver: il est James Bond. Gert Frobe restera le plus grand "méchant" de la saga. Son accent, sa silhouette, son interprétation presque théatrale lui vallent de rentrer directement au Panthéon des plus grands salauds de l'histoire du cinéma. Sans oublier son valetet garde du corps OddJob champion du monde du lancé de chapeau melon tueur...Goldfinger n'est pas seulement un "James Bond", c'est également un des plus grands films d'espionnage de tous les temps, magistralement mis en scène et interprété, mais aussi par son scénario diabolique et maitrisé de bout en bout. Le spectateur jubile face à ce deferlement de pyrotechnie, de belles femmes, d'action et de charme durant presque 2 heures. Sans conteste le meilleur épisode de la saga.
    Xyrons
    Xyrons

    623 abonnés 3 360 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 avril 2009
    Ce film qui a fait découvrir la saga James Bond au grand public est magnifique. De belles prouesses technique, un scénario entraînant et original, une magnifique distribution avec en tête d’affiche Sean Connery qui restera décidément le meilleur dans ce rôle. Les dialogues sont bien, la musique convient et le film est très dynamique. Bref ce film est une belle réussite de Guy Hamilton et on peut dire que les acteurs comme le réalisateur peuvent êtres fiers de ce film qui est devenu culte. 14 / 20.
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