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Stéphane G.
6 abonnés
61 critiques
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2,5
Publiée le 10 septembre 2014
Si Dragons avait été un bon divertissement, cette resucée ne satisfera que les enfants (notamment les miens qui ont bien aimé). Ma note et ma critique ne concerne donc que moi. Le film repose sur le principe de la surenchère: on reprend une partie des ingrédients du premier et on pousse la caricature. Cela donne un film sans grand intérêt (même si l'animation est parfaite). L'histoire est inconsistante et les personnages sont devenus sans épaisseur. Ajoutons à cela des personnages secondaires censés amuser le spectateur mais dont l'humour ne dépasse pas celui d'ados de 12 ans (et encore, je crois que les ados de 12 ans sont souvent plus subtils) et vous obtenez un film dont on peut largement se dispenser.
Le premier opus avez très bien marché faisant de DRAGONS 2 un film très attendu.
Dans sa globalité, on a beaucoup apprécié ce dessin animé mais on a, quand même, relevé un point négatif assez important. On va donc commencer par cela, pour vite passer aux points forts du film.
Un problème majeur : les quelques longueurs du film. En effet, lors des séquences "émotion" (qui sont nombreuses au début), les scènes traînaient en longueur, avec des plans et des dialogues parfois interminables. C'est dommage puisque cela donne la sensation d'une histoire qui a du mal à démarrer avec quelques redondances. Heureusement, il arrive assez vite un moment où tout s'accélère, ce qui nous fait pleinement rentrer dans le film jusqu'à la fin. Cela étant dit, passons aux nombreuses bonnes choses.
Tout d'abord l'histoire. Les bases de l'univers de DRAGONS ont été posées dans le premier volet. De fait, on pouvait craindre que le récit raconté dans le deuxième opus ne soit qu'anecdotique et sans grand intérêt. Fort heureusement, ce n'est absolument pas le cas. Le scénario fait beaucoup avancer l'histoire globale de la trilogie et répond à de nombreuses questions que le spectateur pouvait se poser après avoir vu le premier DRAGONS. Il y a quelques rebondissements et des surprises qui nous tiennent en haleine et captent notre attention tout le long du film. On en apprend plus sur l'univers de la saga, avec l'exploration de nouveaux lieux et l'apparition de nouveaux personnages assez sympathiques. Dans une interview, le réalisateur, Dean Deblois, disait qu'il s'était inspiré de "L'Empire Contre-Attaque" dans la façon de réaliser cette suite car il trouvait que ce film avait parfaitement enrichi l'univers Star Wars et l'avait rendu encore plus intéressant . Selon nous il y est parvenu.
Dans un dessin animé, la qualité graphique est très importante. Or, c'est vraiment un atout majeur de DRAGONS 2. Tout est très détaillé, le réalisme est très recherché et la lumière est parfaitement travaillée. En plus, on est fan de l'esthétique générale des personnages qu'il soient humains ou dragons. On sent qu'il y a une réelle amélioration par rapport au précédent (qui était déjà très beau). Cela est certainement dû aux nouveaux logiciels utilisés par les studios DreamWorks, qui ont été inaugurés sur ce film. Nous on approuve. Même la 3D est agréable et apporte quelque chose. On sent que certaines scènes ont d'ailleurs été pensées pour la 3D, ce qui n'était pas le cas du premier film qui avait été converti en 3D après une réalisation faite pour l'exploitation 2D. Notre page Facebook pour débattre de cinéma :
Remplis à ras-bord de bons sentiments un peu bêbêtes : la paix c'est bien et la guerre c'est pas bien, j'aime mon papa et ma maman malgré leurs défauts, je respecte les animaux au lieu de leur faire du mal, vous voyez le genre.
L'histoire est tirée par les cheveux, décousue et assez ennuyeuse ; on est contents quand ça se termine.
Comme d'habitude dans ce type de divertissements oubliés le lendemain matin, les belles images se succèdent pour faire oublier la médiocrité du scénario.
Aussi divertissant qu'intelligent. Aussi intelligent que divertissant, c'est un P'tit Bonheur évident !
Le premier opus nous avait séduits. Celui-ci nous a conquis.
Encore plus fouillé et complexe, donc plus riche au niveau de la psychologie des personnages (en particulier celui de la mère ayant abandonné son enfant), Encore plus rythmé et spectaculaire au niveau des cascades et des grandes bagarres. Encore plus délirant au niveau des personnages secondaires drôlissimes.
Enfin et surtout, encore plus palpitant au niveau de la force de l'enjeu du héros. Face à un adversaire effroyablement menaçant, son objectif est aussi simple qu'élevé : il veut établir la paix !
Et il y va !
Sûr de son pouvoir de conviction, armé de sa seule candeur mâtinée toutefois d'un réel pragmatisme ("Mais pourquoi se bat-on ?" demande t-il à un moment au méchant qui en reste interloqué, ne sachant plus que faire ni que dire), le petit Harold, aidé de son fidèle dragon, va parvenir à terrasser le redoutable tyran et l'obliger à s'enfuir (ça c'est l'amorce de Dragon 3…).
Un vrai P'tit Bonheur d'été donc, à déguster sans modération dans la douce fraicheur d'une salle climatisée… Hmmm !!!
Visuellement, ce second opus est aussi réussi que le premier, ce qui est la moindre des choses. Par contre, niveau scénario, çà vire aux Disniaiseries traditionnelles de fin d'année: on a même droit à la chansonnette ridicule. Les chercheurs d'or de Dreamworks ont trouvé un bon filon: bientôt un troisième voire un quatrième épisode, deux séries TV, la pompe à fric tourne à plein régime...
Une suite réussie. Visuellement c'est beau et la musique est magnifique. Humour, émotion et bravoure sont au rendez-vous. Les personnages évoluent de manière logique. La première partie du film est sympa ou l'on découvre que les vikings et les dragons vivent en cohabitation et la deuxième partie est plus sombre : spoiler: avec les retrouvailles touchantes avec la mère d'Harold, la venue d'un nouveau méchant ou encore la mort du père de Harold . On retrouve le casting du premier avec les voix en VF : Donald Reignoux, Emmanuel Jacomy, Julien Kramer, Florine Orphelin, Arthur Pestel, Nathanel Alimi, Pascal Grull, Émilie Rault et en VO : Jay Baruchel, Gerard Butler, Craig Ferguson, America Ferrera, Jonah Hill, Christopher Mintz-Plasse, T.J. Miller et Kristen Wiig. Et avec de nouveaux venus au casting vocal : Cate Blanchett, Djimon Hounsou et Kit Harington.
Voilà le retour des vikings et leurs dragons qui ressemblent à des Pokemons. Je comprends pas trop l'engouement général autour de ces films d'animation. Le concept de jeu d'élevage façon Tamagochi c'est très bien vendu, alors en film c'est vrai qu'il n'y a pas de raison que ça ne fonctionne pas. Adopte un dragon, donne lui à manger, et il terminera premier à la course en passant au niveau 99. Moi cette soumission des dragons par les humains me dérange et ça tombe mal puisque c'est omniprésent.
Ok le premier était sympathique et comportait suffisamment d'originalité pour nous séduire. Mais Dragon 2 est très mauvais et n'apporte rien de nouveau. Au lieu de ça on assiste à l'enchainement prévisible des péripéties qui caractérisent les suites. C'est à dire l'apparition soudaine des membres oubliés de la famille qu'on avait pas eu le temps de développer dans le premier film. Ce genre de comportement dans l'écriture nous laisse à penser qu'on nous donne les restes à manger. La salade est confite et moins bonne que la veille et puis on a dévoré tous les bons trucs hier et aujourd'hui il ne reste plus que les vieilles feuilles au fond du saladier.
Le méchant est... méchant, on sait pas trop pourquoi mais il est méchant. Ce n'est pas drôle. Ce n'est plus "émouvant" mais c'est devenu niais. La fin est bâclée. De toute façon le dénouement n'a que peu d'intérêt puisqu'on le connait déjà... J'arrête là.
Une suite inutile. Il y a tellement de bons films en CG ne perdez pas votre temps avec celui-ci.
oui ce Dragons 2 est sympatoche, oui les graphismes sont chouettes, oui la 3D est bonne, oui l'histoire est correcte m'enfin je préfère le premier épisode en terme d'originalité, d'énergie, d'humour et de simplicité
Bon ben cette suite est tout aussi plaisante que le premier volet. Je dirai même que là où le premier était archi classique cette suite réussi à proposer des choses intéressantes et assez surprenantes... il y a plein de trucs que je n'ai pas vu venir... (que je ne révèlerai pas) je ne les ai pas vu venir et c'est pas non plus un twist idiot sorti de nulle part, c'est juste que le film prend une tournure que l'on a pas forcément l'habitude de voir dans un film pour "enfants" (enfin pour petits et grands). Et c'est on ne peut plus appréciable.
Alors certes il y a toujours des défauts, parce que malgré tout les passages obligés sont là, d'autres trucs qu'on voit venir à 200 à l'heure... cependant c'est toujours bien traité, pas forcément très bien traité, mais bien traité malgré tout... ce qui fait que je n'ai pas eu envie de me facepalmer durant le visionnage. Je pense entre autre au "pouvoir de l'amitié" qui dans un autre film m'aurait donné des envies de meurtre.
Du coup on a un film qui est encore plus frais que le précédent, qui change de ce qu'on a l'habitude de voir dans les films pour mioches et je n'ai pas eu l'impression d'être pris pour un idiot, chose rare... en tant qu'adulte je peux regarder ça sans que ça tombe dans la référence grossière pour me sortir de ma torpeur, sans gags méta et/ou second degré malvenu. Ici on est invité à continuer à s'émerveiller et à découvrir cet univers.
Je trouve la relation entre le héros et la fille toujours aussi plaisante. La relation avec le dragon, toujours sous forme de miroir est un peu plus subtile que dans le premier... Ils ont fait du bon travail.
On a également un surplus d'action, de séquences impressionnantes... mais malgré ça le film semble plus long que le premier, une légère baisse de rythme avec comme point culminant une petite chansonnette... Arrg... mais bon ça passe encore...
Je dirai que c'est juste dommage de ne pas avoir pris le temps d'étoffer la relation entre la fille et son dragon... parce que quelque part, si ça aurait pu être une évidence, le genre de chose que l'on voit et que l'on a pas besoin de dire, ben ce n'est pas forcément le cas ici... elle a un dragon... et c'est un peu tout. Rien de grave.
Un film d'animation beau et rythmé qui met de bonne humeur. How to train your dragon 2 ne bénéficie pas d'un scénario aussi courageux que pour son premier opus mais il remplit avec brio ce nouveau cahier des charges moins ambitieux. Le film est un régal pour les yeux, les touches d'humour sont plutôt bien distillées et les scènes d'actions survoltées mettent en valeur une 3D convainquante. Enfin et surtout les dragons suscitent une empathie irresistible. Une scène : Le nid.
"Le premier était génial, le second est carrément phénoménal". C'est ainsi que l'on pourrait caractériser la franchise Dragons, avec une suite -et c'est rarement le cas- bien supérieure au précédent. Reprenant les mêmes personnages, cette suite déplace l'histoire dans un contexte de paix et d'harmonie entre les hommes et les dragons. Une sérénité qui risque d'être bouleversée par un grand méchant du nom de Stoïk, qui désire s'approprier tous les dragons. S'en suivra une belle aventure, entre batailles épiques et apprentissage de la vie. Sous ses couleurs arc-en-ciel ravissantes, sa bande-sonore envoûtante et sa capacité très habile à conter la mythologie des dragons, Deamworks frappe fort et risque bien de voler la vedette à Pixar cette année.
Après un premier opus datant de 2010 et sur lequel, pour une raison que j'ignore, je n'avais pas rédigé de critique, voici le numéro 2. Bon, soyons clair : comme le 1 et peut-être même encore plus, c'est techniquement parfait tous points de vue, je n'épiloguerai pas. Par contre, je suis lassé par ces dessins animés au scenario quand même très classico-classique : quand on en a vu un on les a tous vus ! Reste la qualité des images, des textures et des animations : c'est formidable, mais de là à s'extasier pendant une heure trois-quarts... Je dois préciser que le scénario du 1 était quand même nettement plus original que celui-ci. C'est dire ! Désolé de décevoir ceux que cette magie émeut ou fait fondre : ce n'est pas (ou plus) mon cas. J'aime les dessins animés un peu "discrètement politiquement incorrects" et davantage bâtis "à plusieurs niveaux", de manière à ce que petits et grands y trouvent du plaisir. Pour le coup, ici on est très loin du compte.